Par La Rando

Production de légumes aux Emirats Arabes Unis

Environ 1200 exploitations agricoles travaillant en collaboration avec le Centre de services des agriculteurs d’Abou Dhabi (ADFSC) devraient produire 10 000 tonnes de plus de légumes au cours de la prochaine saison agricole, selon un haut fonctionnaire.
Les fermes devraient produire 38 000 tonnes de légumes d’une valeur de Dh60 millions au cours de la saison 2014-2015, à comparer à 28 000 tonnes d’une valeur de Dh45 millions au cours de la dernière saison, affirme Marten Aguirre, Directeur commercial chez ADFSC.
ADFSC est un organisme du gouvernement d’Abou Dhabi chargé de développer une agriculture durable dans l’émirat.
Le nombre total des cultures sera réduit à 36 dans cette saison contre 42 la saison dernière, déclare Aguirre, car ‘’nous nous concentrons sur les produits de première qualité.’’
Bien que l’émirat compte environ 24 000 exploitations agricoles, seulement 3000 à 4000 exploitations ont une eau de qualité pour produire des légumes. Environ 1200 d’entre eux ont un contrat avec l’ADFSC pour développer et mettre en œuvre un plan de culture durable.
D’après un rapport de l’Agence de l’Environnement Abou Dhabi en 2011, les produits agricoles locaux constituaient 15 pour cent de la part totale du marché à Abou Dhabi.
Le Centre demande aux agriculteurs de présenter leur intérêt pour mettre en œuvre son plan de culture d’hiver avant le 15 juillet. Les fermes ayant un contrat avec le centre obtiennent le prix minimum garanti qui couvre le coût de la production même lorsque les prix de marché descendent en dessous du plafond.
Le Centre vend le produit à 40 clients, y compris les grossistes, les détaillants, les militaires et les hôtels. Les souks à travers l’émirat vendent également les produits de marque comme “Local Harvest’’

Source: Gulf News

Par La Rando

Les Emirats Arabes Unis attirent les cerveaux

Les pays occidentaux attiraient les plus brillants des diplômés du monde entier. Ce n’est plus le cas. Les Emirats Arabes Unis, par exemple, attirent désormais plus de cerveaux qu’ils n’en perdent. Par Mohammed bin Rashid Al Maktoum, vice-président et Premier Ministre des Emirats Arabes Unis et Gouverneur de Dubaï.

En 1968, alors que j’étudiais à la Mons Officer Cadet School en Grande Bretagne, je dus me rendre dans un l’hôpital. J’y rencontrai un médecin qui à ma grande surprise maîtrisait parfaitement l’arabe. Il me raconta qu’il venait d’arriver dans le pays ; je lui demandais alors s’il avait l’intention d’y rester longtemps ou s’il comptait rentrer dans son pays. En guise de réponse, il me rappela un dicton arabe qui pourrait se traduire ainsi : « Là où je me restaure est ma maison.» Ses mots me sont restés en mémoire des années durant, parce qu’ils traduisaient la contradiction entre notre vision idéalisée du « foyer » et les dures réalités de la vie qui poussent des individus compétents à le quitter.
Le parfait exemple de la fuite des cerveaux

Ce médecin était le parfait exemple de ce que l’on appelle la fuite des cerveaux, un phénomène qui afflige les pays en développement depuis des décennies. Ces pays investissent leurs maigres ressources dans l’éducation et la formation de médecins, d’ingénieurs et de scientifiques dans l’espoir qu’ils deviendront les moteurs de la prospérité. Mais ils observent ahuris leur migration vers l’Ouest qui anéantit la promesse de leurs talents.

Chacun a bien sûr le droit de désirer une vie meilleure. Nous comprenons les raisons de leur départ. Les opportunités attirent, tel un aimant, les compétences.
Un interminable cercle vicieux

Pour les pays qu’ils laissent derrière eux, cependant, il semble que ce soit un interminable cercle vicieux : ils ont besoin de compétences pour créer des opportunités ; mais sans opportunités, les compétences n’ont d’yeux que pour les lumières qui scintillent en Occident. Les Etats-Unis et l’OCDE ont constaté que les migrations professionnelles ont augmenté d’un tiers depuis 2000. Un diplômé d’université sur neuf en Afrique vit et travaille aujourd’hui en Occident. Beaucoup ne reviendront pas : les professionnels qualifiés ont six fois plus de probabilité de ne pas rentrer.
Une inversion de tendance ?

