C’est un fait, nous souhaitons tous avoir du succès dans nos vies de leaders et d’entrepreneurs. Que ce soit dans le domaine de la vie familiale, l’amour et bien entendu de nos affaires. Nous savons tous à quel point le travail, le sérieux la compétence sont importants mais il y a quelque chose de plus qui peut nous permettre de compresser les années d’apprentissage en mois pour aller plus vite. Le secret est dans l’attitude et les clés du leadership pour faire toute la différence.
Si vous pensez ne rien avoir à apprendre à ce sujet, inutile de poursuivre la lecture de cet article ou même de découvrir une entrevue unique de l’un des grands leaders nord-américains du monde des affaires, le célèbre Charles Sirois.
Pour la première fois j’ai le grand plaisir de recevoir ce grand leader dans notre capsule du mardi. Alors que Charles Sirois se rendait quelques jours plus tard à la réception privative donnée en l’honneur des 90 ans du Président Israélien Shimon Peres, il a accepté de nous recevoir dans ses bureaux du 38 ème étage du boulevard René Lévesque de Montréal.
Si vous avez besoin de repères, d’outils, et d’inspiration en affaires ou dans votre carrière provenant d’un homme qui a signé les plus belles réussites et créé des milliers d’emplois dans le monde, vous allez trouver dans cet homme unique une vraie source de vitamine C pour repartir du bon pied. Président de banque, précurseur en télécommunication au Québec, fondateur d’une centaine d’entreprises sur plusieurs continents, fondateur de Fido et de la fondation internationale Enablis, Charles Sirois nous invite dans cet entretien exclusif à faire la différence pour remporter nos propres défis pour un monde meilleur.
Des perspectives d’affaires stables et l’amélioration des conditions du business ont poussé, pour le deuxième trimestre de cette année, l’Indice composite de Confiance des Entreprises (BCI) à 120,7 points à Dubaï ; une augmentation de 14,6 points par rapport à la même période en 2012.
Le BCI a également augmenté de 6,7 points entre les deux premiers trimestres de 2013, comme on le voit dans l’enquête trimestrielle sur la confiance des entreprises, enquête effectuée par le Département du Développement Economique (DED) à Dubaï.
Plus de 83% des entreprises dubaïotes s’attendent à une augmentation ou, à tout le moins, à peu de changement dans le volume des ventes au cours du troisième trimestre de 2013, alors que beaucoup d’entreprises prévoient d’investir dans l’embauche ou dans la mise à niveau technologique. Les entreprises d’exportation et les grandes sociétés sont en général plus confiantes en ce qui concerne les volumes de ventes, la rentabilité et les prix, par rapport aux petites et moyennes entreprises (PME).
« Dubaï a mis l’accent sur l’alignement de son environnement « business » avec ceux des meilleures économies mondiales. Ces efforts se traduisent par une confiance croissante pour les entreprises. Selon les estimations actuelles, le PIB réel de Dubaï a augmenté de 4,1% au premier trimestre de 2013, suivi par la hausse de 4,7 % au T2. Les secteurs non-pétroliers ainsi que le commerce ont prospéré et les tendances actuelles confirment que cette croissance continuera », a déclaré Son Excellence Sami Al Qamzi, directeur général du DED.
Les perspectives d’affaires pour le 3ème trimestre 2013 reste stables avec 93% des entrepreneurs ayant répondu avoir perçu une amélioration ou une stabilité de la conjoncture économique. Les entreprises du secteur de la fabrication sont très optimistes en ce qui concerne les bénéfices ; les entreprises de services ont souligné qu’il y avait plus d’opportunités pour l’embauche, tandis que les sociétés d’import-export sont les plus positives en ce qui concerne les volumes vendus, en particulier les branches alimentaires qui s’attendent à une plus forte demande durant le Ramadan.
L’enquête montre que 43% des entreprises s’attendent à une amélioration de leur chiffre d’affaires au 3ème trimestre 2013, tandis que 40% prévoient des résultats stables. L’augmentation du chiffre d’affaires continuera à être dopée par une croissance de l’activité réelle (volumes) ; les prix devraient rester globalement stables, avec 79% des entreprises qui ne s’attendant à aucun changement de prix de leurs produits.
