Deux projets sont visés par ce don, le premier pour un montant de 48,8 millions de $, et 87,2 millions pour le deuxième.
Le Maroc a obtenu aujourd’hui un don qatari de 136 millions de dollars. Objectif : financer deux projets agricoles, le premier portant sur l’irrigation du périmètre Asjen (province d’Ouezzane) et le second concerne l’organisation de la transhumance dans les parcours saharien et semi-saharien dans les régions de Sous Massa Draâ et Guelmim Es-Smara.
Le premier projet, d’un montant de 61 millions USD dont 48,8 millions financé par le don qatari, permettra notamment, selon Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime, la valorisation des ressources en eau d’irrigation mobilisées par le barrage Oued El Makhazen avec l’extension de l’irrigation sur une superficie de 2 500 hectares. «Le projet va permettre également l’accroissement des revenus des petits et moyens agriculteurs, sachant que l’amélioration du revenu agricole net par hectare sera de 613%, allant de 5 160 à 36 800 DH/ha», a précisé le ministre.
S’agissant du deuxième projet, d’un montant de 109 millions de dollars dont 87,2 millions de dollars financé par le don qatari, il vise à aménager et équiper des parcours de 16 millions ha, à travers la création de réserves pastorales (création de 13 millions d’unités pastorales supplémentaires par an). Il permettra ainsi la création de 300 postes d’emploi directs et permanents et de 1,2 million de postes de travail au niveau des chantiers programmés, sans oublier l’amélioration des conditions d’accès aux services sanitaires au profit de 3.000 familles.
Le projet contribuera donc à l’amélioration des conditions de vie de plus de 100.000 habitants des familles des éleveurs, le renforcement des capacités des populations au niveau de toutes les filières de production et les activités génératrices de revenu et le désenclavement des zones touchées par le programme à travers la création de chemins pastoraux sur une distance de 400 km.
Notons que, Ali Sheriff Al Emadi, ministre qatari des Finances a précisé à cette occasion que ce don ne s’inscrit pas dans le cadre de la contribution du Qatar (1,25 million USD) au don du Conseil de la coopération du Golfe au Maroc (5 milliards de dollars sur cinq ans).
Ce salon ouvert au sein du nouvel aéroport Hamad International de Doha est ouvert aux passagers voyageant en première ou en Business sur les vols de Qatar Airways ou d’une compagnie membre de oneworld.
Le salon s’étend sur 10000 M2 et peut accueillir jusqu’à 1000 passagers!
Le salon comprend plusieurs zones de restauration, des espaces pour les familles, des zones de jeux, fumeurs et des douches.
Les voyageurs peuvent également profiter d’un Business Center avec une zone pour les réunions, des stations de travail, des imprimantes et des scanners.«Qatar Airways est connue depuis des années pour son terminal premium de Doha.
Nous sommes très heureux d’offrir à nos passagers notre nouveau salon premium, qui va définir de nouveaux standards dans l’industrie et dépassera les exigences de nos passagers» a déclaré Akbar AL Baker le CEO de Qatar Airways.
Qatar Airways a déménagé au nouvel aéroport d’Hamad International en mai 2014.
Toutes les familles palestiniennes dont la maison a été détruite se verront verser par le Qatar une aide de 1.000 dollars, selon des informations publiées dimanche par le journal israélien The Jerusalem Post. Depuis le début de l’opération “Bordure Protectrice”, 797 habitations auraient subi des dommages suite aux bombardements dans la bande de Gaza.
D’après les informations du Jerusalem Post, le Qatar souhaiterait venir en aide aux familles palestiniennes, dont la maison a été détruite dans les bombardements du conflit opposant Gaza à Israël, en leur versant 1.000 dollars, soit 750 euros environ, par habitation.
Omar al-Dari, le vice-ministre palestinien des Affaires sociales, a indiqué à l’agence de presse Safa que “le comité du gouvernement de Gaza supervisera la distribution de cette aide et que le Ministère des Affaires sociales distribuera l’argent à travers ses succursales dans la bande de Gaza ».
