Abu Dhabi : Le groupe énergétique émirati, Taqa, a annoncé de bons résultats consolidés partiels en 2014, malgré des déboires techniques enregistrés aux niveaux de ses centrales à Fujaïrah et au Ghana. Sa grande réussite, il l’a obtenu à Jorf Lasfar au Maroc. En effet, TAQA a annoncé des bénéfices nets consolidés, au 1er semestre 2014, de 140 millions de dollars. La holding contrôlée par les autorités publiques des Emirats Arabes Unis et qui possède des actifs et des opérations d’investissements dans les domaines d’extractions de pétrole, de manutention de gaz naturel, de production d’électricité ou de gestion de ressources hydrauliques, au Maroc, aux EAU, en Angleterre, aux Pays-Bas, en mer du nord, au Kurdistan d’Irak ou au Ghana antre autres, a effectivement vu ses résultats croitre, malgré des niveaux de dépenses d’exploitation maintenus élevés, une mesure dictée par une stratégie d’auto-réorganisation annoncée en mai 2014.
Selon le site britannique spécialisé, Energy Global, l’une des plus grandes réussites mondiales du groupe TAQA et qui contribue à porter vers le haut ses résultats, est la station thermique de Jorf Lasfar au Maroc.
En effet, l’expansion de la station qui fonctionne au charbon et qui produit selon les chiffres du groupe, plus de 50% de la demande d’électricité du Maroc, a été un franc succès. Son achèvement s’est fait en juin dernier, portant sa capacité de production de 1356 à 2056 MW.
Cette réussite poursuit la même source et d’autant plus marquante car le groupe souffre de déboires techniques dans d’autres installations similaires qu’il exploite dans d’autres pays, notamment aux niveaux de ses stations Takoradi 2 au Ghana et à Fujairah F1 et F2.
Hamdane ben Mohammed Al Maktoum et son cheval « Yamamah », courant pour les Emirats arabes unis, ont remporté la course d’endurance, à Sartilly, à 18 h 10, après 160 kilomètres.
Il était favori. Il a gagné. Hamdane ben Mohammed Al Maktoum et son cheval « Yamamah », courant pour les Emirats arabes unis, ont remporté la course d’endurance en individuels, à Sartilly, jeudi à 18 h 10, après 160 kilomètres.
« Laiza de Jalima » et sa cavalière Marijke Visser, pour les Pays-Bas, s’emparent de la deuxième place. Abdulrahman Saad A.S. Al Sulaiteen, sur « Koheilan Kincso », pour le Qatar complète le podium.
Le premier concurrent français est 8e, il s’agit de Jean-Philippe Frances, sur « Secret de mon Cœur ».
Dubai Time-lapse 201, c’est Dubai comme vous ne l’avez jamais vu auparavant. Une vidéo de toute beauté qui vous fera voyager aux Emirats arabes unis en vitesse accélérée. Découvrez cette magnifique vidéo qui fera rêver plus d’un.
Petite balade à Dubai en voiture. Dans cette vidéo vous verrez quelques endroits incontournables à voir sur Dubai. La ville de Dubaï connaît une importante expansion démographique depuis quelques années et la visiter prend pas mal de temps. Découvrez cette vidéo .
Alors que le travail exige toujours plus de productivité, de disponibilité, et d’autres mots en « té », la vie personnelle apporte aussi son lot de contraintes entre fournitures scolaires, vie de couple chaotique et parents malades (dans un ordre non nestorien). C’est en me demandant « comment font les autres pour tout concilier? » que j’ai créé il y a 7 ans le blog et le réseau Maman travaille. Pour Les 200 astuces de Maman travaille, je suis allée à la rencontre de pros, des gens qui concilient vie pro intense et vie perso épanouissante et qui m’ont livré leurs astuces… En voici certaines.
1/ Assumer, oui. Positiver de force, non.
