Dubaï continue d’être la ville la plus “dynamique” dans le Moyen-Orient pour une deuxième année consécutive selon une enquête mondiale qui classe les villes en fonction du dynamisme du secteur de l’immobilier et des facteurs socio-économiques connexes. Dubaï glisse toutefois de la troisième place au 13e rang, une baisse provoquée par le ralentissement marqué de son marché immobilier l’année dernière.
Le Momentum Index mis en place par le conseil en immobilier JLL classe Londres à la première place, devant San Jose, Beijing, Shenzhen et Shanghai.
Alors que le ralentissement de la croissance du marché immobilier explique le glissement de Dubaï dans le classement, la position de la ville à long terme reste conservée : “Dubaï reste dans le Top 20 des villes mondiales en termes de dynamisme et du rythme du changement,’’ affirme Craig Plumb, chef de la recherche chez JLL Mena.
Source: Gulf News
Plus de 8000 résidents de Dubaï participaient vendredi dernier à la sixième «Marche pour l’éducation » organisée par organisation philanthropique Dubai Cares.
La marche de 45 minutes était la deuxième initiative communautaire en moins de deux mois, après la marche en faveur de la reconstruction de la Palestine.
“Dans les deux cas, nous avons été submergés par un grand soutien de la communauté. Notre «Marche pour l’éducation» est un témoignage de la solidarité avec les enfants et la volonté de promouvoir l’enseignement,’’ déclare Tariq Al Gurg, CEO de Dubai Cares.
La marche symbolique forme une forme d’aide aux élèves défavorisés à travers le monde. Le montant de l’inscription de chaque participant est destiné à Dubai Cares et sera utilisé pour des projets d’éducation. Ces projets aident actuellement 10 millions d’enfants en âge scolaire dans 35 pays en développement.
Le Groupe Majid Al Futtaim poursuit son expansion à Dubaï avec un 2ème Carrefour City. Le Carrefour City « Barsha Arenco », d’une surface de vente de 180 m2, est situé au pied d’un immeuble tout neuf, dans un quartier composé de bureaux et d’appartements, sur un axe de circulation très fréquenté. Majid Al Futtaim détient à ce jour 135 magasins, dont 61 hypermarchés Carrefour, 71 Carrefour Market, 2 Carrefour City et 1 Web Store, répartis dans 13 pays.
Dubaï a traité environ 2,4 millions de tonnes de fret aérien en 2014, conservant ainsi la troisième place après la Corée du Sud et Hong Kong.
«Nous cherchons à atteindre 4 millions de tonnes d’ici 2020, avec un taux de croissance annuel moyen de 6,7 pour cent. Dubaï jouerait ainsi un rôle clé dans la stratégie de la cargaison, » déclare Paul Griffiths, CEO de Dubai Airports.
Environ 24 compagnies aériennes de fret opèrent actuellement à DWC et « Je suis optimiste que nous serions en mesure de réaliser la croissance projetée,» affirme Griffiths.
Le tonnage transporté via Hong Kong pendant 12 mois était de 4,3 millions de tonnes, et à travers Séoul de 2,46 millions de tonnes.
Les volumes de fret en décembre diminuaient de 7 pour cent, avec 202 836 tonnes passant par l’aéroport, par rapport aux 218 138 tonnes enregistrées durant le même mois de l’an dernier.
Autrefois désert aride peuplé de Bédouins et petit port de pêche réputé pour ses perles, l’émirat de Dubaï, aujourd’hui en plein boom économique et immobilier se voit être l’une des places les plus importantes de la planète.
Avec près de 11 millions de visiteurs, Dubai, ville de la démesure a enregistré de très bons résultats en 2014 et vise maintenant les 20 millions d’ici 2020 notamment grâce à l’Exposition Universelle 2020. Rien que ça !!! Même si Dubai n’est pas très loin à vol d’avion, vous verrez d’autres paysages, d’autres populations, et vous découvrirez une autre culture totalement différente de la votre.
