Par La Rando

Qatar Airways se renforce à Dubaï

La compagnie aérienne Qatar Airways a de nouveau reporté l’entrée en service de l’Airbus A380, et va porter à 112 par semaine le nombre de ses vols entre Doha et les deux aéroports de Dubaï.

Les premiers vols du superjumbo de la compagnie nationale qatarie sont désormais prévus le 10 octobre 2014 vers Londres-Heathrow et le 16 octobre vers Paris-CDG, alors qu’elle devait recevoir en juin trois des dix A380 commandés (plus 3 options) et effectuer son premier vol commercial le 17 vers la capitale britannique. Configurés pour accueillir 8 passagers en Première, 48 en classe Affaires et 461 en Economie (total 517), ils ont connu des problèmes de finition en cabine et leur livraison a été repoussée depuis début juillet, sans qu’aucune nouvelle date ne soit annoncée.

Le site de réservation de Qatar Airways montre désormais un premier déploiement vers Londres le 10 octobre sur l’une des six rotations quotidiennes (départ de Doha-MAhad International à 7h55, retour à 15h05), les autres étant alors opérées en A330-300, A340-300 ou Boeing 787-8 Dreamliner (et A319LR tout-Affaires). L’Airbus A380 ferait son apparition à Roissy-Charles de Gaulle le 16 avec départ de Doha à 8h10 (arrivée 14h10) et retour à 16h00 (arrivée 23h20), les deux autres vols quotidiens étant opérés en A340-600. Lire la suite sur air-journal.fr

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Amitié entre les Emirats arabes unis et le Bahreïn

Le vice-premier ministre et président du Comité ministériel pour les services et l’infrastructure de Bahreïn Cheikh Khalid bin Abdulla Al Khalifa a salué le rôle des Emirats Arabes Unis, de ses dirigeants et de son peuple pour leurs positions envers le Bahreïn, louant ses contributions pionnières au développement du Royaume, en particulier en ce qui concerne les secteurs des infrastructures et des services essentiels.
S’entretenant avec l’ambassadeur sortant émirien Mohammed Sultan Al-Suwaidi, Cheikh Khalid a déclaré que les relations fraternelles représentent la force des relations des deux pays et de leurs peuples, des modèles de relations bilatérales.
Pour Cheikh Khalid, les relations se sont développées dans le cadre du CCG, ce qui prouve les visions des pères fondateurs, le regretté Cheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan et le regretté Cheikh Issa bin Salman Al Khalifa, soulignant que Sa Majesté le Roi Hamad bin Isa Al Khalifa de Nahrain et le Président Son Altesse Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan des Emirats Arabes Unis ont, grâce à leur sagesse et leur sens politique, pu renforcer ces liens, en ligne avec la volonté de leurs peuples.
Le vice-premier ministre de Bahreïn a salué le soutien illimité des Emirats Arabes Unis visant à améliorer l’infrastructure d’une manière qui reflète positivement sur la vie quotidienne des citoyens de Bahreïn.
Cheikh Khalid a salué aussi les efforts considérables déployés par l’Ambassadeur Al-Suwaidi afin de renforcer la coopération conjointe, lui souhaitant le plein succès dans ses futures missions diplomatiques.

Source:  Agence de Presse des Emirats, WAM

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Une croissance économique de Dubaï à 5,6%

La croissance économique de Dubaï pourrait atteindre 5,6 pour cent cette année si l’économie mondiale reste dynamique, selon Phidar Avosriy, un cabinet de conseil créé récemment et spécialisé dans l’immobilier.
Les bonnes nouvelles sont une tendance à la croissance et une reprise à Dubaï de 3,5 pour cent du PIB (produit intérieur brut).’’’
Le FMI prédit dans un récent rapport que la capacité de Dubaï pour financer ses dettes s’est améliorée en raison de la croissance économique, mais a averti que l’émirat serait encore vulnérable en période de ralentissement majeur de l’économie mondiale.
L’Institute of International Finance a également approuvé ce point de vue dans ses dernières prévisions. «Nous voyons ne croissance à Dubaï de 5,6 pour cent en 2014, tirée par le tourisme, le transport et le commerce, » déclare Garbis Iradian, directeur adjoint pour l’Afrique et le Moyen-Orient à l’IIF. 

Source traduite sur Khaleej Times

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Flash mob à Dubai mall

Petite et agréable surprise aux visiteurs du Dubai Mall. Des musiciens ont pris place dans l’enceinte du centre commercial à Dubai pour jouer les musiques les plus connues. Découvrez la vidéo.

