Par La Rando

Des chars Leopard pour le Qatar

Le Qatar envisage d’acheter 118 chars Leopard de plus à l’Allemagne avant la Coupe du monde de football de 2022, ainsi que 16 obusiers blindés, rapporte le Bild am Sonntag, citant des sources gouvernementales qataries.

Ces chars sont construits par Krauss-Maffei et par Rheinmetall. Personne n’était disponible chez ces entreprises dans l’immédiat, ni au Qatar. Lire la suite sur LesEchos…

Par La Rando

Nouvel émir au Qatar, quels changements ?

Pour la première fois dans l’histoire du Qatar, un émir a choisi d’abdiquer au profit de son fils. Que signifie ce geste politique ? Succession logique ou réponse à un besoin de changement ?

Cette transition a été pensée depuis plusieurs années. Lors d’un entretien avec le Financial Time en 2010, l’émir du Qatar avait affirmé qu’il préparait déjà son fils à la succession. C’est donc une décision symbolique mais attendue. Prince héritier depuis une dizaine d’années, Cheikh Tamim savait que son heure était proche.
Un certain nombre de raisons explique le passage à l’acte de l’émir : d’une part, Cheikh Hamad n’est plus très jeune et il fait aujourd’hui face à quelques problèmes de santé. D’autre part, il a cette sensation d’avoir mené le pays au terme de la mission qu’il s’était fixée.
La date de son abdication n’a pas été choisie par hasard : il y a 18 ans, quasiment jour pour jour, l’émir prenait les commandes du pays (le 27 juin 1995) en destituant son père. Il délègue aujourd’hui le pouvoir à son fils avec un bilan exceptionnel. Lorsqu’il prend le pouvoir en 1995, le Qatar est une pétromonarchie insignifiante. Aujourd’hui, l’émirat a émergé comme un acteur majeur du rapport de force régional et international. Une mutation du pays et une ascension considérable sur la sphère internationale ont été opérées sous son règne et ce, dans tous les domaines : médias, sport, économie, diplomatie, culture, etc. Malgré cette mise sur orbite impressionnante, l’envers du décor n’est pas très reluisant : la condition des ouvriers asiatiques est toujours aussi lamentable, les libertés publiques sont encore bafouées (poète) et les élections législatives qui avaient été repoussées n’ont à ce jour pas encore été programmées.

A peine arrivé au pouvoir, l’émir Tamim s’est séparé d’une figure historique, proche de son père, le Cheikh Ben Jassem, qui occupait le double poste de Premier ministre et de Ministre des Affaires étrangères, et a constitué un nouveau gouvernement. Doit-on s’attendre à des changements en termes de politique intérieure et extérieure ?

Même s’il y a eu cette transition d’une porte symbolique considérable à la tête du pouvoir qatari, les fondamentaux de la diplomatie du pays ne vont pas être modifiés. En effet, Cheikh Tamim participait déjà aux prises de décision ces dernières années. Il fait partie de ceux qui ont façonné la politique du Qatar, on ne peut donc attendre qu’une continuité par rapport à ce qui a été fait précédemment. On peut prévoir un changement de forme ou de style mais sur le fond, la politique restera globalement la même. Sur le terrain diplomatique, le Qatar sera toujours aussi présent, notamment en ce qui concerne la Syrie où le chaos a malheureusement pris une tournure confessionnelle opposant le camp sunnite à l’arc chiite. Après un léger moment de flottement, les Qataris ont fait le choix de soutenir la rébellion médiatiquement, politiquement, puis militairement et ce, afin d’accompagner le mouvement populaire en butte à un gouvernement autoritaire et illégitime. Dans la même lignée, le Qatar conservera sa politique de soutien aux processus de transition démocratique en Egypte comme en Tunisie.
La politique qatarie est sous-tendue par un certain nombre de lignes de force et de principes indépendants de l’alternance de tel ou tel émir à la tête du pouvoir. Enfin, même si Cheikh Hamad quitte de manière officielle la tête de l’Etat, il aura certainement un rôle à jouer en coulisses et pourra conseiller son fils et l’accompagner dans les premières années de l’exercice du pouvoir.

