Nous vous amenons à 20 km au sud de Boghni par le CW 153 en Kabylie. À 1500 m d’altitude, station de ski du Djurdjura, sur le versant nord (réplique de celle de Tikjda sur le versant sud). C’est un endroit où la nature a toujours ses droits. Découvrez les photos de ce coin de paradis encore intact en Algérie. Tala Guilef (en amazigh, la fontaine du sanglier ou certains diront la vallée du sanglier) se situe à 20 km au sud de Boghni pour ceux qui connaissent. Par le CW 153 en Kabylie. À 1500 m d’altitude, station de ski du Djurdjura, sur le versant nord (réplique de celle de Tikjda sur le versant sud). C’est un endroit où la nature a toujours ses droits. Le parc national du Djurdjura se situe au Nord de l’Algérie, dans une région très accidentée avec de vastes forêts, des gorges et des gouffres, abritant une faune très riche.
Cette randonnée vous fait découvrir une ville en plein désert. Timimoun est entourée d’un ensemble d’oasis qui bordent le grand erg occiendental. Ces oasis sont regroupées dans des sous-régions : il s’agit de Tinerkouk, Swani, Tagouzi, Aougrout, Deldoul. La ville de Timimoun, édifiée au-dessus de l’oasis du même nom, est réputée pour la couleur de ses constructions en ocre rouge. Elle fait partie des trois villes construites dans le style neo-soudanais. Découvrez les photos de cette randonnée à la découverte de cette ville saharienne.
Ghardaïa tire son nom du mot amazighe tagherdayt. Aujourd’hui capitale du Mzab. Ghardaïa (en tamazight: Taɣerdayt, s’écrit en tifinagh : ⵜⴰⵖⵔⴷⴰⵢⵜ) est une commune de la wilaya de Ghardaïa en Algérie, dont elle est le chef-lieu, située à 600 km au sud d’Alger, elle est la capitale de la Vallée du Mzab. Ghardaïa fait partie du patrimoine mondial et elle est considérée comme site touristique d’importance majeure en Algérie, de par son architecture et son histoire.
Après le succès de 2012 le programme Injaz El Djazair revient cette année avec le même défi. Celui de se classer premier pour la seconde année consécutive à la compétition régionale des jeunes entrepreneurs qui se déroulera le 3 décembre prochain au Koweit. En cette occasion, une conférence de presse a été organisée le mercredi 27 novembre à l’hôtel Hilton (Alger), en présence des membres du conseil d’administration d’Injaz El Djazair, et son nouveau partenaire BOEING, représenté par Bernard J.Dunn, directeur régional pour l’Afrique du Nord et la Turquie.
Injaz El Djazair, présidé par Sofiane Chaib, a organisé des compétitions nationales pour primer les meilleurs projets réalisés par des étudiants dans le cadre d’une formation organisée par cet organisme.
Injaz El Djazair s’est rapprochée de douze écoles et universités algériennes, (ESI, EPAU, ENP, ENST, HEC, ENSH, ENSSMAL, INELEC, USTHB, UST Oran, MBD M’Sila), et « abordé » 660 étudiants. Quatre prix ont été décernés ce mercredi. Le premier, à l’instar de l’année dernière avec « Algreenia », est revenu à des polytechniciens. Il s’agit de « Assurair », une entreprise de production et de commercialisation de détecteurs intelligents de gaz dangereux.
« Assurair » est composée de quatre étudiants de l’école nationale de polytechnique, Allouche Lotfi et Ben Abdellah Khoudja Sami, tous deux en 4ème année (spécialité en génie industrielle), Boushaba Abdelouahab et Djema Walid, 5ème année (spécialité automatique). Ce dernier, chargé de la communication de l’entreprise, a expliqué, à « Liberté », le choix du projet « nous fabriquons et commercialisons des détecteurs intelligents de gaz toxiques CO, monoxyde de carbone, qui est dangereux par ses caractéristiques, et en plus il est très méconnu des algériens, et c’est lui qui cause le plus de décès ».
Leur projet, qui est d’ailleurs d’actualité, consiste à détecter et donner d’une manière instantanée le taux de monoxyde de carbone dans la maison « Il permet de signaler s’il y a un dépassement de la limite donnée par les normes européennes, c’est-à-dire qui représentent un certain risque sur la santé de la personne », indique Abdelouahab Boushaba, chargé des études de marché.
Finalisé au bout d’environ trois mois de travail, avec l’aide d’un coach de la société Schlumberger, le premier produit est « enfin opérationnel », affirment les « néo-entrepreneurs ».
Le projet est innovateur selon les membres d’«Assurair», en se basant sur la norme européenne, car « cette norme elle spécifie l’effet d’une certaine quantité d’eau sur la santé humaine, et de là on définie des limites à ne pas dépasser. Nous avons intégré quelques nouveautés qui permettent un diagnostic précoce des défauts et des problèmes avant qu’ils ne se produisent. C’est tout un service qui va tout au long de l’utilisation du produit, et c’est aussi un moyen de rester en contact avec le consommateur, et pour cela nous avons créé des logiciels », explique Walid Djema. Pour leur choix, ils ont ajouté qu’il n’existait pas encore de normes algériennes.
« Assurair », équipe lauréate de la seconde Compétition Annuelle des Jeunes Entrepreneurs 2013, représentera ainsi l’Algérie à la compétition régionale qui se tiendra le 3 décembre prochain au Koweit, pour, pourquoi pas, rééditer le coup de « Algreenia ».
