La riziculture tchadienne vient de bénéficier d’un financement du fonds koweitien pour le développement économique arabe (KFAED). En effet, l’institution a octroyé à Ndjamena un prêt de 13,6 millions de dollars dans le cadre du projet de développement de la production rizicole dans la plaine du Chari-Logone. Lire la suite « Aide du Koweit au Tchad »
Koweït – Les revenus du gouvernement koweïtien ont chuté de près de 20% durant les 11 premiers mois du dernier exercice fiscal en raison de l’effondrement des cours du brut, selon des statistiques du ministère des Finances publiées jeudi.
Le Koweït a demandé l’aide du Fonds monétaire international (FMI) pour imposer aux sociétés un impôt sur le revenu afin de diversifier ses rentrées d’argent face à une baisse de ses recettes pétrolières, a annoncé lundi un ministre.
« Le FMI va élaborer un rapport préliminaire sur la façon d’imposer des taxes aux compagnies au Koweït », a déclaré le ministre du Commerce et de l’Industrie, Abdelmohsen al-Mudej, après un entretien avec une délégation du FMI, selon l’agence officielle Kuna. Lire la suite « Impôt sur les revenus des entreprises au Koweït »
Comme ces agents immobiliers vous expliquant que « c’est le moment d’acheter », les fonctionnaires chargés de la promotion de la France au Koweït confient que « c’est le moment de venir ici ». Non sans arguments. La loi sur le « sponsorship » imposant un partenaire local majoritaire pour tout joint-venture (pénalisante pour les investisseurs étrangers et fructueuse pour les prête-noms locaux) vient d’être annulée. Et le Parlement, longtemps bloqué par les députés salafistes qui détenaient les trois quarts des 50 sièges de députés, vient de lancer un plan de développement de 160 milliards de dollars sur 2015-2019. Un marché alléchant pour les entreprises françaises de la santé, de l’eau, du BTP ou de la
Le Koweït a dégagé son second plus grand excédent budgétaire en quinze ans alors que le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde contre les risques du gonflement des dépenses publiques. Le Koweït a dégagé son second plus grand excédent budgétaire en quinze ans alors que le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde contre les risques du gonflement des dépenses publiques. Ce riche pays pétrolier du Golfe a dégagé un excédent de 12,9 milliards de dinars (45,1 milliards de dollars) pour l’année budgétaire 2013/14 achevée fin mars, selon les statistiques du ministère des Finances publiées hier sur son site internet. Les revenus ont atteint 31,8 milliards de dinars, dont 29,3 provenant des exportations pétrolières et 18,9 milliards de dinars pour les dépenses.
Le précédent record datait de l’exercice 2011/12, avec un excédent de 13,2 milliards de dinars. Au cours des trois dernières années budgétaires, le Koweït a cumulé des excédents budgétaires de 38,8 milliards de dinars (135,7 milliards de dollars), selon les chiffres du ministère des Finances. Le Koweït a dégagé des excédents sur les 15 dernières années d’un total de 92,5 milliards de dinars (323 milliards de dollars), selon des statistiques.
Ces montants ont contribué à gonfler les avoirs du fonds souverain du pays, estimés à 500 milliards de dollars. La hausse des prix du pétrole, dont le Koweït tire 94% de ses revenus, explique ces excédents. Le FMI a toutefois averti qu’une baisse des prix du pétrole pourrait plonger le Koweït dans le déficit si le pays ne prend pas des mesures pour maîtriser les dépenses publiques. «Une baisse de 20% des prix du pétrole (…) pourrait faire passer le Koweït de la situation de surplus à celle de déficit budgétaire à moyen terme», a souligné le FMI dans un rapport publié cette semaine.
Ce dernier a conseillé au Koweït de commencer à réduire ses dépenses publiques, en diminuant le nombre d’emplois dans les services de l’État et à maîtriser les subventions, qui s’élèvent à 16 milliards de dollars par an.
Le FMI conseille également de soumettre les entreprises à des taxes et de réviser celles sur les services publics. Le gouvernement avait décidé du principe de mettre fin aux subventions sur le diesel et envisage de le faire pour l’électricité. Le Koweït a une population autochtone de 1,25 million de personnes et accueille 2,8 millions d’étrangers.
La société sud-coréenne Hyundai Heavy Industries a annoncé dimanche avoir remporté avec Sidem, filiale du groupe français Veolia, un contrat de 1,4 milliard de dollars pour construire une centrale électrique et d’une usine de dessalement d’eau de mer au Koweït.
En vertu du contrat passé avec les autorités koweïtiennes, Hyundai devrait construire la centrale au gaz à cycle combiné pour 970 millions de dollars alors que Sidem se charge de la construction de l’usine de dessalement sur le site du complexe As Zour, situé à 100 km au sud de la capitale koweïtienne.
Contacté par l’AFP, Veolia n’a pas précisé la part exacte du contrat qui revient à sa filiale qui se présente comme le numéro un mondial dans son secteur.
Les travaux vont commencer avant la fin du mois et devront être achevés à la fin de l’année de 2016, précise Huyndai dans un communiqué. Lire la suite sur LeFigaro.fr…
Le Koweït a engrangé 17 milliards de dinars (60,2 milliards de dollars) d’excédent budgétaire pendant les dix premiers mois de l’année fiscale en raison des prix élevés du brut, selon des statistiques officielles publiées mercredi.
Pendant cette période qui s’achève en janvier, les revenus du pays se sont élevés à 27 milliards de dinars (94,6 milliards de dollars) alors que les dépenses n’ont totalisé que 9,8 milliards de dinars (34,4 milliards de dollars), selon ces données publiées sur le site internet du ministère des Finances. Lire la suite sur Les Echos
Le Parlement koweïtien a approuvé mardi, en première lecture, un projet de loi prévoyant le rachat par le gouvernement de milliards de dollars de dettes contractées par des Koweïtiens et en annuler les intérêts. Trente-trois députés ont voté pour le projet et trois contre, alors que 20 membres, dont tous les ministres qui ont un droit de vote au Parlement, se sont abstenus. Il doit être voté en 2e lecture dans les prochaines semaines, puis entériné par le gouvernement et enfin signé par l’émir pour avoir force de loi.
Le gouvernement du riche émirat pétrolier du Golfe a émis des réserves sur le projet qui, selon le ministre d’Etat Mohammad Abdallah Al-Sabah requiert des amendements fondamentaux pour être accepté. Le gouvernement rejette la loi dans sa forme actuelle mais, en signe de coopération, il s’abstient de la voter.
Selon le ministre des Finances Mustafa al-Chamali, le montant des dettes se situerait entre 1 et 4 milliards de dinars (3,5 et 14 milliards de dollars). Lire la suite…