Lire la suite sur mon Blog Le Monde…

Par La Rando

Mendicité durant le mois de Ramadan au Qatar

DOHA: les organismes d’application de la loi prévoient une répression massive contre les mendiants pendant le mois sacré du ramadan qui commence la semaine prochaine au Qatar et dans le reste du monde.
La force de sécurité intérieure (Lekhwiya) sera en coordination étroite avec le Département des enquêtes criminelles (CID) et le Département de lutte contre la mendicité du ministère de l’Intérieur pour lutter contre la mendicité, qui devient une menace pendant le mois de jeûne.
Certains faux mendiants profitent de la générosité des gens et cherchent l’aumône qui est proscrit en espèces riche Qatar où les sociétés de bienfaisance sont autorisés à fournir des secours aux nécessiteux.
Quelque 50 véhicules de patrouille de Lekhwiya seront sur la route pendant le mois sacré de tous les jours. «Nous allons coordonner avec les différents départements de l’Intérieur afin de maintenir la loi et l’ordre pendant le Ramadan », a déclaré Ali Salman.

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Oryx Land Qatar 2022

Barwa Qatar commence à préparer pour «Oryx Land » ou « Maha Land » qui devraient être prêt en 2022 pour la Coupe du Monde 2022, je vous laisse avec cette vidéo de ce nouveau chef-d’œuvre incroyable. Créé en 2009, le nom «Oryx Land» découle d’un animal du désert important qu’il fait désormais parti du patrimoine de l’histoire et de la culture du golfe Persique, et plus particulièrement au Qatar. Oryx land a été fondé suite à la demande croissante pour les services commerciaux généraux de haute qualité au Qatar.

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Sheikh Tamim Hamad bin Khalifa Al Thani

Qui est le fils de l’émir du Qatar? Beaucoup se demandent quel est son parcours par exemple. Est il trop jeune? L’émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, a confimé mardi qu’il cédait le pouvoir à son fils, le prince héritier Tamim. Affirmant vouloir passer le flambeau à la nouvelle génération, une première dans le monde arabe et dans ce riche État du Golfe au rôle diplomatique clé.Bonjourqatar vous présente son parcours.
Date de naissance
• 3 juin 1980
Qualifications
• Il a obtenu un certificat d’études secondaires de l’école de Sherborne au Royaume-Uni.
• Par la suite, il est allé à l’Académie royale militaire de Sandhurst, d’où il est diplômé.
Héritier désigné, le 5 Août, 2003
Reçu des promesses d’allégeance comme émir du Qatar, le 25 Juin 2013.
Il a occupé un certain nombre de messages:
• Président du Conseil suprême pour l’environnement et les réserves naturelles
• Président du Conseil supérieur de l’enseignement
• Président du Conseil supérieur de l’information et de la technologie de la communication
• Président du conseil d’administration des Travaux publics Administration et la planification urbaine et Development Authority
• Président du conseil d’administration de Qatar Investment Authority
• Président du Conseil d’administration de l’Université du Qatar
• Chef du Comité olympique du Qatar
• Vice-commandant en chef des forces armées du Qatar
• Vice-président du Conseil de la famille régnante
• Vice-président du Conseil suprême pour les affaires économiques et d’investissement
• Vice-président du Haut Comité pour la Coordination et suivi
• Membre du Comité International Olympique
• Chef du comité de candidature olympique de Doha 2020
• Il a également présidé le Comité d’organisation des Jeux asiatiques de Doha en 2006
Les entités sous l’émir
• Village culturel (Katara)
• Secrétariat général pour la planification du développement
• Qatar Autorité de la Statistique
• Aspire Sports Academy
Prix ​​et distinctions
• Grand Officier de la Légion d’honneur (France, 2010)
• Award of Merit OCA (Conseil olympique d’Asie, 2007)
• Meilleure Personnalité Sport dans le monde arabe en 2006 (par vote populaire dans le journal égyptien Al Ahram)
• Sheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan Médaille (Emirats Arabes Unis, 2004)
• Cheikh Essa bin Salman Al Khalifa Medal (Royaume de Bahreïn, 2004)

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L’émir du Qatar quitte le pouvoir

Ce n’est plus qu’une question d’heures. L’émir du Qatar, Cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, quitte le pouvoir pour le transmettre à son fils, Cheikh Tamim. Comme un prélude à l’annonce de cette passation, l’émir a réuni aujourd’hui les membres de la famille royale ainsi que ceux que l’on nomme « ahl al hali wal ‘aqd ». Ce derniers, qui représentent les principaux dignitaires de l’Etat et les membres importants des grandes tribus, sont uniquement convoqués lors des grandes décisions qui engagent l’avenir du pays. La tenue de cette assemblée marque la volonté réelle de l’émir d’engager son pays dans une réforme politique qui va bousculer le rapport de force au sein de la dynastie Al Thani.

