Par La Rando

Comment protéger ses chevilles quand on fait du sport ?

Le sport est bon pour le corps et le mental, mais il n’est cependant pas sans danger pour les articulations s’il n’est pas pratiqué dans de bonnes conditions. D’ailleurs, il n’est pas rare que les sportifs, amateurs comme professionnels, se blessent pendant les entraînements, en particulier aux chevilles. Une blessure ou entorse à ce niveau peut les empêcher de pratiquer des activités physiques et de participer aux compétitions. C’est pourquoi, en tant que sportif, vous devez apprendre à protéger vos chevilles pendant les exercices. Découvrez ici quelques conseils pratiques pour y parvenir. Lire la suite « Comment protéger ses chevilles quand on fait du sport ? »

Par Randonnée

La Rando en tête des sports pratiqués par les Français

Ces dernières années, la randonnée pédestre s’est hissée en tête des sports pratiqués par les Français. Nous serions 20 millions à marcher régulièrement ou de temps en temps. Équipement, voyages, guides, hébergement… Le marché est énorme et ne cesse d’évoluer. La randonnée n’est pas un sport loisir nouveau. Mais elle connaît un très fort engouement depuis le début des années 2000. Lire la suite « La Rando en tête des sports pratiqués par les Français »

Par La Rando

Paris, start-up du sport

L’incubateur ­ Le Tremplin dévoile sa deuxième promo cet après-midi.« Les Echos » livrent en exclusivité ­ les trois premiers lauréats. Au royaume du sport business, les Etats-Unis sont rois. Mais pour combien de temps encore ? La ville de Paris multiplie les initiatives pour s’imposer comme l’une des places fortes dans le monde. D’ici à 2024 et la possible tenue des Jeux Olympiques d’été, plusieurs compétitions d’envergure vont avoir lieu dans la capitale, à commencer par l’Euro de football, qui démarre le 10 juin. Mais aussi le championnat du monde de handball et la Ryder Cup de golf parmi d’autres. Lire la suite « Paris, start-up du sport »

Par La Rando

Le Conseil des Sports de Dubaï

Le Conseil des Sports de Dubaï (DSC) a élaboré une vaste stratégie qui finira par définir l’avenir du pays dans les sports
DSC affirme que l’ambition des Emirats est d’améliorer la santé et le bien-être, tout en poursuivant un objectif très réaliste d’obtenir au moins 20 médailles lors des Jeux olympiques 2020.

Par Randonnée

Faire du sport réduit la sensibilité à la douleur

acivité physique, analgésique, Australie, douleur, Etude, neurosciences, sportEt si trois séances de 30 minutes de vélo d’appartement par semaine permettaient de se passer de paracétamol ou d’anti-inflammatoires? Un rêve pour tous les «douloureux chroniques», selon le terme médical consacré pour qualifier les millions de patients dans le monde qui prennent chaque jour leur traitement.

Par La Rando

Stratégie de développement du Qatar

Le Qatar ou la stratégie du plus faible – entretien avec le Journal de Saint-Denis (93)
Le JSD : Quel est le fondement de la stratégie de développement du Qatar ?
Nabil Ennasri :Il faut replacer le Qatar dans sa situation géopolitique, celle d’un petit pays coincé entre deux voisins intimidants : l’Iran et l’Arabie Saoudite. Les dirigeants qataris pensent leur place à travers ce prisme d’une vulnérabilité excessive, doublée du fait que le Qatar, assis sur la troisième réserve mondiale de gaz, suscite les convoitises. L’exemple du Koweït, envahi par l’armée irakienne, en 1990, a été un traumatisme majeur. Cette conscience aiguë de sa fragilité pousse le Qatar à s’assurer du parapluie militaire américain. Mais la force pure leur étant interdite, ils misent sur le « soft power » : s’afficher pour exister. Cela passe par Al Jazeera, qui leur a conféré une audience planétaire en quelques années. Cela se décline aussi dans les domaines sportifs, culturels, religieux et diplomatiques. Le sport notamment est considéré comme un vecteur de rayonnement majeur qui doit situer positivement le Qatar sur la carte.
Le JSD : Ce développement ne va pas sans un certain nombre de problèmes…
Nabil Ennasri :Il y a deux contradictions majeures. D’abord, la condition dramatique des ouvriers étrangers. Ce sont eux qui ont fait le Qatar, mais ils vivent une situation – économique, juridique – accablante. Le Qatar ne pourra pas se prévaloir d’être le modèle qu’il veut être pour les autres pays du Golfe s’il n’améliore pas de manière substantielle la condition de ces travailleurs. Au-delà du coût social, le prix écologique est exorbitant. Récemment encore, les Qataris étaient les plus gros pollueurs de la planète par habitant. Depuis quelques années, une politique publique de réduction des coûts environnementaux a permis de limiter l’empreinte écologique. On est très loin du compte, même si la tendance est à la baisse.
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