Aux Émirats, la plupart des femmes expatriées ont besoin de l’autorisation de leur mari pour accepter un emploi. La correspondante du New York Times au Moyen-Orient, elle, a réussi à inverser les rôles. Lire la suite « Etre businesswoman aux Émirats arabes unis »
Myrna Ayad a été nommée directrice d’Art Dubaï en remplacement d’Antonia Carver, qui prendra la tête de la fondation Art Jameel. Pour célébrer ses dix années d’existence, Art Dubaï régénère son organigramme avec un peu de sang neuf. Née au Liban en 1977, la future directrice Myrna Ayad, qui prendra ses fonctions le 1er mai, est une des principales voix du Moyen-Orient culturel. Écrivain prolifique, elle publie régulièrement pour les revues The New York Times, Art Forum, Artsy, The National et surtout pour le magazine Canvas, une des revues culturelles les plus importantes du monde arabe. Lire la suite « Myrna Ayad, directrice d’Art Dubaï »
Le Festival «Mère de la Nation » à Abu Dhabi au cours des derniers jours a permis de rendre hommage à Son Altesse Cheikha Fatima bint Moubarak, Présidente de l’Union générale des femmes (GWU), suprême Présidente de la Fondation pour le développement de la famille (FDF) et Présidente du Conseil supérieur de la maternité et de l’enfance.
Pour la première fois depuis sa création, en 2005, Forum mondial des Femmes se déroule dans un pays du Moyen-Orient et plus précisément à Dubaï. Parmi les prestigieuses intervenantes de cette édition de 48 heures, qui s’achève ce soir, la patronne du FMI Christine Lagarde, l’ancienne chef de la diplomatie italienne Emma Bonino, ou encore la reine Rania de Jordanie. Lire la suite « Forum mondial des femmes à Dubai »
Le remaniement ministériel aux Emirats arabes unis n’est pas passé inaperçu, et pour cause. Au moins deux ministères innovants ont été créés: du Bonheur et de la Tolérance, dirigés par des femmes -elles sont donc huit au total au gouvernement. Parmi elles, l’inébranlable Sheikha Lubna Al Qasimi, qui fût la Lire la suite « Lubna Al Qasimi des Emirats, femme la plus puissante du monde arabe »
Les femmes occupent aujourd’hui 47% du marché du travail, 66% des employés gouvernementaux, 10% des postes diplomatiques, et 17,5% des sièges du Federal National Council. Un « parlement » qui ne joue, certes, qu’un rôle consultatif. Lire la suite « Le travail et les femmes aux Emirats arabes unis »
Les clubs 100 % femmes se multiplient depuis 5 ans. Objectif ? Doper leur carrière et améliorer leur organisation de travail. Women’s forum, Financi’Elles, Ladies First… Depuis 5 ans, le nombre de cercles 100% réservés aux femmes explosent. Ils peuvent être liés à une profession, comme le club des femmes parlementaires ou des femmes juristes. Mais on les retrouve aussi au sein de grandes entreprises, comme à la SNCF, chez Orange, Axa ou Coca Cola. Sans oublier les réseaux des écoles, sur le modèle de «Grandes écoles au féminin» (GEF).
Miser sur les forces des individus plutôt que pallier leurs lacunes : et si l’approche de la qualité de vie au travail s’intéressait à ce « ce qui fonctionne bien » plutôt qu’à analyser les dysfonctionnements ? Un courant de la psychologie, dite « positive », prouve qu’il est plus performant de s’intéresser à nos atouts qu’à nos déficits.
L’impérieuse nécessité de trouver une solution aux problèmes en tous genre nous a jusqu’à présent privé de chercher des ressources dans le positif, c’est-à-dire dans ce qui fonctionne correctement. C’est bien connu : en France, on se méfie de l’esprit bisounours.
Habitués à utiliser nos facultés intellectuelles pour pallier aux défaillances, nous omettons de considérer les qualités et les ressources des individus et des systèmes. Pire : l’approche traditionnelle du changement se focalise sur les problèmes à résoudre, réduisant du même coup le champ des perspectives aux erreurs survenues dans le passé.
A la recherche des mauvais élèves
Corollaire managérial : on recherche les coupables et les mauvais élèves de la classe. Loin de vouloir repeindre la vie de bureau en rose, le contexte de plus en plus oppressant du mal-être au travail impose de reconsidérer le rapport entre les individus.
S’appuyant sur l‘émergence de la psychologie dite « positive », portée par Martin Seligman aux Etats-Unis qui s’intéresse aux conditions et processus qui contribuent au fonctionnement optimal des individus des groupes et des institutions, le management entame un virage à 180 degrés et revêt une nouvelle terminologie : « le management appréciatif ».
Une posture appréciative de l’équipe
Développée en France par le psychologue praticien et consultant en entreprise, Jean-Christophe Barralis, également administrateur de l’Association française et francophone de Psychologie positive, cette jeune notion part du postulat que les échanges sur les forces et réussites d’une équipe suscitent créativité et espoir, motivation et engagement.
» Le Manager Appréciatif est dans une posture appréciative de son équipe. Il doit être en mesure de repérer ses forces et ses atouts et s’appuyer sur celles-ci pour piloter et animer ce collectif, diriger son attention sur les réussites, produire continuellement du sens, susciter la coopération, l’entraide et la générosité, favoriser la diffusion d’émotions positives, reconnaître les efforts autant que les résultats », explique Jean-Christophe Barralis.
Dubai Women Establishment (DWE) et The Protocol School of Washington (PSOW) signent un accord en vue d’établir des programmes appuyant et renforçant les compétences des femmes leaders, les aidant à parfaire leurs capacités et d’atteindre un plus grand développement personnel et professionnel.
En ligne avec l’objectif déclaré de DWE de lancer de nouveaux programmes et initiatives visant à renforcer le rôle des femmes émiriennes comme membres à part entière de la société, ce protocole d’accord a été signé par Mme Shamsa Saleh, CEO de DWE, et Mme Pamela Eyring, présidente de la PSOW.
Le protocole d’accord verra les deux entités collaborer pour concevoir divers programmes et cours de formation sur des sujets tels que la communication interculturelle, les entreprises et l’étiquette sociale et le protocole de la communication diplomatique, permettant ainsi aux femmes émiriennes d’acquérir des compétences précieuses. Les deux parties conviennent également de soutenir et d’échanger des expériences. Lire la suite sur WAM…