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Après le krach de 2008, le secteur immobilier de Dubaï rebondit avec une forte demande et des prix orientés à la hausse au point d’alimenter des craintes d’une nouvelle bulle. Les maquettes de projets grandioses exposées au salon spécialisé Cityscape sont autant de signes d’une confiance retrouvée des acteurs de ce secteur qui a perdu la moitié de sa valeur en 5 ans. « Dubaï est à nouveau en plein essor », s’est vanté Ali Lootah, président de Nakheel, le promoteur géant de projets phares comme l’île artificielle de Jumeïrah en forme de palmier. Sa société a annoncé le lancement d’un nouveau projet de front de mer sur d’autres îles artificielles en plus de projets résidentiels : « Beaucoup de gens viennent s’installer à Dubaï (…) et je ne suis pas vraiment inquiet au sujet de la spéculation », a-t-il dit, évoquant une pratique qui avait poussé à des hausses records les prix avant leur effondrement durant la crise financière mondiale.
Avant sa chute, l’immobilier de Dubaï avait connu en 5 ans un développement fulgurant, attirant des milliers d’investisseurs étrangers. Avec le tarissement du financement extérieur, le secteur a durement souffert, notamment les entreprises liées au gouvernement qui s’étaient lourdement endettées. Aussi, l’économie s’est contractée en 2009 et 2010, mais s’est toutefois reprise en s’appuyant sur ses piliers traditionnels du commerce, du tourisme et des transports, malgré des dettes de plus de 100 milliards de dollars (74 milliards d’euros). La croissance a été de 3,7 % en 2011 et 4,4 % en 2012 et ce taux devrait atteindre 4,1 % cette année.
Des prix en hausse
« Les prix de certaines unités immobilières ont bondi de 20 % », indique Alan Robertson, directeur général pour la région MENA (Moyen-Orient et Afrique Nord) du groupe de conseil en immobilier Jones Lang LaSalle alors que d’autres parlent de taux plus élevés. Mais la croissance du marché devrait se tasser dans un proche avenir : « Les prix vont continuer à croître très rapidement au cours des 12 prochains mois, mais au cours des 24 prochains mois, cette croissance va se ralentir, estime-t-il, ajoutant que ces prix restaient encore de 20 à 30 % inférieurs au pic de 2008. La situation est différente ». Dubaï a décidé récemment de doubler à 4 % les taxes sur les ventes pour maîtriser les fluctuations. « Cela va calmer un peu le marché », a-t-il souligné, en citant un autre élément stabilisateur qui est la demande, non spéculative, d’investisseurs arabes fuyant les soulèvements dans leurs pays.
Les investisseurs placent leurs liquidités
Pour répondre à l’appétit des investisseurs, Dubaï a dépoussiéré des plans ambitieux, et lancé de nouveaux projets dont des canaux artificiels, parsemés de ponts de style florentin et une roue plus grande que la London Eye. La banque d’investissement EFG-Hermes a relevé, dans un rapport, des « signes d’une bulle en développement », mais noté que la spéculation a changé de nature. « La spéculation observée de 2006 à 2008 a été fortement encouragée par un crédit pas cher » alors que celle d’aujourd’hui est le fait d’investisseurs disposant de liquidités importantes, selon EFG-Hermes. En juillet, le Fonds monétaire international (FMI) a recommandé au gouvernement de Dubaï d’intervenir pour maîtriser les prix et éviter le risque d’une bulle. « Si les prix continuent à augmenter au rythme actuel, une action doit être entreprise pour empêcher une bulle », a déclaré le chef d’une mission du FMI aux Emirats arabes unis, Harald Finger.
Le Qatar s’est constitué un parc immobilier de plus de 6 milliards d’euros sur les dix dernières années en France dans le résidentiel très haut de gamme et les sites commerciaux ou touristiques de prestige à la faveur d’un régime fiscal dérogatoire, montrent des documents administratifs et juridiques consultés par Reuters.
Une quarantaine d’actifs immobiliers acquis par l’émirat du Qatar en France soit en direct, soit au travers de son fonds souverain ou encore par le biais d’investissements réalisés en propre par des membres de la famille régnante al Thani ont ainsi été identifiés.
L’émirat et son fonds souverain contrôle une dizaine de ses biens immobiliers pour une valeur totale de près de 3 milliards d’euros, selon les données compilées par Reuters.
Un fond créé par l’ex-émir, cheikh Hamad ben Khalifa al Thani, qui a abdiqué en juin en faveur de son fils cheikh Tamin, en détient neuf et ses enfants, dont le nouvel émir, six.
Les autres sont contrôlés soit par d’autres membres de la famille soit par des hommes d’affaires qui entretiennent des liens étroits avec la famille régnante comme Ghanim bin Saad al-Saad.
L’ancien émir du Qatar s’est ainsi porté acquéreur du célèbre showroom Citroën des Champs-Elysées mis en vente par PSA, qui confronté à d’importantes difficultés financières, a cédé pour deux milliards d’actifs en 2012.
Les Qataris bénéficient en France d’un régime fiscal dérogatoire controversé en vertu d’un accord bilatéral dont la dernière mouture remonte à 2008 et qui exempte d’imposition sous certaines conditions les plus values immobilières.
