Par La Rando

L’Emir du Koweït aux Emirats arabes unis

Son Altesse Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Vice-président et Premier ministre des Emirats arabes unis et Souverain de Dubaï, et SA Général Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d’Abu Dhabi et Commandant en Chef adjoint des Forces armées des Emirats Arabes Unis, ont rencontrés Cheikh Sabah Al Ahmad Al Sabah, Emir du Koweït, lors de sa courte visite aux Emirats Arabes Unis.
Cheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Prince héritier de Dubaï, était présent lors de la rencontre.
SA Cheikh Mohammad bin Rashid et SA Général Cheikh Mohammad bin Zayed ont discuté avec Cheikh Sabah des relations fraternelles et des moyens de les renforcer.
Ils ont également examiné la forte relation historique, la coopération et les liens entre les Emirats et le Koweït sous la direction prudente du Président Son Altesse Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan et de Cheikh Sabah. Les deux parties ont également échangé des vues sur un éventail de sujets d’intérêt commun selon la source Agence de Presse des Emirats,WAM.

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Nouveaux ministres au Koweït

L’émir du Koweït, cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, a nommé dimanche par décret un nouveau gouvernement qui compte 7 membres de la famille régnante et au sein duquel les ministères du Pétrole, des Finances et de la Défense changent de titulaire.

La formation du nouveau cabinet fait suite aux élections législatives du 27 juillet, les deuxièmes en huit mois, boycottées par l’opposition qui conteste une réforme électorale.

L’ex-gouverneur de la Banque centrale, cheikh Salem Abdel Aziz Al-Sabah, qui avait démissionné l’an dernier pour protester contre une importante hausse des dépenses publiques, a été nommé ministre des Finances. Lire la suite sur LeFigaro

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Des prisonniers graciés par l’Emir du Koweït

Il ne fait pas bon critiquer publiquement les puissants émirs du Golfe, au risque de se retrouver bâillonner, les fers aux pieds, et jetés dans les oubliettes de monarchies autoritaires, réceptives à la liberté d’expression uniquement quand elle flatte leur ego ou quand elle se fait muette…

Après avoir emprisonné, sans faire de détail, plus d’une douzaine de citoyens récalcitrants, parmi lesquels se trouvaient pour la première fois des femmes, mais aussi des jeunes et des utilisateurs de réseaux sociaux, tous accusés du crime de lèse-majesté d’avoir appelé à un changement de régime et insulté l’émir du Koweït, cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Sabah, celui-ci, dans un geste de clémence inespéré, a choisi de gracier ceux qui avaient été condamnés à de très lourdes peines pour avoir osé exprimer une opinion.

Cette vague de répression contre la dissidence s’est abattue en octobre dernier sur tous les empêcheurs de régner en rond du pays, la moindre revendication étant interprétée comme le plus grave des affronts faits au plus haut personnage de l’Etat, intouchable par définition, suscitant un tonnerre d’indignations de la part des organisations de défense des droits de l’Homme.

Dénonçant des procès politiques joués d’avance, Joe Stork, le directeur de Human Rights Watch (HRW) pour le Moyen-Orient, a récemment pointé du doigt les lois koweïtiennes iniques et inhumaines qui violent les protections de la liberté d’expression garanties par les traités internationaux, dont le Koweït est pourtant signataire.

« Les autorités du Koweït ont, au cours de la dernière année, poursuivi des dizaines de personnes pour des déclarations politiques pacifiques. Le gouvernement koweïtien devrait au contraire tolérer ce genre de critique, et non persécuter les individus qui ont le courage de les exprimer« , a déploré John Stork. Lire la suite sur Oumma.com

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Un Saoudien insulte l'Emir du Koweït

Un Saoudien a été condamné jeudi par contumace à cinq ans de prison par un tribunal koweïtien pour avoir insulté l’émir sur Twitter, a indiqué un activiste des droits de l’Homme.
C’est le premier étranger à être condamné pour insulte à l’émir du Koweït, cheikh Sabah al-Ahmad al-Sabah.
Le jeune étudiant saoudien, Abdul Aziz Al-Mutairi a été condamné à la prison et à l’expulsion, a précisé Mohammad Al-Humaidi, directeur de l’Organisation koweïtienne des droits de l’Homme. Il a la possibilité de faire appel. Lire la suite sur BFMTV