La compagnie aérienne la plus puissante du Golfe organise des journées de recrutement à Paris, Lyon, Bordeaux et Marseille. Emirates, lancé en oct 1985, est actuellement la 3è compagnie mondiale et devrait passer leader en 2014. Visite très ouverte sur les raisons de ce succès et les quelques contreparties que cela impliquent. Emirates est une compagnie aérienne basée à Dubaï, elle est la plus importante compagnie des Émirats arabes unis. Emirates figure parmi les 10 premières compagnies aériennes mondiales par le nombre de passagers internationaux en 2011, avec environ 30 millions de passagers. Découvrez le reportage Complément d’enquête passé sur France 2.
Documentaire Les dessous de Dubaï la ville du désert 2013. Dubaï, est d’ailleurs devenue en plus d’une ville moderne, puissante, et organisée, le plus grand front de mer du monde. Dubaï étant le hub de la compagnie Emirates, de nombreux passagers se retrouvent … de sortir de l’aéroport pour visiter les principaux centres d’intérêt de la ville. Surgie de terre en quelques années, Dubaï est, féerique et extravagante selon les uns, absurde et délirante pour d’autres. La prouesse technologique et commerciale ne peut, en tout cas, laisser personne indifférent… Découvrez ce magnifique reportage sur Dubaï, la ville qui ne dort jamais!
Le président russe Vladimir Poutine a accueilli hier à sa résidence de Novo-Ogarevo une délégation d’Abu Dhabi, qui a conclu la veille avec le Fonds russe d’investissements directs (RFPI) un contrat record de 5 milliards de dollars d’investissements dans l’infrastructure du pays. Cette implication des EAU et d’autres pays du Golfe via le RFPI est certainement appelée à stabiliser la position extérieure de la Russie sur les principales questions régionales au Moyen-Orient, notamment le dossier syrien, écrit vendredi le quotidien Kommersant.
La délégation des Emirats arabes unis (EAU) était présidée par Mohamed Ben Zad al-Nahayan – prince héritier d’Abu Dhabi et adjoint du commandant des forces armées des Emirats. Par ailleurs, pendant la phase ouverte de l’entretien qui s’est tenu à moins d’une journée des pourparlers à Genève entre les ministres des Affaires étrangères russe et américain Sergueï Lavrov et John Kerry, les parties ont évoqué des sujets qui n’avaient rien à voir avec les questions de défense. Poutine a ainsi salué la signature, la veille, d’un mémorandum de coopération financière entre le RFPI et le département des Finances d’Abu Dhabi.
Et ce n’est pas qu’une déclaration d’intentions : l’accord sur les investissements d’Abu Dhabi dans l’infrastructure russe sera préparé d’ici trois semaines. Le document reposera sur l’accord signé en juin 2013 entre le RFPI et le fonds souverain des EAU Mudabala pour la création d’un fonds d’investissement commun de 2 milliards de dollars. Au total, le département des Finances d’Abu Dhabi a l’intention d’investir jusqu’à 5 milliards de dollars dans les 5 à 7 prochaines années via le RFPI.
Abu Dhabi s’intéresse avant tout au programme d’investissements dans l’infrastructure du pays. En particulier le périphérique central, le projet de reconstruction de l’autoroute fédérale M11 et des projets dans le domaine des télécommunications et de l’infrastructure énergétique. Lire la suite sur Rianovosti…
Le groupe de construction émirati, Arabtec Holding PJSC, basé à Abou Dhabi, a augmenté de 20% en moyenne les salaires de 36.000 de ses ouvriers, rapporte lundi l’agence de presse officielle Wam.
Cette augmentation s’inscrit dans le cadre des efforts fournis par les Emirats arabes unis pour garantir (aux ouvriers ) un environnement professionnel exemplaire, relève l’agence, qui ajoute qu’elle vise aussi à mettre en relief la protection (par ce pays du Golfe) des droits des ouvriers.
Dans une déclaration diffusée par la chaîne Abou Dhabi TV, le directeur du personnel au sein d’Arabtec, Hani Hirzallah, a qualifié de très importante l’augmentation des salaires des ouvriers, ces derniers étant la colonne vertébrale du groupe.