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Nakheel : immobilier à Jumeirah Islands

Nakheel a attribué un contrat de plus de Dh 146 millions pour la construction de 84 maisons et un nouveau centre commercial dans sa communauté Jumeirah Islands à Dubaï.
Le développeur a nommé METAC General Contracting des Emirats pour construire les nouvelles maisons et l’immeuble de détail qui feront partie d’un nouveau parc riverain à Jumeirah Islands. La construction devrait commencer dans les deux mois et se terminer au premier trimestre2016.
Situés dans une communauté fermée,au milieu de jardins luxuriants avec une grande piscine commune, chaque maison couvrira 3,630sqftet sera livrée avec un garage double, une chambre de bonne, et jardin privé.
Le projet comprend aussi un vaste parc communal, un centre commercial avec un supermarché, des cafés et des restaurants, un centre de remise en forme, des terrains de sport, une piste de jogging et un grand parking. Comme dans tous les parcs Nakheel, la nouvelle installation mettra en vedette les arbres et les plantes indigènes des Emirats Arabes Unis.
Nakheel a également nommé METAC General Contracting pour la construction de nouveaux centres de vente au détail et de loisirs dans ses communautés Al Furjan et de la ville internationale, avec une valeur de contrat totale de plus de Dh 80millions.
Nakheel est l’un des principaux développeurs au monde et un acteur clé dans la réalisation de la vision de Dubaï pour le 21e siècle : la création d’une destination de classe mondiale pour la vie, les affaires et le tourisme. Nakheel a livré un portefeuille emblématique de projets innovants et emblématiques dans un éventail de secteurs, y compris résidentiels, commerciaux et de loisirs.
Le portefeuille actuel de Nakheel à Dubaï comprend Palm Jumeirah, Le Monde, Iles Deira, Jumeirah Islands, Jumeirah Village, Jumeirah Park,Jumeirah Heights, Les Jardins, Discovery Gardens, Al Furjan, Warsan Village, la Ville internationale et 1000 Villas à Nad Al Sheba. Ensemble, ils couvrent 14 000 hectares et fournissent des foyers pour plus de 200.000 personnes. Les développements commerciaux comprennent Dragon Mart, IbnBattuta Mall, Nakheel Mall, LaPointe à Palm Jumeirah et un nombre croissant de centres commerciaux de quartier.
Nakheel développe également des hôtels à Palm Jumeirah, Îles Deira, Ibn Battuta et DragonMart.

Source: Khaleej Times

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Al Hessa Falasi, créatrice de mode à Dubai

La créatrice émirati Al Hessa Falasi est reconnu pour ses innovations.
“Il semble que j’ai mis au point les tendances que les autres suivent,” explique la résidente de Dubaï âgé de 25 ans. “J’ai remarqué que certains designers avaient tendance à copier les modèles de collections que j’ai moi-même lancés.”
Al Falasi connaît le succès il y a sept ans, quand elle a commencé à ceinturer les traditionnelles et amples abayas. Ce simple changement dans la silhouette lui a permit de lancer son entreprise et de s’établir un nom sur le circuit de la mode dans la région.
« J’ai créé la première « abaya ceinturée », tenue à la taille par une ceinture » explique-t-elle.

” C’était ma première collection, inspirée par les années 1920. C’est devenu la tendance la plus à la mode de la saison et des sept dernières années. Même moi, je suis surprise de constater  que cela a duré autant !”.
La passion pour la mode d’Al Falasi a commencé lorsqu’elle était enfant et qu’elle confectionnait des robes pour ses poupées. La mère d’Al Falasi n’a pas tardé à reconnaître le talent de sa fille pour la conception et l’a encouragée à mettre ses idées sur papier.

Un dessin d’une tenue pour le mariage d’un ami a été transformé en une robe quand elle n’avait que 13 ans et cela a déclenché la passion de sa vie.
“Je l’ai conçue moi-même, acheté le tissu et ma mère et moi sommes l’avons fait faire par un couturier », dit-elle. « C’était une belle robe de mousseline de soie verte, avec deux types de tissus et une doublure couleur citron pâle. Tout le monde s’arrêtait et me demandant ce dont il s’agissait et, même si j’étais jeune, je savais que ma première création était un succès “.
Dans les années qui ont suivi, Al Falasi a suivi des cours en design de mode et de coupe de modèles, et a même fait appel à un designer pour l’accompagner au cours des premières étapes de sa carrière. En 2006, elle était s’apprête à lancer sa première collection d’abayas, une gamme principalement née d’un besoin de nécessité.