Mais quelque chose de remarquable est en train de s’opérer. Dans certains pays, la fuite des cerveaux connaît une inversion de tendance. Les causes fascinent, et il y a de bonnes raisons d’être optimiste quant à une sortie de ce cercle vicieux dans un mouvement qui réajustera l’équilibre entre espoir et opportunités entre les pays en développement et les économies développées.

Une nouvelle étude réalisée par LinkedIn, le plus grand réseau professionnel du monde et une plateforme majeure de recrutement en ligne, a mesuré les flux internationaux nets de compétences de ses membres. La première destination de ces cerveaux est mon pays, les Emirats Arabes Unis (EAU), qui ont récupéré 1,3% (en net) de ces talents en 2013. Parmi les autres « aimants de compétences, » on retrouve l’Arabie Saoudite, le Nigéria, l’Afrique du Sud, l’Inde, et le Brésil.
Les pays européens subissent la fuite des cerveaux

Plus intéressant, moins d’un tiers des importateurs nets de cerveaux sont des pays développés : les premiers exportateurs nets de cerveaux dans cette étude sont effectivement l’Espagne, la Grande Bretagne, la France, l’Italie, et l’Irlande. Les pays riches, qui il y a encore peu de temps dissuadaient nos esprits les plus brillants, sont aujourd’hui en train de nous envoyer les leurs. Bien sûr, ces chiffres proviennent d’une seule étude, et nombre de pays pauvres subissent encore un exode de leurs cerveaux. Les données de l’OCDE montrent que de nombreux pays en Afrique et en Amérique Latine ont des taux d’émigration de leurs diplômés supérieurs de l’ordre de 50%.

Nous savons que la fuite des cerveaux relève souvent autant de la sécurité et de la sûreté que d’opportunités économiques. Une partie de la tragédie qui se joue dans les pays du Moyen-Orient enferrés dans les conflits et l’instabilité est que, si seulement leurs fils et filles les plus compétents pouvaient mettre leur connaissances au service de leur pays, ils constitueraient une partie de la solution: ils seraient des agents de paix par le développement. Il est donc de la plus grande importance d’analyser comment certains pays en développement sont parvenus à inverser la tendance de ces flux.
Des opportunités de plus en plus rares en occident

L’ingrédient de base est l’opportunité. Les cerveaux affluent naturellement vers les pays qui créent un environnement favorable à la croissance économique ; voilà qui facilite la vie des entreprises, attire et accueille les investissements, et nourrit une culture de la réussite. Les compétences sont attirées par les défis et les possibilités. Les opportunités à cette échelle deviennent de plus en plus rares en Occident. Mais ce n’est pas le cas dans le monde en développement – du moins dans les pays qui ont l’envie et la détermination de déployer une gouvernance forte et qui continuellement augmentent leur compétitivité.

Deuxièmement, la qualité de la vie est très importante. Dans la génération précédente, de nombreux individus compétents auraient considéré le fait de travailler en dehors de l’Occident comme une « épreuve ». Aujourd’hui, les standards de vie aux EAU, par exemple, sont parmi les plus élevés du monde. Nous avons démontré que faire en sorte d’enrayer la fuite des cerveaux, c’est aussi faire en sorte de créer une vie meilleure pour les citoyens et les résidents. Finalement, l’une des principales activités de tout gouvernement est de créer du bonheur.
Bâtir un îlot d’opportunités

Notre histoire est faite de grands espoirs pour le Moyen-Orient en particulier, où des générations de conflits et de désespoir ont entraîné d’importants mouvements migratoires. J’ai toujours défendu l’idée qu’au delà de la bonne gouvernance, les meilleures solutions aux désaccords et aux conflits du monde arabe reposent sur le développement par la base et les opportunité économiques. Nous avons désormais démontré qu’il est possible d’inverser les forces qui avaient attiré nos plus talentueux jeunes gens.

