Dubai, ville où les dépenses sont les plus fortes au monde
Avec un trafic de visiteur international de 15,27 millions en 2016, Dubaï s’est hissé au premier rang mondial. Les dépenses annuelles des visiteurs représentent 31,3 milliards $, selon Mastercard Global Cities Index.
Dubaï se classe également quatrième au classement mondial pour les arrivées de visiteurs internationaux durant la nuit après la ville de Bangkok, Londres et Paris, tandis que Abu Dhabi est devenue la troisième destination pour les visiteurs internationaux.
Ces femmes qui font bouger les Emirats Arabes Unis
Les EAU ont amorcé un virage avec l’arrivée de plusieurs femmes au gouvernement et à des postes-clés dans la finance. Si François Hollande créait un ministère de la Tolérance, gageons que les Français crieraient au gadget. Et s’il lui prenait la lubie d’ajouter un ministère du Bonheur, cela ne ferait plus rire du tout. C’est pourtant ce qui s’est passé à Abu Dhabi, capitale des Émirats arabes unis (EAU), et personne n’y a trouvé à redire. D’abord, parce que le pays n’est pas une démocratie et qu’il n’est guère conseillé de contester les décisions du souverain. Lire la suite « Ces femmes qui font bouger les Emirats Arabes Unis »
Emirates, c’est 30% du PIB de Dubaï
Avec 75 000 salariés, 247 appareils et plusieurs filiales, Emirates arrive au bout de 30 ans d’exercice à figurer parmi les leaders mondiaux du transport aérien. La compagnie possède le plus grand nombre d’Airbus A380 dans le monde et dessert 150 destinations réparties sur 80 pays. Lire la suite « Emirates, c’est 30% du PIB de Dubaï »
Dubai, ville idéale pour le Trading
Dubai est en train de devenir le Londres du Moyen-Orient. Trader à Londres ou à Dubai est devenu très facile. Les Emirats Arabes Unis, oasis de croissance et de stabilité du Proche-Orient. Lire la suite « Dubai, ville idéale pour le Trading »
Une mission économique princière belge à Dubai
L’ex-numéro 1 du tennis mondial, Justine Henin, retrouvera mercredi Dubaï, où elle s’est imposée à quatre reprises dans sa carrière, mais cette fois pour un challenge d’une autre nature: promouvoir dans la péninsule arabe une entreprise wallonne active dans les boissons de fête non alcoolisées et le vin désalcoolisé. Lire la suite « Une mission économique princière belge à Dubai »
Dubaï, capitale mondiale de l’économie islamique
Le Prince héritier de Dubaï, SA Cheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid Al Maktoum, a déclaré que des mesures concrètes et rapides permettent de transformer Dubaï en une capitale mondiale de l’économie islamique, conforme à la vision claire du Vice-président et Premier ministre des Emirats et Souverain de Dubaï Son Altesse Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum.
Il ajoute que les trois années à venir verront le lancement de plusieurs initiatives dans six domaines différents, notant que Dubaï est déjà devenue la capitale du monde selon la liste de la valeur des Sukuks depuis 2013.
Le Prince héritier de Dubaï s’exprimait lors de l’introduction d’un Sukuk de Dh20 milliards de la Banque islamique de développement (BID) sur le Nasdaq Dubaï.
” L’ annonce du Sukuk de la BID est en ligne avec la vision de SA Cheikh Mohammad visant à transformer Dubaï en une capitale mondiale de l’économie islamique,’’ affirme SA Cheikh Hamdan. Il note que l’initiative de la BID représente un nouvel élan pour les efforts de Dubaï et améliorent sa réputation de capitale de l’économie islamique sur la scène mondiale.
Source: Agence de Presse des Emirats, WAM
Reprise économique à Dubai
Depuis 2008, on pensait Dubaï à terre, laminée par la crise immobilière. Or l’émirat n’a guère perdu de sa capacité d’attraction. Carrefour commercial, la ville, où s’organise depuis sept ans la foire Art Dubaï (organisée cette année du 20 au 23 mars), est une place de marché que cajolent quelques galeries occidentales comme Chantal Crousel ou Continua.
Certes, la folie des grandeurs a été revue à la baisse, et le slogan « construisez et ils viendront » est en sourdine. Cette pédale douce se mesure au niveau des enchères. Les ventes de Christie’s à Dubaï ont chuté de 27,05 millions de dollars en 2007 à 12,3 millions l’an dernier.
« Les effets de la crise de 2008 se ressentent encore, et les maisons de ventes ont revu leurs stratégies, ce qui explique pourquoi les ventes de Dubaï ne sont pas devenues des événements, la version miniature de Hongkong, explique William Lawrie, galeriste à Dubaï. Même s’il faut admettre que la phase de croissance explosive et d’optimisme pré-2008 était sans précédent et qu’on n’atteindra probablement plus ce degré, il y a des signes de reprise. Les secteurs du loisir et du commerce de détail sont en plein boom, les industries de service se développent de nouveau et le marché de l’immobilier, qui s’est stabilisé voilà deux ou trois ans, est à nouveau sur pied. »
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