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Par La Rando

Dubai, capitale du design et des arts

Tendances déco industrielle

Dans la dynamique de l’Expo 2020, Dubaï ambitionne de devenir une capitale du design et des arts, à l’instar de New York ou Berlin. Et de promouvoir une production locale émergente. On le sait, le design d’intérieur industriel est sans aucun doute l’un des styles les plus demandés de nos jours. En particulier, le décor industriel rustique gagne en popularité. Que ce soit le Lustre qui fait partie des nouvelles tendances ou des tableaux anciens. Vous l’aurez compris, les plafonniers sont d’une importance capitale pour votre décoration intérieure. Ce qui rend ce style si spécial, c’est son caractère apparemment inachevé associé à des éléments plus raffinés. Un mélange magnifique !

Pour résumer, le style industriel rustique est très populaire. A l’origine, c’est un style qui est né d’anciens entrepôts et lofts urbains. Mais vous pouvez le recréer dans n’importe quel intérieur et même en tant que locataire ! De la palette de couleurs généralement neutres à sa préférence pour les matériaux vieillis, un style industriel rustique semble détendu et accueillant. Et comme les imperfections sont une qualité, c’est aussi un style qui peut être facilement recréé, même avec un petit budget ! Alors êtes-vous prêt à l’essayer chez vous ? Faites comme de nombreux expatriés français vivant à Dubai (et même en France) qui l’utilisent.  D’ailleurs, pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter les Tendances déco industrielle de 2021

Design à Dubai

Downtown Dubaï. En marge des anciens quartiers, une ville taillée sur mesure continue d’émerger, pour laquelle les superlatifs se bousculent. Burj Khalifa, le plus haut immeuble du monde, l’hôtel Burj-Al-Arab, le plus luxueux avec sept étoiles autoproclamées, le plus grand mall, le plus vaste aéroport – avec une capacité prévue de 160 millions de passagers… Tandis qu’au sud de la ville, le désert fait place à de gigantesques projets immobiliers comme Palm Islands, presqu’île artificielle en forme de palmier ou The World, archipel artificiel qui reproduit la carte du monde.

De quoi donner le tournis. Plus encore lorsque l’on se rend au sommet de Burj Khalifa, qui offre un panorama de 360 degrés sur la ville et le territoire, à 828 m de hauteur. De là, je peux mieux me rendre compte de l’évolution de ces dernières années. Des étendues désertiques à la côte au nord, et de part et d’autre de l’artère principale de 3,5 km, la Mohammed Bin Rashid, s’étalent des chantiers en cours, notamment dans la foulée de l’Exposition universelle de 2020.

Ici, un chantier dépasse rarement trois ou quatre ans, sourit Amina Al Rustamani, cheffe exécutive de Tecom Investments. Casque de Playmobil vissé sur le crâne, elle me guide sur le site du chantier du moment, le Dubaï Design District (d3), dont l’ambition est de positionner la ville comme nouvelle capitale de la mode et du design. Le site devrait héberger des bureaux et studios de la communauté créative internationale (architectes, designers, graphistes…), tout en boostant le design local émergent. Le d3 se dotera d’un front de mer de 1 km, avec boutiques-hôtels, restaurants et bars, une rue du design… d3 représente une grande opportunité pour l’industrie de la mode et du design dubaïote de s’aligner sur des villes comme Londres, Paris et New York. Tout en rencontrant les objectifs touristiques de 2020, assure Amina Al Rustamani.

Autre projet majeur en cours : le Dubai Modern Art Museum & Opera House District, au centre-ville. Le lieu a pour objectif de devenir la plateforme des arts par excellence – avec un musée d’art contemporain et septante galeries d’art – et des performances au sein des Émirats arabes unis. Pour l’instant, je me contente d’admirer la maquette de l’Opéra, future icône culturelle, au très fashion Pavillon Emaar, du nom du groupe immobilier en charge de l’Opera District. Du café-restaurant, on a vue sur le chantier, démarqué par de larges panneaux sur le boulevard. Où l’on se met à imaginer que d’ici à 2016, une structure de deux mille sièges en forme de bateau, inspirée de l’histoire portuaire de Dubaï, y imprimera le paysage urbain de ses contours. Surtout, c’est tout un quartier qui sortira de terre avec des hôtels de luxe, des logements résidentiels, des zones de balade et de loisirs à front de mer.

Design local émergent

Dubaï, qui n’était encore à la moitié du XIXe siècle qu’un petit bourg vivant essentiellement de la pêche aux perles, est aujourd’hui devenue la ville la plus importante et le premier port des Émirats arabes unis (créés en 1971), devant Abu Dhabi. À deux heures de route de Dubaï, la capitale fédérale a de son côté assis son aura touristique sur la culture. Et des projets rutilants tels, récemment, le Guggenheim Abu Dhabi, le Louvre Abu Dhabi et le Sheikh Zayed National Museum (en collaboration avec le British Museum).