Pour la psychothérapeute Isabelle Constant, on peut assumer avec sérénité et bonne humeur nos choix. En revanche, il est vain de se forcer à positiver. « Je ne vois pas comment on peut se forcer à sourire le jour du retour au travail, si l’on avait envie de rester chez soi avec son bébé. En revanche, on peut être honnête avec soi-même et se souvenir des raisons qui nous ont poussé à prendre cette décision. Et l’assumer ! »
2/ Entreprendre un bilan de compétences
Spécialiste de la gestion de carrières au féminin et cofondatrice de Happy Families, Garance Yverneau suggère à toutes les personnes rencontrant des difficultés de conciliation vie pro/vie perso d’entamer un bilan de compétences pour y voir plus clair dans leurs aspirations. « Il peut être pris en charge financièrement, dans le cadre du droit à la formation continue. »
3/ Se concentrer sur son propre bonheur
Dans les avions, on demande aux adultes de placer le masque à oxygène sur eux avant de le placer sur leurs enfants. La logique est imparable: si l’adulte ne peut pas respirer, il ne peut pas aider l’enfant à respirer! « C’est la même chose dans la vie » affirme Marianne Dorell, rédactrice en chef du magazine Parole de Mamans. « Mon propre bonheur est la clé de tout. C’est un pédiatre qui m’a fait prendre conscience de cela, je lui demandais si je devais donner des carottes ou des choux-fleurs à mon fils et lui m’a fixé en me demandant: Sinon, ça va, vous? »
4/ Abuser des clés 3G
Jessica Cymerman, auteure du blog Serial Mother et co fondatrice de l’agence de baby-sittings online, lance: « Avec 3 enfants, ce qui me permet de durer, c’est de partir à la campagne dès que possible avec un ordinateur et une clé 3G. » Michèle Fitoussi, ex éditorialiste au magazine ELLE et créatrice du Paris des femmes, raconte aussi: « Quand on m’a demandé ce que je voulais, je n’ai pas réclamé de promotion ou de poste de manager: j’ai dit que je voulais travailler de chez moi. C’est ce qui m’a permis d’élever mes enfants et de me lancer dans tant de projets différents, en même temps! »
5/ Prendre soin l’un de l’autre dans le couple
Formatrice RH et écrivain, mère de 5 enfants, Marie Lafragette, 31 ans, explique: « Chaque soir, quand mon mari rentre du travail un peu après moi, il prend le relais à 100% et se défonce pour les enfants: bains, devoirs, dîners des enfants, il gère tout. Pendant ce temps, je prépare notre dîner à nous – un plat maison, le plus souvent – et nous savourons notre soirée en amoureux. » Cette routine instaure un climat bienveillant, où l’on prévient les besoins de l’autre. Valable que l’on ait des enfants ou pas, dans un couple hétéro ou homo.
6/ Prioriser sans culpabiliser
La coprésidente du groupe EELV à l’Assemblée Nationale, Barbara Pompili, mère d’une fille de 10 ans en garde alternée, estime que la culpabilité ne résout rien et retire du plaisir à ce que l’on fait. « Je me consacre à 100% au moment présent. Il faut revoir l’organisation des horaires de travail. Mais quand je suis en séance ou en cérémonie protocolaire, je ne pense pas au cours de danse de ma fille. »
7/ Se sécuriser financièrement et socialement
Les pauses sont de plus en plus fréquentes dans les carrières. Simone de Beauvoir expliquait qu’une femme doit « gagner de quoi vivre et de quoi faire vivre ses enfants. » Néanmoins, avec 350.000 places en crèches manquantes et des congés parentaux pris à 98% par les mères, les parcours professionnels des femmes sont de plus en plus précaires. Avec des conséquences sur leur retraite ou leur reprise d’activité professionnelle… Consciente de cet état de fait, Marine, du blog Une Chambre à moi, a décidé d’organiser sa situation de mère au foyer. « Nous considérons que l’argent gagné par mon mari est l’argent du couple » explique-t-elle. « Nous sommes allés voir notre banque et avons pris des mesures pour mettre de l’argent de côté pour moi, ma retraite, que je ne me retrouve pas démunie. »
8/ Se passer du feu vert des autres
Chacun a une idée très précise de ce que vous devriez faire, « faukon », « yaka »… Pour les éviter, Selma, fondatrice du site Apollinepoint, recommande de se passer de l’avis de tous avant de prendre une décision que l’on estime bonne pour soi. « Osez. Maintenant. Ici. Des portes s’ouvriront que vous n’imaginez même pas… »
Même si vous ne faites que transiter par Dubaï, pas de graines de cannabis au fond de votre sac ou de votre poche, pas de « joint » dans votre paquet de cigarettes.
De simples traces sur un vêtement provoquent votre interpellation au moment de franchir les contrôles de police. Vous serez aussitôt soumis à un test visant à déterminer vous vous avez consommé de la drogue.
Sachez que les moindres quantités de stupéfiants, mêmes infinitesimales (de l’ordre de quelques miligrammes) vous conduiront en prison.
Toute importation, consommation, production ou détention de stupéfiants sont totalement interdites et sévèrement punies par la loi. Résine de cannabis, haschich, marijuana, héroïne, cocaïne, mais également certaines substances considérées comme stupéfiants, par exemple la codéine.
