Sheikh Mohammed bin Zayed, prince héritier d’Abu Dhabi et commandant suprême des forces armées, a été accueilli mercredi par une réception officielle au palais présidentiel Rashtrapati Bhavan. Lire la suite « Sheikh Mohammed bin Zayed en Inde »
Les investissements des Emirats Arabes Unis en Inde ont augmenté de 1 milliard de dollars (Dh3,67 milliards) au cours de la dernière année alors que le commerce bilatéral entre les deux pays continu de se renforcer, déclare l’ambassadeur de l’Inde aux Emirats, T.P Seetharam.
“Les Emirats, autrefois le 10e plus grand investisseur en Inde, est maintenant le septième plus grand investisseur avec les investissements allant jusqu’à environ un milliard de dollars cette dernière année.’’
Les flux d’investissements étrangers directs en provenance des Emirats en Inde se sont élevés à 4,03 milliards de dollars au 31 mars 2016 et depuis avril 2000, a déclaré Seetharam citant des chiffres officiels.
Il a attribué la hausse des investissements à un bon climat économique en Inde et aussi en raison des liens croissants entre les deux pays après la visite du Premier ministre indien Narendra Modi dans les Emirats en août de l’année dernière.
Le Ministre des Affaires étrangères SA Cheikh Abdullah bin Zayed Al Nahyan des Emirats Arabes Unis a visité l’Inde en septembre et Son Altesse Cheikh Mohammad bin Zayed Al Nahyan Prince héritier d’Abou Dhabi et Commandant en Chef adjoint des Forces armées des Emirats, a visité l’Inde en février de cette année.
Les deux pays ont mis en place le Fonds Infrastructure Investissement Emirats-Inde avec un objectif de 75 milliards de dollars (Dh275 milliards) lors de la visite de Modi dans les Emirats Arabes Unis en août de l’année dernière.
Les deux pays cherchent d’autre part à promouvoir des partenariats stratégiques dans le secteur de l’énergie, y compris à travers la participation des Emirats dans le développement des réserves stratégiques de pétrole de l’Inde.
Seetharam rappelle des progrès sur plusieurs questions clés qui ont été convenus lors de la visite du PM aux Emirats Arabes Unis, il y a un an, y compris dans des domaines tels que le programme spatial, la coopération en matière de la défense et des réserves stratégiques de pétrole de l’Inde, telles le stockage de pétrole par Abu Dhabi National Oil Company (Adnoc) dans les réserves stratégiques de pétrole de l’Inde.
Pendant ce temps, la baisse des prix du pétrole a bénéficié à l’Inde, bien que le volume des importations de pétrole a augmenté de 25 pour cent en 2015-16.
Le commerce bilatéral total entre les deux pays pour l’année 2015-16 est d’environ 50 milliards de dollars, contre 59,1 milliards de dollars l’année précédente.
Les Emirats sont le troisième partenaire commercial de l’Inde après la Chine et les Etats-Unis, alors que l’Inde était le plus grand partenaire commercial des EAU en 2015, selon l’ambassade selon Gulf News.
Le Qatar et l’Inde ont signé une lettre d’intention permettant au fonds souverain du Qatar d’investir en Inde, a annoncé dimanche le Premier ministre indien Narendra Modi au cours d’une visite à Doha. Cette lettre fait partie de sept accords bilatéraux signés au deuxième et dernier jour de la visite du responsable indien au Qatar. Lire la suite « Accords économiques entre le Qatar et l’Inde »
Le fonds souverain de l’émirat peut mobiliser 5 milliards de dollars. Entre Narendra Modi, Premier ministre indien, et le prince d’Abu Dhabi, les affaires s’intensifient. A l’issue d’un déplacement officiel, la semaine dernière, l’émirat a conclu de nombreux contrats aussi bien dans l’aéronautique, l’énergie que
La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, en visite en Inde pour deux jours ce 15 mars, a parlé de l’Inde comme le pays qui allait tirer la croissance mondiale.
L’Inde, point fort de l’économie mondiale. La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a salué dans l’Inde un élément de fort dynamisme dans l’économie mondiale, peu avant sa rencontre avec le Premier ministre Narendra Modi.
D’ici à 2030, le petit émirat souhaite ne plus dépendre des autres Etats pour nourrir sa population. Réaliste ou utopique? Après le rachat du PSG en 2011, l’organisation de la coupe du monde en 2022, le Qatar se lance une nouvelle fois un défi pour 2030. L’autosuffisance alimentaire. Un objectif pharaonique alors que l’émirat importe actuellement 90% de ses besoins alimentaires.
Handicapé par le manque d’eau et son climat très aride, le Qatar qui souhaite lancer son projet dès 2014 pourrait bien abandonner avant l’heure comme cela est déjà arrivé à son voisin saoudien qui a renoncé dès 2008 constatant la non-rentabilité du projet.
L’émirat à l’initiative
Tout commence en 2008 lorsque le cheikh Hassad Bin Khalifa Al Thani lance le Qatar National Food Security Programme (QNFSP). Un programme national de sécurité alimentaire (QNFSP) visant l’autosuffisance qui devrait couvrir 60 à 70% des besoins alimentaires d’une population d’environ 1,7 millions de personnes.
Pour montrer la voie à ses voisins et affirmer sa puissance, l’émirat gazier lance en mars 2012 lors du Forum mondial sur la sécurité alimentaire, l’ »Alliance mondiale des pays désertiques » (Global Dry Land Alliance), une nouvelle organisation internationale en mesure, selon le Qatar, d’obtenir des résultats concrets en matière de sécurité alimentaire.