Après s’être d’abord positionnée sur le plan mondial comme centre d’affaires et destination de shopping, Dubaï a également saisi toute l’importance, pour son développement, de promouvoir l’art et le design. Le salon Design Days Dubaï, qui se tient en mars, a vu le jour il y a trois ans, à l’initiative de Cyril Zammit, directeur très enthousiaste. Il explique : C’est le bon moment car au niveau éducatif, les gens d’ici sont davantage sensibilisés au design et à l’art. Et le changement de mentalité s’opère : au lieu d’acheter des pièces en Chine ou d’autres copies, le design local est mis en avant. La particularité de ce marché neuf est que les gens achètent ce qu’ils aiment, ce ne sont pas des collectionneurs qui recherchent du Charlotte Perriand. On peut mêler valeurs sûres et émergentes, proposer une grande diversité. De même pour les nombreux expatriés, les choses acquièrent plus de valeur si elles sont faites ou bâties ici.

Lors de la dernière édition, j’ai pu juger sur pièce des créations locales étonnantes, parmi la quarantaine de galeries issues de huit pays (Brésil, Corée, Italie, France, Belgique…). Tels les coussins-tubes Braided, tressés sur une structure en bois par l’artiste protéiforme Latifa Saeed. Ou les sièges surréalistes Victory Chairs d’Omar Nakkash’s, qui évoquent les trois doigts levés en guise de victoire par l’émir de Dubaï, lors de la confirmation de la ville comme hôte de l’Expo 2020. La designer India Mahdavi, basée à Paris, était invitée à exposer sa série Landscape (tables et vasques) en céramique colorée à la galerie libanaise Carwan : Les Émirats arabes sont devenus une place incontournable pour les designers. J’ai conçu ces tables pour Dubaï, à partir de couleurs et matériaux locaux, soulignera-t-elle lors d’un lunch au concept store Comptoir 102.
Au fil des stands du salon Design Days Dubaï, une chose saute aux yeux : la plupart des éditeurs et labels sont représentés par des étudiantes en design, extrêmement documentées sur chaque pièce présentée. Cyril Zammit confirme : Le design est un nouveau créneau pour les femmes des Émirats. Elles sont de plus en plus nombreuses à étudier, à travailler. Et à défendre leur indépendance. Un des facteurs de cette évolution est la baisse des mariages traditionnels. Face à la contrainte de la dot, beaucoup d’hommes préfèrent épouser des étrangères. Par ailleurs, associé à l’univers de la maison et aux tâches domestiques, le secteur du design attire peu la gente masculine locale.

Al Quoz, le quartier arty

Direction Al Quoz, la banlieue industrielle où depuis 2007, l’art a pris ses quartiers. On y passe facilement une journée entière. La zone est isolée, relativement calme, tranchant avec l’atmosphère et les buildings clinquants du centre-ville. Un pâté d’anciens hangars restaurés accueille musées privés, galeries d’art, espaces alternatifs, cafés et restaurants dans les environs de l’Alserkal Avenue, désignée comme pôle artistique catalyseur dans la région.
Hahnia Battif, responsable de la communication, me guide sur les lieux. Le quartier doit devenir une place majeure du marché de l’art, au même titre que New York, Londres ou Berlin, assure-t-elle. L’aspect postindustriel et l’authenticité des bâtiments ont été préservés. Par ailleurs, de plus en plus de jeunes studios et ateliers s’implantent ici, ce qui renforce l’aspect éducatif. La jeune femme a étudié l’histoire de l’art et la communication à Londres, avant de revenir à Dubaï, où le marché de l’art naissant offre de nouvelles opportunités d’emploi.

En 2014, le nombre d’espaces investis a doublé pour intégrer d’autres disciplines, comme le design et l’architecture, poursuit-elle. Et de pointer l’espace interdisciplinaire A4. Ouvert en mars pendant Art Dubaï, et accessible au public, le lieu se veut être un incubateur pour les artistes dubaïotes, au sein duquel écrivains, free-lances, chercheurs en réseau et artistes conversent et collaborent. Au rez, le concept store STORiEs propose des pièces uniques ou en série limitée de créateurs d’ici et d’ailleurs, au même niveau que l’attrayant Appetite Cafe et sa bibliothèque géante constituée de dons. Halte obligée après avoir parcouru des kilomètres de galeries.

