Par La Rando

Charles Aznaour aux Emirats Arabes Unis

Charles Aznavour :  »Dans mon métier, je suis le roi des emmerdeurs »

En pleine promotion de l’album Encores, paru le 4 mai, Charles Aznavourannonce d’emblée la couleur : « Si j’arrête la scène, je meurs. » À bientôt 91 ans, il travaille toujours à un rythme effréné, publie un 51e album studio (le 52e est presque fini) dont il a refait tous les arrangements au dernier moment : « Je fais partie des Cabrel, Béart, Brassens, Ferré, qui ont leur rythme. Je suis même peut-être plus emmerdant, confie Aznavour dans Le Parisien.Dans mon métier, je suis le roi des emmerdeurs.« 

Aznavour ne défend pas seulement ce nouvel album, classique et nostalgique, mais son retour sur scène sur notre territoire après quatre ans d’absence. La mémoire ou la voix peuvent flancher mais l’artiste aime tellement ce contact avec le public. Il prend donc ses dispositions : « J’ai mon prompteur, je sais où je peux me tromper. Ma femme [Ulla, son épouse depuis presque cinquante ans, NDLR] m’a dit l’autre jour : ‘À ton âge, tu devrais arrêter. ‘ Mais je suis boulimique. Et si j’arrête la scène je meurs. Vous croyez que ça m’amuse de mourir ? J’y pense depuis l’âge de 15 ans. » DansParis Match, il dit avoir « fait le tour de tellement de choses » tout en s’amusant à glisser qu’il n’est « pas pressé » : « Je ne vais avoir que 91 ans ! » Un anniversaire, le 24 mai, qu’il ne fêtera pas, pas plus que les précédents. « Je n’ai fêté qu’une fois mon anniversaire, quand j’ai eu 50 ans. Et j’ai dit : ‘Le prochain que je célébrerai sera celui de mes 100 ans.’« 

Le secret de sa forme, lui qui nage quotidiennement avec « des flotteurs« , c’est sans doute aussi qu’il n’a pas succombé dans sa jeunesse à toutes les tentations du show business : « La drogue jamais, je ne me suis jamais fait tatouer non plus. Mais j’ai bu, oui. (…) Jusqu’au jour où j’ai eu des palpitations. J’ai consulté un médecin qui m’a offert une liqueur en me disant : ‘C’est le dernier verre si vous voulez que ça s’arrête. Pour sept ans.’ J’ai retenu la date et j’ai recommencé en Belgique sept ans plus tard. Maintenant, je prends un verre de vin avec mes amis, un porto parfois. Mais avant de chanter, je ne touche même pas un verre d’eau. Quand on m’offre une bouteille avant le spectacle, je la bois à la maison. Je suis un cas particulier.« 

Un cas que CNN et les lecteurs de Times Online ont élu Artiste de variété du siècle. Charles Aznavour, qui vient de passer le dimanche sur le canapé rouge de Michel Drucker, est de retour sur scène du 15 au 27 septembre 2015 pour six représentations exceptionnelles au Palais des Congrès de Paris. L’artiste promet de piocher trente chansons dans son immense répertoire… Il chantera La Bohème, c’est promis.

 

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Ces étrangers qui investissent dans l’immobilier à Dubaï

La valeur des transactions de placement immobilier par des acheteurs étrangers à Dubaï en 2015 a dépassé Dh135 milliards, en hausse de 24 pour cent par rapport au montant de Dh109 milliards en 2014, affirme le Dubai Land Department. 56.000 investisseurs de 150 pays représentent Dh136 milliards d’investissements dans le secteur de l’immobilier de Dubaï en 2015. Lire la suite « Ces étrangers qui investissent dans l’immobilier à Dubaï »

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Le secteur non pétrolier des Emirats Arabes Unis

Le gouvernement des Emirats envisage d’augmenter la contribution du secteur non pétrolier à 80 pour cent du produit intérieur brut (PIB) dans les 10 à 15 prochaines années, affirme le Ministre de l’Economie Sultan Bin Saeed Al Mansouri. Prenant la parole lors du Sommet de l’Institut de Beyrouth à Abou Dhabi, Mansouri souligne que la politique de diversification économique vise à réduire la dépendance du pétrole : “Nous voulons augmenter la contribution de secteur non pétrolier à 80 pour cent contre 70% actuellement. Notre objectif est de réduire la contribution du secteur pétrolier à seulement 20 pour cent du PIB.’’ Il affirme que le taux de croissance s’est élevé l’année dernière à 4,6 pour cent et le PIB total à $1.470 milliards.

“Le pays a attiré des investissements directs étrangers à hauteur de 100 milliards de dollars au cours des dix dernières années. Nous sommes devenus une destination privilégiée et classé numéro un dans le Moyen-Orient et la région arabe pour attirer l’IED.’’ “Nous avons une vision ambitieuse, et le cabinet a déclaré l’année 2014 comme l’année de l’innovation. Nous prévoyons d’avoir 5 pour cent du PIB généré par l’innovation d’ici 2021.” La baisse des prix pétroliers et la croissance économique mondiale sont les deux défis les plus importants pour la région arabe. “Nous devons être proactifs face à la situation politique et économique. Il doit y avoir une infrastructure solide et un environnement logistique pour atteindre la croissance.” «Notre économie a réussi à maintenir un taux de croissance élevée grâce à une vision claire. » selon le quotidien Gulf News.