Il s’agissait notamment pour Paris de proposer des conditions au moins aussi attractives que Londres à un moment où la crise financière avait exacerbé la concurrence pour attirer les investissements des pays exportateurs de pétrole et de gaz, enrichis par l’envolée des cours, soulignent plusieurs experts. liure la suite sur Yahoo news…
Deux gigantesques gratte-ciel nommés « Al Bahar », équipés de panneaux solaires, se veulent la preuve du tournant que prennent les Emirats Arabes Unis en matière d’énergies renouvelables. Quelle est la particularité des deux tours Al Bahar situées à Abu Dhabi, hautes de 145 mètres et 29 étages, dans un pays où les températures atteignent régulièrement les 40 degrés ?
Réponse : des panneaux amovibles contrôlés par ordinateur, pouvant s’ouvrir comme se refermer selon les besoins, mais aussi selon les variations solaires. En effet, contrairement aux autres tours voisines, celles-ci sont dotées de panneaux solaires devant les vitrages ! Lire la suite sur Batiactus…
Le promoteur dubaïote Emaar, déjà propriétaire de marques de luxe, lance une nouvelle enseigne économique Dubai Inn, destinée au marché local. L’émirat de Dubaï table sur un doublement de nombre de visiteurs, passant de 10 à 20 millions avant 2020, et doit adapter son parc hôtelier en le diversifiant. C’est dans cette optique que le principal promoteur Emaar a décidé de lancer une nouvelle enseigne, sur le segment économique, avec plusieurs ouvertures conjointes en coeur de ville. Lire la suite sur Hospitality-on…
Altdorf (awp) – Le promoteur immobilier Orascom Developement Holding a nommé Hamza Selim au poste de CEO de sa division régionale Oman et de la coentreprise Muriya entre Orascom (70%) et la société publique de développement touristique Omran (30%). En conséquence, M. Selim, actuellement directeur de la division Destination Management, quitte la direction générale d’Orascom, indique le communiqué publié mardi soir.
Par ailleurs, Amin Serag a été nommé directeur Destination Management en Egypte, indique le communiqué.
Coup de théâtre ! Un fonds d’investissement du Qatar a décidé d’investir et de reprendre en main le projet Pôle Océan pour remodeler entièrement le front de mer de Saint-Denis. Trouvant que le projet de la municipalité manquait singulièrement d’envergure, il a proposé à Gilbert Annette de racheter entièrement le projet en vue de réaliser sur l’intégralité du Barachois, depuis le cimetière de l’Est jusqu’à la préfecture, afin d’y réaliser un « water front », du style de celui qui existe à Maurice. Le projet Pôle Océan, dans sa version actuelle, était estimé à environ 400 millions d’euros. Le fonds QIA ou Qatar Investment Autorithy est prêt pour sa part à mettre d’entrée de jeu 800 millions d’euros. Et se déclare disposé à mettre beaucoup plus, si nécessaire.
Gilbert Annette a d’ores et déjà donné un accord de principe pour la partie Pôle Océan. Des négociations plus compliquées vont maintenant devoir s’ouvrir avec les autres propriétaires de terrain concernés : Département pour les bâtiments en face de l’ancienne gare routière, et Etat pour les locaux de la DDE et de l’ancienne station RFO.. Lire la suite sur zinfos974.com
Le riche Etat pétrolier du Koweït prévoit de construire environ 174 000 logements d’ici 2020, a déclaré jeudi le ministre des Communications et de l’Habitat. Un projet qui coûtera plusieurs milliards de dollars. « Actuellement, nous avons plus de 100 000 demandes de citoyens voulant un logement. Ce chiffre croît de plus de 8 000 par an et nous nous attendons à avoir besoin d’environ 174 000 logements d’ici 2020, a indiqué le ministre des Communications et de l’Habitat Salem al-Othaina lors d’un débat au Parlement. D’ici 2020, nous prévoyons de construire trois nouvelles villes avec une capacité de 108 000 logements (…) Lire la suite…
Le petit émirat richissime place des milliards de dollars dans l’Hexagone. Le Qatar détient des hôtels de luxe, des parts dans nos fleurons industriels, des chaînes de télévision, le PSG… Tour d’horizon. Ce petit pays richissime prépare depuis plusieurs années l’après-hydrocarbures. Ces dernières années, le Qatar a tissé une toile d’investissements dans une quarantaine de pays et dans des secteurs diversifiés tels que la finance, l’industrie, l’énergie, l’hôtellerie, le luxe, l’immobilier, les médias, etc.
En France, le Qatar est accueilli en ami: à peine élu, en 2007, Nicolas Sarkozy soigne ses relations avec l’émir du Qatar, Hamad ben Khalifa al-Thani, qui enclenche alors une série d’investissements dans l’Hexagone. François Hollande au pouvoir, les relations ne se sont pas pour autant ternies. Tour d’horizon de ce que possède le Qatar et des Qataris en France. • L’immobilier de luxe dans le viseur
Alors que des investisseurs qataris sont prêts à mettre deux milliards d’euros sur la table pour s’offrir LePrintemps , ces derniers mois, la liste des hôtels et autres immeubles de prestige que le Qatar s’est offert s’est allongée.
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La Caisse de dépôt et de gestion (CDG) a récemment signé, à Rabat, un mémorandum d’entente avec le groupe koweïtien Al Taameer Real Estate Investment Company (Al Taameer), avec pour objectif de collaborer dans les métiers de l’immobilier et du tourismeÀ travers cet accord, les deux groupes manifestent leur volonté commune de collaborer dans les métiers de l’immobilier et du tourisme, indique un communiqué de la CDG, précisant que ce partenariat sera concrétisé à travers Al Taameer, filiale du groupe Al Massaleh opérant principalement dans le secteur du tourisme et de l’hôtellerie. Lire la suite « Koweit-Maroc: immobilier et tourisme »