Parmi les valeurs sûres, nous visitons la Gallery Isabelle van den Eynde, fondée à Dubaï en 2006, qui vaut notamment le coup d’œil pour ses scénographies très travaillées (papiers peints en fond, œuvres très visuelles…), qui plongent le visiteur dans la fiction. Et un peu plus loin, la Galerie Nationale, l’une des premières galeries de design implantée sur l’Alserkal Avenue, début 2012, centrée sur des pièces rares ou classiques du XXe siècle et sur les travaux de designers internationaux émergents.
Le point commun entre les artistes de cette nouvelle génération et ceux du cru, aux approches pourtant très personnelles, c’est de produire des œuvres qui se veulent le reflet d’un pays en transition. Entre amertume et curiosité. Comme dans les photographies de Jessica Mein, qui vit à Dubaï : La ville a changé de façon drastique en peu de temps et, dans la foulée, beaucoup de ce qui faisait le charme de Dubaï a disparu ou est caché derrière le gloss et le glamour. Je veux regarder la ville avec un regard neuf, pour apprécier l’ancien à côté du neuf. Le passé, le présent et le futur selon lesoir.be

 

Par La Rando

Marché automobile dans les Emirats Arabes Unis

Les ventes de voitures dans les Emirats Arabes Unis et le reste du Moyen-Orient, l’Afrique et le Pakistan sont susceptibles d’obtenir une impulsion majeure dans les deux prochaines années, alors que près de huit personnes sur 10 prévoient d’acheter un véhicule neuf ou d’occasion.
Selon une nouvelle étude menée par Nielsen, un fournisseur mondial d’informations, la demande d’automobiles dans la région, ainsi qu’en Amérique latine, sera la plus forte dans le monde, avec 75 pour cent des consommateurs affirmant l’intention d’acheter une voiture dans les deux prochaines années.
L’enquête mondiale sur la demande automobile de Nielsen a interrogé plus de 30 000 internautes dans 60 pays afin d’identifier la demande de véhicules.
La demande sera particulièrement forte en Asie-Pacifique, où 72 pour cent des répondants ont l’intention d’acheter une voiture. Plus de la moitié des Nord-Américains (56 pour cent) et la moitié des Européens (50 pour cent) s’attendent à acquérir une voiture neuve ou d’occasion au cours des 24 prochains mois. La demande sera la plus forte au Pakistan (78 pour cent), suivie par les Emirats, l’Egypte (74 pour cent) et l’Arabie Saoudite (72 pour cent).
La forte demande peut être attribuée à l’augmentation des niveaux de confiance des consommateurs et de la croissance de la population expatriée. L’environnement positif pour les entreprises, les taux d’intérêt compétitifs et le manque de transports publics efficaces contribuent aussi à la demande.
Au cours des dernières années, les ventes de voitures ont connu une reprise soutenue, avec des concessionnaires d’automobiles faisant état d’une croissance des ventes à deux chiffres. Porsche Moyen-Orient a récemment rapporté un saut de 26 pour cent du chiffre d’affaires entre 2012 et 2013 et le géant automobile allemand Audi Moyen-Orient a enregistré une croissance de 16,3 pour cent dans les pays du CCG et du Levant au cours de la même période.

Par La Rando

Prenez le métro de Dubai!

Contrairement aux idées reçues, Dubai est une très grande ville. Dubai Marina, Burj Khalifa, Dubai internet City,… Vous avez du mal à situer les différents endroits de la ville de Dubai? Et si vous preniez le métro pour cela? Le réseau de Dubai est souterrain en ville et en viaduc partout ailleurs. Côté confort, les stations sont équipées de portes palières, et les rames sont entièrement climatisées.

Le saviez-vous? Le métro a été inauguré à la date symbolique du 09/09/09, lorsqu’une horloge géante a marqué 9h09 du soir dans une station attenant à l’un des plus grands centres commerciaux de Dubaï. Bonjour Dubai vous invite à prendre le métro comme si vous y étiez, c’est parti!

Par Randonnée

Rando à Dubaï, (UAE)

Quoique n’étant pas la capitale des Émirats arabes unis, Dubaï est devenue la ville la plus connue de la fédération.
Cette renommée est due notamment à la médiatisation de ses projets touristiques comme l’hôtel Burj-Al-Arab, le plus luxueux et le plus « étoilé » du monde, au gigantisme des projets immobiliers comme Palm Islands, presqu’île artificielle en forme de palmier, The World, archipel artificiel qui reproduit la carte du monde, la Dubaï Marina à l’architecture particulière et démesurée, sans oublier l’immeuble le plus haut du monde, le Burj Khalifa. Une randonnée citadine dans cette ville qui ne dort jamais. Découvrez les photos.

