Par La Rando

Qatar Charity en Tunisie

Lors d’une cérémonie organisée lundi 15 avril à Tunis, le directeur exécutif de l’association «Qatar Charity», Youssef Ben Ahmed El Kourari, a remis les clés de 26 logements à des familles démunies, et ce dans le cadre d’un projet de construction et d’aménagement de 250 maisons sur tout le territoire tunisien pour un coût global de 1,370 million de dollars.
M. El Kourari a également remis à l’occasion de la cérémonie, qui a enregistré la présence du ministre de l’Agriculture, Mohamed Ben Salem, et Adnene Manser, porte-parole de la présidence, les contrats de vente des 26 maisons situées à Fouchana dans le gouvernorat de Ben Arous. Lire la suite sur webmanagercenter…

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Stratégie de développement du Qatar

Le Qatar ou la stratégie du plus faible – entretien avec le Journal de Saint-Denis (93)
Le JSD : Quel est le fondement de la stratégie de développement du Qatar ?
Nabil Ennasri :Il faut replacer le Qatar dans sa situation géopolitique, celle d’un petit pays coincé entre deux voisins intimidants : l’Iran et l’Arabie Saoudite. Les dirigeants qataris pensent leur place à travers ce prisme d’une vulnérabilité excessive, doublée du fait que le Qatar, assis sur la troisième réserve mondiale de gaz, suscite les convoitises. L’exemple du Koweït, envahi par l’armée irakienne, en 1990, a été un traumatisme majeur. Cette conscience aiguë de sa fragilité pousse le Qatar à s’assurer du parapluie militaire américain. Mais la force pure leur étant interdite, ils misent sur le « soft power » : s’afficher pour exister. Cela passe par Al Jazeera, qui leur a conféré une audience planétaire en quelques années. Cela se décline aussi dans les domaines sportifs, culturels, religieux et diplomatiques. Le sport notamment est considéré comme un vecteur de rayonnement majeur qui doit situer positivement le Qatar sur la carte.
Le JSD : Ce développement ne va pas sans un certain nombre de problèmes…
Nabil Ennasri :Il y a deux contradictions majeures. D’abord, la condition dramatique des ouvriers étrangers. Ce sont eux qui ont fait le Qatar, mais ils vivent une situation – économique, juridique – accablante. Le Qatar ne pourra pas se prévaloir d’être le modèle qu’il veut être pour les autres pays du Golfe s’il n’améliore pas de manière substantielle la condition de ces travailleurs. Au-delà du coût social, le prix écologique est exorbitant. Récemment encore, les Qataris étaient les plus gros pollueurs de la planète par habitant. Depuis quelques années, une politique publique de réduction des coûts environnementaux a permis de limiter l’empreinte écologique. On est très loin du compte, même si la tendance est à la baisse.
Lire la suite sur mon Blog Le Monde…

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Festival africain à Katara (Qatar)

DOHA: La place de  Katara à Doha s’est réveillée avec le tout premier Festival africain de la diversité culturelle réunissant 15 pays africains. Arts africains équitable, des expositions d’art, des ateliers de musique, de la peinture urbaine, spectacles en plein air, des concerts, des films, et de la nourriture en vedette le premier jour du festival qui durera plus d’une semaine.
Organisé par Katara, en coopération avec 15 ambassades africaines ici, le festival qui dure sept jours se déroule en alignement avec la Qatar National Vision 2013 et vise à promouvoir le respect mutuel entre les peuples et les différentes cultures.
De nombreux qataris curieux apprécient la culture africaine selon l’un des responsable de cet évènement ( Dr. Khalid Bin Ibrahim Al Sulaiti). D’autres événements auront lieu durant les prochains jours à venir avec notamment des concerts en plein air afin de faire découvrir les musiciens africains dont Johnny Clegg, Manu Dibango et Cheikh Tidiane Seck.

