Par La Rando

Le prince Charles au Qatar

Le prince Charles, héritier de la couronne britannique, et son épouse Camilla sont arrivés ce mercredi soir au Qatar dans le cadre d’une tournée au Proche-Orient qui les a déjà conduits en Jordanie.  Le couple s’est rendu dès son arrivée au Musée d’art islamique, où ils ont été reçus par la princesse Mayassa, fille de l’émir du Qatar, Hamad ben Khalifa Al Thani.






 
Le fils aîné de la reine Elizabeth II et la duchesse de Cornouailles ont assisté à une réception au musée, organisée dans le cadre des célébrations de l’année de la culture Qatar-GB 2013. Lire la suite…

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Salaire de Metsu au Qatar

Après avoir brillé avec des sélections africaines, Bruno Metsu a passé onze années à entraîner dans le Golfe. Dans France Football, l’ancien sélectionneur du Qatar revient sur ses conditions de travail : « Au Qatar, quand j’étais sélectionneur, je touchais 2 millions de dollars (1,6 millions d’euros) net par an, sans parler des avantages en nature. (…) S’expatrier ce n’est pas facile. Cet argent, on le mérite ». Lire la suite…

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Qatar Dream Football League

Les 24 plus grands clubs du monde, une ligue fermée, des moyens colossaux: dès 2015, ce championnat va réunir dans le Golfe l’élite du football mondial. Ce n’est pas une révolution, c’est un nouveau monde du football que le Qatar, allié avec des émirats voisins au sein du consortium DFL, veut créer en lançant la Dream Football League, dont la présentation officielle était prévue au début du mois d’avril. L’investissement dans les droits sportifs et dans certains clubs comme le Paris Saint-Germain n’était que le ballon d’essai d’une opération de bien plus grande ampleur: l’ATP a eu accès à des documents établissant la création imminente d’un championnat mondial réunissant, dans une ligue semi-fermée, vingt-quatre clubs parmi les plus prestigieux au monde.

Manchester United, Manchester City, Arsenal, Chelsea, le Bayern de Munich, le Real Madrid, le FC Barcelone, la Juventus de Turin, l’AC et l’inter Milan, le Paris Saint-Germain figurent parmi les clubs européens ayant d’ores et déjà donné leur accord. Ils font partie des seize membres permanents, auxquels s’ajouteront huit clubs « invités » selon des modalités encore inconnues. La compétition commencera en 2015 et se déroulera durant cinq mois dans dix stades au Qatar (parmi les douze de la Coupe du monde 2022) et six autres sites répartis entre Bahreïn, les Émirats arabes unis et l’Arabie Saoudite.
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Astuces pour éviter la peau grasse

Parce que c’est toujours très sympa de fabriquer vos propres produits de beauté chez vous, on vous suggère un masque efficace pour la peau grasse souvent accompagnée d’acné…  Tout d’abord, il faut savoir que la peau grasse, caractérisée par une séborrhée importante, est fragile. Il faut donc en prendre soin et la nettoyer souvent avec des produits spécifiques. Il ne faut pas trop la décaper et chercher à l’assécher, car la peau grasse a souvent tendance à se regraisser encore plus vite lorsqu’on l’a asséchée. Mettez un concombre dans votre mixeur et recueillez-en le jus.
Ajoutez 5 cuillères à soupe de lait en poudre et un demi-verre d’eau pour lier. Pour éviter l’apparition d’éventuels boutons, vous pouvez ajouter 2 gouttes d’huile essentielle de thym. Appliquez ce lait avec un coton sur votre visage. On vous recommande à l’occasion de ne pas utiliser de savons détergents ni de lotions toniques à base d’alcool qui augmentent la production de sébum. A l’inverse, ne choisissez pas des laits ou des crèmes trop gras qui vont faire luire votre peau. Attention aux crèmes teintées et autres fonds de teint très couvrants qui peuvent favoriser l’apparition de boutons. Si le soleil procure une amélioration de l’état de la peau, ce n’est que provisoire. Il s’ensuit souvent un «effet rebond» qui peut provoquer une augmentation de la production de sébum et de boutons.
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Au Qatar, on se bouscule pour des contrats