Et concernant l’hébergement ? Sur place ou avant? On pourrait penser que c’est la dernière étape avant le départ, et ben non ! Nous vous conseillons vivement de réserver votre hébergement avant votre arrivée sur place afin d’éviter les mauvaises surprises. Surtout si votre arrivée est de nuit et apères des heures de voyage dans une ville que vous ne connaissez pas encore….Bonjour le stress, surtout avec une ville aussi grande que Dubai.
L’hôtel, la location d’appartement et de maison restent le meilleur moyen d’apprécier son séjour à Dubaï. Il y en a pour tous les budgets, du petit hôtel à Sharjah au fameux Burj Al Arab.Il existe plusieurs sites pour réserver une maison ou un appartement, en voici un que nous trouvons très bien et pas cher, Housetrip Dubai propose une multitude d’hébergement sur place, vous avez également une auberge de jeunesse si vous faites une escale d’une nuit à Dubai.
Mais pour mieux apprécier votre séjour, mieux vaut louer un appartement ou une maison pour de longs séjours, il est toujours possible de louer un appartement dans un hôtel. Beaucoup plus rentable que de payer l’hôtel.
Cependant, nous aimerions en finir avec cette fausse indication qui circule sur le net où Dubaï serait loin d’être une destination pour jeunes aventurier et routards… De plus en plus de jeunes baroudeurs débarquent à Dubai. Il faut savoir que Dubai c’est des centaines d’appartements, hôtels et différents établissements hôteliers. On dénombre des centaines de chantiers en cours de construction qui augmenteront sa capacité hôtelière. Ce qui fera sûrement baisser le prix de l’hébergement sur place 🙂
Et la préparation du voyage dans tout ça? Ca peut paraître simple et évident pour certains mais un voyage nécessite un minimum de préparation. Donc, ne sous-estimer pas ce voyage. Renseignez-vous sur la culture, ce qu’il faut faire et ne pas faire. Surtout pour les futurs travailleurs qui souhaitent s’installer à Dubai. Nous vous conseillons de lire notre précédent article: Dubai: ce qu’il ne faut pas faire avec son patron.
Dubai est une ville très très grande, tellement grande, qu’elle posait un problème de circulation pour le voyageur qui souhaitait visiter la ville sans trop d’attente dans les embouteillages. C’est désormais fait, le métro de Dubai est devenu en 2010 le métro entièrement automatique le plus long au monde, dépassant le SkyTrain de Vancouver de 3 km. (encore un record pour la ville qui les collectionne). Vous pouvez visiter chaque place importante de l’Emirat en toute tranquilité.
Et niveau sécurité? Pas de souci, Dubai est l’une des villes les plus sûres du monde. Découvrez la vidéo d’un expatrié qui nous parle de la sécurité à Dubai : Cliquez ici.
Dubai c’est aussi (presque) du soleil toute l’année. Située entre le désert et la mer chaude du golfe d’Arabie, vous y découvrirez des plages de sable fin, son soleil hivernal et les virées en 4×4 dans les dunes de sable vous feront découvrir une nature exceptionnelle.
Encore une chose, découvrez les principaux quartiers de Dubai grâce à ce site qui permet de voir les différentes places de la ville. La première visite guidée interactive de chez vous: www.dubai360.com
Bon voyage et faites le plein d’aventures 🙂
Deux établissements hôteliers des Emirats Arabes Unis, le Dar Al Masyaf à Madinat Jumeirah Resort de Dubaï, et Al Maha, un Luxury Collection Desert Resort & Spa, Dubaï, se hissent à la 13e et la 8e place respectivement dans le classement des 25 Meilleurs Hôtels du monde 2015 de Trip Advisor, sur base des avis de voyageurs.
Dar Al Masyaf propose des villas de deux étages au milieu de cours d’eau pittoresques et de jardins paysagers, tandis qu’Al Maha se décrit comme “niché dans une oasis de palmiers et de verdure, au plus profond des dunes et du paysage désertique de Dubaï.’’