“Depuis que j’ai 15 ans, je n’ai jamais aimé ce qui était disponible sur le marché,” dit-elle. “Il n’y avait pas beaucoup de créateurs d’abayas et la plupart étaient très cher, avec des tarifs commençant à 3, 000 Dirhams E.A.U. Les modèles étaient très simples et très ennuyeux. Tout le monde portait les mêmes styles et je supportais mal de ne pas pouvoir y trouver ma propre personnalité “.
Il en a résulté une collection d’abayas inspirées par les années folles, une décennie incarnée par des femmes s’affranchissant des modes plus restrictives des époques précédentes. Drapage, tissus pliés et volants caractérisent les conceptions d’Al Falasi et, bien sûr, sans oublier l’humble ceinture.
« Les gens ont adoré les modèles, ils n’ont choqué personne. », dit-elle. « Je leur ai conseillé d’en acheter,  que ceinturer une abaya serait la tendance la plus à la mode de la saison. Mais j’ai été vraiment surprise de constater à quelle vitesse c’est devenu une coupe classique “.
Bien que la forme des abayas d’Al Falasi peut avoir repoussé les limites, elle s’est d’abord contentée de travailler avec le noir classique. Après avoir déposé officiellement son label en 2011 et avoir cumulé les voyages – qui lui ont permit d’élargi sa connaissance de l’art et de la musique – sa palette de couleurs et sa créativité ont pris vie.

Elle n’est pas seulement une grand fan de la musique arabe classique, mais  aussi des rythmes tribaux. Elle se rend aussi régulièrement en Europe pour étudier de près les peintures de ses artistes préférés, tels que Gustav Klimt. Elle a été tellement impressionnée par le travail de Klimt à Vienne qu’elle a personnalisé certains des tissus d’une collection passée, dont les détails imités les lignes et coups de pinceau léger comme une plume de ses dessins.

Même si elle n’a pas complètement renoncé au monochrome, les robes d’aujourd’hui d’Al Falasi sont dans les tons menthe verte et orange mandarine. Les kaftans, aussi, sont un mélange de couleurs pourpres et bleues, en passant par du roux automnal et des bruns.

“Je peux porter une abaya pleine de couleurs, puis la recouvrir d’une couche de mousseline de soie », dit-elle. “J’utilise aussi souvent de la dentelle noire sur les tissus colorés.”
Bien que les couleurs de base et les morceaux de ses vêtements découpés au laser peuvent passer du bleu marine au jaune canar, Al Falasi s’attache toujours à certaines traditions.
“J’essaie d’utiliser des couleurs vives pour les collections automne/hiver, comme le rose chaud sous le velours, cela s’accorde vraiment bien », affirme-t-elle. “Mais les abayas colorées n’ont pas toujours besoin d’être aussi lumineuses, les couleurs doivent rester un peu discrètes  et donner une touche conservatrice. Je suis aussi persuadée de cela. ”

 

Traduit du site The National

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Jean II Makoun aux Emirats arabes unis

L’avenir de Jean II Makoun au Stade Rennais s’assombrit sévèrement depuis ces derniers jours. Titulaire lors de la défaite à Lyon la semaine dernière (2-0), le Camerounais ne figure pas dans le groupe qui affrontera Evian Thonon Gaillard ce samedi.

Le milieu de terrain âgé de 31 ans pourrait néanmoins rapidement rebondir du côté des Émirats Arabes Unis. Selon L’Équipe, le joueur, à qui il reste un an de contrat, serait en discussions avec le club d’Al-FujaÏrah. La situation pourrait donc rapidement se décanter.

