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Le Brésil, eldorado pour l'Europe en crise

Le sommet UE-Brésil qui se tient jeudi à Brasilia est l’occasion pour les Européens et les Brésiliens de resserrer leurs liens économiques, commerciaux et de plus en plus leurs échanges sur le marché du travail.Alors que s’ouvre ce jeudi, à Brasilia, le sommet Union européenne-Brésil, le géant sud-américain s’impose comme le nouvel eldorado pour une Europe en crise. Lire la suite « Le Brésil, eldorado pour l'Europe en crise »

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Le business de la pêche au Maroc

Les réunions marathoniennes portant sur l’éventuelle reconduction du protocole d’accord de pêche Maroc-Union européenne se poursuivent et se ressemblent. Hier, les deux parties ont clôturé leur troisième rencontre tenue cette fois-ci à Rabat. Les premières indiscrétions ayant filtré font office d’avancées lentes mais qui néanmoins augurent de signaux positifs, rapporte le site d’information espagnol www.canalsur.es. Contacté par le Soir échos, Zakia Driouich, directrice de la pêche maritime relevant du ministère de tutelle est restée injoignable. Le mutisme qui caractérise cette politique de communication contraignant la liberté d’accès à l’information recouvre moult lectures. Lire la suite « Le business de la pêche au Maroc »

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Coopération commerciale des pays arabes

Les dirigeants de plusieurs pays arabes participant au sommet économique arabe qui s’est ouvert lundi soir à Ryadh, sont à la recherche de moyens à même de renforcer leurs investissements, leurs échanges commerciaux et la création d’un marché commun arabe.Pour le président égyptien Mohamed Morsi, il est nécessaire « d’instaurer un marché commun arabe, en suivant l’exemple d’autres blocs régionaux qui ont réalisé la complémentarité économique en dépit des différences entre leurs peuples ». Il a appelé à « affronter le problème du chômage parmi les jeunes arabes ». Lire la suite « Coopération commerciale des pays arabes »

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Les jeunes businessmen au Liban

Beaucoup de banques libanaises sont aujourd’hui réfractaires à se lancer dans des opérations séduction pour capter une clientèle perçue comme particulièrement volatile : la catégorie « jeunes ». Mais dans un contexte économique difficile, doublé d’une compétition acharnée où les établissements bancaires se livrent une guerre sans merci à coups d’offres alléchantes, les jeunes ne représentent-ils pas justement un riche vivier de futurs clients ? Lire la suite « Les jeunes businessmen au Liban »

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La Cheikha défend les opportunités du secteur Immobilier au Qatar

Le Qatar est un acteur majeur de l’économie mondiale. La Cheikha Hanadi Al-Thani a présenté à Paris un des secteur clé de l’émirat.« Nous avons une vision du futur » déclare Cheikha Hanadi Al-Thani qui souhaite offrir le meilleur à ses concitoyens et attirer les investisseurs internationaux au Qatar. Lire la suite « La Cheikha défend les opportunités du secteur Immobilier au Qatar »

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L’Union des femmes investisseurs arabes

Fondée le 27 Décembre 2004 au Caire, sous l’égide de Mme Suzanne Moubarak, l’Union des femmes investisseurs arabes est venu confirmer le rôle grandissant de la présence féminine dans le monde arabe, dans les processus de développement et de l’investissement. L’Union des Femmes Investisseurs Arabes travaille sous la bannière du Conseil de l’Union économique arabe. Seize pays arabes sont actuellement membres de l’Union, à savoir la Jordanie, Emirats arabes unis, Bahreïn, Tunisie, Algérie, Arabie saoudite, Soudan, Syrie, Qatar, Koweït, Liban, Libye, Egypte, Irak, Yémen et au Maroc. La République arabe d’Egypte accueille le siège de l’Union. Au Maroc, la représentation de l’Union des femmes investisseurs arabes a vu le jour au cours du printemps 2009 et elle est présidée par Mlle Asmae Mouhib, directrice générale de l’agence de communication Le Messager.Com. Asmae Mouhib est dotée d’un riche parcours professionnel caractérisé par plusieurs distinctions. En 2001, elle fut reçue par le Roi du Maroc à l’occasion de la création de la première Master Franchise au Maroc d’affichage mobile. En 2006, aux Etats-Unis d’Amérique, elle s’est également distinguée en représentant le Maroc au Forum des Young Leaders. En 2007, elle fut désignée au poste de trésorier du Fonds mondial de la santé.

