Par La Rando

L’usine à Champions du Qatar

Le Qatar investit de centaines de millions de dollars dans le sport. ASPIRE ACADEMY est donc le complexe sportif haut de gamme que s’est fait construire le Qatar, 300.000 m2 de l’Aspire Zone, le parc sportif high-tech de Doha avec son grand stade, ses deux piscines olympiques, sa clinique, son hôtel 5 étoiles, son centre commercial. Les entraîneurs de tous les pays ont été recrutés. Oui c’est un peu leur Star Academy à eux!


L’usine à Champions du Qatar

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Aspire, la vitrine sportive du Qatar

Plus qu’un porte-drapeau, la sport est au cœur des enjeux nationaux du Qatar. A Doha, la capitale, l’immense complexe sportif d’Aspire, construit en 2006 pour les jeux d’Asie, continue de s’étendre. Aspire, c »est surtout un centre de formation haut de gamme qui recrute et forme les jeunes athlètes Qataris de demain.

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Documentaire: Qatar, perle d’avenir

Au coeur de la région du Golfe se niche le Qatar, pays minuscule par sa superficie mais immense par ses ambitions. Aujourd’hui, ce pays tire plus de 85% de ses recettes de l’exportation du pétrole et du gaz naturel. Sa capitale, Doha, abrite près de 80% de la population nationale, dont une grande partie composée d’immigrés. Pierre Brouwers a filmé sous tous ses angles cet émirat surgi du désert. De surprenants gratte-ciel futuristes émergent du néant, les bédouins troquent leurs dromadaires contre de puissants 4×4, les fauconniers équipent leurs rapaces d’appareils électroniques, et les jockeys des courses de dromadaires sont désormais des robots.

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Oryx Land Qatar 2022

Barwa Qatar commence à préparer pour «Oryx Land » ou « Maha Land » qui devraient être prêt en 2022 pour la Coupe du Monde 2022, je vous laisse avec cette vidéo de ce nouveau chef-d’œuvre incroyable. Créé en 2009, le nom «Oryx Land» découle d’un animal du désert important qu’il fait désormais parti du patrimoine de l’histoire et de la culture du golfe Persique, et plus particulièrement au Qatar. Oryx land a été fondé suite à la demande croissante pour les services commerciaux généraux de haute qualité au Qatar.

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Le Président français au Qatar

François Hollande effectue un voyage express au Qatar ce week-end, avant de faire un stop en Jordanie. Le volet économique occupera le gros du voyage, même si le dossier syrien est également au menu. « La méthode du président n’est pas celle d’un VRP », a tenu à faire savoir l’Elysée avant le départ de François Hollande pour le Qatar ce week-end. Le chef de l’Etat ne se rend toutefois pas dans le pays le plus riche du monde sans quelques arrières-pensées commerciales. Projet de métro à Doha pour lequel Vinci est sur les rangs, celui de tramway de la nouvelle ville de Lusai sur lequel lorgne Alstom… Et surtout négociations sur le Rafale de Dassault, l’émirat voulant renouveler sa flotte d’avions de chasse. L’escapade qatarienne de François Hollande, qui emmène une grosse délégation de grands patrons dans ses bagages, aura une forte tonalité économique. Dimanche, il doit d’ailleurs participer à un forum économique à Doha.

Convergences de vue

S’il n’entretient pas la même proximité que son prédécesseur avec le pays (Nicolas Sarkozy s’y est encore rendu il y a deux semaines pour une visite privée), et même s’il a donné la primeur de ses visites dans le Golfe à l’Arabie Saoudite et aux Emirats arabes unis, François Hollande inscrit tout de même sa diplomatie dans une forme de continuité. Il s’agit de consolider une relation qualifiée d' »ancienne et forte » entre Paris et le richissime émirat, qui a multiplié ces dernières années les investissements en France, des grands hôtels au PSG. Le président français va ainsi s’employer à « apaiser » les crispations sur cet appétit qatarien pour l’Hexagone (il attirerait 10% des investissements qatariens à l’étranger). Lors de sa visite devrait en effet être finalisé un fonds commun franco-qatari destiné à financer des PME, en lieu et place du projet initial polémique du Qatar, qui en 2011 prévoyait d’investir 50 millions d’euros dans les banlieues françaises. Lire la suite sur Metronews.fr…

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Qatar: 35.000 nouveaux logements d’ici 2015

DOHA: Le  marché de l’immobilier au Qatar se porte bien et ce dernier devrait fournir 35.000 nouvelles unités résidentielles en 2015 et 160 tours en 2021, selon un rapport publié par Al Asmakh Real Estate Company. Le Qatar connaît une croissance démographique de quatre pour cent par an entre 2011 et 2014, alors que 3000 unités résidentielles ont été ajoutés en 2011 , le pays rajoutera 18.000 unités d’habitation en 2012 pour répondre à la demande croissante du marché local, selon Al Sharq. Environ 11.000 unités résidentielles seront ajoutées cette année 2013. Malgré d’énormes livraisons de logements, le loyer est stable car la demande continue d’augmenter en raison de la croissance démographique du pays. Le loyer d’un appartement à Doha se situe entre QR8,000 et QR19,000 par mois, indique le rapport. Le loyer d’un appartement meublé au Pearl-Qatar et West Bay atteint QR15, 000. Cependant, les appartements dans ces domaines sont vendus à partir de QR14 à QR22 000 par mètre carré.
Des appartements entièrement meublés dans les zones commerciales comme Al Saad, Ben Mahmoud, rue Airport, Al Muntaza et Al Mansourah sont donnés en location pour QR5, 000 pour un appartement d’une chambre, QR7, 500 pour deux chambres, et QR9, 000 pour trois chambres. Le taux d’occupation des unités résidentielles a grimpé de 90 pour cent en raison d’un afflux massif de main-d’œuvre étrangère pour le développement des infrastructures du pays. La location de villas simple à trois chambres se situe entre QR11, QR18 000 par mois. Toutefois, la location de villas principales comprenant trois à cinq chambres à coucher dans des complexes résidentiels sont entre QR18, QR23 000.
La location de villas a augmenté un peu en 2012 et il est également prévu d’augmenter cette année puisque le taux d’occupation a grimpé à 90 pour cent, indique le rapport. La location de locaux pour bureaux dans les centres commerciaux varie entre QR150 à QR250 par mètre carré. Les espaces de bureau dans les tours de West Bay sont disponibles pour QR150 par mètre carré, et il varie entre QR100 à QR130 à Doha.