Cette information intervient alors qu’un autre pays du Golfe est accusé d’esclavagisme. Jeudi dernier, la Confédération internationale des syndicats (ITUC) a lancé, dans les colonnes du Guardian, des accusations de travail forcé au Qatar, dans le cadre des travaux destinés au Mondial-2022 de football. Lire la suite sur lorientlejour.com…
Une nouvelle prévision porte à 3,9 pour cent la croissance du PIB des Emirats Arabes Unis, ce qui renforce le sentiment d’une reprise économique dans les Emirats. Les prévisions du dernier sondage de Bloomberg Middle East sont basées sur une estimation médiane de 18 économistes. La nouvelle estimation est une révision des prévisions de 3,4 pour cent au trimestre précédent et la principale révision au niveau du Conseil de Coopération du Golfe (CCG).
Sultan Al Mansouri, Ministre émirien de l’économie, déclarait hier qu’il s’attend à ce que le produit intérieur brut augmente de 4,5 pour cent cette année.
L’économie non pétrolière du pays devrait augmenter de 4,5 pour cent cette année, son rythme le plus rapide depuis 2008, selon les données compilées par Bloomberg et les estimations du Fonds monétaire international.
Le responsable d’Euler Hermes déclare que l’économie des Emirats devrait augmenter de 3,5 pour cent cette année, soutenue par le développement des infrastructures et l’amélioration du climat des affaires. Le Fonds monétaire international, cependant, a prédit une croissance de 3,1 pour cent. Lire la suite sur Frenchwam…
Gold Ring… cela sonne comme une demande en mariage, bien que le manga de Qais Sedki (scénariste) et Akira Himekawa (au dessin), ne soit en rien tourné vers ces choses. Pour arriver à ce livre, Sedki a ouvert sa propre maison d’édition, Pageflip, à Dubai, puis publié en juillet 2009 ce qui est aujourd’hui consacré comme le premier manga des Émirats Arabes Unis.
Originellement, le livre avait été écrit en arabe classique, mais cela rendait les dialogues trop pénibles, de l‘avis même de l’auteur. C’est pourquoi Sedki s’est associé à Akira Himekawa, un nom de plume qui réunit en réalité deux femmes mangaka, A Honda et S Nagano. La forme devenant plus contemporaine, le livre connut un véritable succès, et reçut le prix du Sheikh Zayed en 2010, dans la catégorie littérature jeunesse.
L’histoire est très ‘locale’, si l’on peut dire : elle raconte l’histoire d’un jeune homme fauconnier. Le projet originel était d’inciter les jeunes enfants à lire l’arabe classique, et aujourd’hui Sedki est une star. « J’ai vu des enfants qui venaient à ma rencontre pour me dire qu’ils voulaient avoir un faucon. » Car en associant cette aventure pour adolescents avec un format « cool », celui du manga, l’auteur a capté toute l’attention du jeune public. Lire la suite sur Actualitte…
La célèbre ville du golfe persique continue d’attirer les touristes internationaux et augmente son parc hôtelier pour répondre à la demande.
Dix, c’est le nombre auquel s’élèveront les complexes ouverts par le groupe américain Marriott dès septembre 2013, à Dubai. Car, l’hôtelier s’apprête à lancer deux nouvelles structures : d’un côté, un hôtel 5 étoiles de 352 chambres, le palace Zabeel. Et de l’autre : 128 appartements composés de deux à trois pièces, conseillés aux voyageurs en déplacement pour des séjours de trente jours minimums.
Et d’après l’étude réalisée par HotStats, ces nouveautés ne devraient pas avoir de mal à trouver leur public. Car, Dubaï reste plus attractive que jamais. En effet, de janvier à juin 2013, le taux d’occupation des hôtels de la région a atteint 86 %. Un record que les hôtels de la ville n’avaient plus enregistré depuis 2006.
De son côté, le département du tourisme tient à préciser que les appartements hôtels ont été remplis à hauteur de 85,8 % quand les chambres d’hôtel ont été occupées à 84,6 %. Lire la suite sur LaPresse.ca…
Des perspectives d’affaires stables et l’amélioration des conditions du business ont poussé, pour le deuxième trimestre de cette année, l’Indice composite de Confiance des Entreprises (BCI) à 120,7 points à Dubaï ; une augmentation de 14,6 points par rapport à la même période en 2012.
Le BCI a également augmenté de 6,7 points entre les deux premiers trimestres de 2013, comme on le voit dans l’enquête trimestrielle sur la confiance des entreprises, enquête effectuée par le Département du Développement Economique (DED) à Dubaï.
