Ce n’est un secret pour personne, aux Emirats arabes unis, la sécurité est au top. Et l’on s’y sent très bien!On l’appelle aussi « Père de la gazelle », c’est le plus grand émirat des Émirats arabes unis. Contrairement aux autres pays dans le monde, le risque terroriste est considéré comme faible aux Emirats arabes unis, que l’on vive à Abu Dhabi ou à Dubaï, ou dans les Emirats du Nord. L’émirat d’Abou Dabi possède 8.6 % des réserves de pétrole mondiales, soit 98,2 milliards de barils, et près de 5 % des réserves de gaz naturel dans le monde, soit 5 800 milliards de mètres cubes. Lire la suite « Abu Dhabi, ville où il fait bon vivre »
Abu Dhabi est la ville la plus sûre au Moyen-Orient et l’un des 25 endroits les plus sûrs de la planète, selon un nouveau rapport.
L’index des villes sûres 2015 de l’Economist Intelligence Unit, qui prend en compte la sécurité numérique, la sécurité sanitaire, la sécurité des infrastructures et la sécurité personnelle, classe la capitale des Emirats avant de Milan, Rome, Shanghai et Moscou, sur un total de 50 autres villes.
Abu Dhabi a pris la 25e position dans la liste globale et c’est la seule ville du Moyen-Orient figurant dans la moitié supérieure de l’indice, devant Doha à la 29e place et Riyad à la 46e position.
La capitale des Emirats marque des points forts en matière de sécurité numérique et de la sécurité des infrastructures.
Dans l’ensemble, les villes des pays développés dominent la première moitié de l’indice, tandis que la moitié inférieure est principalement occupée par les villes dans les pays en développement.
Tokyo, la ville la plus peuplée au monde, avec plus de 13 millions d’habitants en 2014, a pris la première place, suivie par Singapour, Osaka, Stockholm, Amsterdam, Sydney, Zurich, Toronto, Melbourne et New York.
Dans le bas de la liste se retrouvent Istanbul (41ème place), Delhi (42e), Moscou (43e), Mumbai (44e), Mexico (45e), Riyad (46e) Johannesburg (47e), Ho Chi Minh-Ville (48e), Téhéran (49e) et Jakarta (50e).
Dans le classement des pays, les chercheurs ont également examiné la fréquence des accidents de la circulation, les mesures politiques et les niveaux de dépenses.
Toutefois, l’indice se concentre uniquement sur 50 villes, sur la base de la représentation régionale et de la disponibilité des données, de sorte qu’il ne signifie pas qu’une ville apparaissant dans le bas de la liste est la ville la plus dangereuse du monde pour vivre.