Reggane est une commune de la wilaya d’Adrar, située au nord du désert du Tanezrouft. Le territoire de la commune se situe au sud de la wilaya d’Adrar. La ville de Reggane est situé à 135 km à vol d’oiseau au sud-est d’Adrar et à 145 km par la route. Dans les années 1960, l’armée française réalisa les premiers essais nucléaires au Centre Saharien d’Expérimentations Militaires (CSEM), situé dans la région de Reggane. Les autorités françaises prétendaient alors que les essais nucléaires français se situaient dans des régions inhabitées. 6 500 Français et 3 500 Algériens venus de différentes régions ont travaillé à la construction d’une base militaire à environ 7 kilomètres au sud de Reggane, réservée au commandement et aux experts chargés de l’ingénierie du projet. C’est une ville que nous déconseillons à tout randonneur. Elle est réputée pour son taux de criminalité élevée…
Une petite randonnée dans la ville d’Aoulef, commune de la wilaya d’Adrar, située dans la région de Tidikelt, en Algérie. Elle se trouve à environ 100 km de Reggane et à plus de 1 400 km au sud d’Alger. Un petit village perdu au milieu de nulle part. Découvrez les photos de notre passage.
L’ambassadeur des Emirats arabes unis à Alger, Ahmed Ali El Mil Zaabi, a exprimé jeudi la disposition de son pays à participer à la réalisation des programmes de logements que l’Algérie compte lancer, indique un communiqué du ministère. L’ambassadeur des Emirats arabes unis a indiqué lors de l’audience que lui a accordée le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelmadjid Tebboune, que l’objectif des entreprises émiraties était de «développer l’investissement en Algérie». M. Tebboune a souligné à cet effet la coopération «privilégiée» entre les deux pays frères fondée sur l’échange d’expertises et la coordination dans le domaine de l’habitat et des équipements publics, selon le communiqué.
Il a également présenté les opportunités offertes pour un partenariat prometteur en matière de développement urbanistique, saluant les moyens de soutien et d’appui apportés par l’Etat des Emirats «frère». Cette rencontre intervient dans le cadre du renforcement des relations bilatérales qui lient les deux pays et la promotion de leur coopération dans différents domaines, selon le communiqué.
L’Algérie, ses paysages sont des plus variés et des plus exceptionnels. Son tourisme est en pleine expansion. L’industrie du voyage et du tourisme se développe de plus en plus en Algérie. Depuis quelques années, Alger a réformé sa législation pour faciliter les investissements étrangers et locaux dans l’industrie du tourisme. Lire la suite « L’Algérie s’ouvre au tourisme »
Tlemcen est une commune de la wilaya de Tlemcen, dont elle est le chef-lieu. Elle est située au nord-ouest de l’Algérie, à 520 km au sud-ouest d’Alger, à140 km au sud-ouest d’Oran et, frontalière du Maroc, à 76 km à l’est de la ville marocaine d’Oujda. Tlemcen, érigée dans l’arrière-pays, est distante de 40 km de la mer Méditerranée. Découvrez les photos de la ville.
La compagnie aérienne Emirates vient de nommer Tariq Obaid comme nouveau Directeur général pour soutenir ses opérations en Algérie. L’ancien Directeur général au Soudan – sa dernière fonction au sein de la compagnie des Emirats Arabes Unis – va désormais superviser les opérations d’Emirates à Alger. En somme, ce nouveau poste lui permettra de superviser les ventes d’Emirates, et toutes les fonctions liées aux services aux passagers, le cargo ainsi que les opérations au sein de l’aéroport.
Tariq Obaid, qui travaille au sein d’Emirates Airlines depuis 2007, a reçu un fort soutien de sa direction. “Il a été un employé loyal et dévoué d’Emirates depuis près de six ans et n’a cessé de démontrer sa capacité à maximiser les revenus de la société et de dépasser les objectifs qui lui avaient été fixés. Je suis convaincu qu’il fera de nos opérations en Algérie un grand succès”, a estimé Adil el Ghaith, le Vice Président Senior pour les opérations commerciales en Afrique du Nord et Ouest, avec lequel Tariq Obaid travaillera.
“C’est un grand honneur pour moi de prendre en charge la gestion des opérations d’Emirates en Algérie, j’ai l’intention de continuer à assurer, le bon fonctionnement de nos vols quotidiens entre Dubaï et à Alger et mettre à profit toute l’expérience acquise au cours de ma période de formation et après mon travail au Soudan et en Arabie Saoudite pour répondre positivement aux demandes de ce marché passionnant par sa diversité et son dynamisme”, estime le nouveau directeur général d’Emirates Algérie.
Emirates Airlines a lancé ses premiers vols en Algérie en mars 2012, avec une première liaison entre Alger et Dubaï. Depuis son lancement la compagnie a transporté plus de 73,000 passagers entre Dubaï et Alger.
Située au bord de la mer Méditerranée, la ville donne son nom à la wilaya dont elle est le chef-lieu. La ville d’Alger est en fait constituée de plusieurs communes. « Le nom d’« Alger » dérive du catalan Alguère, lui-même tiré de Djezaïr du nom donné par Bologhine ibn Ziri, fondateur de la dynastie Zirides (Berbères) , lorsqu’il bâtit la ville en 960 sur les ruines de l’ancienne ville au nom romain Icosium ; Djezaïr Beni Mezghenna. Découvrez les photos de cette ville algérienne.
