Par La Rando

La France va livrer à l’Arabie saoudite des armes

Une vingtaine de sociétés françaises sont censées participer à ce contrat qui porte sur des équipements terrestres, maritimes et aériens. La France va livrer à l’Arabie saoudite des armes destinées à l’origine au Liban, qui devait financer ce contrat de trois milliards de dollars grâce à une aide de Riyad, a fait savoir samedi le ministre saoudien des Affaires étrangères. Les autorités saoudiennes, déçues par l’attitude de Beyrouth dans l’affrontement géopolitique qui les opposent à l’Iran, ont suspendu le mois dernier ces financements, ainsi qu’une autre aide d’un milliard de dollars.

« Les contrats seront bien appliqués mais le destinataire sera l’armée saoudienne », a déclaré Adel al Jubeir à des journalistes lors d’une visite à Paris. Le royaume wahhabite avait promis cette aide financière à l’armée libanaise en 2013, avant de la concrétiser par un accord signé en novembre 2014 à Paris. Lire la suite sur Latribune…

Par La Rando

Cette française qui construit des autoroutes au Qatar

Embauchée dans le cadre du Volontariat international en entreprise, Julie Couegnat a débuté sa scolarité à l’école du Quesnay (Manche) à 2 ans et demi. À 24 ans, elle construit des autoroutes au Qatar. Née en 1992, Julie Couegnat est issue d’une famille de bâtisseurs. Son père Yannick, ses deux frères Alan et Renaud, un oncle et un cousin sont dans les travaux publics. Lire la suite « Cette française qui construit des autoroutes au Qatar »

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Le Koweït s’intéresse aux entreprises françaises innovantes

Lors de la visite du premier ministre koweïtien à Matignon, un accord a été signé pour que les deux pays investissent ensemble dans de jeunes entreprises technologiques de l’Hexagone. Ils ont réservé une enveloppe de 450 millions d’euros.

La France cherche à attirer des investisseurs étrangers pour ses start-up et PME, pas seulement pour ses grandes entreprises. Mercredi, Manuel Valls a signé un accord avec le premier ministre du Koweït cheikh Jaber Al Moubarak Al Hamad Al Sabah pour que les deux pays investissent dans de jeunes entreprises technologiques françaises. Ils y consacrent une enveloppe de 450 millions d’euros, dont 300 millions sont apportés par l’État du Moyen-Orient. Bpifrance apporte le restant des fonds, la banque publique jouant davantage le rôle d’un conseiller que d’un co-investisseur. «Bpifrance étant le plus gros investisseur en capital-risque en France, le Koweït a reconnu notre grande expertise en la matière», explique Pascal Lagarde, directeur de la stratégie de Bpifrance. En 2014, une entreprise sur deux financée directement ou indirectement par Bpifrance était innovante: 473 sociétés ont reçu 563 millions d’euros au total.

L’argent koweïtien ne sera pas directement investi dans des entreprises, mais apporté à des fonds de capital-risque français. Ceux-ci seront chargés à leur tour de choisir les sociétés les plus prometteuses que ce soit dans les technologies de l’information, des biotechnologies ou des écotechnologies. «Les jeunes entreprises technologiques sont les plus difficiles à identifier pour les investisseurs étrangers. Ce sont des investissements risqués, mais ils permettent de constituer l’économie de demain», souligne Pascal Lagarde. Il ajoute que les liens avec le Koweït peuvent permettre aux start-up françaises de s’installer plus facilement dans les marchés du Moyen-Orient.

D’autres fonds bilatéraux à venir

Bpifrance a déjà noué un accord comparable avec la China Development Bank. Cette coopération, à l’œuvre depuis trois ans, vise à favoriser les échanges commerciaux entre les deux pays grâce à des investissements dans des PME françaises et chinoises. Un troisième fonds franco-chinois vient d’être créé, qui devrait atteindre 250 millions d’euros. Cette somme sera investie dans des start-up du digital (Big Data, Internet des objets, voiture connectée…).

En février 2014, la Caisse des dépôts et consignations avait aussi signé un accord avec le fonds souverain du Qatar pour que les deux pays investissent dans des PME françaises. Bpifrance est en contact avec d’autres pays non-européens pour mettre en place ce type de fonds bilatéraux. Les discussions avec le Brésil sont les plus avancées.

 

Source  lefigaro.fr

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Les acquisitions immobilières en France par des non-résidents

Les acquisitions immobilières en France par des non-résidents retrouvent le chemin de la croissance, selon le baromètre de l’observatoire BNP Paribas International Buyers. En 2014, le nombre de transactions sur ce marché a progressé de 1,5 %, après un recul de 1 % en 2012 et de 13 % en 2013. Cette Lire la suite « Les acquisitions immobilières en France par des non-résidents »

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Qatar, premier investisseur en France ?

92% des investissements étrangers en France proviennent de pays développés. On est loin de l’invasion par les émergents redoutée par certains. Non, le Qatar n’est pas le premier investisseur en France. Ni la Chine d’ailleurs. Un rapport de deux députés, François Scellier (apparenté UMP) et Philippe Kemel (PS) publié ce mercredi, fait le point sur les investissements étrangers en France, en compilant nombre de Lire la suite « Qatar, premier investisseur en France ? »