“Au Madinat Jumeirah, nous nous concentrons toujours sur la prestation d’expériences exceptionnelles et un service mémorable pour nos clients,’’ déclare Azar Saliba, directeur de l’hôtel Al Qasr et Dar Al Masyaf.
«C’est vraiment gratifiant de voir les résultats de notre engagement permanent et de notre marque reflétés dans les commentaires des clients. »
Dubai 360 vient de lancer le site Dubai360.com, la première visite guidée interactive. Les voyageurs d’affaires ou les organisateurs d’événements qui n’ont jamais été à Dubaï vont pouvoir l’utiliser pour découvrir la ville et préparer leur déplacement depuis leur ordinateur, tandis que les habitués de l’émirat pourront trouver de bonnes adresses. Le site Dubai360.com permet aux internautes d’explorer chaque mètre carré de la ville du Golfe depuis un ordinateur ou une tablette. 18 mois de développement et 1 298 vidéos et photographies panoramiques ont été nécessaires pour créer cette visite guidée interactive en haute résolution. Grâce aux vidéos réalisées depuis le sommet de la plus haute tour du monde, Burj Khalifa, les visiteurs du site Internet accèdent à la vision d’un oiseau sur la ville ainsi qu’une vue exceptionnelle de Sheikh Zayed Road et de la côte. En un clic, les spectateurs peuvent par exemple pénétrer dans la luxueuse suite royale du célèbre Burj Al Arab Hotel et découvrir sa décoration intérieure à la feuille d’or, ses chambres à la décoration opulente et son incroyable vue sur la mer. Ils ont aussi la possibilité de nager parmi les animaux marins de l’Aquarium du Dubai Mall ou encore prendre le métro pour visiter la ville en un clin d’œil.
L’équipe du site a également développé une interface personnalisée qui permet aux utilisateurs d’interagir avec des monuments de Dubaï en leur fournissant un certain nombre d’options de visualisation y compris rectiligne et le mode «Little Planet». Ils peuvent également partager leurs vues préférées avec leurs amis via Facebook, Twitter, Google Plus et par email.
L’humanité peut et va faire face au défi du changement climatique d’origine humaine, affirme le lauréat du prix Nobel et ancien vice-président américain Al Gore devant un auditoire à Abou Dhabi.
“C’est un rare privilège de vivre à une époque où les individus peuvent donner autant de sens à leur vie et influencer l’avenir non seulement de la prochaine décennie, mais aussi du siècle,’’ déclare M. Gore en acceptant le Zayed Future Energy Prize pour l’ensemble de ses réalisations.
Etant l’un des militants des plus dynamiques acteurs de la lutte contre le changement climatique, M. Gore était vice-président de Bill Clinton et la force principale du documentaire oscarisé Une vérité qui dérange, sorti en 2006. Un an plus tard, il a reçu le prix Nobel de la paix, conjointement avec le Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques.
M. Gore s’est déclaré optimiste quant à un accord mondial sur la diminution des gaz à effet de serre, à discuter durant une conférence à Paris à la fin de l’année, et sur la capacité globale de l’humanité face à la question.
“La jeune génération en particulier, mais les gens de tous âges, sont maintenant vraiment pleinement conscient du fait que nous devons changer. “Il n’y a vraiment qu’une seule autre question : Pouvons-nous changer … et la réponse à cette question est fournie par les gens qui sont ici présents.’’
M. Gore a reçu un prix pour l’excellence de ses réalisations d’un montant de $500 000. Lancé et géré par la société Masdar, le prix est aussi un hommage à la vision du père fondateur et président Cheikh Zayed et fait partie de la Semaine du développement durable d’Abou Dhabi.
Le Forum international Les renouveaux du monde arabe se tiendra les 15 et 16 janvier, à Paris. Il donnera la parole à des femmes engagées qui s’imposent. Madame Figaro a rencontré ces pionnières, actrices d’une révolution en marche.
