Par La Rando

L'Arabie saoudite est passée à la vitesse supérieure

La monarchie du Golfe a sensiblement augmenté sa production de pétrole depuis mai alors que la menace d’une surproduction plane toujours. L’Arabie saoudite est passée à la vitesse supérieure. Le pays gardien des lieux saints de l’Islam est redevenu le premier producteur de pétrole de la planète, selon le dernier rapport de l’agence internationale de l’énergie (AIE) sur le marché de l’or noir. Lire la suite « L'Arabie saoudite est passée à la vitesse supérieure »

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Arabie saoudite: plan d’économies de 20 milliards $

De nombreux projets sont actuellement remis en cause en Arabie Saoudite en raison de la baisse des revenus issus du pétrole. La cure d’austérité ne connaît pas la crise. Alors que l’Arabie Saoudite est confrontée à des difficultés relatives à la baisse des cours et des revenus issus du pétrole depuis plusieurs années, la famille royale s’apprête à opérer des coupes budgétaires. Selon Bloomberg, le montant des économies à réaliser s’élève à plus de 20 milliards de dollars pour des projets. Des coupes dans les budgets des ministères vont également être effectuées. Lire la suite « Arabie saoudite: plan d’économies de 20 milliards $ »

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L’Iran vendra moins cher son pétrole que l’Arabie saoudite

Sur fond d’appels à geler la production pétrolière, l’Iran a annoncé sa décision de l’augmenter. Téhéran envisage de porter sa production de pétrole brut à 4 millions de barils par jour (mbj) et de vendre cet hydrocarbure moins cher que ses concurrents régionaux, y compris l’Arabie saoudite. En mai 2016, la société publique iranienne National Iranian Oil Co. (NIOC) vendra le pétrole Forozan Blend aux consommateurs asiatiques 2,43 dollars moins cher le baril que le prix moyen du pétrole provenant d’Oman et des Emirats arabes unis, rapporte l’agence Bloomberg, citant un représentant de NIOC qui a souhaité garder l’anonymat. Le baril d’Iranian Light coûtera aux consommateurs asiatiques 60 cents de moins que le pétrole similaire produit au Proche-Orient ».

Un rabais encore plus important est prévu pour le pétrole lourd. Ainsi, le baril d’Iranian Heavy coûtera 2,60 dollars moins cher que le baril de brut omanais ou dubaïote. Quant au baril de Soroosh, il se vendra 5,65 dollars moins cher que celui d’Iranian Heavy.

John Driscoll, directeur de la stratégie à JTD Energy Services, a déclaré à Bloomberg que la principale concurrence entre l’Iran et les pays du Proche-Orient s’exercerait en Asie. Il a dans le même temps souligné que la Méditerranée et l’Europe du Nord-Ouest ne resteraient pas non plus à l’abri des rivalités. Selon les analystes de Bloomberg, cette année, l’Iran entrera également en concurrence avec la Russie.

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L’Arabie saoudite ne baissera pas sa production de pétrole

Les prix du pétrole, qui ont perdu 70% de leur valeur depuis la mi-2014, « seront déterminés par l’offre et la demande, et par les forces sur le marché« . Dans une interview exclusive à l’AFP, Adel al-Jubeir, ministre des Affaires étrangères, a affirmé que l’Arabie saoudite, premier pays producteur de brut, Lire la suite « L’Arabie saoudite ne baissera pas sa production de pétrole »

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L’Arabie saoudite veut fermer un puits de pétrole proche du Koweït

Koweït – L’Arabie saoudite a informé le Koweït de son intention de fermer un puits de pétrole exploité conjointement à la frontière des deux pays en raison d’une dispute administrative, a rapporté jeudi un quotidien koweïtien.

Citant de hauts responsables pétroliers, le quotidien Al-Qabas, a précisé que la Saudi Arabian Chevron, qui assure la production du champ pétrolier de Wafra, avait informé la Kuwait Gulf Oil Compagny que la production allait être arrêtée le 13 mai. Lire la suite « L’Arabie saoudite veut fermer un puits de pétrole proche du Koweït »

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L’Arabie saoudite veut relancer les prix du pétrole

Les pays producteurs non membres de l’Opep doivent coopérer pour relancer les prix du brut, les membres du cartel refusant d’en assumer seuls la responsabilité, a indiqué le ministre saoudien du Pétrole. « Nous refusons d’assumer seuls la responsabilité car (l’Opep) n’assure que 30% de l’offre sur le marché, les 70% (restants) étant hors-Opep », a indiqué Ali al-Nouaïmi dans des déclarations rapportées lundi par l’agence officielle Spa. Lire la suite « L’Arabie saoudite veut relancer les prix du pétrole »

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L’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole

L’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de brut, juge le marché pétrolier «dans la meilleure situation possible» et ne voit pas de raison d’abaisser le plafond de production de l’OPEP, a déclaré lundi le ministre saoudien du Pétrole Ali Al-Nouaïmi. «Le marché est dans la meilleure situation possible. La demande est excellente, la croissance économique s’améliore», a déclaré à des journalistes M. Nouaïmi à son arrivée à Vienne pour la 164e réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) mercredi.

«Pourquoi voulez-vous que l’Arabie saoudite abaisse quoi que ce soit?», a-t-il demandé, en réponse aux journalistes qui l’interrogeaient sur la possibilité de réduire le plafond collectif de production du cartel, fixé à 30 millions de barils par jour (mbj) depuis décembre 2011.

La possible augmentation des exportations iraniennes de brut n’est pas une raison nécessaire pour baisser le plafond puisque «la demande est là», a-t-il ajouté.

L’Iran et les grandes puissances ont conclu le 24 novembre à Genève un accord temporaire sur le programme nucléaire controversé de Téhéran, qui a permis la suspension de sanctions, mais pas celles sur les exportations pétrolières du pays.

À court terme, les exportations iraniennes pourraient légèrement augmenter vers l’Asie, en raison de la levée de l’interdiction d’assurer les livraisons iraniennes pour les assureurs européens, estiment les experts.

À moyen terme, si l’ensemble des sanctions était levé, l’Iran pourrait fournir rapidement un million de barils par jour supplémentaires, selon des estimations d’analystes.

Les sanctions ont fait chuter les exportations iraniennes de brut de 2,5 mbj en 2011 à 1,1 mbj pendant les neuf premiers mois de l’année 2013, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).

M. Nouaïmi a également estimé que le prix du brut était actuellement «idéal». «Le prix est décidé par le marché. Nous sommes satisfaits quel que soit (le prix) que le marché détermine», a-t-il ajouté.

L’OPEP prévoit que la demande mondiale de brut progresse légèrement l’année prochaine, pour s’établir à 90,82 mbj, contre 89,78 mbj en 2013.

Mais la demande pour son brut devrait diminuer d’un peu plus de 300 000 barils, estime le cartel.

Plus pessimiste, l’AIE envisage une demande en baisse de 900 000 barils par jour pour le pétrole de l’OPEP en 2014 par rapport à 2013.

Le cartel fondé en 1960, qui compte actuellement douze États du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique latine, pompe environ un tiers de la production mondiale de brut.

Source: Lapresse.ca