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Le fonds du Qatar (QIA) en action

Enhardi par ses succès, le fonds qatari, ou Qatar Investment Authority (QIA), multiplie les initiatives. Une première pour un fonds souverain, il va coter à la Bourse de Doha un de ses véhicules d’investissement, « Doha global investment », un fonds dont l’objectif est d’investir à l’étranger. Un moyen de rapprocher les Qataris – les seuls à pouvoir y souscrire -de leur fonds souverain. Les étrangers ne pourront acheter des actions qu’une fois l’introduction réalisée. Cette entité sera dotée de 12 milliards de dollars et détenue à 50% par le fonds souverain, mais elle mènera une politique d’investissement autonome. Elle assure un dividende de 5% à ses actionnaires la première année. Le pays cherche par ailleurs à augmenter sa notation, actuellement la même (AA) que celle des Etats-Unis. Lire la suite sur LesEchos.fr…
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Les investissements du Qatar en Suisse

Tandis que la France, l’Espagne et d’autres pays européens succombent aux pétrodollars qataris, les investissements de la monarchie du golfe en Suisse se concentrent sur des hôtels de luxe et des grands groupes financiers. En Suisse, les investissements qataris ont pris deux directions: les palaces et les grands groupes financiers. En plus d’avoirs déposés dans des établissements bancaires, estimés à 2 milliards de francs en 2011, selon un article paru dans L’Hebdo, dont 1,2 milliard pour la seule clientèle privée. Dans quelques heures, le FC Barcelone reçoit le le Paris-Saint-Germain en Ligue des Champions de football. Sur le torse des Catalans, un sponsor qatari (Qatar Foundation) a brisé la tradition de virginité du maillot. Lire la suite sur TDG.ch

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Ooredoo Qatar fait un don humanitaire

Le don d’Ooredoo a été remis lors d’une cérémonie récemment à Doha à une fondation humanitaire (Foundation for Humanitarian Services RAF). Cette fondation exerce depuis 2009, un soutien financier et psychologique pour les ressortissants qui cherchent à se marier et de fonder une famille au Qatar.
Ces dernières années, le Qatar a pris des mesures pour soutenir la natalité familles, dans le cadre de Qatar National Vision 2030. Selon une étude, cette dernière a montré que le financement pour les mariages et le maintien des familles était une cause de préoccupation pour les jeunes et leurs familles.
Un don de 200.000 QR a été transmis à cette fondation par Ooredoo Qatar afin de mieux aider ces jeunes préoccupés par le mariage en leur accordant des biens matériels, un soutien aux familles, …
 

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Flash mob au Qatar

Une mobilisation éclair s’est déroulée à Doha, au centre commercial City Center. Doha a connu un rassemblement d’un groupe de personnes dans un lieu public pour y effectuer des actions convenues d’avance, avant de se disperser rapidement. Découvrez la vidéo.

Flashmob @ LandMark mall, Doha – Qatar

Les enfants sont dans la place 😉

Par La Rando

Iñaki Urdangarin au Qatar

Le gendre du roi d’Espagne, Iñaki Urdangarin, mis en cause dans une enquête judiciaire pour corruption, aurait reçu une offre pour travailler au Qatar dans le milieu du handball, sport dont il est médaillé olympique, selon des médias espagnols.
L’ancien champion devenu homme d’affaires, qui est soupçonné d’avoir détourné des millions d’euros d’argent public, aurait reçu une offre pour accompagner l’actuel entraîneur de l’équipe espagnole de handball si ce dernier accepte d’entraîner l’équipe du Qatar, affirmaient lundi les journaux La Vanguardia, ABC et la radio Cadena Cope.
Valerio Rivera, qui a mené l’équipe d’Espagne jusqu’au titre de championne du monde en janvier, aurait reçu une offre accompagnée d’un salaire annuel de 800.000 euros de la part du Qatar, selon ABC.
« Iñaki Urdangarin a accepté de rejoindre Valero Rivera pour travailler avec lui pour la sélection de handball du Qatar, si finalement l’entraîneur titré accepte l’offre qu’il a sur la table », affirme La Vanguardia.
La télévision publique catalane, TV3, région où réside Iñaki Urdangarin, 45 ans, et son épouse l’infante Cristina, 47 ans, également mise en cause par le juge dans son enquête pour corruption depuis le 3 avril, avançait elle lundi une autre version, pointant également vers le Qatar. Lire la suite sur El Watan…

