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Seul face à la ville (Bear Grylls)

bear grylls survieBear Grylls : Seul face à la ville (Worst-Case Scenario) est une émission de télévision diffusée depuis le 5 mai 2010 sur Discovery Channel aux États-Unis. Durant cette émission, Bear Grylls expose ses différentes techniques de survie face aux catastrophes naturelles, aux agressions, aux accidents, aux violences urbaines et aux autres situations hostiles. Bear pratique les techniques qu’il a apprises durant son entraînement à l’Artists’ Rifles incluant self-défense, etc.

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Fin du monde: Mode d’emploi et techniques de survie

survieUne inondation, un virus qui se propage, une explosion; ces hommes sont prêts.  Suivez ces 4 anciens marines qui vous apprendront à suivre à n’importe quel scénario de fin du monde. La fin du monde est le moment de la disparition de l’univers, de la Terre ou de la seule humanité, telle qu’elle peut être imaginée par des individus ou des institutions.  Son étude est l’eschatologie. Son caractère éminemment dramatique en fait également le sujet de multiples prédictions. Que feriez-vous ? Découvrez ce reportage avec ces spécialistes.

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Pourquoi la faim, pourquoi la soif ?

Pourquoi il y a dans le monde tant d’inégalités concernant la nourriture et l’eau. Un écart incroyable entre les pays industrialisés, les sociétés de consommation et les pays qui crèvent de faim et de soif. Un documentaire aborde le sujet et s’interroge sur la manière dont les ressources naturelles sont gérées.

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Mardi dernier sur Arte était diffusé le documentaire Pourquoi la faim, pourquoi la soif ? Un sujet traité par un journaliste de la chaîne allemande ZDF, Claus Kerber. Dans ce documentaire, il souhaite démontrer que les ressources mondiales à disposition pourraient être attribuées à tout le monde. Ainsi, personne ne pourrait mourir ni de faim ni de soif.

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Alors pourquoi une partie du monde ne dispose pas de ses ressources ? Pourquoi les inégalités face à la nourriture et à l’eau sont toujours aussi nombreuses ? Le journaliste veut donc prouver que la gestion des ressources de la Terre ne se fait pas correctement.

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Au travers de ce documentaire en deux parties, la première consacrée à la faim et la seconde à la soif, Claus Kerber et la réalisatrice Angela Andersen, parcourent le monde pour rencontrer les populations touchées par ce manque de nourriture et d’eau. Une situation de crise pour des pays qui souffrent alors que d’autre pays ont tout et gaspillent même certaines ressources.

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Un documentaire qui interroge le monde sur sa capacité à mieux gérer les ressources disponibles. Des projets existent pour améliorer la situation actuelle mais une meilleure gestion semble être la solution la plus efficace pour remédier à la pénurie de nourriture et d’eau.

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Des images qui montrent la réalité dans toute sa douleur et son implacable sévérité. Pourquoi certains devraient mourir de faim ou de soif alors que d’autres jettent de la nourriture et gaspillent de l’eau.

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Voir ou revoir le documentaire : la faim et la soif dans le monde

 


Source:  tuxboard

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Orages et inondations : que faire pour rester en sécurité ?

vosges-pluieLa vigilance rouge, niveau d’alerte météorologique le plus élevé, a été déclenché lundi 29 septembre dans l’Hérault pour des risques d’orages et d’inondations.

Ce niveau d’alerte est déclenché quand des dégâts « très importants sont à craindre » sur les habitations, parcs, cultures, plantations et massifs forestiers en cas d’orages, ainsi que « des crues torrentielles de ruisseaux », avec risque de coupures d’électricité, et conditions de circulation très difficiles. Quelles sont les consignes de sécurité ?

Rester à la maison

Météo France conseille d’abord de rester chez soi ou d’éviter tout déplacement dans le département concerné, et notamment en montagne en cas d’orage.

Chez soi, il faut éviter d’utiliser le téléphone et les appareils électriques, ranger ou fixer les objets sensibles aux effets du vent ou susceptibles d’être endommagés, et signaler tout départ de feu.

Si le domicile se situe en zone inondable, même rarement touchée par les crues, il est recommandé de prendre les précautions nécessaires à la sauvegarde des biens, de faire une réserve d’eau potable et de prévoir des éclairages de secours.