Les personnes prenant des médicaments contenant des substances interdites doivent impérativement se munir d’un certificat médical à leur nom, établi par un spécialiste, et dûment daté, certifiant le traitement d’une maladie. Les quantités emportées doivent être proportionnées aux prescriptions du médecin (Voir la liste complète des produits interdits à l’importation aux EAU sur le site du Ministère de la Santé : www.moh.gov.ae). En cas de doute, ne pas hésiter à demander l’avis d’un docteur sur place.
Les médicaments non autorisés sont assimilés à de la drogue et les personnes en détenant sont traitées avec la même extrême sévérité que les trafiquants de narcotique.
Les pénalités légales sont appliquées avec une très grande rigueur : le fait de consommer ou de détenir sur soi des produits stupéfiants quels qu’ils soient et quelle que soit la quantité détenue, peut entraîner une peine de quatre à dix ans d’emprisonnement pouvant être portée à quinze ans pour circonstances aggravantes ou récidive. Les personnes susceptibles de fournir des renseignements et qui ne le font pas peuvent être poursuivies pour complicité.
« L’appel au civisme » est encouragé par une prime de 200.000 dirhams.
Ce consulat rappelle que les autorités françaises ne peuvent en aucun cas intervenir dans les procédures judiciaires locales.
L’émirat de Ras Al Khaimah est en plein essor et attire l’attention des grands groupes hôteliers, visant une expansion des activités sur place. L’émirat enregistre une forte croissance du tourisme, les cinq premiers marchés émetteurs étant les Emirats et l’Allemagne, devant la Russie, l’Angleterre et l’Inde. Un total de 330 048 personnes visitait l’émirat dans la première moitié de l’année, générant environ 118,7 millions de dollars. “La force motrice de la confiance du tourisme dans RAK est un luxe abordable,’’ explique Steven Rice,directeur général de RAKTDA. Le taux d’occupation des hôtels était de 64,11pour cent et le revenu journalier moyen de$ 69,85, générant des revenus de14,9millions de dollars. Selon STR(Smith Travel Research) le taux quotidien moyen des chambres pour RAK en juin a augmenté de$36,93par rapport à Abou Dhabi. Le marché se porte extrêmement bien compte tenu de l’augmentation du nombre de chambres (plus 40 pour cent) et le développement de nouvelles propriétés de luxe sur l’île de Marjan et dans la région d’Al Hamra durant ces neuf derniers mois Steven Rice ajoute que“la diversité de l’émirat et les plages vierges sont l’un de ses principaux arguments de vente, en particulier pour les touristes à la recherche d’un séjour agréable. Le gouvernement RAK mis en place Ras Al Khaimah Tourism Development Authority (Ras Al Khaimah TDA) en 2011 dans le cadre de ses efforts pour consolider le tourisme et ciblant 500 millions de dollars d’investissements dans des projets de développement du tourisme.”
Le jeune scientifique émirien âgé de 10 ans Adeeb Al Blooshi poursuit un tour du monde pour l’aider à construire ses inventions, dont une prothèse pour son père et un robot de ménage chez sa mère. Il a été récemment nommé par CNN parmi les plus impressionnants jeunes pionniers de la médecine dans le monde. Lors de sa visite à Londres, où Adeeb a rencontré l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis au Royaume-Uni, son esprit d’inventeur était enoverdrive sur l’un des problèmes les plus banales du pays: la pluie. Pris dans une averse dans la capitale britannique, la sœur d’Adeeb tenait un parapluie qui a explosé en raison de vents forts. Son jeune frère a alors dessiné un parapluie vraiment étanche, d’une forme différente et fait de deux couches et de métal plus résistant. Adeeb est en route pour des visites dans sept pays et différents centres scientifiques et de recherche, parrainé par SA Cheikh Hamdan bin Mohammed, Prince héritier de Dubaï. Le garçon, qui détient sept brevets scientifiques et a reçu plus de 100 certificats et des prix, est membre de l’Association arabe de robotique et un Ambassadeur de l’Autorité de l’Identité des Émirats. Il a déjà visité l’Allemagne, l’Italie, la France et les Etats-Unis, et partira au Vietnam cette année, où il sera récompensé par Interpol, l’agence de police internationale, pour son travail. «J’ai découvert beaucoup de choses.Les visites actuelles m’aident au niveau de l’information. » Aux Etats-Unis, il a participé au camp de l’espace de l’Alabama. “Le camp était en général très utile, j’ai appris beaucoup de choses sur l’espace.’’
Alors que les besoins de ses parents ont inspiré ses deux premières inventions, Adeeb est à la recherche de problèmes plus larges pour résoudre à l’avenir. Mais, âgé de 10 ans seulement, Adeeb est trop avisé pour donner toutes ses idées aux journalistes. «Je peux vous parler de quelques-unes de mes inventions, mais je ne peux pas vraiment en dire trop en raison des problèmes de droits d’auteur.» Adeeb affirme qu’il va continuer à chercher des solutions aux grands problèmes de la vie. “Je veux que mes inventions bénéficient à l’humanité.’’