Une autre source d’espoir : cette transformation peut être remarquablement rapide. Les études montrent que les petits pays sont proportionnellement particulièrement touchés par cette fuite des cerveaux. Mais nous avons aussi démontré que même pour un petit pays comme les EAU, et même dans une région divisée par les conflits, cela vaut la peine de bâtir un îlot d’opportunités.
Un indice du degré de développement

Mais permettez-moi d’être clair : inverser la fuite des cerveaux demande bien plus que de simplement reboucher la fuite. Cela signifie de faire d’un cercle vicieux un cercle vertueux. En attirant les meilleures compétences d’où qu’elles proviennent, nous pouvons créer une société dynamique et diversifiée qui génère l’innovation et la prospérité – et qui donc ne cesse d’attirer toujours plus de compétences.

Pour que cela fonctionne, nous devons avoir foi dans les individus. Les hommes – leurs idées, leurs innovations, leurs rêves et leurs relations – sont le capital de l’avenir. Dans ce sens, « la récupération des cerveaux » n’est pas tant une prouesse en soi : elle n’est que le principal indice du degré de développement, parce là où se retrouvent de grands esprits, de grandes choses se réaliseront demain.

Traduit de l’anglais par Frédérique Destribats

Copyright: Project Syndicate, 2014. www.project-syndicate.org

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Dubai Time Lapse

Découvrez Dubai en Time lapse! Aujourd’hui, la dénomination accéléré est souvent abandonnée dans le grand public, au profit de time-lapse, qui est un effet d’ultra accéléré, réalisé image par image, technique caractéristique de l’animation, mais aussi technique de base de la photographie. L’économie des Émirats arabes unis, dont la balance commerciale est largement excédentaire, est étroitement liée à l’industrie du pétrole et du gaz naturel qui représentent un tiers du PIB.  Depuis 1971, les Émirats arabes unis sont passés d’un niveau de vie très bas au quatrième PIB par habitant au niveau mondial. La ville en témoigne et cette vidéo aussi. Découvrez cette belle vidéo de Dubai.

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Les expatriés britanniques aux Emirats arabes unis

Les Emirats se classent comme le troisième meilleur pays pour les expatriés britanniques selon l’Index sur la qualité e la vie de NatWest International Personal Banking (NatWest IPB).
L’Australie et le Canada continuent de tenir les premières places dans l’indice, mais les Emirats Arabes Unis réalisent une impressionnante percée à la troisième place.
Pour 75 pour cent des expatriés, les opportunités de carrière sont le principal moteur de leur choix. Dave Isley, chef de la banque NatWest International Personal, déclare : “L’appréciation des communautés expatriées pour la France, l’Espagne et le Portugal est en baisse,
la qualité de vie se réduisant considérablement pour les expatriés qui y vivent, et la tendance ouvre la voie aux nouveaux arrivants tels que les Emirats Arabes Unis et le Singapour. Il semble que les expatriés sont prêts à modifier leur mode de vie en échange d’une économie plus forte et de meilleures opportunités d’emploi.”
Malgré la popularité croissante des Emirats, les estimations du nombre total de citoyens britanniques vivant à l’étranger ne reprennent pas les Emirats dans le top 10.
Selon la Banque mondiale (en 2011), il y a actuellement 4,7 millions d’émigrés britanniques résidant à l’étranger, principalement en Australie, Etats-Unis, Canada et Espagne. 

Source:  Emirates 24 │ 7

Par La Rando

Tourisme et santé aux Emirats Arabes Unis

A l’invitation du Conseil National des Médias, une équipe de télévision française se trouvait à Abu Dhabi ces jours-ci afin de mettre en  valeur le patrimoine touristique de la ville. Au programme, la mise en perspective de l’hôtel Ritz Carlton Abu Dhabi qui a beaucoup impressionné les techniciens.  Remarquable décor naturel pour des images surprenantes qui devraient tourner en boucle tout l’été sur les chaînes du câble et du satellite.