Avec une obstination sans faille, le cinéma algérien se montre dans les grands festivals, comme au 10e Festival de Dubaï, avec les longs métrages de Hakkar Zahzah et d’autres courts métrages. Un bataillon de cinéastes arabes est de retour au Festival du film de Dubaï pour relever le défi face à la machine de la fiction américaine. Le Festival de Dubaï est avant tout organisé cette année pour fêter son dixième anniversaire, une affaire arabe, avec des valeurs sûres comme Amor Hakkar, Abdenour Zahzah, Mohamed Malas, le cinéaste et écrivain syrien, Hany Abu Assad, le réalisateur palestinien qui a ouvert le festival avec son film Omar, déjà primé à Cannes. Et aussi Rachid Masharaoui, autre talentueux auteur palestinien, Jilali Farhati, cinéaste marocain essentiel qui ne quitte jamais Tanger où il tourne tous ses films, Laïla Marrakchi, jeune Marocaine, qui a fait courir des milliers de spectateurs avec son précédent film Marock qui sentait l’odeur du soufre, et bien d’autres cinéastes arabes du Liban et de la Jordanie…
Rythme très dense de projections, débats, conférences, stars sur le red carpet, le Festival de Dubaï s’annonçait dès le départ comme un grand moment de découvertes, un brillant feu d’artifice d’images.
Avec La Preuve, une délicate histoire sur le thème de la virilité, le fait d’avouer publiquement ou non son impuissance, Amor Hakkar est sur la ligne de départ pour le grand prix (Muhr Award) du Festival de Dubaï. Amor Hakkar s’adonne seul à un travail d’écriture et de mise en scène d’une grande exigence et finit par être sélectionné dans les grands festivals, Locarno, Sundance, Dubaï. Zahzah, de son côté, est en concours dans la section documentaires. Mohamed Malas s’investit beat, comme beaucoup et à tous les stades de la réalisation de ses films. Après le singulier plaisir laissé sur les traces de ses précédents opus, Passion et surtout Ahlam Al Madina (les rêves de la ville), Malas a réussi à concilier fiction et écriture poétique dans son nouveau film intitulé Soullam Ila Dimashq (échelle pour Damas) tourné dans le rude contexte actuel de la situation en Syrie. Soullam Ila Dimashq est un docu-fiction avec des moments de cinéma fantastique et imaginaire.
Dans une belle et vieille demeure du centre-ville de Damas, douze jeunes gens venus de toute la Syrie louent des chambres, comme étudiants ou jeunes employés, quand soudain l’insurrection éclate. C’est un huis clos, un regard sur le passé syrien, sur les années de dictature. C’est une œuvre très réussie, habilement mise en scène. Fortes images à l’appui, Rachid Masharawi revient à Dubaï, après le succès de Laïla Birthday (2007) avec Palestine Stéréo, une chronique décapante de la vie palestinienne, avec de bons acteurs et de grandes envolées d’humour. Désirant émigrer au Canada, deux frères, Sami et Milad (Stéréo), la trentaine, essayent de gagner l’argent du voyage. Ils louent du matériel stéréo et vont jouer dans les mariages. Sans clichés, c’est la vie quotidienne en Palestine avec ses perspectives multiples, complexes, drôles et difficiles à la fois.
Dans Les Secrets de l’oreiller, Jilali Farhati filme le portrait d’une jeune Marocaine qui découvre à la mort de sa mère que celle-ci était une prostituée. Une dure révélation qui lui tombe sur la tête. Toute une vie inavouable, cachée soigneusement et soudain révélée au grand jour. Film noir, particulièrement dramatique dans la lignée d’orgueil et de désespoir qui marque le quotidien de la vie au Maghreb. Cherien Dabis, jeune cinéaste jordano-américaine, est aussi en compétition avec son nouveau film May in the summer. L’héroine retourne chaque été de New York à Amman dans sa famille. Cette fois-ci, c’est la veille de son mariage. Drôle et parfois pathétique chronique urbaine dans la haute société jordanienne, un monde entre deux : la Jordanie et l’Amérique. Il faut encore signaler dans ce bon bouquet de fictions arabes les films du Libanais Mahmoud Hojeij, une première tentative dans le long métrage fiction : Stable, Instable qui se passe à Beyrouth, durant la dernière année de la guerre civile, sept personnages au total à la recherche d’eux-mêmes…
Djanet ( en arabe : جانت) est une oasis de ville dans le sud Algérien . Elle est située dans la province d’Illizi. Elle est habitée par l’ Ajjer Kel (Kel Azjar) Une tribu de touareg. Elle est la capitale du district de Djanet . L’aéroport de Djanet est situé à environ 50 kilomètres du centre-ville. La région de Djanet est habitée depuis l’époque du néolithique.Difficile d’imaginer cette zone n’était pas désertique auparavant. La flore et la faune étaient luxuriantes comme le montre les nombreuses peintures rupestres du Tassili tout autour de Djanet. Djanet a été fondée au Moyen Âge par les Touaregs. L’ Empire ottoman , qui avait une autorité nominale sur le Fezzan région, ont renforcé leur présence dans la région au début du 20e siècle en réaction à la colonisation de l’Afrique par les Européens. Dans ces photos, vous y verrait la fête de la Sebeiba. C’est une fête touarègue de Djanet (la plus connue à ce jour).
La Rando du Coeur vous fait voyager à Adrar (en tifinagh : ⴰⴷⵔⴰⵔ, en arabe : أدرار), est une commune de la wilaya d’Adrar, dont elle est le chef-lieu, située à 1 400 km au sud-ouest d’Alger. Le territoire de la commune d’Adrar se situe au centre-nord de sa willaya. La ville d’Adrar est située à environ : 600 km au sud-est de Béchar, par la route, et 429 km à vol d’oiseau ; 1 200 km à l’est de Tindouf, par la route, (via Béchar) et 777 km à vol d’oiseau ; 1 400 km au sud-ouest d’Alger, par la route, et 1 087 km à vol d’oiseau. Découvrez les photos ci-dessous.