Plus de 83% des entreprises dubaïotes s’attendent à une augmentation ou, à tout le moins, à peu de changement dans le volume des ventes au cours du troisième trimestre de 2013, alors que beaucoup d’entreprises prévoient d’investir dans l’embauche ou dans la mise à niveau technologique. Les entreprises d’exportation et les grandes sociétés sont en général plus confiantes en ce qui concerne les volumes de ventes, la rentabilité et les prix, par rapport aux petites et moyennes entreprises (PME).
« Dubaï a mis l’accent sur l’alignement de son environnement « business » avec ceux des meilleures économies mondiales. Ces efforts se traduisent par une confiance croissante pour les entreprises. Selon les estimations actuelles, le PIB réel de Dubaï a augmenté de 4,1% au premier trimestre de 2013, suivi par la hausse de 4,7 % au T2. Les secteurs non-pétroliers ainsi que le commerce ont prospéré et les tendances actuelles confirment que cette croissance continuera », a déclaré Son Excellence Sami Al Qamzi, directeur général du DED.
Les perspectives d’affaires pour le 3ème trimestre 2013 reste stables avec 93% des entrepreneurs ayant répondu avoir perçu une amélioration ou une stabilité de la conjoncture économique. Les entreprises du secteur de la fabrication sont très optimistes en ce qui concerne les bénéfices ; les entreprises de services ont souligné qu’il y avait plus d’opportunités pour l’embauche, tandis que les sociétés d’import-export sont les plus positives en ce qui concerne les volumes vendus, en particulier les branches alimentaires qui s’attendent à une plus forte demande durant le Ramadan.
L’enquête montre que 43% des entreprises s’attendent à une amélioration de leur chiffre d’affaires au 3ème trimestre 2013, tandis que 40% prévoient des résultats stables. L’augmentation du chiffre d’affaires continuera à être dopée par une croissance de l’activité réelle (volumes) ; les prix devraient rester globalement stables, avec 79% des entreprises qui ne s’attendant à aucun changement de prix de leurs produits.
Les attentes de rentabilité sont en phase avec les prévisions générales de ventes ; 43% des entreprises s’attendent à une augmentation basée sur l’expectative de gagner de nouveaux contrats avec de meilleures marges bénéficiaires. Lire la suite sur WAM…
Les Emirats arabes unis (EAU) ont passé une nouvelle commande à la France. Abu Dhabi achète 17 radars basse couche au groupe de défense Thales pour plus de 200 millions d’euros. Ce sont des radars de surveillance de l’espace aérien, appelé GM 200, qui « regardent » loin devant eux (à 200 km de distance) en basse altitude. Les radars seront fabriqués par les usines Thales de Limours au sud de Paris et de Rouen-Ymare en Normandie. Lire la suite sur LeFigaro…
Les Emirats arabes unis ont expulsé plus de 500 citoyens iraniens du pays. Leur argument ? La sécurité nationale, écrit le quotidien Kommersant du 17 juillet 2013. Téhéran estime qu’il s’agit d’une démarche illégale et accuse Abou Dhabi de persécuter les chiites. La République islamique pourrait en venir aux sanctions. Selon les experts, ces actions des Emirats – qui pourraient mettre en cause les investissements iraniens de 300 milliards de dollars dans le pays – ont un but idéologique : prévenir la création dans le pays d’une « cinquième colonne chiite », comme c’est déjà le cas au Bahreïn voisin.
L’expulsion de plus de 500 Iraniens a suscité une tempête à Téhéran. Le ministère iranien des Affaires étrangères a menacé Abou Dhabi de représailles, lançant par la même occasion une rumeur selon laquelle Téhéran pourrait interdire l’accès en Iran à des citoyens émiratis – une nouvelle « liste Magnitski » en quelque sorte. L’avenir de cette liste dépend de la prochaine réunion de la commission intergouvernementale bilatérale, qui n’est pas loin d’être annulée.
Des informations publiées sur le site de l’agence iranienne d’information (ISNA), très populaire parmi les médias indépendants du pays, ont versé de l’huile sur le feu. L’ISNA a accusé les autorités émiraties de flouer les droits des chiites. Selon ses informations, la plupart des personnes expulsées vivaient dans le pays depuis plus de 25 ans. Qui plus est, il n’existe selon l’agence aucune raison sérieuse de les expulser. Lire la suite sur RIA Novosti…