Par La Rando

Rachat du magasin Printemps: Soft power qatari

Après le PSG, David Beckham et Zlatan Ibrahimovic, les différents palaces, le rachat du Printemps par les investisseurs en provenance du Qatar s’inscrit en droite ligne de ce soft power qui dicte ses actions à l’international, et notamment en France. Il repose sur trois dimensions :
1. Dimension symbolique
Ce rachat à 100% du Printemps relève d’une stratégie de communication qui voit le Qatar tout faire pour que son nom soit accolé à des endroits, des institutions, des images prestigieuses. Le Printemps, c’est une enseigne de marque qui symbolise le luxe propre à Paris, la capitale de la mode, des arts et de la culture.
La « ville-lumière » dispose d’une charge symbolique unique au monde et c’est un atout qui pèse aux yeux des investisseurs du Qatar. D’autres cités occidentales sont dans le viseur.
À Londres, les investissements dans l’emblématique magasin Harrod’s ou le financement de la construction de la tour Shard (la plus haute d’Europe) s’inscrivent dans la même optique. Adepte de la diplomatie d’influence, les autorités qataries sont friands d’investissements à forte rentabilité symbolique afin d’en capter les dividendes médiatiques.
2. Dimension diplomatique
Cela fait maintenant plusieurs années que le Qatar investit régulièrement en France. Pour eux, plus qu’une cible, c’est une destination privilégiée. Cela tient essentiellement à l’influence dont dispose encore la France dans le concert des nations. Membre permanent du conseil de sécurité, interlocuteur privilégié au Moyen-Orient… La voix de la France pèse encore dans les relations internationales.
Le Qatar, qui a une conscience aigue de ses faiblesses intrinsèques, a besoin de soutiens de poids. Parmi ceux-ci, on trouve naturellement les Etats-Unis où l’émir doit se rendre en visite officielle dans deux semaines. En dehors de Washington, les capitales qui comptent sont Londres et Paris.
L’investissement dans l’immobilier, les palaces ou les grandes enseignes de marque sont ainsi perçues comme le support de liens économiques et diplomatiques qui permettront de densifier une relation stratégique. La diplomatie d’influence du Qatar se déploie ainsi sur plusieurs échelles : la pluralité des liens tissés permet d’installer des intérêts combinés.
Avec la France, l’histoire avait commencé sous Nicolas Sarkozy, lequel avait facilité l’arrivée de Qatar Sports Investments à la tête du PSG, et appuyé la candidature du pays pour l’organisation de la coupe du monde 2022. L’arrivée de François Hollande au pouvoir a pu changer la donne et instiller une certaine tension entre les deux pays. Tension qu’on a pu retrouver pendant quelques temps alors que le Qatar était soupçonné d’aider les jihadistes du Nord-Mali, que la France combattait.
Ce nouvel investissement peut être perçu comme une volonté des Qataris de s’installer sur la durée dans notre pays. C’est un signe d’apaisement, une communication très claire pour dire : « la France est un allié ».
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Par La Rando

Les relations entre la France et le Qatar

La France et le Qatar ont établi de longue date des relations étroites dans les domaines politique, culturel et économique. Mehdi Lazar décrypte la complexe relation franco-qatarie. Cette relation s’inscrit également dans le cadre des relations énergétiques, du déplacement du centre de gravité militaire et économique du monde vers le Moyen-Orient et l’Asie, et de la bonne entente entre les dirigeants des deux pays.
Outre les échanges commerciaux qui évoluent depuis quelques années autour de un à deux milliards d’euros par an, la soixantaine de filiales françaises présentes au Qatar sont très actives, notamment autour des nombreux grands contrats inhérents au développement rapide du pays. De même, la France est devenue l’une des destinations de choix des fonds d’investissements qataris, avec plusieurs prises de participation dans les grands groupes, des investissements dans l’immobilier, le sport et la communication.Lire la suite sur Atlantico.fr