Cette manifestation économique qui concrétise en quelque sorte la féminisation des cercles de pouvoir économique dans le monde arabe, permettra en outre d’associer les femmes investisseurs membres de l’Union et des participantes de différentes spécialités à la mise en place de stratégies destinées, entre autres, à attirer de nouveaux capitaux dans le monde arabe et à réinstaller dans la région ceux qui ont délocalisé leurs activités sous la pression de la crise économique internationale.

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Les femmes du Moyen Orient, nouvelle matière grise

Encore souvent mineures politiquement et économiquement, les jeunes femmes sont parties à la conquête des diplômes, encouragées par le discours politique dominant en faveur de l’éducation et par le marché de l’emploi. Au point que le ratio s’établit désormais au Qatar, aux Emirats mais aussi au Koweït à trois étudiantes pour un étudiant !

Décrites comme « plus motivées » que leurs homologues masculins, les filles se sentent pousser des ailes. A Doha, sur les 2 500 étudiants répartis dans les six universités américaines rassemblées à Education City, un campus ultramoderne, les filles représentent actuellement 70 % de l’effectif. Elles sont également surreprésentées à l’université du Qatar (8 600 étudiants, 76 %) où les deux sexes étudient séparément. Dans les Emirats, 65 % des jeunes inscrits à l’université sont des étudiantes.

Même la très conservatrice Arabie saoudite a ouvert, fin septembre, une université mixte. Quelques mois auparavant, le roi Abdadallah avait inauguré une université publique pour femmes. Au Bahrein, l’université du même nom ainsi que l’université du Golfe arabique, les deux institutions les plus importantes du pays, les jeunes femmes représentent respectivement 67 % et 72 % des étudiants. Cette envolée s’opère cependant dans des pays où le pourcentage des jeunes inscrits à l’université reste faible : 33 % au Bahrein, 19 % au Koweït, 18 % en Oman, 29 % en Arabie saoudite, 23 % aux Emirats, selon les chiffres fournis par l’Unesco.

Plusieurs raisons expliquent cet engouement. L’offre a réellement suscité la demande. Les familles qui répugnaient, pour des raisons culturelles, à envoyer leurs filles faire des études à l’étranger, une démarche fréquente pour les garçons, ont trouvé dans ces universités de quoi les satisfaire.

« Le gouvernement a créé un environnement favorable tel que les familles ont le sentiment que la démarche d’envoyer les jeunes femmes à l’université n’est pas en rupture avec les traditions », explique l’Emiratie Serra Kirdar qui a collaboré au rapport sur les droits des femmes au Moyen-Orient publié en février 2009 par l’ONG Freedomhouse.

Aux possibilités d’études – gratuites – sur place s’ajoutent les opportunités d’emploi. A l’inverse des jeunes hommes, qui trouvent encore (mais de moins en moins) des postes dans l’armée et la police sans diplôme, les jeunes femmes voient dans les études un tremplin vers la vie sociale et une façon de s’émanciper du giron familial. C’est parce qu’elles savent que les options se multiplient pour elles qu’elles s’engagent avec autant de ferveur dans les études. Face à des gouvernements, comme au Qatar, soucieux de créer une élite, de « renverser la fuite des cerveaux », selon l’expression Abdulla Ben Ali Al-Thani, vice-président de la Qatar Foundation, c’est avec la volonté de prendre les commandes de leur propre pays que les filles s’engouffrent dans les études.

« Les universités sont au coeur de ces processus de saoudisation, qatarisation, émiratisation, etc., confirme James Onley, professeur à l’Institut du monde arabe et islamique de l’université d’Exeter (Royaume-Uni). Les populations de ces pays – à l’exception de l’Arabie saoudite – étant numériquement faibles, ils ont besoin de la participation des femmes. » Au point d’ailleurs que les jeunes étrangers – non pas les Indiens ou Philippins, tout en bas de l’échelle, mais les enfants d’expatriés de longue date -, se sentent désormais exclus. « La fonction publique est réservée aux Qataris et le secteur privé exige souvent la nationalité locale », témoigne Amira Redissa, jeune diplômée tunisienne de 23 ans, dont la famille est au Qatar depuis plus de quinze ans.