D’après le quotidien israélien, le Qatar aurait versé 5 millions de dollars à la Palestine au début du conflit.
Depuis le début de l’opération “Bordure Protectrice” le 8 juillet dernier, 797 maisons palestiniennes auraient été détruites par les forces israéliennes.
La compagnie aérienne Qatar Airways passera cet automne à un rythme quotidien sur la route reliant Doha à Bucarest et Sofia ainsi que sur celle vers l’aéroport d’Istanbul-Sabiha Gökcen, et ajoutera des fréquences vers Téhéran, Mascate et Islamabad.
A partir du 1er octobre 2014, la compagnie nationale qatarie passera de cinq à sept vols par semaine entre sa base à Doha-Hamad International et les capitales de Roumanie et de Bulgarie, toujours opérés en Airbus A320 pouvant accueillir 12 passagers en classe Affaires et 132 en Economie. Les vols décolleront à 8h10 pour arriver à 13h05 à Bucarest, en rpartir à 14h15 et se poser à 15h15. Les vols retour quitteront Sofia à 16h30 pour arriver 55 minutes plus tard à Bucarest, et en repartiront à 18h25 pour atterrir à 22h55. Qatar Airways est sans concurrence à Sofia (Air Bulgaria ne dessert pas le Moyen-Orient), tandis qu’à Bucarest elle fait face indirectement à Tarom et les low cost Wizz Air et Flydubai qui relient la ville à Dubaï. Ces deux aéroports sont desservis par Qatar Airways depuis 2011.
La compagnie aérienne Qatar Airways inaugurera en décembre une nouvelle liaison entre Doha et Asmara, une destination au fort potentiel mais sous-exploitée.
A partir du 4 décembre 2014, la compagnie nationale qatarie proposera deux vols par semaine entre l’aéroport de Doha-Hamad International et la capitale de l’Erythrée, opérés en Airbus A320 pouvant accueillir 12 passagers en classe Affaires et 132 en Economie. Les vols du jeudi et samedi décolleront à 20h30 pour arriver à 23h59, et repartiront d’Asmara vendredi et dimanche à 2h45 pour atterrir à 6h05. Pas de concurrence sur cette route pour Qatar Airways, l’aéroport d’Asmara n’accueillant que les vols d’Egyptair, Turkish Airlines à partir de mardi prochain, Nova Airways, Sudan Airways ou Yemenia, plus ceux de la compagnie nationale locale Nasair Eritrea. Lire la suite sur air-journal.fr…
L’InterContinental Hotels Group (IHG) met en vente son hôtel de prestige à Paris et pourrait bien être racheté par la Qatar. Le groupe a annoncé ce jeudi être en négociations exclusives avec Constellation, une société qatarie, pour une vente de l’InterContinental estimée à 330 millions d’euros.
Dans le cadre d’une offre contraignante formulée par Constellation, le groupe britannique resterait le gestionnaire de l’hôtel de prestige pendant au moins trente ans, avec des possibilités d’extension jusqu’à soixante ans.
De son côté, Constellation s’est déjà engagé à investir 60 millions d’euros dans la rénovation de l’hôtel de 470 chambres, dont 70 suites, proche de l’opéra de Paris.
L’établissement aux chambres décorées dans le style Napoléon III a ouvert en 1862 et est exploité sous la marque InterContinental depuis 1982. Le groupe possède également le restaurant de la Verrière et le célèbre Café de la Paix. InterContinental, qui essaie d’avoir moins d’actifs dans son portefeuille, avait déjà vendu à Constellation son hôtel de Londres Park Lane ainsi que sa participation majoritaire dans le New York Barclay.
Le Maroc et le Qatar ont signé le programme exécutif du mémorandum d’entente relatif à la mise en œuvre du don qatari au profit du Maroc pour un montant de 1,25 milliards de dollars. Cette somme sera remise au Royaume en deux tranches. La contribution qatarie s’étalera sur cinq ans, et un premier montant de 500 millions de dollars a déjà été versé.
