Par La Rando

Immobilier: accord entre Abu Dhabi et l’Australie

Abu Dhabi Investment Council (ADIC) s’associe avec l’une des plus grandes sociétés immobilières cotées en bourse en Australie pour investir environ 1 milliard de dollars (Dh3,67 milliards) dans des entrepôts logistiques au Japon. Soulignant les relations croissantes entre l’Australie et le Golfe, ADIC et le Goodman Group établissent le Japan Development Partnership, une coentreprise à 50/50 dotée d’un capital de 500 millions de dollars. Lire la suite « Immobilier: accord entre Abu Dhabi et l’Australie »

Par Randonnée

Faire du sport réduit la sensibilité à la douleur

acivité physique, analgésique, Australie, douleur, Etude, neurosciences, sportEt si trois séances de 30 minutes de vélo d’appartement par semaine permettaient de se passer de paracétamol ou d’anti-inflammatoires? Un rêve pour tous les «douloureux chroniques», selon le terme médical consacré pour qualifier les millions de patients dans le monde qui prennent chaque jour leur traitement.

Par Randonnée

Documentaire sur l’Australie

australie randonneeParce qu’elle se trouve aux antipodes, de l’autre côté du globe, l’Australie fait rarement la Une de nos journaux. A tort mais pourquoi parlerait-on de ce pays de 20 millions d’habitants, 0,3 % de la population mondiale ? On dit que les gens heureux n’ont pas d’histoire. Et l’Australie affiche une santé insolente. 18 ans de croissance ininterrompue, un taux de chômage ridicule, un budget en excédent et une dette publique inexistante. Selon les Nations Unies, l’Australie est dans le trio de tête des pays les plus agréables, avec l’un des niveaux de vie les plus élevés au monde. Les Australiens surnomment même leur pays « the lucky country », le pays de la chance. Chaque année, des dizaines de milliers d’étrangers demandent à s’y installer.

Si l’on ajoute le soleil, le style de vie, et l’éloignement des zones de trouble dans le monde, on les comprend et on a de quoi être jaloux. Mais tout cela n’est-il pas trop beau pour être crédible ? Quels sont les secrets du succès australien ? le revers de la médaille ? L’Australie est-elle vraiment le pays de la chance ? C’est le 24e numéro d’Un œil sur la planète.

Par La Rando

Le défi alimentaire du Qatar

D’ici à 2030, le petit émirat souhaite ne plus dépendre des autres Etats pour nourrir sa population. Réaliste ou utopique?  Après le rachat du PSG en 2011, l’organisation de la coupe du monde en 2022, le Qatar se lance une nouvelle fois un défi pour 2030. L’autosuffisance alimentaire. Un objectif pharaonique alors que l’émirat importe actuellement 90% de ses besoins alimentaires.

Handicapé par le manque d’eau et son climat très aride, le Qatar qui souhaite lancer son projet dès 2014 pourrait bien abandonner avant l’heure comme cela est déjà arrivé à son voisin saoudien qui a renoncé dès 2008 constatant la non-rentabilité du projet.

L’émirat à l’initiative

Tout commence en 2008 lorsque le cheikh Hassad Bin Khalifa Al Thani lance le Qatar National Food Security Programme (QNFSP). Un programme national de sécurité alimentaire (QNFSP) visant l’autosuffisance qui devrait couvrir 60 à 70% des besoins alimentaires d’une population d’environ 1,7 millions de personnes.

Pour montrer la voie à ses voisins et affirmer sa puissance, l’émirat gazier lance en mars 2012 lors du Forum mondial sur la sécurité alimentaire, l’ »Alliance mondiale des pays désertiques » (Global Dry Land Alliance), une nouvelle organisation internationale en mesure, selon le Qatar, d’obtenir des résultats concrets en matière de sécurité alimentaire.

Le Qatar redoute une flambée des prix

En réalité, selon Matthieu Brun, chercheur à l’Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI), le Qatar n’a pas réellement eu le choix de se lancer dans ce vaste projet. « Avant la crise alimentaire, le Qatar pouvait acheter des denrées à l’étranger sans problèmes. Puis, avec l’augmentation brusque du prix des denrées, le pays a eu peur. Désormais, il ne veut plus être dépendant ». En 2007, 75% de ses importations alimentaires provenaient notamment de l’Arabie Saoudite (16%), de l’Inde (14%) ou encore de l’Australie (12%).

Un constat partagé par Hatem Belhouchette, Docteur en agronomie (SupAgro de Montpellier) et ingénieur agronome qui précise aussi que « lorsque le prix des denrées au Qatar est monté, le pays a perdu beaucoup de sa population étrangère. Les autorités ne sont pas restées indifférentes ». Lire la suite sur Challenges.fr…