La chaîne de télévision française « Ma Chaîne Sport », spécialisée dans la diffusion de programmes sportifs et de bien être a fait d’Abu Dhabi sa destination privilégiée. Déjà partenaire du Conseil National des Médias à l’occasion du projet « EXPO 2020 », elle récidive cette année avec une initiative  originale.  Avec le concours de Christophe Ruelle, un coach sportif de très haut niveau, elle a organisé dans les jardins et la plage du Ritz Carlton une série de  tournages exceptionnels autour de la forme, du bien être et du tourisme. Malgré la chaleur du mois de juin, les techniciens et le personnel de l’hôtel Ritz Carlton ont réalisé des programmes autour du bien être et de la santé dans un cadre touristique exceptionnel offert par la ville d’Abu Dhabi.  Pas moins de 13 programmes de 26 minutes ont été tournés pendant les 3 jours de visite de l’équipe de télévision. Une prouesse.

Ces programmes feront l’objet de multiples diffusions à partir de cet été. Nul doute que l’originalité de l’initiative ajoutera de la plus value à l’image d’Abu Dhabi.

Source: frenchwam

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Dubai Mall va entrer en Bourse

C’est le plus grand centre commercial du monde. Le Dubai Mall va faire son entrée en Bourse sur le Dubai Financial Market (DFM). Son actionnaire Emaar Properties a annoncé son intention de placer 25 % du capital de sa division « distribution » en Bourse. Il réfléchissait, jusqu’ici, à une cotation conjointe sur le Nasdaq de Dubai et à la Bourse de Londres. Mais il a obtenu une dérogation, afin de pouvoir placer moins de 55 % de son capital en Bourse et a donc choisi le DFM. Morgan Stanley et JP Morgan vont diriger l’opération. La date n’a pas été précisée, mais l’IPO pourrait intervenir à la rentrée, après le ramadan.

Emaar Properties, coté également sur le DFM, tire plus de la moitié de ses revenus de cette division, qui regroupe des centres commerciaux et des hôtels pour un total de 539.000 mètres carrés, dont le Dubai Mall qui attire chaque année plus de 75 millions de visiteurs. Le groupe profite de la renaissance du marché immobilier de l’émirat, après le krach de 2008.

source: Lesechos.fr

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Les Emirats Arabes Unis attirent les jeunes des pays arabes

Les Emirats Arabes Unis émergent comme le pays le plus désiré au monde pour la jeunesse arabe, selon un nouveau sondage.
L’Enquête sur la jeunesse arabe de 2014, menée par Asdaá Burson-Marsteller, démontre également une première place pour les Emirats Arabes Unis parmi les pays à imiter pour les autres nations.
L’enquête auprès de 3.500 ressortissants arabes entre 18-24 ans a été menée dans 16 pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, y compris la Palestine, le plus récent ajout à l’étude annuelle.
A la demande de nommer le pays dans lequel ils aimeraient vivre le plus sur une liste de 20 pays, dont les Etats-Unis d’Amérique, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne, la jeunesse arabe cite à nouveau les Emirats Arabes Unis comme le premier choix, et ce pour la troisième année consécutive.
Sur les 3 500 ressortissants de pays choisis au hasard, 39 pour cent ou deux sur cinq répondants, choisissent les Emirats Arabes Unis comme le pays où ils voudraient vivre, en battant les Etats-Unis en deuxième place avec près de la moitié des répondants ou seulement 21 pour cent.
L’Arabie Saoudite est classés à la troisième place avec 14 pour cent, juste devant la France (13 pour cent). Les Emirats affichent une forte augmentation d’année en année, en hausse de 30 pour cent en 2013.
Sept sur 10 jeunes émiriens (69 pour cent) étaient d’accord avec l’énoncé « Je suis optimiste sur l’avenir pour mon pays », plus que tout autre groupe national et beaucoup plus que la moitié des répondants (55 pour cent) globalement.
Sunil John, directeur général d’Asdaa Burson-Marsteller, déclare : « La popularité des Emirats Arabes Unis est probablement le reflet des solides perspectives et du statut de valeur refuge dans la tourmente politique régionale. »
L’Enquête sur la jeunesse arabe, qui a commencé dès septembre 2013, a vu 300 ressortissants émiriens participant à l’étude, avec 40 pour cent des correspondants de Dubaï et d’Abou Dhabi et 20 pour cent de Sharjah.