Les raisons de cette passation sont nombreuses. Dans une analyse précédente, nous avons mentionné les ressorts internes et extérieurs de cette décision qui constitue un acte politique historique pour la région. Même si elle ne change pas les fondamentaux d’un régime autoritaire, la portée du désistement de plein gré d’un monarque du Golfe représente un geste à la portée symbolique non négligeable. Même si ce changement à la tête de l’Etat répond à des logiques de pouvoir aux ramifications tant sur le plan interne qu’au niveau moyen-oriental, il est important de ne pas éluder les signaux envoyés à l’adresse de trois niveaux. Au plan interne, c’est une manière de renforcer le prestige et la légitimité d’une dynastie qui tourne le dos à l’habitude des coups d’Etat et fait preuve d’audace dans la transmission du pouvoir. Au niveau régional, cet acte sera perçu comme une énième occasion de démarquer le Qatar de ses voisins en mettant en évidence la rigidité des autres régimes. Au niveau international, l’objectif est de susciter un nouveau « coup » pour recueillir les dividendes symboliques d’une passation de pouvoir qui remettra le Qatar au centre de l’actualité médiatique.

Interrogé par la chaîne Al Jazeera, le docteur Mohamed Al Mesfer, professeur de sciences politiques à l’Université du Qatar, confirme ce changement imminent de pouvoir et ajoute que cette décision est le fruit d’une réflexion menée de longue date par Cheikh Hamad. Il ajoute que la politique du Qatar, tant au niveau interne qu’à l’international, ne devrait pas changer d’autant que Cheikh Tamim, le futur émir, a pris une place grandissante ces dernières années dans la gestion des grands dossiers. Ce changement vient entériner une évolution du rapport de forces au sein de la famille royale qui consacre aujourd’hui la mise sur orbite d’un prince héritier, rompu depuis plus de dix ans à l’exercice du pouvoir, et qui voit désormais son heure arriver.

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Le Président français au Qatar

François Hollande effectue un voyage express au Qatar ce week-end, avant de faire un stop en Jordanie. Le volet économique occupera le gros du voyage, même si le dossier syrien est également au menu. « La méthode du président n’est pas celle d’un VRP », a tenu à faire savoir l’Elysée avant le départ de François Hollande pour le Qatar ce week-end. Le chef de l’Etat ne se rend toutefois pas dans le pays le plus riche du monde sans quelques arrières-pensées commerciales. Projet de métro à Doha pour lequel Vinci est sur les rangs, celui de tramway de la nouvelle ville de Lusai sur lequel lorgne Alstom… Et surtout négociations sur le Rafale de Dassault, l’émirat voulant renouveler sa flotte d’avions de chasse. L’escapade qatarienne de François Hollande, qui emmène une grosse délégation de grands patrons dans ses bagages, aura une forte tonalité économique. Dimanche, il doit d’ailleurs participer à un forum économique à Doha.

Convergences de vue

S’il n’entretient pas la même proximité que son prédécesseur avec le pays (Nicolas Sarkozy s’y est encore rendu il y a deux semaines pour une visite privée), et même s’il a donné la primeur de ses visites dans le Golfe à l’Arabie Saoudite et aux Emirats arabes unis, François Hollande inscrit tout de même sa diplomatie dans une forme de continuité. Il s’agit de consolider une relation qualifiée d' »ancienne et forte » entre Paris et le richissime émirat, qui a multiplié ces dernières années les investissements en France, des grands hôtels au PSG. Le président français va ainsi s’employer à « apaiser » les crispations sur cet appétit qatarien pour l’Hexagone (il attirerait 10% des investissements qatariens à l’étranger). Lors de sa visite devrait en effet être finalisé un fonds commun franco-qatari destiné à financer des PME, en lieu et place du projet initial polémique du Qatar, qui en 2011 prévoyait d’investir 50 millions d’euros dans les banlieues françaises. Lire la suite sur Metronews.fr…