C’est un petit musée, dédié aux femmes des Émirats arabes unis. Il est situé à Dubai, dans le quartier de l’or, au fond d’une ruelle, abrité dans une maison de trois étages que Rafia Obaid Ghubash, psychiatre et ancienne doyenne de la faculté de médecine de l’université des Émirats, a achetée en 2009. Cinq ans et trois millions de dollars plus tard, elle y ouvrait son musée en hommage aux pionnières, à celles qui, au siècle dernier, faisaient du commerce avec les Indes, exerçaient la médecine traditionnelle, excellaient dans la poésie, se battaient contre les Anglais. « Je n’ai jamais rencontré de femmes aussi fortes qu’à Dubai, témoigne la propriétaire des lieux dans une longue enquête qui leur a été consacrée (1). Cette terre de beauté, de souffrance, de dunes de sable a-t-elle contribué à former leur caractère ? Est-ce parce que les hommes partaient travailler à l’étranger, ou s’absentaient six mois pour aller pêcher les perles ? Depuis longtemps, les femmes ici ont appris à être totalement autonomes. »
Une confrontation entre tradition et modernité
Elles n’ont donc pas attendu 1971, l’année de l’indépendance et de la création de la fédération des Émirats arabes unis sur quelque 80 000 kilomètres carrés, pour donner de la voix ; ni le miracle pétrolier de la fin des années 1960, qui a permis de transformer leur terre en paradis du luxe, de la consommation, de la finance, abritant désormais les plus hauts buildings qui ne s’éteignent jamais, les plus grands malls, les plus grosses fortunes. « Les femmes ont toujours été très influentes au sein de la famille, de la tribu, et maintenant elles le deviennent au sein de la société », constate François-Aïssa Touazi, ancien conseiller Moyen-Orient au ministère des Affaires étrangères. « Il faut leur laisser du temps, elles vont nous surprendre (2) » .
Elles ont déjà commencé. C’est la raison pour laquelle le Forum international « Les renouveaux du monde arabe », organisé par l’Institut du monde arabe, à Paris, en partenariat avec Thinkers and Doers, les 15 et 16 janvier, en compte parmi ses orateurs (voir encadrés p. 49), pour parler de l’importance de l’éducation, de l’art, de la création d’entreprises. Mais surtout pour raconter la manière dont les femmes peuvent devenir les architectes de leur futur dans ces États nouveaux, puissants, où l’espérance de vie en quatre décennies a augmenté de vingt ans, où tradition et modernité s’affrontent, immensément riches et néanmoins fragiles, notamment face aux géants voisins, l’Arabie saoudite ou l’Iran.
L’éducation des filles, la clé de l’avenir
Architectes de leur présent, certaines le sont déjà. Ainsi, Hissa Al Dhaheri, diplômée de l’université Zayed d’Abu Dhabi et de celle d’Exeter en Angleterre, ancienne journaliste, est le chef de projet du Louvre Abu Dhabi, qui ouvrira en 2015. Salama Al Shamsi est à la tête du Zayed National Museum. Son Excellence Hoda Kanoo dirige la Abu Dhabi Music and Arts Foundation, qu’elle a fondée en 1996. « C’est par l’art que nous allons faire évoluer les mentalités », explique-t-elle dans un parfait français.