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Par La Rando

Le design Made in Dubaï

En matière de design haut de gamme, on pense Londres, New York, Milan, Paris, Bâle ou Miami mais pas forcément Dubaï. Lorsqu’on découvre que la ville accueille Downtown Design, salon du design haut de gamme, à l’ombre de la Burj Khalifa, la plus haute tour du monde, on est en droit de s’interroger. Même si conjuguer le design sur le seul mode du cliché dans la plus importante ville des Emirats arabes unis serait une erreur. Lire la suite « Le design Made in Dubaï »

Par La Rando

Aide humanitaire des Emirats arabes unis au Mali

Dans le cadre de ses actions humanitaires, les Emirats arabes unis se sont formellement engagés à appuyer notre pays. Ils lui ont ainsi fait un don significatif, dimanche après midi au fret de l’aéroport de Bamako-Sénou. Le don se compose de 40 tonnes de vivres, des produits pharmaceutiques et des tentes. Les colis ont été réceptionnés par le ministre de la Santé, Soumana Makadji, représentant son homologue en charge de l’Action humanitaire. C’était en présence du représentant des donateurs, Fahd Abdrahamane, du président de la Croix Rouge malienne, Abdourahamane Touré, et d’une équipe de « National Medical Council Emirates News Agency-Wam » mobilisée spécialement pour l’occasion. Lire la suite sur Maliactu
Par La Rando

Le commerce des produits de beauté à Dubaï

L’expansion substantielle du marché des cosmétiques donne à Dubaï un statut de premier ordre avec un total du commercial extérieur en parfumerie et en produits de beauté d’une valeur totale de Dh16 milliards en 2012, contre Dh11 milliards en 2009 et Dh15 milliards en 2011.
Les importations de parfums et de produits cosmétiques se sont élevées à 10 milliards de dirhams, alors que les réexportations totalisaient Dh6 milliards, reflétant l’existence d’un marché actif des produits cosmétiques au sein de l’émirat.
La France arrive en tête des pays dont Dubaï importe des produits de parfumerie et produits de beauté, avec 2,6 milliards de dirhams d’importations en 2012, soit 27% du total des importations, suivie par les Etats-Unis avec une valeur totale de Dh1 milliard (une part de 11%). Lire la suite sur WAM…

Par La Rando

Taux d’obésité aux Emirats arabes unis

Depuis 1971, le niveau de vie aux Émirats Arabes Unis (ÉAU) ne cesse d’augmenter. Dans cette région, la croissance est rapide, ce principalement grâce aux secteurs pétroliers et gaziers. Désormais, le taux de croissance a tendance à ralentir et à prendre un rythme convenable : depuis 2010, le taux de croissance tourne autour de 3,2 % par an.
Mais qu’en est-il du mode de vie ?
Le mode de vie des Émiriens est principalement tourné vers le divertissement. En effet, le secteur touristique contribue, aujourd’hui, à une grande partie du PIB. Il s’y est développé la culture de manger à l’extérieur plus que de manger chez soi. En 2009, 28 % des Émiriens, mangeaient au moins une fois par semaine à l’extérieur.
De plus, du fait de la mondialisation, la culture monde, provenant des Etats-Unis, a réduit l’influence culinaire traditionnelle des ÉAU, la malbouffe règne dans cette région. Ensuite, le changement rapide de mode de vie se caractérise par une diminution des activités physiques.
Qui est touché par ces changements rapides de mode de vie ?
Un tiers des personnes dans les Émirats arabes unis sont obèses et les trois quarts sont en surpoids. La fréquence de l’obésité chez les jeunes Émiratiens est deux à trois fois plus élevée que la norme internationale récemment publiée.
À  Abu Dhabi, près d’un tiers des écoliers sont obèses ou en surpoids, près de 10 % des moins de 5 ans sont anémiques selon une étude de 2010. Les écoliers des ÉAU sont 1,8 fois plus obèses que ceux des Etats-Unis.
On observe l’émergence de maladies chroniques chez les adultes comme les maladies cardiovasculaires, et le diabète de type 2 est une maladie courante chez les enfants. Les ÉAU affichent le deuxième taux de diabète le plus élevé au monde (20 %).
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Par La Rando

La fibre optique aux Emirats arabes unis

Les Emirats Arabes Unis sont classés parmi les leaders mondiaux dans la connexion des habitations au réseau de fibre optique, une réalisation rendue possible principalement par les énormes investissements d’Etisalat et totalisant un montant de plus de Dh19 milliards.
Selon l’étude annuelle menée par Panorama Research, les Emirats prennent la tête du classement avec un taux de pénétration de 72 pour cent. Le classement couvre tous les pays avec au moins 200.000 ménages où la pénétration du réseau optique est de 1 pour cent du nombre total de foyers.
En 2013, 36 pays étaient repris dans le Classement mondial, les Emirats occupant la première place devant la Corée du Sud, le concurrent le plus proche avec 57 pour cent des foyers abonnés. Les autres pays leaders dans ce domaine sont le Japon, la Russie, les Etats-Unis et la France.