Un nouveau décret du ministère des ressources humaines et de l’Emiratisation exempte les petites et moyennes entreprises des garanties bancaires à partir du début d’octobre 2016.
Le nouveau décret soutient le lancement de nouveaux projets et Saqr Ghobash, Ministre des Ressources humaines et de l’Emiratisation, déclare : «Suite à notre partenariat avec le Conseil des PME, le ministère a décidé de soutenir les Lire la suite « Du nouveau pour les PME à Dubaï »
L’entreprise Distribution S.I., située derrière le Salon de quilles Jonquière, passe un peu inaperçue, mais détrompons-nous, il s’agit d’un joueur majeur dans la revente d’ordinateurs Dell, au Canada. En effet, Distribution S.I., spécialisée dans la distribution de matériels informatiques pour les clients revendeurs, récupère environ 80% des annulations de clients, résidentiels ou institutionnels, pour les ordinateurs, tablettes et ordinateurs portables Dell dans tout le Canada. Lire la suite « La société canadienne Distribution S.I vise à Dubaï »
Un nouveau fonds pour aider les petites entreprises et les start-ups figure parmi les idées envisagées par le Conseil économique de Dubaï (DEC). Il s’agit d’une nouvelle initiative visant à accroître la contribution économique des petites et moyennes entreprises dans les cinq prochaines années.
Le secrétaire général du CED, Hani Rashid Al Hamli, a annoncé la proposition pour la création de ce fonds lors de son discours d’ouverture au deuxième Sommet mondial des PME. Lire la suite « Nouveau fonds pour aider les petites entreprises et les start-ups à Dubai »
Avec un rendement supérieur à 5 % en 2014, les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) affichent encore une santé insolente. Pour les professionnels, l’état de grâce devrait encore durer. Les SCPI sont en grande forme. Elles séduisent de plus en plus d’épargnants, ont enregistré une collecte historique de 3,5 milliards d’euros en 2014 et affichent des performances à faire pâlir de nombreux autres placements. Lire la suite « Les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) »
Créer une entreprise avec 2 associés ayant chacun 50% du capital social : pourquoi est ce dangereux ? Les réponses des experts en création d’entreprise d’ORATIO (Sylvain de Chaumont avocat) et ECL DIRECT (Xavier de Labarrière expert comptable). Détenir chacun la moitié des parts sociales est un risque pour la pérennité de l’entreprise. Le fait que deux associés détiennent chacun la moitié des parts d’une société peut nuire à la sauvegarde de l’entreprise en cas de détérioration des relations. Lire la suite « Société: S’associer à 50/50 à Dubai : pourquoi il faut éviter ? »
Cheikha Lubna bint Khalid Al Qasimi, Ministre de la Coopération internationale et du développement (MICAD), a souligné le rôle essentiel des dirigeants des Emirats dans la promotion de l’autonomisation des femmes.
Dans une déclaration à l’occasion de la Journée internationale de la femme, Cheikha Lubna se félicite des efforts et du soutien du Président Son Altesse Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan, du Lire la suite « Business: autonomisation des femmes aux Emirats arabes unis »
Samaya International ouvre un bureau à Paris qui sera dirigé par Philippe Mugnier. Cette nouvelle entité chapeautera plusieurs pays francophones : France, Monaco, Suisse, Belgique et Luxembourg. Samaya International, société émirati spécialisée dans le conseil en investissement et marketing touristique ouvre son premier bureau international à Paris.
Philippe Mugnier dirigera les activités de Samaya International en Europe francophone.
« Ce développement en France de Samaya International arrive à point. L’inauguration prochaine du Louvre Abu Dhabi sur l’île de Saadiyat Island renforcera la prise de conscience par les investisseurs des formidables opportunités de business conjoint entre la France et les Emirats.
Aussi, nous proposons notre expertise locale aux acteurs touristiques et investisseurs français pour les accompagner dans le déploiement rapide de tout leur potentiel dans les Emirats Arabes Unis. » précise Philippe Mugnier.
Dubai Investments Park, DIP, continu de jouer un rôle central dans l’essor industriel des Emirats Arabes Unis, en attirant plus de 3500 entreprises à travers un large éventail de secteurs au cours des 17 dernières années.