S’arrêter quand on est en voiture

En cas de déplacement indispensable, une série de consignes sont à respecter. Face au risque d’inondations, Météo France recommande ainsi de ne s’engager « en aucun cas » sur une voie immergée et de signaler son départ ou sa destination à ses proches. Aux conducteurs, il est conseillé de se stopper en lieu sûr.

Depuis la création en 2001 de la carte de vigilance de Météo France, la vigilance rouge pour pluies diluviennes a été déclenchée à quelques rares reprises, notamment dans le Gard et l’Hérault. En janvier 2009, l’organisme avait déclenché la vigilance rouge dans le Sud-Ouest, pour la première fois pour une tempête.

Source: nouvelobs.com

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Survie: Un village auto-géré depuis 1971 !

VandoncourtDes élus qui écoutent les citoyens, des citoyens qui participent vraiment à la décision, des référendums qui tranchent quand aucune solution nette n’émerge ? Mais si, c’est possible. Ça s’appelle la démocratie. Et ça marche très bien, comme à Vandoncourt, commune de 800 habitants près de la frontière suisse qui expérimente depuis plus de quarante ans la démocratie participative.

Les 800 habitants de Vandoncourt, dans le Doubs, n’ont pas attendu que la démocratie participative soit à la mode pour s’impliquer dans la vie de leur village. Ils disposent de nombreux canaux pour faire entendre leurs voix. Et si la municipalité est toujours en charge des affaires courantes, aucune décision importante n’est prise sans le consentement des citoyens.

Le débat en cours sur l’implantation d’un parc éolien est un bon exemple de la culture démocratique qui règne dans la commune. Le projet en est encore au stade des études d’impact et de faisabilité, mais déjà, des voix s’élèvent, tant au sein du Conseil municipal que parmi les villageois.

Une opposition qui n’incommode pas le maire, Patrice Vernier : « Je me suis engagé auprès des habitants en leur disant que dès que nous aurons tous les éléments en main, nous organiserons une réunion publique contradictoire ». Si au terme de ce débat, les deux camps n’arrivent pas à s’entendre, le maire envisage de « lancer une consultation de type référendum pour sonder l’avis des habitants ».

Ce n’est pas la première fois que ce type de scrutin informel est organisé pour s’assurer que les décisions ne soient pas seulement prises « pour les habitants, mais aussi avec les habitants », comme le répète à l’envi l’équipe municipale. En 2002, Patrice Vernier, fraîchement élu, projetait de favoriser l’implantation d’une épicerie dans le village. Face aux divisions suscitées par le projet, il avait là aussi opté pour une consultation individuelle des habitants (étrangers compris) qui avait vu le « oui » triompher.

Aux sources de la démocratie participative

Pour comprendre l’origine de la dynamique participative qui anime le village, il faut remonter au début des années 1970. À cette époque, une bande de jeunes emmenée par Jean-Pierre Maillard-Salin, un jeune retraité de l’Éducation nationale, décide de présenter une liste aux élections. Leur slogan : « Démocratie, contrôle populaire et autogestion ».

Afin d’établir leur programme, ils mettent sur pied un questionnaire et recueillent les desiderata de la population. Lors des élections, la liste l’emporte et l’ensemble des candidats présentés entrent au Conseil municipal. Quarante ans plus tard, ils sont nombreux à Vandoncourt à parler avec nostalgie du regretté Jean-Pierre Maillard-Salin et de la « révolution culturelle » qu’il a impulsée.

On les comprend, tant les méthodes d’organisation prônées par la jeune équipe municipale tranchaient avec le paternalisme sans ambition du maire précédent, aux affaires depuis vingt-quatre ans. « Nous avons dit aux habitants : tu as une bonne idée, on t’épaule, mais tu t’en occupes. On voulait que les gens se prennent en charge et les associer aux décisions au nom de l’autogestion et d’une certaine idée de la démocratie », se rappelle Yves Montavon, Conseiller municipal qui faisait partie de l’aventure.

Chacun a son mot à dire

Les chantiers participatifs, en plus de permettre aux citoyens de se rencontrer, ont permis de fleurir la ville ou de rénover la salle polyvalente.

Dans la foulée, des instances permettant la participation citoyenne sont créées. Comme dans n’importe quelle commune, le Conseil municipal est ouvert aux habitants, sauf qu’ici, ils ont désormais le droit de prendre la parole. En outre, chaque Conseiller municipal se voit attribuer une rue afin de faire remonter les attentes du terrain.