Aldar Properties fait état des progrès réalisés dans la phase de préouverture de YasMall, le géant des hypermarchés prévu d’ouvrir ses portes en novembre 2014. Le géant a commencé son aménagement par l’installation d’un système de climatisation, utilisant un hélicoptère pour charger l’installation. L’opération a été réalisée par une équipe de projet impliquant Aldar, la société de coordination Vindico et l’entrepreneur principal du projet Sixco, et a pris un peu plus de 50 minutes. L’achèvement de l’installation de climatisation marque un tournant dans l’approche de l’ouverture de l’hypermarché de cette année qui desservira les visiteurs locaux et internationaux de la ville, y compris les communautés voisines de YasMall. Yas Mall a également annoncé trois détaillants de premier plan dans le cadre de son partenariat avec Groupe Chalhoub, y compris un nouveau concept House of Fraser Department Store, le premier magasin Hamleys d’Abou Dhabi et le premier magasin Joe Fresh dans les Emirats Arabes Unis. Le centre commercial abritera également 20 salles à écran exploités par Voxet Funworks.
Comme certaines disent à Dubai, mieux vaut être mariée que célibataire ici. Ce n’est parce que leurs bouts de choux les comblent d’amour qu’elles comptent renoncer à toute vie sentimentale. Mais il n’est pas forcément évident de trouver la perle quand on a des journées ultra-minutées. Quelques conseils pour rencontrer le prince charmant, le vrai !
Le Web, terrain idéal pour les mamans solos
Entre le cours de saxophone de l’aîné, le judo du deuxième et le rendez-vous chez le pédiatre du petit dernier, difficile de trouver le temps de chercher l’âme sœur, voire d’en avoir l’idée… Et nos célibataires sont souvent tellement fatiguées les week-ends où leurs rejetons sont chez leur papa qu’elles préfèrent souvent rester tranquillement sous leur couette avec un bol de chips et une bonne vieille série plutôt que de partir à la chasse aux garçons avec leurs copines. Heureusement, elles peuvent miser sur les innombrables sites de rencontres qui fleurissent sur Internet. Un petit temps mort dans la journée ou le soir quand les loustics sont couchés : on profite pour se connecter. Pour prendre le temps aussi de faire connaissance avec ses « prétendants » sans précipiter ; ce qui évitera les mauvaises surprises quand on en arrivera au stade du rendez en chair et en os. Pas de risque de se sentir en minorité sur ce type de site : selon le sondage réalisé par le site de rencontres Match, 44 % des de femmes internautes de plus de 25 % qui cherchent l’amour sur le site ont au moins un enfant.
Le bon timing pour faire son annonce
Une fois tissés sur la Toile les premiers fils d’une jolie relation, beaucoup de ces mères solos hésitent souvent à révéler à leur partenaire virtuel qu’elles ne sont pas toutes seules dans la vie, de peur de le voir fuir à toutes jambes. Une crainte souvent infondée puisque, selon un sondage réalisé en 2013, 43 % des hommes célibataires se disent ouverts à l’idée de rencontrer une maman solo vivant à temps complet avec ses enfants Mieux vaut donc jouer la carte de la franchise, mais vous n’êtes obligée d’abattre vos cartes immédiatement dès la première conversation. Rien de tel qu’un peu de mystère pour faire grandir ses élans envers vous ! Celles qui ont été échaudées par des expériences malheureuses dans ce domaine et ne veulent pas s’exposer à d’éventuelles autres déceptions de ce type peuvent se diriger vers les sites spécialisés dans les parents solos, tels divorceoumonop.com, solofamily.fr, rencontre-parents.fr ou encore tribu-des-solos.fr. Elles y sont privilégiées puisqu’il leur est possible de rencontrer d’autres parents solos ou des célibataires sans enfants. Par contre, deux membres sans enfant ne peuvent pas nouer contact.
La vraie vie à ne pas négliger
Même si le Net donne une infinité de possibilités, il ne faut pas passer à côté des autres occasions de rencontre qu’offre le quotidien. Dans l’univers professionnel, pendant un cours de gym, à la kermesse de l’école ou durant pourquoi pas sur Bonjourdubai.com : l’amour peut se nicher partout. A charge des mamans solos de ne pas oublier qu’elles sont femmes avant d’être mères : on préfère un joli slim et une veste cintrée plutôt qu’un survêtement distendu, même si ce n’est que pour aller à la réunion parents d’élèves. L’homme de vos rêves vous y attend peut-être !