Etirements, assouplissements et relaxation, cette séance de gymnastique douce et réparatrice a été élaborée par Timez5, une société canadienne implantée à Dubaï et à Paris, pour un bien-être corporel très ciblé : celui des fidèles, hommes et femmes, afin de faire de la prière un instant agréable qui ne déclenchera ni ne réveillera aucune douleur lancinante, articulaire ou musculaire. Avec cette séance, prier dans les grandes mosquées à Paris ne sera plus un problème d’un point de vu physique et vous pourrez consulter le temps de la prière à paris pour vous y rendre. Lire la suite « Des prières sans douleurs grâce à une société canadienne installée à Dubaï »
Les 168 États membres du Bureau international des expositions (BIE) ont désigné, mercredi, Dubaï comme hôte de l’Exposition universelle de 2020. La cité-État des Emirats était notamment en concurrence avec Ekaterinbourg, Izmir et Sao Paulo.
Le 27 novembre 2013 à Paris, l’assemblée générale du Bureau International des Expositions (BIE) a élu la ville hôte de l’Exposition universelle 2020.
Lors du dernier tour de scrutin, Dubaï a reçu le plus grand nombre de voix de la part des délégués du BIE. C’est donc la capitale de l’émirat du même nom qui organisera l’Exposition universelle en 2020.
Dubaï (E.A.U.), Ekaterinbourg (Russie), Izmir (Turquie) et São Paulo (Brésil) étaient les quatre villes en lice pour le droit d’organiser l’Expo 2020. Ayutthaya (Thaïlande) a quitté la compétition en juin 2013.
De Tonga jusqu’au Pérou, témoignages de partenariats développés avec Dubaï permettant progrès et amélioration de la qualité de vie à travers le monde.
En 2006, le plus gros aéroport du Golfe n’était même pas dans le top 30 mondial. En 2012, il était numéro 10 et il va finir l’année au 7e rang mondial. Dans le classement 2013 des 10 aéroports les plus fréquentés du monde, Roissy Charles-de-Gaulle s’apprête à céder sa septième place à Dubaï. On ne voit en effet pas comment la tendance observé depuis le début de l’année pourrait s’inverser. Sur les 8 premiers mois de l’année, selon un bilan provisoire de ACI (Airports Coucil International), la première plateforme aéroportuaire du Golfe a déjà cumulé 43,97 millions de passagers, contre 41,71 millions à Paris-CDG.
Avant de détrôner Paris, l’aéroport qui doit son succès aux ambitions d’Emirates, avait déjà chassé Francfort, le premier aéroport d’Allemagne, du top 10. Il s’était hissé l’an passé au 10e rang, avec 57,68 millions de passagers contre 51 millions l’année précédente, soit une progression de 13,2%… Pour mémoire, en 2006, l’émirat ne faisait même pas pas partie des 30 plus gros aéroports du monde.
Ces deux déclassements très symboliques confirment le poids exponentiel des aéroports situés dans les pays émergents ces dernières années, conséquence des investissements massifs que réalisent les compagnies aériennes qui les utilisent comme plateforme de correspondance (hubs). Pour preuve? Les dernières commandes records d’avions long courrier enregistrées par Airbus et Boeing au Dubai Airshow. Pourtant le trafic passagers ne cesse de grimper en Europe: 830 millions de passagers en 2012 dans l’UE 27 selon Eurostat, soit une progression de 0,7% par rapport à 2011 et de 3,6% par rapport à 2008, année de crise. Mais cette croissance reste néanmoins très en deçà de la moyenne mondiale. Selon les chiffres d’Airports Council International, le trafic passager mondial a grimpé de 4,1% sur un an en septembre. Lire la suite sur Challenges.fr…
Alors que l’émirat défend mercredi sa candidature pour l’exposition universelle 2020, metronews est allé voir sur place ce que la ville est devenue en moins de 50 ans d’existence. L’arrivée à Dubaï donne l’impression d’avoir atterri à Las Vegas. Dans une chaleur écrasante, le 4×4 climatisé est roi, sur des avenues à douze voies bordées de palmiers et de gratte-ciel brillants comme des sous neufs. Seuls les panneaux en arabe viennent rappeler que c’est en plein coeur du Moyen-Orient qu’est installé ce paradis du divertissement et de la démesure. Qui n’était qu’un désert vingt ans plus tôt.