Sans compter que chaque année, avant le vote du budget, la municipalité organise une réunion publique. Les grandes orientations y sont exposées et, là encore, chacun a son mot à dire. « Une centaine de personnes y participent. C’est un moment important de la vie de la commune », estime Brigitte Cottier, Conseillère municipale en charge de la culture.

Des commissions thématiques (environnement, scolaire, budget…) ouvertes à tous et chargées de rendre des avis à l’exécutif voient également le jour afin de donner corps à l’idéal autogestionnaire.

Près d’un demi-siècle plus tard, ces institutions existent toujours. Véronique Fiers, arrivée au village il y a une quinzaine d’années participe à quatre d’entre elles. « Je me sens directement concernée. Ça touche à la vie du village, à ses habitants », argue-t-elle. Convaincue de l’utilité démocratique de ces commissions, elle assure que « tous les points de vue sont écoutés et acceptés. Ils rentrent dans la balance au même titre que le point de vue d’un élu ».

En effet, l’équipe municipale a bien compris que pour que les habitants se réapproprient durablement la politique, il ne suffit pas de les écouter, mais vraiment les intégrer au processus de construction de la décision publique : « Le Conseil municipal n’est pas une chambre d’enregistrement. Si la majorité des gens en face de nous n’est pas d’accord, on les suit. Car si on les prend pour des cons, ils cesseront rapidement de participer », estime Yves Montavon.

Autogestion en actes

Mais c’est surtout la richesse de la vie associative qui fait dire aux habitants des bourgades alentour que Vandoncourt est « un village pas comme les autres ». Le quotidien est en effet rythmé par les initiatives organisées par les vingt-huit associations que compte la commune, du club de foot à la fanfare en passant par une association de préservation des vergers ou des variétés anciennes de pommes.

Ici, pas de « Y’a qu’à, faut qu’on ». La volonté de la municipalité de responsabiliser les habitants se traduit par une forte culture du bénévolat. « Quand la mairie ou les associations lancent des appels, il y a toujours du monde pour répondre présent. Notre devise c’est aide-toi et le ciel t’aidera », lance Patrice Vernier.

Ainsi, plus de deux cents bénévoles participent chaque année à l’organisation de la Fête des saveurs, tandis que des chantiers participatifs ont débouché sur la restauration du temple protestant du village, la réfection de la salle polyvalente ou la création d’un centre de vacances géré par les parents.

En plus de permettre à la municipalité de faire de substantielles économies, et d’améliorer le cadre de vie des habitants, ces actions collectives participent à la création du lien social dans la commune. « Pour s’entraider, il faut se connaître. Et pour se connaître, il faut faire des choses ensemble », résume le maire. Lire la suite sur lelotenaction.org …

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Survivre la nuit en forêt (hiver)

Comment survivre à une nuit dans le bois en hiver? Vous vous retrouvez perdu en pleine nuit et en plein hiver, qu’allez-vous faire? Nous vous invitons à regarder cette vidéo où des canadiens nous expliquent comment survivre au froid et à la nuit glaciale.

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Survie: Le jour d’après – à court de pétrole

petrole survie terreDocu-fiction de l’émission « Le jour d’après » du National Geographic : que se passerait-il si l’extraction du pétrole devait brutalement cesser suite à l’épuisement des réserves ?

Une fiction pas si réalise que ça, car la pénurie de pétrole (irrémédiable, le pétrole n’étant pas une ressource infinie) se fera au long cours et sera gérée sur les prochaines décennies (la fin du pétrole est estimée aux alentours de 2060 ou 2070, dans le meilleur des cas).

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Survie: comment faire son pain soi-même

Acheter son pain, c’est facile, mais comment feriez-vous si vous ne trouviez plus aucun boulanger ? Après avoir essayé plusieurs recettes de plusieurs manières, j’ai fini par faire du pain à ma façon, la plus simple et la plus rapide. Je fais 4 ou 5 pains par semaine depuis plusieurs années.

Faire son Pain sans machine, sans pétrir en MOINS DE 10 MIN

Pour une préparation journalière en 10 minutes. (programmer votre four pour une mise en marche après 1h30 de repos et supprimer la coupe du pain avant la cuisson).


  • ingrédient
  • 10 g de sel
  • 400 g d’eau
  • 650 g de farine T55
  • 1 sachet de levure boulangère ou 20 g de levure boulangère fraîche.

Bon appétit.