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Qatar: 35.000 nouveaux logements d’ici 2015

DOHA: Le  marché de l’immobilier au Qatar se porte bien et ce dernier devrait fournir 35.000 nouvelles unités résidentielles en 2015 et 160 tours en 2021, selon un rapport publié par Al Asmakh Real Estate Company. Le Qatar connaît une croissance démographique de quatre pour cent par an entre 2011 et 2014, alors que 3000 unités résidentielles ont été ajoutés en 2011 , le pays rajoutera 18.000 unités d’habitation en 2012 pour répondre à la demande croissante du marché local, selon Al Sharq. Environ 11.000 unités résidentielles seront ajoutées cette année 2013. Malgré d’énormes livraisons de logements, le loyer est stable car la demande continue d’augmenter en raison de la croissance démographique du pays. Le loyer d’un appartement à Doha se situe entre QR8,000 et QR19,000 par mois, indique le rapport. Le loyer d’un appartement meublé au Pearl-Qatar et West Bay atteint QR15, 000. Cependant, les appartements dans ces domaines sont vendus à partir de QR14 à QR22 000 par mètre carré.
Des appartements entièrement meublés dans les zones commerciales comme Al Saad, Ben Mahmoud, rue Airport, Al Muntaza et Al Mansourah sont donnés en location pour QR5, 000 pour un appartement d’une chambre, QR7, 500 pour deux chambres, et QR9, 000 pour trois chambres. Le taux d’occupation des unités résidentielles a grimpé de 90 pour cent en raison d’un afflux massif de main-d’œuvre étrangère pour le développement des infrastructures du pays. La location de villas simple à trois chambres se situe entre QR11, QR18 000 par mois. Toutefois, la location de villas principales comprenant trois à cinq chambres à coucher dans des complexes résidentiels sont entre QR18, QR23 000.
La location de villas a augmenté un peu en 2012 et il est également prévu d’augmenter cette année puisque le taux d’occupation a grimpé à 90 pour cent, indique le rapport. La location de locaux pour bureaux dans les centres commerciaux varie entre QR150 à QR250 par mètre carré. Les espaces de bureau dans les tours de West Bay sont disponibles pour QR150 par mètre carré, et il varie entre QR100 à QR130 à Doha.

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Comment faire du business au Qatar

Le Qatar vient d’annoncer la visite officielle du président François Hollande les 23 et 24 juin prochain à Doha. Pour Pierre-Marie Relecom, président fondateur du cabinet Relecom & Partners, c’est l’occasion pour accorder un important soutien institutionnel à la conclusion de contrats. Entre la coupe du monde de football 2022, et une pénurie d’eau prévue pour 2014, les opportunités commerciales ne manquent pas au Qatar pour les entrepreneurs français. Voici, quelques conseils pour qu’ils sachent en tirer profit…

Préambule: le Qatar est un petit bout de désert à la frontière de l’Arabie et proche des Emirats, qui recèle aujourd’hui quelques-unes des plus grandes réserves de gaz LNG au monde, qu’il partage avec son voisin d’en face, l’Iran… Le Qatar compte 1 900 000 habitants, 200 000 qataris, et réellement une centaine qui tiennent les rênes du pays.

Ceux-là ont étudié, pour la plupart, en Angleterre ou aux Etats-Unis, et sont pour certains des proches du Prince héritier. Pour autant, ils ne sont pas tous issus d’une grande famille. Ainsi, si l’on retrouve le Sheikh Farhad al Attyiah à la tête de l’important Qatar National Food Security Program, l’on peut aussi citer le très respecté ingénieur Ghanim Al Ibrahim qui a été le porteur du projet Railways, Assad El Thawadi à la tête du comité Qatar 2022 ou Nasser Al-Khelaïfi, ancien joueur de tennis et désormais figure incontournable au Qatar, puisqu’il est directeur général d’Al-Jazeera Sport et Président du Paris Saint-Germain. Et c’est là tout le paradoxe de cette jeune garde: elle comprend à la fois des jeunes travailleurs acharnés et volontaires, et d’autres, plus oisifs.