Le Qatar redoute une flambée des prix
En réalité, selon Matthieu Brun, chercheur à l’Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI), le Qatar n’a pas réellement eu le choix de se lancer dans ce vaste projet. « Avant la crise alimentaire, le Qatar pouvait acheter des denrées à l’étranger sans problèmes. Puis, avec l’augmentation brusque du prix des denrées, le pays a eu peur. Désormais, il ne veut plus être dépendant ». En 2007, 75% de ses importations alimentaires provenaient notamment de l’Arabie Saoudite (16%), de l’Inde (14%) ou encore de l’Australie (12%).
Un constat partagé par Hatem Belhouchette, Docteur en agronomie (SupAgro de Montpellier)et ingénieur agronome qui précise aussi que « lorsque le prix des denrées au Qatar est monté, le pays a perdu beaucoup de sa population étrangère. Les autorités ne sont pas restées indifférentes ». Lire la suite sur Challenges.fr…
Les autorités estiment désormais que les 5 748 personnes portées disparues depuis les crues de la mi-juin sont décédées. Les autorités indiennes ont annoncé lundi que près de 6 000 personnes portées disparues après les inondations qui ont frappé en juin le nord du pays étaient désormais présumées mortes. «5 748 personnes sont portées disparues et les procédures de compensation financière pour leurs familles vont débuter demain (mardi) en présumant qu’elles sont mortes», a déclaré Vijay Bahuguna, le chef du gouvernement de l’Uttarakhand, l’Etat le plus sinistré.
Les autorités estimaient il y a quelques jours encore que certaines personnes portées disparues pourraient être rentrées chez elles ou avoir continué leur voyage sans informer les autorités qu’elles étaient saines et sauves. Des corps flottant dans des rivières ont été découverts à des centaines de kilomètres de la zone inondée, soulignant la difficulté de retrouver les morts.
Le 15 juin, en pleine saison touristique dans le nord de l’Inde où les températures sont plus clémentes, les rivières en crue ont emporté maisons, immeubles, et même des villages entiers, et détruit plus de 1 000 ponts et des routes étroites menant à des sites de pèlerinage situés en altitude.
Des milliers de militaires avaient été mobilisés, aidés par des hélicoptères de l’armée impliqués dans l’évacuation de plus de 100 000 personnes bloquées par les intempéries dues à une mousson précoce. Le gouvernement a promis de verser 500 000 roupies (environ 6 300 euros) aux familles de chaque victime ayant péri dans les crues et les glissements de terrain dus à une mousson précoce. Lire la suite sur Liberation…
Les Emirats arabes unis ont promis d’investir 50 milliards de dollars dans les infrastructures en Inde notoirement insuffisantes, dans un contexte de sévère ralentissement de la troisième puissance économique d’Asie, rapportait mercredi le quotidien The Indian Express.
Cet engagement d’Abou Dhabi a été un élément clé des discussions ayant abouti au feu vert de l’Inde pour une hausse du nombre de vols entre les deux pays, a indiqué une source officielle indienne citée sous le couvert de l’anonymat par le quotidien.
«Un engagement d’Abou Dhabi à investir 50 milliards de dollars dans le secteur des infrastructures du pays a pour nous été une raison majeure pour approuver la hausse» des vols, a reconnu cette source. Le nombre de sièges sur des vols entre les deux pays a été quasiment multiplié par trois. Lire la suite sur Liberation.fr…
Le destin de l’Inde – Documentaire Histoire (Chaîne LCP) Comment l’Inde est-elle devenue l’une des premières puissances mondiales, dotée de l’arme nucléaire alors que jadis un homme comme Churchill lui promettait un effondrement fracassant sans la présence des colons anglais ? La famille Agrawal de New Delhi nous fait découvrir l’histoire indienne, telle qu’elle l’a vécue depuis l’indépendance de 1947 : la partition avec le Pakistan, la réforme agraire, les guerres avec les pays voisins, les divisions religieuses et politiques du pays. Chaque génération des Agrawal incarne l’histoire du pays : le grand-père est arrivé de la campagne pour s’installer en ville, les parents ont été ingénieur et enseignante, contribuant à la construction de l’État socialisant de Nehru et Indira Gandhi ; les enfants d’aujourd’hui, à l’heure de la mondialisation, connaissent une réussite brillante dans les affaires et la médecine.
Par-delà les clichés de l’Inde des bidonvilles ou de l’Inde des nouveaux riches et de Bollywood, voici un grand voyage historique dans la mémoire collective, dans les archives, dans la géographie humaine et complexe d’une nouvelle puissance avec laquelle il faut compter.
Beaucoup de nos clients chez DZ Consulting nous demandent s’il est bon d’importer de la viande bovine d’Inde car cette viande a un faible coût. Penchons-nous sur cette étude effectuée par un quotidien algérien sur la viande bovine importée d’Inde. Il y a bel et bien des zones d’ombre dans cette affaire d’importation de la viande rouge depuis l’Inde. Pourquoi a-t-on choisi ce pays? La direction des services vétérinaires du ministre de l’Agriculture a-t-elle validée la demande d’autorisation des importateurs? Autant de questions qui se posent et qui s’imposent. Lire la suite « Importation de viande en Inde ou du Brésil? »