« Quand j’étais petite, je jouais ici les pieds dans le sable », se souvient ainsi Divya, 26 ans seulement. Aujourd’hui, la jeune femme travaille la tête dans le ciel, dans la plus haute tour du monde : la burj al-Khalifa (828 mètres). Comme 90% de la population des Emirats arabes unis (EAU), dont Dubaï est membre, ses parents ont immigré, depuis l’Inde, pour venir chercher fortune dans cet eldorado. « Ils sont venus pieds nus et mon père a réussi dans l’immobilier, raconte-t-elle dans un anglais perfectionné à New York, où elle a fait ses études. C’est allé très vite, comme tout ici. » Lire la suite sur Metronews….
Les chefs d’entreprises ont appelé l’Afrique « à libérer tout son potentiel et à collaborer avec Dubaï pour tirer profit du pouvoir de ses secteurs clés », à l’occasion du Forum Mondial des Affaires en Afrique 2013, organisé en présence et sous le haut patronage de Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum (dessin), vice-président des Émirats Arabes Unis, premier ministre et gouverneur de Dubaï.
4500 délégués se sont réunis durant l’évènement qui a duré deux jours, pour discuter les opportunités d’affaires dans les secteurs agroalimentaire, commercial, logistiques et les services financiers.
Rt. Amama Mbabazi, Premier ministre de la république de l’Ouganda, S.E. Sultan Al Mansouri, ministre de l’Economie des Émirats arabes unis, S.E. Reem Al Hashimy, ministre d’Etat des Émirats arabes unis, S.E. Sindiso Ngwenya, secrétaire général de la COMESA, l’Honorable Danny Faure vice-président des Seychelles, ainsi que d’autres dignitaires et chefs d’entreprises, ont participé au premier jour du Forum.
Dans son discours d’ouverture, Rt. Hon. Mbabazi a souligné que l’Afrique pourrait apprendre de l’expérience relative aux partenariats des secteurs publics et privés des Émirats arabes unis. Il a confié aux délégués que « le modèle de Dubaï est intéressant digne d’être reproduit ». Lire la suite sur Agenceecofin…
La paix peut-elle se construire par le sport ? Un champion peut-il, par ses valeurs, son image et ses messages, réussir où les hommes politiques ont échoué ? Un homme le croit dur comme fer. Joël Bouzou, ancien champion du monde de pentathlon moderne (1987), aujourd’hui fondateur et président de Peace and Sport. Le Français y croit. Et il n’est pas le seul. A Dubaï, son organisation tient actuellement (23 et 24 avril) son premier Forum dans un pays du monde arabe. Un rendez-vous où se pressent plusieurs centaines de dirigeants du mouvement sportif, experts et anciens champions. Pour parler de paix, de sport. Et de la façon de marier les deux. Interview. FrancsJeux : Pourquoi avoir choisi Dubaï pour organiser le premier Forum continental Peace and Sport? Joël Bouzou : La vocation de Peace and Sport a toujours été, depuis sa création en 2007, d’œuvrer à la construction d’une paix durable dans le monde. Le monde au sens le plus large du terme, sur les cinq continents. Nous avons cherché, depuis le tout début, à nous développer à l’international, à faire entendre notre voix sur l’ensemble de la planète. Cet objectif nous a conduits l’an passé à organiser notre Forum international en Russie, à Sotchi. Cette année, nous faisons étape à Dubaï avec la volonté de nous adapter aux problématiques des différentes régions du monde. Dubaï s’impose comme un choix naturel pour débattre de la paix par le sport dans un cadre neutre. Lire la suite de l’interview….