Omar Al Mesmar, directeur général de la DIP, déclare : «Dubai Investments Park a été le pionnier du modèle de développement de la communauté avec des concepts d’affaires et résidentiels conçus pour attirer de nouvelles entreprises et industries. Aujourd’hui, nous sommes fiers d’attirer plus de 3.500 entreprises de différents secteurs. » “DIP est le parc d’affaires le plus prisé dans la région et nous fournissons aux investisseurs et fabricants le terreau idéal avec le meilleur et le plus avancé des infrastructures. Le nombre d’unités industrielles et des usines dans DIP est en croissance constante et nous avons également assisté à une demande accrue dans nos entrepôts. Notre proximité du site Expo 2020 alimente également la demande d’espace.”. Né d’une vision avant-gardiste de Dubai Investment, DIP est aujourd’hui une véritable ville-dans-un-ville, avec plus de 30 immeubles de bureaux, 25 salles d’exposition, cinq écoles, trois hôtels et 292 établissements résidentiels. DIP offre une infrastructure inégalée, des installations modernes et des services de qualité pour un grand nombre d’industries, et d’activités liées à la recherche, la distribution et la logistique selon l’Agence de Presse des Emirats, WAM
Les entreprises françaises peuvent profiter d’investissements massifs dans les infrastructures à Abu Dhabi et Dubaï. Le golfe Persique est une zone stratégique pour l’export français. Globalement, au Moyen-Orient, Bercy espère une hausse des exportations de 66 % d’ici à 2022. En tête, les Émirats arabes unis, qui sont déjà le premier client de l’Hexagone dans la région. La manne pétrolière d’Abu Dhabi avec ses deux fonds souverains assis sur 655 milliards de dollars, ainsi que le hub régional, touristique et logistique, de Dubaï attisent la convoitise des entreprises françaises.
Un an après la visite de François Hollande, la ministre du Commerce extérieur, Nicole Bricq, effectue un déplacement de trois jours aux Émirats et à Oman pour vendre le «made in France». Il s’agit de consolider les positions dans un marché de plus en plus concurrentiel. Si l’Hexagone dégage un excédent commercial – 3,5 milliards d’euros d’exportations contre 1,2 milliard d’importations sur les onze premiers mois de 2013 -, la part de marché s’érode. Elle est tombée à 2,4 % contre 7 % au début des années 2000.
La bataille se joue de plus en plus avec les pays émergents. Le renouvellement des concessions pétrolières d’Abu Dhabi arrivées à terme le 10 janvier en est une illustration. Aujourd’hui, quatre majors – BP, ExxonMobil, Shell et Total – se partagent les 38 % réservés aux étrangers. Le reste étant exploité par la compagnie nationale ADNOC. Une dizaine d’entreprises étrangères, du Brésil, de Chine et de Corée du Sud, sont sur les rangs. L’enjeu est loin d’être négligeable pour Total, qui produit 140.000 barils-jour, soit 6 % de sa production totale. Nul doute que l’appel d’offres – dont les résultats ne sont pas attendus avant mars ou avril – sera au cœur de la rencontre entre Nicole Bricq et le ministre de l’Énergie.
Autre priorité de cette visite, le transport. ADP, Alstom, RATP, SNCF, Thales… Tous les fleurons français de l’aérien, du ferroviaire et du transport public sont du voyage. Pas moins de 7 milliards de dollars d’investissement sont prévus à court terme à Abu Dhabi dans le ferroviaire avec une ligne de métro et deux lignes de tramways.
Coopération financière
L’émirat veut rivaliser avec son voisin dubaïote. «C’est important pour eux d’avoir une vitrine, leur demande est particulièrement technologique, un point fort de nos entreprises», explique le ministère du Commerce extérieur. Les entreprises veulent aussi se placer dans la perspective de l’exposition universelle de 2020 à Dubaï. L’émirat prévoit d’investir 7 milliards de dollars avec des contrats à la clé dans le transport et l’événementiel.
Nicole Bricq va aussi discuter de coopération financière, enjeu clé dans le Golfe. «Comme nous l’avons déjà proposé aux autres pays de la péninsule, l’objectif est de pouvoir utiliser l’épargne pour financer des projets d’infrastructure en France et du crédit export», précise Bercy. En clair, que les dollars du Golfe soient investis dans l’appareil productif français et moins dans l’immobilier. La Caisse des dépôts est en négociation avancée avec Mubadala, le deuxième fonds souverain d’Abu Dhabi. Enfin, cette visite aura un volet touristique important, en particulier à Oman, au fort potentiel dans ce domaine, même si le sultanat affiche également des ambitions de devenir un hub de services.