Jeunesse gâtée
Car, jusqu’à récemment, les qataris étaient un peuple de bédouins, c’est-à-dire que toutes les personnes qui ont aujourd’hui plus de 45-50 ans, ont vécu sous des tentes sans la climatiSation, connaissent la vie dure et n’ont pas eu accès à une éducation poussée. S’ils n’ont pas les connaissances techniques, ces qataris sont par contre doués d’une intelligence intuitive remarquable qui nous est peu connue.Fort de ce constat, l’Emir a voulu mettre à profit l’argent du gaz naturel liquéfié pour permettre à son peuple de rentrer de plein pied dans le 21è siècle. Le revers de la médaille est une jeune génération qui a tout ce qu’elle souhaite sans effort comme ses parents. Cette oisiveté a plusieurs conséquences sociétales et économiques : à la fois la perte de l’intelligence intuitive mais également l’apparition de l’obésité ! A tel point que l’Etat du Qatar va jusqu’à payer les jeunes qataris pour leur faire pratiquer du sport.

Le monde entier se prosterne devant ce petit émirat, espérant pouvoir profiter de sa manne gazière qui coulera à flot pour encore une bonne trentaine d’années. Une fois que l’on a ces quelques éléments en tête, peut-être est-il plus simple de comprendre et d’appréhender le business avec les Qataris.

Jeux de cour, et milliards à investir
Pour ceux qui désirent en savoir plus avant de s’y rendre, je les invite vivement à lire le livre de Georges Malbrunot et Christian Chesnot « Qatar : les secrets du coffre-fort ». Cela fait plus de 4 ans que j’y passe 10 jours par mois,  j’ai beaucoup lu sur le sujet. Mais la retranscription qu’ils font du Qatar est le plus justement dite dans leur livre. Un pays ambigu et complexe où l’apparence officielle dissimule toujours des jeux de cour et d’équilibre entre les clans…

Toutefois, on parle beaucoup des investissements qataris en France mais qu’en est-il des Français au Qatar ? La situation économique dans l’UE est-elle à ce point bien portante que l’on peut faire l’impasse sur des pays à fort potentiels, comme le Qatar ou l’Arabie Saoudite ? J’ai le privilège d’accompagner quelques groupes dans leur développement à l’International et, à part le Qatar, je ne connais que l’Arabie Saoudite qui supplante ce petit émirat en termes d’opportunités de business. Ils ont entre USD 50 et 70 milliards à investir tous les ans qui sont autofinancés par le LNG. Aussi, il me semble des plus à-propos que l’on s’y intéresse d’un peu plus près et que nos entreprises françaises aient le soutien qu’elles méritent. Nos concurrents, qu’ils proviennent d’Asie, d’Europe, d’Amériques (Nord et Sud) l’ont bien intégré et les Etats soutiennent efficacement et durablement leurs entreprises en envoyant, en sus de la représentation locale, des délégations régulières de ministres ou premier ministres de premier plan.

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Foot: un marocain désigné meilleur entraineur au Qatar

L’entraineur marocain du club qatari d’Al Sadd, Houcine Ammouta, s’est vu décerner ce dimanche le prix du meilleur entraineur au Qatar pour la saison 2012/2013. Le coach marocain a signé une saison exceptionnelle, avec un titre de champion du Qatar et deux finales de coupe, notamment la coupe du prince et la coupe du prince héritier.
A cet effet, Ammouta a déclaré qu’il était content de recevoir ce prix après une longue saison: « Ce prix est le résultat d’un grand effort de tous les composants du club et du soutien inconditionnel du staff administratif et technique, sans oublier le staff médical. Je tiens aussi à saluer les joueurs qui ont bien rempli leur mission cette saison. » a-t-il déclaré avant de rajouter :
« Nous avons signé une belle saison et les résultats obtenus ne sont pas dues au hasard, mais à un travail organisé et structuré et nous nous sommes bien préparés pour pouvoir atteindre le podium »
Source: mountakhab