Le Qatar lance une marque de luxe « aux ambitions internationales » avec l’ouverture le 25 septembre d’une première boutique QELA à Doha, a annoncé aujourd’hui Qatar Luxury Group (QLG) dans un communiqué. Une boutique QELA ouvrira ensuite à Paris, « dans les mois qui suivront » l’ouverture de Doha, selon le communiqué.
Le projet avait été évoqué il y a déjà plusieurs mois, mais avait pris du retard.
Le choix de Paris, capitale mondiale du luxe, pour ouvrir la seconde boutique QELA se veut un symbole des ambitions internationales du groupe qatari, qui envisage aussi d’ouvrir des boutiques plus tard à New York, à Milan et en Asie.
« Première marque de mode du Qatar aux ambitions internationales, QELA puise son inspiration dans son héritage qatari » et proposera une ligne de maroquinerie, de souliers, de joaillerie et de couture réalisée sur mesure, indique le communiqué de QLG.Lire la suite sur LeFigaro.fr…
L’émirat du Golfe s’implante un peu plus en France, à Paris notamment. Dans quelques mois, une « maison culturelle » verra le jour au centre de la capitale. Doha veut ainsi répondre au « Qatar bashing » ambiant en donnant « à voir la culture qatarie ». Dans quelques mois, révèle Metronews, une « maison culturelle » verra le jour dans un hôtel particulier situé près de l’Institut du monde arabe. « Nous sommes en négociation, l’ouverture doit se faire très prochainement », a confirmé l’ambassadeur du Qatar en France, Mohamed Al-Kuwari, au quotidien gratuit. L’affaire est en passe d’être signée. Des études techniques ont déjà été réalisées.
Pour faire face aux multiples polémiques sur l’hyperactivité de ce minuscule et immensément riche État en France (PSG, BeIN Sport, Printemps, hôtels, banlieues…) et en Europe (Valentino, Marks & Spencer…), ses dirigeants ont résolument choisi de ne pas se faire discrets. « Il faut discuter, apprendre de nos différences », a souligné l’ambassadeur.Lire la suite sur LePoint…
1,15 million d’abonnés, des droits TV prestigieux : neuf mois après leur lancement, les chaînes BeIN Sport sont bien installées dans le paysage télévisuel. Malgré des pertes abyssales, elles semblent être là pour durer. N’en déplaise à Canal + qui se défend pied à pied face à un adversaire hors norme. Elle n’a que neuf mois et, pourtant, elle a déjà tout d’une grande. La courte histoire de la chaîne BeIN Sport est celle d’une ascension fulgurante, que personne n’a réellement vu venir. Pas même Canal+, son grand rival. Avec 1,15 million d’abonnés, les deux chaînes sportives du Qatar ont réussi leur lancement tonitruant et sont désormais bien installées dans le paysage télévisuel français .
Un coup de maître, il faut le reconnaître. Canal+, positionné sur trois produits d’appel : le sport, le cinéma et le X, en a réuni un peu plus de 5 millions en trente ans… Ligue 1, Euro de football, Jeux Olympiques de Londres, Ligue des champions, NBA… : BeIN Sport cumule les droits des compétitions sportives les plus prestigieuses. Bilan des courses : environ 400 millions d’euros dépensés dans les droits TV en quelques mois ! Pour les journalistes qui travaillent aujourd’hui chez BeIN Sport, c’est la poule aux oeufs d’or.
Il y a quelques jours, les chaînes ont connu une petite révolution avec le départ de celui qui s’est acharné, corps et âme, à leur donner une ossature, Charles Biétry -qui en reste consultant . Un peu moins d’un an après son lancement, BeIN Sport entre ainsi dans une nouvelle ère. Désormais, le nouveau maître des lieux s’appelle Youssef al-Obaidly, très actif depuis les débuts, mais dans l’ombre -il n’a pas souhaité s’exprimer dans le cadre de cette enquête. Il assure maintenant seul la direction opérationnelle des chaînes, aux côtés de Nasser al-Khelaïfi, président et émissaire du prince héritier Tamim al-Thani. Charles Biétry a rempli sa mission. Lire la suite…