Dans quelques semaines, la société de transports Emirates Airlines va célébrer un an de présence sur le marché algérien. Une occasion de dresser le bilan et de prévoir l’avenir. Depuis son lancement au mois de mars 2013, Emirates a transporté plus de 73,000 passagers entre Dubaï et Alger « propulsant ainsi le tourisme international entre l’Algérie et plusieurs destinations au Moyen-Orient, en Asie Subcontinentale, en Extrême Orient et en Asie Australe », a indiqué la compagnie dans un bilan préliminaire.
Cette performance atteinte en quelques mois n’est pas le fruit du hasard. Selon Adil Al Ghaith, vice-président des opérations commerciales pour l’Afrique du Nord et de l’Ouest, qui s’est exprimé récemment à Dubaï, «Nous offrons à nos passagers le plus haut niveau de confort sur les nouveaux appareils assurant le trajet en partance et à destination d’Alger. Les nouvelles fonctionnalités des Airbus A340-500 incluent en particulier des suites en Première classe et des systèmes de divertissement ultra modernes disponibles dans toutes les classes».
La compagnie, qui a démarré avec un vol hebdomadaire, est passée à deux vols par semaine. En plus de multiples dessertes et correspondances offertes au voyageur algérien, la compagnie émiratie est connue par ses options et offres de luxe. « Les passagers de toutes les classes profiteront du système de divertissement ICE récompensé à maintes reprises. Une centaine de chaines de divertissement à la demande offrant plus de 120 films internationaux, plus de 60 programmes de télévision, des jeux vidéo, 400 canaux musicaux pour tous les goûts. L’expérience au vol inclut également des menus exclusifs servis par un personnel Emirates originaire de 130 destinations comprenant l’Algérie », explique la compagnie dans un communiqué.
ALGER – La crise économique qui secoue certains pays européens constitue pour l’Algérie une « opportunité » pour acquérir des actifs dans certaines entreprises, en difficultés financières, pour aller investir à l’international, a estimé mercredi à Alger l’expert M. Mohamed Hachemaoui. »C’est le moment pour les Algériens de racheter ces actifs », a déclaré M. Hachemaoui au cours d’une conférence débat sur les dimensions économiques et sociales de la loi de finances 2013 qu’il a animée à l’Université d’Alger. Lire la suite « La crise économique mondiale, une opportunité pour l’Algérie »
ALGER – Le groupe parlementaire d’amitié « Algérie-Bahreïn » a été installé, mardi à Alger, dans le cadre de la consolidation de la coopération bilatérale. La cérémonie d’installation s’est déroulée en présence du vice-président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Mohamed Djemai.
La présidence du groupe d’amitié a té confiée au député Omar Abidat du Rassemblement national démocratique (RND).
Intervenant à cette occasion, M. Djemai a indiqué que ce groupe d’amitié « est un acquis qui vient conforter les excellentes relations unissant les deux pays en vue de les promouvoir à la hauteur d’un partenariat stratégique effectif ».
Ce groupe qui compte des députés de différentes appartenances politiques représentant le peuple algérien » se veut un mécanisme efficace et un espace de dialogue et de coordination des positions outre le développement des échanges dans le domaine parlementaire ».
De son côté, le chargé d’Affaires à l’ambassade de Bahreïn à Alger, M. Badr Abderrahim El Azmi a fait part de « la satisfaction de son pays du niveau de ses relations avec l’Algérie dans tous les domaines ».
Il a rappelé, dans ce contexte, la signature en avril dernier d’un mémorandum d’entente pour la concertation politique entre les ministères des Affaires étrangères des deux pays à la faveur de la visite officielle du Cheikh Khaled Ben Ahmed Ben Mohamed Al-Khalifa en Algérie.
Abd el-Kader ben Muhieddine, plus connu comme l’émir Abdelkader, né le 6 septembre 1808 près de Mascara (Algérie) et mort le 26 mai 1883 à Damas (Syrie), c’était un homme politique et un chef militaire. Il résiste durant quinze ans (1832-1847) au corps expéditionnaire des troupes d’Afrique lors de sa conquête de l’Algérie par la France. Il est également un écrivain, poète, philosophe et théologien soufi.
Il est considéré, en Algérie, comme étant à l’origine de l’État algérien moderne et le symbole de la résistance algérienne contre le colonialisme et l’oppression française. En France, il était considéré comme l’« ami des Français » et également comme le « Jugurtha moderne ». Il est grand-croix de la Légion d’honneur et titulaire de l’ordre de Pie IX.
ALGER – Le président du Conseil de la nation de l’Etat du Koweït et président de l’Union interparlementaire arabe, Ali Fahd Al-Rached, effectuera mercredi une visite officielle en Algérie à l’invitation du parlement algérien.
M. Al-Rached et la délégation l’accompagnant auront, au cours de cette visite de quatre jours, des entretiens avec les responsables du parlement algérien et de responsables au sein des institutions de l’Etat algérien, a précisé le Conseil de la nation dans un communiqué.
Les banques privées algériennes, toutes à capitaux d’origine étrangère, se portent très bien. Même si leur part de marché est restée relativement stable au cours de dernières années avec une proportion des actifs bancaires de l’ordre de 12 à 15% suivant les sources, leur rentabilité est en revanche en forte progression.C’est ce que confirment encore les résultats financiers pour l’année 2011 publiés par la plupart d’entre elles au dernier trimestre de l’année dernière. Les freins imposés au développement des réseaux des banques privées, qui étaient encore dénoncé en 2010, semblent ne plus être qu’un mauvais souvenir. Lire la suite « Le commerce extérieur en Algérie »