Au mois de mai 2017, des sherpas ont sauvé la vie de deux alpinistes, retrouvés dans un état critique dans la descente de l’Everest. La vidéo ci-dessous revient sur ce sauvetage. Abdul Jabbar Bhatti, alpiniste pakistanais de haut niveau, accompagné par son guide sherpa Sange, ont été sauvés de justesse sur l’Everest en mai dernier.
Que de chemin parcouru pour se hisser sur le toit du monde, depuis le camp de réfugiés palestiniens où Mostafa Salameh, issu d’une fratrie de 10 enfants, naquit au Koweït il y a 47 ans de cela ! Lire la suite « Mostafa Salameh, alpiniste jordanien »
Nos actes et notre discours sur nos actes dessinent des frontières symboliques dont il est essentiel de mesurer la portée. Ce constat m’a saisi lorsqu’un jour, assistant au cinéma à une projection du film « Shoah » de Claude Lanzmann, j’ai entendu le dialogue suivant : Lire la suite « L’éthique de l’alpiniste »
Au Népal, les Sherpas sont hautement considérés notamment pour leur force, leur loyauté, leur empressement, leur bonne humeur et leur joie de vivre même dans les conditions les plus difficiles. Mais ce qui les caractérise le plus, c’est leur incroyable résistance au manque d’oxygène. Une étude récente nous permet aujourd’hui d’y voir un plus clair.Lire la suite « Sherpas: les véritables alpinistes ? »
Après avoir stoppé sa carrière professionnelle en 1999, l’alpiniste Marc Batard, 65 ans, a décidé de se lancer dans une belle aventure : gravir le sommet de 8.848 mètres en 2022 pour son 70e anniversaire. Le « sprinter des cimes », qui a signé en 1988 la première ascension de l’Everest en solitaire et sans oxygène en moins de 24 heures, se confie sur ses motivations, sa préparation. Lire la suite « A 70 ans, il veut gravir l’Everest »
La Pierra Menta 2017 a débuté ce mercredi 8 mars à Arêches-Beaufort ! La première des quatre étapes a déjà révélé plusieurs surprises de taille. Présentation de la plus mythique des courses de ski-alpinisme et état des lieux des forces en présence. Lire la suite « Alpinisme: Pierra Menta 2017 »
Le Cervin – ou Matterhorn en Suisse – est un des sommets à plus de 4 000m d’altitude iconique des Alpes. Embarquez en second de cordée en immersion sur son arête sommitale.
Arête sur laquelle il est parfois compliqué de poser un pied à côté de l’autre.
Le mont Blanc du Tacul est un sommet du massif du Mont-Blanc, situé entre l’aiguille du Midi et le mont Maudit, en Haute-Savoie, culminant à 4 248 mètres. Son épaule (4 028 m) se trouve sur une voie d’accès au mont Blanc. De nombreuses goulottes strient également ses faces dont les plus renommées sont la Gabarrou-Albinoni, la Modica-Noury et le Supercouloir. Découvrez cette vidéo.
Reportage sur le champion du monde de ski alpinisme et employé de la coopérative de Beaufort, William Bon Mardion. William Bon Mardion est un skieur alpiniste français.
Il est né et vit à Arêches, où il est membre du Club Multisports Arêches-Beaufort.
Sportif accompli et véritable force de la nature, William a d’abord été athlète de haut niveau en ski alpin, avant de se rediriger vers le ski-alpinisme, une discipline le rapprochant de ses origines.
« C’est un peu une tradition locale et familiale : j’habite à Arêches et mon oncle a gagné la 1ère Pierra Menta…ça donne des idées ! »
Débutant par quelques petites courses locales, William est vite rattrapé par la passion.
« J’aime le plaisir d’être en montagne, le goût de l’effort et les nombreux moments d’évasion que nous offre le ski-alpinisme. »
Le jeune homme s’attaque très vite aux courses de plus grande ampleur jusqu’à ses premières sélections en équipe de France.
« Depuis tout petit, j’ai le goût de la compétition et quand ça marche, ce n’est que du bonheur ! »
Aujourd’hui, William allie entraînement intensif et travail (ramasseur caviste à la coopérative laitière du Beaufortain). Et durant ses loisirs, il reste toujours au contact de la montagne, de la nature (randos, voyages, escalade, pêche, planche à voile…), et des gens qu’il aime.