Source: Emirates 24 │ 7

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La politique étrangère des Emirats Arabes Unis

Le Vice-président et Premier ministre des Emirats Arabes Unis et Souverain de Dubaï, Son Altesse Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, a mis en évidence la politique étrangère des Emirats, basée sur la paix, le développement et l’ouverture à l’amitié avec le monde entier.
Son Altesse s’exprimait lors de la réunion du Cabinet hier au Palais présidentiel en présence de Son Altesse Lieutenant-général Cheikh Saif bin Zayed Al Nahyan, Vice-Premier ministre et Ministre de l’Intérieur, et de SA Cheikh Mansour bin Zayed al Nahyan, Vice-Premier ministre et Ministre des affaires présidentielles.
Lors de la réunion, le Cabinet a approuvé la demande des Emirats pour être membre associé au sein du Comité d’aide au développement affilié à l’Organisation de coopération et de développement économique, et a également approuvé la nomination de Hamad Obaid Al Mansouri au poste de directeur général de Smart Gouvernement des Emirats.
En termes d’accords internationaux, le Cabinet a approuvé l’accord sur le transport maritime entre les Emirats et l’Algérie, visant à renforcer et à développer les relations économiques et commerciales entre les deux pays.
Dans le domaine des accords de transport aérien, le Cabinet a approuvé l’accord sur la réglementation des services de transport aérien entre le gouvernement des Emirats et les gouvernements de l’Argentine, du Kosovo, de la Zambie et du Cambodge.
Il a également approuvé la signature d’un accord de coopération et d’assistance administrative mutuelle dans les affaires douanières entre les Emirats et les Maldives.

Source: Agence de Presse des Emirats, WAM

Par La Rando

Commerce entre Dubai et le Mexique

Le commerce entre Dubaï et le Mexique enregistre une forte croissance, le Mexique se classant comme le 45e partenaire commercial de Dubaï et avec une augmentation de près de 27 pour cent des échanges, augmentant de Dh0,2 milliards en 2012 à Dh4,1 milliards en 2013.
Le président de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de Dubaï, Hamad Buamim, a exhorté les entrepreneurs de Dubaï à utiliser pleinement leur expérience dans les domaines respectifs et de bénéficier du potentiel de croissance du Mexique.
Buamim parlait au siège de la Chambre à Dubaï au cours du premier Country Focus Briefing de l’année organisé par la Chambre de Dubaï en association avec l’Ambassade du Mexique, ProMéxico et l’Economist Intelligence Unit.
” Pour Dubaï, le commerce est la pierre angulaire de notre économie.

Les besoins de Dubaï et du Mexique ont une influence positive sur le commerce bilatéral et l’investissement. Dans le moyen et long terme, nous voyons un potentiel de croissance mutuelle et d’excellentes possibilités de coopération,’’ déclare le président de la Chambre.
Francisco Alonso, Ambassadeur du Mexique aux Emirats Arabes Unis, déclare que les Emirats et le Mexique jouissent maintenant de relations bilatérales profondes. Le Mexique est particulièrement intéressé à promouvoir le flux de touristes en provenance des Emirats Arabes Unis.

Source: The Gulf Today

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Festival Qasr Al Hosn Abu Dhabi

Le principal événement culturel d’Abou Dhabi de l’année, le Festival Qasr Al Hosn, permet de nouveau d’informer les hommes, les femmes et les enfants d’une multitude de nationalités sur les différentes facettes de la culture émirienne.
«J’ai appris beaucoup de choses sur la culture et l’archéologie des Emirats, » déclare Lisa Fahlgren, une mère suédoise de 34 ans avec trois enfants et ayant visité le Ladies Day pour y découvrir le souk authentique avec des exemples uniques de l’artisanat émirien.
Les spectacles culturels des hommes vêtus de vieux uniformes de l’armée des Emirats y défilent à l’accompagnement de la cornemuse, flûtes, tambours et autres instruments de musique. Le fort Qasr Al Hosn accueille aussi des récitals de poésie, des pièces de théâtre et des danses culturelles dans un ensemble de fête unique rassemblant les bénévoles, les participants, les organisateurs et les gestionnaires d’événements.

Source: Gulf News.com