Entre complexité et contradictions! Que veut le Qatar? Tandis que ses ambitions internationales désta­bilisent, ses méga-projets d’in­frastructures domestiques, eux, ­rassemblent. Des dizaines de délégations, des centaines d’entreprises convergent à Doha pour s’arroger une part de l’énorme gâteau que l’émirat pose sur la table. Quelque 225 milliards de dollars de mandats sont à prendre, à moyen terme. Et le rythme s’accélère, puisqu’en 2022 le Qatar accueille la Coupe du monde, et qu’en l’état, la capitale ressemble à un grand chantier ensablé. Des grues par centaines, quelques routes principales, un trafic pas si dense mais mal régulé. Des quartiers biens finis avec pelouses verdoyantes, et d’autres qui restent parsemés de pavillons aux allures provisoires. Fin janvier, une dizaine d’entrepreneurs suisses ont voulu défricher les intentions du petit Etat aux mille et une opportunités. Emmenés par l’office de promotion des exportations (OSEC), ils y ont découvert un marché ouvert et complexe, ambitieux et convoité.

L’équité intergénérationnelle
«Comment faire en sorte que les ressources d’aujourd’hui soient transformées en ressources pour les générations futures? On travaille pour l’équité intergénérationnelle.» Voici comment, formellement, l’émirat, plus précisément Frank Harrigan, justifie la stratégie nationale.
Pour en savoir plus, l’Australien, responsable du développement économique qatari renvoie à trois lettres et une date: QNV 2030, pour «Qatar National Vision» 2030. Des ambitions économiques, sociales, environnementales et humaines détaillées qui s’étalent dans le document de 290 pages.
Dans les faits, le Qatar veut s’émanciper des hydrocarbures. Les priorités: le développement des activités liées au raffinage et à la liquéfaction du gaz… Et sinon? la ­finance, les techniques environnementales ou la R&D, dans la santé ou les télécoms. Mais le Qatar a aussi des ambitions plus clinquantes. «Il y a des projets dans l’aérospatiale, bien que ce ne soit pas viable», dixit Frank Harrigan.

Sur le papier, transparent
La santé, la recherche et les «greentechs». Les Suisses ont bien noté. «Et maintenant, comment procéder?» a demandé Daniel Küng, directeur de l’OSEC. «Il faut s’adresser au Ministère du commerce, en tout cas pour les grands projets», hésite Frank Harrigan. Les responsables de l’organisation de la Coupe du monde, eux, n’ont même pas voulu savoir ce que les Suisses savaient bien faire. Ils les ont invités à s’inscrire sur leur site internet, «qui n’existe pas encore, mais bientôt».
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Harlem Shake Qatar

Et nous y voilà! Le Qatar n’échappe pas à la « règle » du « Harlem Shake » qui touche la planète entière. Mais c’ets quoi un « Harlem Shake »? C’est une vidéo présentant un groupe de personnes, souvent vêtues de costumes, dansant de manière loufoque sur le morceau Harlem Shake du compositeur de musique électronique Baauer. Découvrez les deux vidéos tournées au Qatar. A voir et à revoir 😉

Une seconde vidéo du Qatar 🙂

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Route Tchad-Soudan, financée par le Qatar

A la suite d’une rencontre avec le président tchadien Idriss Déby à Khartoum, Omar Al-Bashir a annoncé que le Qatar « dans ses efforts visant à stimuler les relations bilatérales entre les deux pays », financera la route entre El Geneina et à Abéché dans l’est du Tchad. La Chine construira, elle, la voie ferrée parallèle.
Le Qatar, qui parraine le processus de paix au Darfour, s’est engagé également à soutenir financièrement des projets économiques entre les deux pays de manière à éviter un retour des tensions entre les deux voisins.
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Qatar: fonds d’investissement pour Sarkozy

Nicolas Sarkozy, selon le Monde, en avait parlé dès novembre 2011 : « Moi aussi, dans le futur, je voudrais gagner de l’argent. » C’est donc le cas aujourd’hui, puisque l’ancien président s’est spécialisé dans des tournées de conférences lucratives. Mais cela pourrait l’être beaucoup plus, à en croire le Financial Times. En effet, plusieurs fonds souverains, notamment celui du Qatar, lui auraient proposé de le soutenir à hauteur de 500 millions d’euros pour lancer un fonds d’investissement.
Nicolas Sarkozy aurait un « rôle non exécutif » et ne conduirait pas lui-même les investissements. Il serait à l’origine des transactions, ouvrant les portes grâce à son réseau.

Le fonds serait basé à Paris et investirait dans des entreprises de pays émergents tels que le Brésil, ou dans des pays tels que l’Espagne et le Maroc.
Une porte-parole de Nicolas Sarkozy a réagi en notant que l’ancien président « reçoit régulièrement des propositions dans le domaine des affaires et n’a pour l’instant dit oui à aucune ».
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