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Comment faire du business au Qatar

Le Qatar vient d’annoncer la visite officielle du président François Hollande les 23 et 24 juin prochain à Doha. Pour Pierre-Marie Relecom, président fondateur du cabinet Relecom & Partners, c’est l’occasion pour accorder un important soutien institutionnel à la conclusion de contrats. Entre la coupe du monde de football 2022, et une pénurie d’eau prévue pour 2014, les opportunités commerciales ne manquent pas au Qatar pour les entrepreneurs français. Voici, quelques conseils pour qu’ils sachent en tirer profit…

Préambule: le Qatar est un petit bout de désert à la frontière de l’Arabie et proche des Emirats, qui recèle aujourd’hui quelques-unes des plus grandes réserves de gaz LNG au monde, qu’il partage avec son voisin d’en face, l’Iran… Le Qatar compte 1 900 000 habitants, 200 000 qataris, et réellement une centaine qui tiennent les rênes du pays.

Ceux-là ont étudié, pour la plupart, en Angleterre ou aux Etats-Unis, et sont pour certains des proches du Prince héritier. Pour autant, ils ne sont pas tous issus d’une grande famille. Ainsi, si l’on retrouve le Sheikh Farhad al Attyiah à la tête de l’important Qatar National Food Security Program, l’on peut aussi citer le très respecté ingénieur Ghanim Al Ibrahim qui a été le porteur du projet Railways, Assad El Thawadi à la tête du comité Qatar 2022 ou Nasser Al-Khelaïfi, ancien joueur de tennis et désormais figure incontournable au Qatar, puisqu’il est directeur général d’Al-Jazeera Sport et Président du Paris Saint-Germain. Et c’est là tout le paradoxe de cette jeune garde: elle comprend à la fois des jeunes travailleurs acharnés et volontaires, et d’autres, plus oisifs.

Jeunesse gâtée
Car, jusqu’à récemment, les qataris étaient un peuple de bédouins, c’est-à-dire que toutes les personnes qui ont aujourd’hui plus de 45-50 ans, ont vécu sous des tentes sans la climatiSation, connaissent la vie dure et n’ont pas eu accès à une éducation poussée. S’ils n’ont pas les connaissances techniques, ces qataris sont par contre doués d’une intelligence intuitive remarquable qui nous est peu connue.Fort de ce constat, l’Emir a voulu mettre à profit l’argent du gaz naturel liquéfié pour permettre à son peuple de rentrer de plein pied dans le 21è siècle. Le revers de la médaille est une jeune génération qui a tout ce qu’elle souhaite sans effort comme ses parents. Cette oisiveté a plusieurs conséquences sociétales et économiques : à la fois la perte de l’intelligence intuitive mais également l’apparition de l’obésité ! A tel point que l’Etat du Qatar va jusqu’à payer les jeunes qataris pour leur faire pratiquer du sport.

Le monde entier se prosterne devant ce petit émirat, espérant pouvoir profiter de sa manne gazière qui coulera à flot pour encore une bonne trentaine d’années. Une fois que l’on a ces quelques éléments en tête, peut-être est-il plus simple de comprendre et d’appréhender le business avec les Qataris.

Jeux de cour, et milliards à investir
Pour ceux qui désirent en savoir plus avant de s’y rendre, je les invite vivement à lire le livre de Georges Malbrunot et Christian Chesnot « Qatar : les secrets du coffre-fort ». Cela fait plus de 4 ans que j’y passe 10 jours par mois,  j’ai beaucoup lu sur le sujet. Mais la retranscription qu’ils font du Qatar est le plus justement dite dans leur livre. Un pays ambigu et complexe où l’apparence officielle dissimule toujours des jeux de cour et d’équilibre entre les clans…

Toutefois, on parle beaucoup des investissements qataris en France mais qu’en est-il des Français au Qatar ? La situation économique dans l’UE est-elle à ce point bien portante que l’on peut faire l’impasse sur des pays à fort potentiels, comme le Qatar ou l’Arabie Saoudite ? J’ai le privilège d’accompagner quelques groupes dans leur développement à l’International et, à part le Qatar, je ne connais que l’Arabie Saoudite qui supplante ce petit émirat en termes d’opportunités de business. Ils ont entre USD 50 et 70 milliards à investir tous les ans qui sont autofinancés par le LNG. Aussi, il me semble des plus à-propos que l’on s’y intéresse d’un peu plus près et que nos entreprises françaises aient le soutien qu’elles méritent. Nos concurrents, qu’ils proviennent d’Asie, d’Europe, d’Amériques (Nord et Sud) l’ont bien intégré et les Etats soutiennent efficacement et durablement leurs entreprises en envoyant, en sus de la représentation locale, des délégations régulières de ministres ou premier ministres de premier plan.

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