Une vidéo du projet qui est en cours pour relier la région West Bay à l’aéroport international de Hamad (HIA) à travers un tunnel sous-marin. Doha aura la chance d’obtenir ce privilège. Découvrez la vidéo ci-dessous de ce projet fantastique.
Qatargas a remporté un prix international pour ses publicités télévisées en matière de sécurité routière produites en 2012 dans le cadre de la campagne de sécurité routière annuelle de la Société, selon un communiqué de presse.
Le prix a été décerné par l’AVA numérique Awards, une compétition internationale qui reconnaît le travail exceptionnel de professionnels créatifs impliqués dans la conception, la direction, de conception et de production de médias qui fait partie de l’évolution de la communication numérique.
Ghanim Al Kuwari, Chief Operating Officer (Administration) de Qatargas a reçu le prix au nom de la société.
«Nous sommes très heureux de recevoir ce prix. Promouvoir la sécurité routière est un élément clé de Qatargas de responsabilité sociale des entreprises (RSE) des initiatives et ce prix va certainement nous inciter à faire plus pour la diffusion de messages dans la sécurité routière au Qatar », a déclaré Ghanim Al Kuwari.
« Au cours des six dernières années, Qatargas a collaboré avec le Département de la circulation dans l’organisation de la campagne de sécurité routière visant à répandre la conscience sur la sécurité routière en particulier parmi la jeune génération ». Le spot TV intitulé « Cela valait-il le risque? » A été produit dans le cadre de la campagne de sécurité routière de Qatargas en 2012. Il a été diffusé pendant le mois de Ramadan dans les cinémas et sur les chaînes de télévision locales. Ce dernier s’adresse principalement aux jeunes conducteurs qataris, les scènes d’accidents mettent en évidence les dangers de l’utilisation des téléphones portables au volant par exemple.
Voici quelques spots tv créés par Qatargas.
Les équipes d’Al Sadd et Lekhwiya vont s’affronter en finale de la Coupe de l’Emir du Qatar de football samedi prochain, après avoir composté leur qualification samedi, rapporte dimanche la presse locale. Dans la première demi-finale de la journée, Al Sadd a battu al Rayyan, 3-1. Nadir Belhadj, qui a disputé toute la rencontre, a été le passeur décisif sur le troisième but du tout frais champion
du Qatar. Son corner à la 48e minute a été repris de la tête par l’international Younis Mahmoud pour le troisième but des siens.
Les coéquipiers de Belhadj auront donc l’occasion de décrocher le doublé après avoir remporté le Championnat il y a quelques semaines. Dans la deuxième demi-finale, le Lekhwiya de Madjid Bougherra était opposé à El djaish de Karim Ziani. Si les coéquipiers de Ziani ont pris l’avantage après seulement deux minutes de jeu, sur un but contre son camp d’un défenseur adverse, c’est le Lekhwiya qui a eu le dernier mot avec un but victorieux à la 88e minute de Nam Tae-Hee. Luiz Martin avait entre-temps égalisé en première période. Al Sadd est le club le plus titré dans la compétition avec 13 trophées à son actif, alors que le Lekhwiya n’a jamais inscrit son nom au palmarès.
Après le PSG, David Beckham et Zlatan Ibrahimovic, les différents palaces, le rachat du Printemps par les investisseurs en provenance du Qatar s’inscrit en droite ligne de ce soft power qui dicte ses actions à l’international, et notamment en France. Il repose sur trois dimensions : 1. Dimension symbolique
Ce rachat à 100% du Printemps relève d’une stratégie de communication qui voit le Qatar tout faire pour que son nom soit accolé à des endroits, des institutions, des images prestigieuses. Le Printemps, c’est une enseigne de marque qui symbolise le luxe propre à Paris, la capitale de la mode, des arts et de la culture.
La « ville-lumière » dispose d’une charge symbolique unique au monde et c’est un atout qui pèse aux yeux des investisseurs du Qatar. D’autres cités occidentales sont dans le viseur.
À Londres, les investissements dans l’emblématique magasin Harrod’s ou le financement de la construction de la tour Shard (la plus haute d’Europe) s’inscrivent dans la même optique. Adepte de la diplomatie d’influence, les autorités qataries sont friands d’investissements à forte rentabilité symbolique afin d’en capter les dividendes médiatiques. 2. Dimension diplomatique
Cela fait maintenant plusieurs années que le Qatar investit régulièrement en France. Pour eux, plus qu’une cible, c’est une destination privilégiée. Cela tient essentiellement à l’influence dont dispose encore la France dans le concert des nations. Membre permanent du conseil de sécurité, interlocuteur privilégié au Moyen-Orient… La voix de la France pèse encore dans les relations internationales.
Le Qatar, qui a une conscience aigue de ses faiblesses intrinsèques, a besoin de soutiens de poids. Parmi ceux-ci, on trouve naturellement les Etats-Unis où l’émir doit se rendre en visite officielle dans deux semaines. En dehors de Washington, les capitales qui comptent sont Londres et Paris.
L’investissement dans l’immobilier, les palaces ou les grandes enseignes de marque sont ainsi perçues comme le support de liens économiques et diplomatiques qui permettront de densifier une relation stratégique. La diplomatie d’influence du Qatar se déploie ainsi sur plusieurs échelles : la pluralité des liens tissés permet d’installer des intérêts combinés.
Avec la France, l’histoire avait commencé sous Nicolas Sarkozy, lequel avait facilité l’arrivée de Qatar Sports Investments à la tête du PSG, et appuyé la candidature du pays pour l’organisation de la coupe du monde 2022. L’arrivée de François Hollande au pouvoir a pu changer la donne et instiller une certaine tension entre les deux pays. Tension qu’on a pu retrouver pendant quelques temps alors que le Qatar était soupçonné d’aider les jihadistes du Nord-Mali, que la France combattait.
Ce nouvel investissement peut être perçu comme une volonté des Qataris de s’installer sur la durée dans notre pays. C’est un signe d’apaisement, une communication très claire pour dire : « la France est un allié ».
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