Les jeunes semblent avoir intériorisé l’ambition proclamée de cette région du monde de revenir un endroit « qui pense », à l’image de ce que furent Beyrouth et Le Caire du temps où ces villes représentaient des centres névralgiques de l’intelligentsia arabe. « Nous avons la volonté de devenir Le centre innovant de la production d’idées et de la formation conceptuelle dans le Moyen-Orient », explique Nada Mourtada, professeur de relations internationales et de droit public, vice-président de l’université de l’université américaine de Sharjah, un des sept émirats de la fédération et aussi une des rares Françaises à faire carrière dans le milieu universitaire local. Ouverte en 1997, l’université de Sharjah a été une des premières implantations d’une institution d’élite dans la région.

Des places sont également à prendre dans le secteur privé, où les jeunes femmes se montrent plus timorées. « Pour les familles, le secteur public représente des postes plus sûrs, avec de bonnes rémunérations et des aménagements d’horaires », explique Me Kirdar, également à la tête de la Fondation Muthabara, qui travaille justement à l’ouverture des entreprises privées aux jeunes femmes.

Ces conquêtes, qui peuvent sembler limitées aux Européennes, ont des effets boomerang dans les sociétés. Si les mariages se font moins précoces, les unions arrangées, qui restent la norme dans le Golfe, se nouent aussi plus difficilement qu’avant. Aux Emirats, on évoque ces « vieilles filles » qui n’arrivent plus à se marier. Au Qatar, la présidente de l’université, Sheikha Al-Misnad, réformatrice à la poigne énergique, s’inquiète du déséquilibre grandissant entre les sexes. « Beaucoup de jeunes filles ne peuvent pas se marier car nous n’avons pas suffisamment d’hommes éduqués », assure-t-elle.

Le temps n’est plus où les jeunes femmes devaient interrompre leurs études pour une grossesse, commente Aisha Al-Fardan. Vice-présidente du Qatari Business Women Forum, cette pionnière d’une quarantaine d’années, mère de quatre enfants, estime avoir été « chanceuse » d’avoir pu faire des études après son mariage « grâce au soutien de son mari ». Aujourd’hui à la tête du groupe familial de 2 000 salariés, elle a le sentiment d’avoir « cassé les règles », par exemple en conduisant sans permis, car les femmes n’avaient pas le droit de conduire. C’était « il y a douze, treize ans ». Autant dire un siècle.

Brigitte Perucca

http://www.lemonde.fr

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Qatar: Les femmes entrepreneurs

Le Ministre d’État à l’énergie Dr Mohamed Saleh Al-Sada a salué le rôle joué par les femmes entrepreneurs du Qatar dans la promotion des entreprises commerciales dans le pays a déclaré le ministre lors de l’inauguration  du Qatar International Business Women Forum hier au Sheraton à Doha Resort & Convention Hôtel.
Des prix ont été remis aux représentantes au forum, il y avait également la Sheikha Hessah bint Khalifa al-Thani et la vice-présidente Aisha Alfardan.

La Sheikha Mozah Nasser al-Misnad, épouse de Son Altesse l’Emir Cheikh Hamad bin Khalifa al-Thani,  encourage les femmes à prendre des initiatives dans le business.

Les principaux thèmes et questions abordés :

  • Le rôle des femmes dans les affaires et l’investissement dans le monde arabe et l’Occident.
  • Comparaison des histoires de réussite des femmes d’affaires dans le monde arabe et l’Occident.
  • avantages préférentiels pour les femmes leaders dans les petites et moyennes entreprises.
  • Les femmes subissent elles des discriminations dans la vie de l’entreprise?
  • Le rôle croissant de jeunes femmes dans la gestion des entreprises familiales.
  • L’importance et la méthodologie de l’entraînement de leadership pour le renforcement des capacités de leadership chez les femmes d’affaires.
  • La réalité des organisations et des réseaux d’affaires dans le monde arabe et l’Occident
  • La contribution des femmes au financement de projets sociaux.