Source: footmercato.net

Par La Rando

La Fondation Al Maktoum de Dubai aide l’Afrique

La Fondation Al Maktoum a commencé à distribuer 4446 sacs de blé pour les personnes touchées par la guerre au Soudan et les réfugiés en Afrique centrale. La distribution fait partie d’un budget de Dh60 millions de la fondation alloué à des projets caritatifs à l’étranger.
Selon un haut fonctionnaire, la fondation caritative a planté 130 000hectares de terres agricoles fertiles dans la région Atbara au nord du Soudan avec du blé cette année.
Mohammed Obaid bin Ghannam, secrétaire général de la Fondation Al Maktoum, déclare que la récolte de blé de cette année est distribuée exclusivement aux personnes les plus pauvres et les nécessiteux dans les régions défavorisées. «La moisson abondantede 130.000 hectares dans Atbaraa été livrée à L’Organisation islamique Dawahafin d’être distribuée aux nécessiteux. »
Le blé a été planté par la Fondation en collaboration avec Emirates Rawabi, une entreprise de produits laitiers et de volaille.Les bénéficiaires étaient très heureux de la contribution généreuse et ont exprimé leur profonde gratitude à la Fondation Al Maktoum pour son soutien en nature et constante.” La fondation a atteint plus de 60 pays avec ses initiatives humanitaires depuis sa création en 1997.
Dr Mohammed Othman, secrétaire général adjoint de l’Organisation islamique Dawah, affirme : La longue liste des bénéficiaires comprend des personnes touchées par la guerre au Darfour, au Kordofan-Sud, ainsi que les réfugiés du Sud-Soudan dans l’Etat du Nil Blanc, et les personnes évacuées de l’Afrique centrale.”


La Fondation a étendu ses activités philanthropiques en Afrique suivant les directives de Cheikh Hamdan bin Rashid Al Maktoum, Vice-Souverain de Dubaï et Ministre des Finances des Emirats.
“La Fondation Al Maktoum a jusqu’ici construit 40 écoles secondaires, des collèges et des universités en Afrique, notamment en Somalie, plus de 1500 étudiants étudient ou ont déjà obtenu un diplôme des collèges de médecine, pharmacie, soins infirmiers, ingénierie, économie, administration et autres spécialités.”
Mirza Hussain AlSayegh, membre du conseil d’administration de la Fondation Al Maktoum, affirme aussi que 60 pour cent du budget annuel de Dh 100millions de la Fondation est consacré à des programmes à l’étranger. «Des centaines de milliers de personnes dans le monde bénéficient de l’aide généreuse qui représente 1,2 milliard de dirhams sur la période de 1997 à2011.
AlSayegh souligne que les réalisations de la Fondation couvrent l’éducation, la santé, les programmes religieux, le soutien aux étudiants, le parrainage des orphelins et l’aide aux personnes ayant des besoins spéciaux et les étudiants pauvres.
“La Fondation AlMaktoum envoie également des denrées alimentaires pour les régions défavorisées à l’étranger.’’

Source: Khaleej Times

Par La Rando

Des solutions pour les eaux usées de Dubaï

Le groupe étudiant Mission commerciale ingénierie Sherbrooke se rend dans l’émirat pour présenter les produits et services de l’entreprise E2metrix.

L’architecture spectaculaire et la croissance fulgurante de Dubaï font régulièrement les manchettes. Les besoins d’infrastructures pour soutenir ce développement sont majeurs, notamment en matière de traitement des eaux usées, et des solutions temporaires – dont l’emploi de camions-citernes – ont été requises au cours des dernières années. Six étudiants de l’Université de Sherbrooke, majoritairement du Département de génie chimique et génie biotechnologique, partent en mission commerciale pour rencontrer des gens d’affaires de Dubaï et leur proposer les solutions technologiques et environnementales de l’entreprise sherbrookoise E2metrix. Cette dernière a développé des produits spécialement conçus pour le traitement des eaux usées industrielles qui peuvent aussi répondre aux besoins des clients dans le domaine des eaux usées municipales et domestiques.

Mission commerciale ingénierie Sherbrooke (MCIS) existe depuis une vingtaine d’années et est l’un des plus anciens groupes techniques de la Faculté de génie. L’initiative étudiante offre aux compagnies québécoises d’établir un contact à l’échelle internationale par l’intermédiaire d’étudiants en ingénierie. C’est d’ailleurs à la demande spécifique de l’entreprise E2metrix que le groupe étudiant se rend à Dubaï, en vue de développer ce marché.

«Nous partons du 19 août au 1er septembre, et notre agenda est bien préparé, explique Léa Atallah, directrice générale de la MCIS 2014. Nous avons des rencontres avec des partenaires commerciaux et des clients potentiels de Dubaï, ainsi qu’avec les gens de l’ambassade canadienne, située à Abou Dhabi, capitale des Émirats Arabes Unis. De plus, nous sommes invités à présenter une conférence à l’Université américaine de Dubaï. Un spécialiste du traitement des eaux de cette université souhaite que la technologie soit présentée à ses étudiants lors d’un séminaire.»

