Si Etihad fait face à des difficultés, ses principaux concurrents du Golfe ne sont pas non plus à la fête. A commencer par le premier d’entre eux, Emirates. La compagnie de Dubaï, qui affichait un trafic en hausse de 13 % par an en moyenne depuis le début de la décennie, a vu sa croissance ralentir en 2016. Lire la suite « Croissance d’Emirates à Dubaï »
Le secteur privé non pétrolier des Emirats semble avoir retrouvé une certaine dynamique au cours du deuxième trimestre, avec une activité à un rythme plus élevé mais avec toutefois des gains d’emploi forts réduits. Lire la suite « La croissance des nouvelles entreprises aux Emirats »
Mesure du potentiel et des progrès : le baromètre de l’attractivité de l’Afrique. La croissance économique dans la région devrait demeurer plus lente dans les années à venir qu’au cours des 10 à 15 années précédentes. La projection de référence du Fonds monétaire international (FMI) pour 2016 est désormais réduite à 3 %, alors qu’elle était estimée à 6,1 % en avril 2015. Lire la suite « Croissance de l’Afrique en 2016 »
L’économie du Qatar, émirat du Golfe, a enregistré une solide croissance ces dernières années grâce au gaz, lui permettant de résister à la crise financière internationale, a rapporté la National Bank of Kuwait. Le PIB a ainsi atteint atteint 102 milliards de dollars , selon la NBK qui a l’habitude de publier des études sur les économies des pays de la région. Lire la suite « Solide croissance pour le Qatar »
Le taux de croissance économique de Dubaï dépassera celui de la Chine en 2020, du fait que l’Expo va stimuler l’activité dans les domaines du tourisme et des affaires, selon les hauts responsables. D’après les prévisions du Département du Développement économique de Dubaï (DDED), le taux de croissance de l’émirat pourrait atteindre 6,6 pour cent en 2020 – plus rapide que celui de la Chine, qui se situe à 6,33 pour cent. Lire la suite « Le taux de croissance de Dubai en 2020 »
La faiblesse persistante des prix du pétrole, le ralentissement en Europe et en Chine, la volatilité des marchés boursiers locaux et mondiaux, la chute des prix de l’immobilier et les tensions géopolitiques n’empêchent pas les Emirats Arabes Unis à maintenir un taux de croissance à 3,5 pour cent cette année, Lire la suite « La croissance des Emirats Arabes Unis se porte bien »
La croissance économique dans les Emirats et les pays du Golfe est sur la bonne voie et restera forte en 2014 et 2015 alors que la plupart des autres pays arabes sont confrontés à une croissance plus faible, déclare le Fonds monétaire international (FMI).
Dans ses Perspectives de l’économie mondiale, le FMI déclare que la croissance dans les six pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) devrait être en moyenne de 4,5 pour cent en 2014 et 2015. La croissance dans les Emirats devrait atteindre 4,8 pour cent en 2014 et 4,5 pour cent en 2015.
INTERVIEW Alors que la Banque de France estime que notre pays est en récession, Bruno Cavalier, chef économiste chez Oddo Securities explique pourquoi une embellie est peu probable. La France profitera-t-elle cette année du redressement de l’économie mondiale ?Je ne le pense pas. Nous abordons 2013 en état de récession, avec des ménages et des chefs d’entreprise en grande déprime et un chômage qui ne cesse de croître. Je vous rappelle que la croissance minimale pour stabiliser son niveau est d’environ 1%. Les records de 1994 seront battus d’ici peu. François Hollande a redit qu’il voulait voir cette tendance s’inverser avant la fin 2013, mais les seuls facteurs qui pourraient jouer en ce sens sont des créations de postes subventionnés – les mal Lire la suite « L'économie française en 2013 »
Le Qatar est l’un des pays les plus médiatisés pour sa puissance économique et culturelle émergente. Pourtant, sa réputation disproportionnée par rapport à sa taille n’est pas définitivement acquise. Si les hydrocarbures représentent encore plus de la moitié de ses revenus, le Qatar a décidé de diversifier son économie. D’où viennent les richesses qataries ?
C’est une péninsule grande comme la Corse. Sa capitale, Doha, n’était au début du XXe siècle un petit village de pécheurs notamment connu pour son commerce de perles.
Plus d’un siècle après, le Qatar est devenu un pays incontournable, tant par son économie que par son influence culturelle. Présent sur tous les fronts, le royaume du Cheikh Hamad Bin Khalifa al-Thani a pris le parti d’exporter son image de marque partout dans le monde, mais aussi ses matières premières, clé de voute de la puissante économie qatarie.
L’émirat construit sur les ressources énergétiques
Car si le Qatar est parvenu à afficher un taux de croissance de 18,8 % en 2011, c’est principalement grâce au gaz naturel. Avec environ 1 trillion de m3 de réserve estimés en 2011, il constitue la troisième réserve mondiale la plus importante de gaz derrière la Russie et l’Iran. Et en 2007, la Qatar passait premier exportateur de gaz naturel liquéfié devant l’Indonésie.
L’extraction de pétrole aurait quant à elle généré 25,8 milliards de barils en 2012.
Hydrocarbures : 61 % du PIB
L’énergie représente ainsi 61 % du Produit Intérieur Brut – qui s’élève à 191 milliards de dollars en 2012 – 95 % des exportations et 75 % des recettes budgétaires. Le Qatar était de plus le deuxième pays au plus haut PIB par habitant en 2012 derrière le Luxembourg. Un facteur qui tient en partie à la démographie originale du pays, composée à 85 % d’expatriés alors que la population du Qatar ne dépasse pas celle de Paris (1,75 million d’habitants).
La mine d’or qatarie est donc le gaz naturel. Pourtant, l’État reste tributaire de ses réserves certes gigantesques, mais limitées. 99 % du total des réserves gazières de l’émirat sont concentrés dans un seul et même endroit, North Field. D’autre part, l’exploitation nord-américaine (et bientôt européenne) du gaz de schiste pourrait menacer la place du Qatar sur le marché mondial. Enfin, la demande interne en gaz semble connaître une augmentation subite. Lire la suite…
“Le 29 janvier 2013, Emirates, l’une des compagnies aériennes au développement le plus rapide au monde célèbre le succès de l’ensemble de ses activités et projets en 2012. Le groupe, a annoncé ses résultats annuels avec un bénéfice de 629 millions de $ confirmant sa croissance exemplaire avec 24 années consécutives de bénéfice, dans une conjoncture économique internationale instable marquée notamment par la flambée des prix du carburant. En évoquant l’histoire de l’évolution de cette prestigieuse compagnie aérienne dont il est l’un des plus hauts responsables, Jean Luc Grillet senior vice président des opérations Lire la suite « Croissance économique de Dubaï »