Outre le fait que ce don inscrit dans la durée les bonnes relations entre le Maroc et le Qatar, il est d’une extrême importance pour le Royaume. Il devrait en effet lui permettre de financer quatorze projets dans divers domaines. Il devrait donc lui permettre de continuer son œuvre de modernisation des régions. Le Qatar a de son côté affirmé que « la volonté de l’Etat du Qatar de contribuer à la stabilité du Royaume et à son développement économique et social à travers le financement de plusieurs secteurs dont la santé, l’Agriculture et la pêche maritime, l’Habitat Social, l’enseignement supérieur et de l’Assainissement Liquide ».
Parmi les projets qui seront financés par ce don, on peut noter :
– Des projets relatifs au secteur de la santé : grâce à ce don, le Maroc va renforcer ses infrastructures hospitalières. Il prévoit notamment la construction de deux centres hospitaliers universitaires (CHU) et d’une quinzaine d’hôpitaux de campagne. C’est le secteur qui recevra la plus grosse subvention, avec environ 500 millions de dollars.
– Soutien à l’agriculture solidaire et à l’économie de l’eau d’irrigation : cette action se fera à travers quatre projets qui s’inscrivent dans le cadre du Plan Maroc Vert. Ils seront chacun de l’ordre de 202 millions de dollars.
– Deux projets à hauteur de 69 millions d’euros dans le secteur de la pêche. L’objectif sera ici de réhabiliter les villages de pêcheurs dans plusieurs villes marocaines et, de mettre à niveau les infrastructures nécessaires pour la pêche côtière et artisanale.
– Un projet visant à développer la capacité d’accueil des universités marocaines.
La mise en œuvre des projets devra se faire au cours des cinq années à venir. Elle sera contrôlée par un comité maroco-qatari.
Et si le Mondial 2022 échappait au Qatar ? La désignation de l’émirat comme pays hôte est si controversée depuis des mois qu’un retournement de situation n’est plus à exclure. Selon les informations du reporter d’ESPN Jorge Ramos, la FIFA préparerait un plan B et aurait demandé aux États-Unis de se tenir prêts. Décryptage de Nabil Ennasri, auteur de « L’énigme du Qatar » (Iris).
Le Mondial de football vient de débuter et les yeux du monde sont rivés sur le Brésil. Au centre de l’attention planétaire, le pays organisateur retient son souffle. Pendant un mois, ce sont des centaines de milliers de spectateurs et des milliards de téléspectateurs qui vont communier autour de la même passion.
Mais en plein Mondial au Brésil, la planète football se préoccupe aussi d’une autre Coupe du monde, celle de 2022 qui doit normalement avoir lieu au Qatar. Depuis son attribution, l’événement est au centre d’une polémique sans fin.
Après les controverses sur la condition des travailleurs asiatiques, la chaleur estivale, un éventuel changement de calendrier ou les accusations de corruption, c’est peu dire que l’organisation de ce futur tournoi suscite une levée de boucliers.
Rarement dans l’histoire du sport, le choix d’un pays n’a provoqué autant de crispations et ce, huit années avant le début effectif de la compétition.
Un engouement de courte durée
Le 2 décembre 2010, le comité exécutif de la FIFA attribue l’organisation du Mondial 2022 au Qatar. Fait unique dans son histoire, la FIFA concède la Coupe du monde à deux pays simultanément : l’émirat est désigné pour 2022 et la Russie l’emporte pour 2018.
Pour la première fois également, les frontières du ballon rond pénètrent le monde arabe. Le signal se veut fort et il a pour objet de démontrer que le foot est un sport à la popularité universelle.
L’engouement est de courte durée. Très vite, une nuée de critiques va s’abattre et de pays à la légitimité footballistique inexistante à un émirat accusé d’abuser de la « diplomatie du carnet de chèques », le Qatar est pris sous une avalanche d’accusations.
En janvier 2013, l’hebdomadaire sportif français « France Football » publie l’enquête « Qatargate » qui prétend apporter les preuves que le Mondial a littéralement été « acheté ». Il y a quelques jours, c’est le « Sunday Times » qui titrait sur « le complot destiné à acheter le Mondial ».
