Par La Rando

Investissements qataris au Royaume-Uni

Doha: les investissements du Qatar au Royaume-Uni s’élèvent à plus de 20 milliards de livres sterling, (30.6bn $), dont la plupart sont situés à Londres, selon le maire de Londres Boris Johnson. Boris Johnson, lors d’une conférence de presse, a dit qu’il allait présenter 18 nouveaux domaines d’investissement à Londres pour ceux qui sont intéressés à investir dans la capitale anglaise.
Johnson a déclaré que les exportations britanniques valent plus de 1,3 G £ au Qatar et a ajouté que les relations avec le Qatar ont le vent en poupe. Il a salué l’investissement de Qatari Diar dans le village olympique de Londres.
Le maire de Londres a déclaré que l’Angleterre, pour sa part, a sa juste part des investissements au Qatar. Un exemple de cela serait la participation de l’Angleterre à Shell au Qatar, une valeur de £ 22 milliards.
Sur le gel de son projet de développement de Chelsea Barracks de Qatari Diar, le maire de Londres a dit s’attendre à ce que ce projet s’active un peu plus. Les relations économiques  entre l’angleterre et le Qatar sont très bonnes selon le Maire Boris.

Par La Rando

Investissements du Qatar au Royaume-Uni

Selon des informations publiées jeudi 15 mars par le Financial Times, le Qatar a entamé des discussions avec le gouvernement britannique en vue d’investir jusqu’à 10 milliards de livres (environ 11,5 milliards d’euros) dans des projets d’infrastructures dans le pays. La liste des chantiers potentiels inclut des centrales énergétiques (gaz et éolien), des axes routiers et des chemins de fer. Londres est en recherche active de financements internationaux afin de compenser une marge de manoeuvre budgétaire faible, du fait de la récession qui continue de miner l’économie du pays et de son corollaire, l’austérité.
Parmi les projets dans lesquels le riche émirat pourrait investir figure notamment la centrale nucléaire que le français EDF doit construire à Hinkley Point (ouest de l’Angleterre), selon le quotidien financier britannique qui cite des sources proches des négociations. EDF cherche de nouveaux partenaires pour ses projets nucléaires au Royaume-Uni alors que son partenaire initial, le groupe britannique Centrica, a jeté l’éponge. Lire la suite…