Une expérience formatrice

Pour les futurs ingénieurs, il s’agit d’une occasion unique d’acquérir une expérience internationale qui met à profit des compétences pour gérer un projet, développer des contacts, et représenter les intérêts d’une entreprise. «E2Metrix nous a demandé de faire du démarchage auprès de clients potentiels, et de voir s’il est possible de trouver une personne-ressource sur place qui serait éventuellement intéressée à représenter ses intérêts dans la région. Nous verrons là-bas quelles peuvent être les possibilités», poursuit l’étudiante de 3e année.

«En tant qu’étudiants en génie, il nous est facile de comprendre les procédés d’électrocoagulation et les enjeux énergétiques reliés à la mission», indique pour sa part Olivier Béland, directeur de la logistique et des services-conseils de la MCIS. L’étudiant explique que la technologie proposée est bien adaptée à la réalité des Émirats. «Étant donné que l’eau est une ressource très limitée dans ce pays, il est très coûteux énergétiquement parlant de produire de l’eau douce (propre à la consommation). Pour ce faire, on doit construire des usines de désalinisation d’eau de mer. Ceci représente donc des coûts importants en plus de ceux associés au transport de cette eau. Les réacteurs d’E2Metrix permettraient de réutiliser les eaux usées sans coûts de production et de transport tout en évitant tout rejet d’eau sale dans l’environnement», précise l’étudiant de troisième année. «J’ai concentré mes recherches à bien comprendre la technologie qu’a développée E2Metrix. J’ai également posé plusieurs questions aux membres de l’entreprise de façon à pouvoir bien expliquer leurs technologies aux gens que nous allons rencontrer au cours de la mission», poursuit-il.

Discussions en vue

Sur place, le groupe compte adapter la présentation en fonction des partenaires qui seront rencontrés. Dans certains cas, la présentation pourrait être plus technique, ou davantage axée sur les besoins spécifiques du client potentiel. En plus de traiter des eaux usées, certaines solutions peuvent être applicables aux eaux de refroidissement de certains bâtiments, étant donné les besoins de climatisation énormes à Dubaï.

Quant à la perspective de tisser des liens avec des gens d’affaires de Dubaï, le groupe peut compter sur deux membres qui parlent arabe. «Cependant, c’est surtout l’anglais qui est la langue des affaires là-bas, puisque le secteur économique réunit des travailleurs expatriés de plusieurs pays du monde, dit Léa Atallah. Nous ne serons pas nécessairement appelés à rencontrer des Émiratis, mais la connaissance de l’arabe est sûrement un atout. Par exemple, en vue de préparer la mission, ma collègue Yara Barrak, étudiante en droit-sciences de la vie, a étudié des textes de lois rédigés en arabe afin de connaître la législation environnementale.»

Chose sûre, une telle expérience amènera les étudiants à mettre à profit leurs capacités en communication et leur aptitude à développer des contacts.

Information complémentaire

Source: usherbrooke.ca

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Le commerce augmente entre les Emirats et le Japon

La valeur du commerce bilatéral entre le Japon et les Emirats Arabes Unis au cours des six premiers mois de2014a augmenté de 4,43 pour cent à $25,92 milliards, comparativement à$24,82 milliards au cours de la même période de l’année précédente.
L’augmentation du commerce est entraînée par l’expansion des exportations et des importations. Les exportations japonaises vers les Emirats enregistraient un bond de près de 13 pour cent à$4,59 milliards, et les importations de 2,76pour cent à $21,34 milliards au cours des six premiers mois de2014.
L’expansion considérable des exportations a été observée dans presque tous les principaux produits de base, à l’exception du fer et de l’acier structurel, les pneus et les produits chimiques organiques.
L’exportation de la plupart des autres produits de base, à partir devoitures aux boissons non alcoolisées, s’est élargie à des degrés divers. Une augmentation notable des exportations a été enregistrée pour les machines, le fer et l’acier, les produits optiques et photographiques et les boissons non alcoolisées.
Les véhicules à moteur restent le produit dominant des exportations du Japon vers les Emirats Arabes Unis, couvrant plus de la moitié du total des exportations du Japon vers les Emirats et augmentant de 11,36 pour cent pendant la première moitié de l’année 2014 à 2,38milliards de dollars,comparativement à2,13milliards de dollars durant la même période en 2013.
Les Emirats sont le 5ème plus grand marché d’exportation du Japon pour les voitures de tourisme dans le monde, après les Etats-Unis d’Amérique, la Chine, la Russie et le Canada.

 

Source : The Gulf Today