Le journal britannique assure avoir les éléments prouvant que le qatari Mohamed bin Hammam – ancien membre exécutif de la FIFA radié à vie de l’organisation en 2011 – s’était servi de fortes sommes d’argent pour soudoyer plusieurs hauts responsables afin de les convaincre de voter pour son pays.
Un soft power en déséquilibre
Pour le Qatar, cela commence à faire beaucoup. Basant en partie la construction d’une réputation mondiale par l’exercice d’une dynamique « diplomatie sportive », ces mauvaises couvertures de presse à répétition mettent à mal son ambition.
Etat faisant un exercice immodéré du soft power et de la diplomatie du rayonnement, l’émirat est aujourd’hui confronté à ce qu’il redoutait le plus : une opinion publique mondiale qui commence à douter de sa probité. Pour ne rien arranger, le président de la FIFA lui-même s’en est allé de sa petite phrase en déclarant que le choix du Qatar était finalement « une erreur ».
Dans l’œil du cyclone alors qu’il reste encore huit ans avant le début de la compétition, le monde du football s’interroge : faut-il maintenir le Mondial au Qatar ou repartir sur une nouvelle procédure de vote ?
Avant d’y répondre, il faut d’abord relever certains angles morts du dossier. Deux éléments compromettent en effet le caractère désintéressé du procès en corruption adressé à l’endroit du Qatar :
1. La rivalité Blatter vs. Platini
L’évolution des prises de position de l’actuel président de la FIFA trahit une sourde lutte d’influence à la tête de l’institution qui régit le football mondial. Au départ enthousiaste face à une candidature qui présentait l’avantage de toucher de nouveaux territoires, le rétropédalage de Sepp Blatter est, d’après nous, non dénué d’arrière-pensées stratégiques.
Sentant le vent tourner face à un émirat à la réputation sulfureuse, le revirement de Blatter doit aussi être mis en perspective avec sa candidature à sa propre succession. L’un de ses challengers les plus en vue n’est autre que Michel Platini, lequel a avoué avoir voté pour le Qatar en 2010.
Noircir le dossier « Qatar » peut donc être une manœuvre de Blatter de jeter une patate chaude dans les mains de son principal concurrent qui fait, depuis, cet aveu, l’objet d’un procès d’intention. Au pouvoir depuis 1998 et désirant briguer un cinquième mandat, le Suisse se sait affaibli.
La candidature qatarie se voit donc indirectement prise en otage dans un règlement de compte entre deux rivaux.
2. Le fonctionnement de la FIFA mis en cause
L’autre interrogation repose sur la contradiction que met à nu cette affaire. Si corruption il y a eu, faudrait-il davantage blâmer le Qatar pour avoir tenté de fausser le résultat ou la FIFA qui a laissé se mettre en place un système quasi-mafieux ?
Dans son récent livre « Omerta, la FIFA de Blatter, une histoire de mafia », le journaliste écossais Andrew Jennings dénonce un fonctionnement opaque à base d’achats de vote, de tromperie et de trucages en tout genre.
Mark Pieth, professeur de droit de l’université de Bâle qui a réalisé un audit de la FIFA au sein d’une Commission indépendante (CIG), a même dressé un bilan catastrophique :
« À notre arrivée, en 2011, nous avons fait connaissance avec un univers dominé par les jeux de pouvoir, le patronage et les patriarches, installés depuis des décennies. »
En ce sens, si la corruption était prouvée, ce ne serait plus le Mondial au Qatar qui vacillerait mais tout l’édifice de la FIFA. D’autant que si des dysfonctionnements étaient avérés pour le vote de la Coupe du monde 2022, quid du choix de la Russie en 2018 ? Le Qatargate suivi du Russiagate sonneraient alors comme le chant du cygne pour une FIFA qui ne se relèverait pas.