Les attentes de rentabilité sont en phase avec les prévisions générales de ventes ; 43% des entreprises s’attendent à une augmentation basée sur l’expectative de gagner de nouveaux contrats avec de meilleures marges bénéficiaires. Lire la suite sur WAM…
Le Qatar vient d’annoncer la visite officielle du président François Hollande les 23 et 24 juin prochain à Doha. Pour Pierre-Marie Relecom, président fondateur du cabinet Relecom & Partners, c’est l’occasion pour accorder un important soutien institutionnel à la conclusion de contrats. Entre la coupe du monde de football 2022, et une pénurie d’eau prévue pour 2014, les opportunités commerciales ne manquent pas au Qatar pour les entrepreneurs français. Voici, quelques conseils pour qu’ils sachent en tirer profit…
Préambule: le Qatar est un petit bout de désert à la frontière de l’Arabie et proche des Emirats, qui recèle aujourd’hui quelques-unes des plus grandes réserves de gaz LNG au monde, qu’il partage avec son voisin d’en face, l’Iran… Le Qatar compte 1 900 000 habitants, 200 000 qataris, et réellement une centaine qui tiennent les rênes du pays.
Ceux-là ont étudié, pour la plupart, en Angleterre ou aux Etats-Unis, et sont pour certains des proches du Prince héritier. Pour autant, ils ne sont pas tous issus d’une grande famille. Ainsi, si l’on retrouve le Sheikh Farhad al Attyiah à la tête de l’important Qatar National Food Security Program, l’on peut aussi citer le très respecté ingénieur Ghanim Al Ibrahim qui a été le porteur du projet Railways, Assad El Thawadi à la tête du comité Qatar 2022 ou Nasser Al-Khelaïfi, ancien joueur de tennis et désormais figure incontournable au Qatar, puisqu’il est directeur général d’Al-Jazeera Sport et Président du Paris Saint-Germain. Et c’est là tout le paradoxe de cette jeune garde: elle comprend à la fois des jeunes travailleurs acharnés et volontaires, et d’autres, plus oisifs.
Jeunesse gâtée
Car, jusqu’à récemment, les qataris étaient un peuple de bédouins, c’est-à-dire que toutes les personnes qui ont aujourd’hui plus de 45-50 ans, ont vécu sous des tentes sans la climatiSation, connaissent la vie dure et n’ont pas eu accès à une éducation poussée. S’ils n’ont pas les connaissances techniques, ces qataris sont par contre doués d’une intelligence intuitive remarquable qui nous est peu connue.Fort de ce constat, l’Emir a voulu mettre à profit l’argent du gaz naturel liquéfié pour permettre à son peuple de rentrer de plein pied dans le 21è siècle. Le revers de la médaille est une jeune génération qui a tout ce qu’elle souhaite sans effort comme ses parents. Cette oisiveté a plusieurs conséquences sociétales et économiques : à la fois la perte de l’intelligence intuitive mais également l’apparition de l’obésité ! A tel point que l’Etat du Qatar va jusqu’à payer les jeunes qataris pour leur faire pratiquer du sport.
Le monde entier se prosterne devant ce petit émirat, espérant pouvoir profiter de sa manne gazière qui coulera à flot pour encore une bonne trentaine d’années. Une fois que l’on a ces quelques éléments en tête, peut-être est-il plus simple de comprendre et d’appréhender le business avec les Qataris.
Jeux de cour, et milliards à investir
Pour ceux qui désirent en savoir plus avant de s’y rendre, je les invite vivement à lire le livre de Georges Malbrunot et Christian Chesnot « Qatar : les secrets du coffre-fort ». Cela fait plus de 4 ans que j’y passe 10 jours par mois, j’ai beaucoup lu sur le sujet. Mais la retranscription qu’ils font du Qatar est le plus justement dite dans leur livre. Un pays ambigu et complexe où l’apparence officielle dissimule toujours des jeux de cour et d’équilibre entre les clans…
Toutefois, on parle beaucoup des investissements qataris en France mais qu’en est-il des Français au Qatar ? La situation économique dans l’UE est-elle à ce point bien portante que l’on peut faire l’impasse sur des pays à fort potentiels, comme le Qatar ou l’Arabie Saoudite ? J’ai le privilège d’accompagner quelques groupes dans leur développement à l’International et, à part le Qatar, je ne connais que l’Arabie Saoudite qui supplante ce petit émirat en termes d’opportunités de business. Ils ont entre USD 50 et 70 milliards à investir tous les ans qui sont autofinancés par le LNG. Aussi, il me semble des plus à-propos que l’on s’y intéresse d’un peu plus près et que nos entreprises françaises aient le soutien qu’elles méritent. Nos concurrents, qu’ils proviennent d’Asie, d’Europe, d’Amériques (Nord et Sud) l’ont bien intégré et les Etats soutiennent efficacement et durablement leurs entreprises en envoyant, en sus de la représentation locale, des délégations régulières de ministres ou premier ministres de premier plan.