Née au Liban d’une mère syrienne et d’un père saoudien homme d’affaires, S. E. Hoda Kanoo a étudié l’histoire de l’art à Paris. Dans sa maison de pierres ocre située dans le centre d’Abu Dhabi résonnent ce jour-là des cantates de Bach. Le mobilier est une sorte de sabir, composé de meubles syriens incrustés de nacre, de fauteuils Napoléon III recouverts de velours vert, de guéridons Louis-Philippe chargés de livres d’art. Elle apparaît vêtue d’une robe de soie rose pâle et chaussée de pantoufles blanches rehaussées d’un pompon à plumes, comme une héroïne hollywoodienne d’un film de George Cukor. « J’ai passé mon enfance à Beyrouth, raconte-t-elle d’une voix douce, dans une famille joyeuse et aimante, dont ma mère était le roc. Dès que je me décourage, je pense à elle, et je m’interdis de baisser les bras. » Elle s’inquiète auprès de son assistante : « Comment était la remise des prix ? » Une heure plus tôt, en effet, le ministre de la Culture d’Abu Dhabi décernait un diplôme à onze garçons et à autant de filles au terme d’une formation de neuf mois dans les secteurs de l’information, du cinéma, de la presse. « C’est par l’art, mais aussi par l’éducation que nous avançons, poursuit-elle. C’est l’éducation qui donne confiance aux femmes et leur permet de se convaincre que tout leur est possible à condition de le vouloir. » Son héroïne ? Cheikha Fatima, épouse de Cheikh Zayed, fondateur et premier Président de la fédération des Émirats arabes unis. « C’est elle qui a voulu que les filles aillent à l’école, martèle S. E. Hoda. Elle répétait que si la mère, celle qui fabrique les générations à venir, n’est pas éduquée, elle ne pourrait former les forces vives de demain. »
Les femmes sont avocates, sopranos, stylistes…
Lorsque la fédération est née, en 1971, le taux d’analphabétisme était de 85 % chez les femmes. Aujourd’hui, 98 % des filles vont à l’école. Encouragées par les autorités, elles ont eu accès à l’éducation, quitté les madrasa, où l’apprentissage était uniquement fondé sur le Coran et les principes de l’islam, pour aller à l’école apprendre les sciences, l’histoire et les mathématiques. Elles sont 72 % à fréquenter les universités, trois fois plus présentes que les garçons. 25 % des députés sont des femmes.
Progressivement, les femmes émiriennes ont avancé sur tous les territoires. Elles sont avocates, sopranos, stylistes, et même pilote de F16, raconte la journaliste franco-suisse Kyra Dupont dans son livre Perles des Émirats (cité plus haut). Sans jamais se dire féministes, sans avancer en force, mais plutôt en alliant convictions profondes et realpolitik. Installée à Dubai, la journaliste a enquêté pendant trois années avec une question centrale en tête : « Qui sont-elles vraiment derrière le voile ? » Comment, en effet, expliquer que ces femmes qui ont voyagé, étudié à l’étranger, qui ont aujourd’hui des responsabilités, continuent de porter l’abaya, robe noire qui recouvre les vêtements ? Comment décrypter leur place dans une société à la culture bédouine, musulmane, patriarcale, et propulsée en moins d’un demi-siècle d’une vie de village à la globalisation (elles y représentent 50 % de la force de travail) ?
« J’ai mis longtemps à comprendre que le voile ici n’était plus un sujet tel que nous l’entendions, répond Kyra Dupont, qu’il fallait dépasser cette question, que mettre l’abaya était un moyen de signifier son appartenance culturelle. Il n’y a pas que l’aspect religieux dans ce vêtement, plutôt une volonté de rester proche de racines dont les femmes ici sont très fières tout en gardant la possibilité d’être belles. Ces robes noires, parfois ornées de fils d’or ou de perles, peuvent être aussi très séduisantes », poursuit la journaliste. C’est donc dans le calme, la modestie, mais aussi l’audace et la détermination que certaines ont pris leur destin en main. « Il faut être patiente quand on est une femme ici, conclut S. E. Hoda Kanoo : l’homme est demeuré un lion, nous devons rester rusées pour trouver notre place. »
(1) Perles des Émirats, de Kyra Dupont, éditions du Moment. (2) Le ciel est leur limite, de François-Aïssa Touazi, éditions du Moment.
A la suite de ma première vidéo sur les avantages pour un jeune professionnel de débuter sa carrière de trading à Dubai, j’ai reçu de nombreuses questions notamment de seniors désireux de s’expatrier en famille. Comme je l’explique dans ma vidéo, c’est vraiment du cas par cas. Néanmoins, j’ai rencontré plusieurs entrepreneurs qui m’ont fait part de leur enthousiasme d’avoir franchi le pas et j’ai même été invité chez un entrepreneur qui m’a permis de découvrir la qualité de vie dont bénéficient certains expatriés (je dis bien certains car pour bénéficier de ces avantages, il faut malgré tout avoir un certain niveau de vie).