D’autant que certains seraient tentés de revenir en arrière pour lever le voile sur la désignation controversée de certains pays organisateurs, en commençant par celle du Mondial en Allemagne en 2006. Face à tant de grabuges, il n’est pas étonnant d’entendre certaines voix plaident pour une dissolution pure et simple de la FIFA…
Quels scénarios possibles ?
En attendant les conclusions définitives de Michael Garcia, président de la chambre d’investigation du Comité d’éthique de la FIFA qui vient de finir un rapport sur les attributions des Mondiaux 2018 et 2022, les alternatives qui se présentent pour sortir le Mondial 2022 du bourbier sont les suivantes.
1. Élargir l’organisation à d’autres pays
Une possibilité d’élargir l’espace d’organisation du tournoi. Cette option verrait par exemple le Mondial 2022 être co-organisé par d’autres pays arabes comme l’Egypte ou les Émirats arabes unis.
Déjà soumise par quelques personnalités, cette idée permettrait de réduire la pression sur le Qatar et de « faire porter » cet événement par d’autres nations du monde arabe. Ce ne serait plus le Mondial du Qatar mais celui du monde arabe, ce qui accentuerait la portée symbolique d’un tel événement.
2. Retirer le Mondial au Qatar
Ce serait certainement le choix le plus désastreux. D’abord parce que cette alternative ne pourrait se justifier que lorsque les accusations de corruption seront définitivement corroborées, ce qui n’est pas aujourd’hui le cas.
Le rapport final Garcia est à ce titre capital car il permettra de sérier les responsabilités de chacun. De même, il faut aussi s’interroger sur les raisons qui poussent certains acteurs à soutenir une telle option.
L’Australie, candidate malheureuse pour l’organisation en 2022, pousse dans cette direction. Il est en effet de bonne guerre de voir les perdants d’hier reprendre du poil de la bête en mettant à profit la polémique d’aujourd’hui pour arriver à un nouveau vote.
3. Maintenir le Mondial au Qatar
De notre point de vue, c’est la décision qui, à l’heure actuelle, serait la moins mauvaise. D’abord parce que le Qatar est innocent jusqu’à ce qu’il soit reconnu coupable. De plus, le Mondial 2022 et l’extrême focalisation qu’il suscite ont induit un certain nombre de changements positifs au sein de l’émirat.
En ce sens, il faut rappeler la décision historique des autorités de bannir définitivement le système de la Kafala afin d’améliorer la condition des ouvriers étrangers. Cette réforme est, à n’en point douter, une conséquence directe de l’attention médiatique qui peut ainsi être utilisée comme un levier d’amélioration des droits de l’homme.
Enfin, cette option présente aussi l’avantage d’inscrire le monde arabe dans le circuit de la mondialisation alors qu’un retrait aurait des conséquences symboliques désastreuses et ne ferait que renforcer les tenants du choc des civilisations.
« Bienvenue à Doha, » nous emmène dans un voyage spectaculaire à travers la ville remarquable de Doha, au Qatar.
Situé sur la côte du Golfe Persique, Doha attire notre curiosité et excite l’imagination.
Avec le paysage urbain toujours en pleine croissance, Doha continue d’attirer de plus en plus de monde.
« Bienvenue à Doha, » illustre la floraison persistante de cette merveilleuse métropole, l’évolution de son histoire et la culture des pays; tout cela en Timelapse.
Un contrat de 1,7 milliard de dollars a été attribué pour construire une autoroute de 56 km au Qatar.
Habtoor Leighton Group (HLG) en coentreprise avec Al Jaber Engineering a décroché un contrat de 1,7 milliard de dollars portant sur la conception-construction d’une autoroute de 56 km au Qatar. Le contrat, attribué par l’autorité des travaux publics du Qatar Ashghal, inclut, outre la réalisation de l’autoroute New Orbital, la construction d’une route dédiée aux poids lourds près de Doha.
Cette partie de l’autoroute, qui permettra de relier la zone industrielle de Mesaieed et les futurs projets portuaires à Salwa Road, impliquera la construction de 5 nouveaux échangeurs. Durée du chantier : 36 mois.