Que ce soit en au Qatar ou en France, le Qatar investit un peu partout dans le monde depuis plusieurs années. Un exemple d’investissement immobilier, il y a 10 ans, le PSG passait dans une autre dimension lorsque le Qatar y a investi. En France, il a également réalisé des investissements immobiliers pour un montant de 4 milliards d’euros. Lire la suite « Qatar va investir massivement dans l’immobilier »
La prestigieuse agence d’architecture britannique Foster et Partners a été choisie lundi pour concevoir le stade où aura lieu la finale de la Coupe du monde de football au Qatar en 2022.
« Cest un honneur de réaliser cette enceinte », a commenté Lord Norman Foster, l’architecte réputé qui dirige l’agence et qui a déjà conçu l’Hôtel de ville de Londres, le viaduc de Millau (Midi-Pyrénées), le dôme en verre du Reichstag à Berlin ou le réaménagement du stade de Wembley à Londres.
L’enceinte de 80.000 places sera construite sur le site de Lusail, à 15 kilomètres au nord de la capitale Doha.
Le stade sera au coeur d’un vaste projet d’un coût de 38 milliards d’euros, qui verra une ville complètement nouvelle sortir du désert, pour accueillir le rendez-vous mondial du football.
« Nous avons hâte de travailler avec eux (Fosters et Partners) pour créer un stade emblématique, à la fois contemporain et inspiré par la culture qatarie », a expliqué Hassan Al Thawadi, le secrétaire général du Comité suprême pour les projets et l’héritage au Qatar, en charge de l’organisation du Mondial, et qui a choisi l’agence britannique.
« Le stade de Lusail sera l’enceinte principale du tournoi, un stade architecturellement innovant, fonctionnel sur le plan sportif tout en correspondant à nos exigences en matière de développement durable », a-t-il ajouté.
Le stade de Lusail devrait également accueillir la première rencontre de la compétition et la cérémonie d’ouverture.
Le Comité suprême du Qatar a précisé dans un communiqué que la construction du stade se ferait en respectant les normes en termes de conditions de travail des ouvriers.
Les organisations internationales de défense des droits de l’homme ont à plusieurs reprises dénoncé les conditions de travail sur les chantiers du Mondial, depuis l’attribution du Mondial au Qatar en 2010.
Le Qatar est devenu l’unique propriétaire des prestigieux gratte-ciel du quartier «Porta Nuova» à Milan, une transaction présentée comme une bonne nouvelle pour l’attractivité de l’Italie et qui illustre la soif d’investissements en Europe du richissime émirat.
Signée cette semaine dans le plus grand secret puisque même la municipalité n’en avait pas été informée, cette transaction voit passer de 40 à 100% la part du fonds souverain du Qatar, le Qatar Investment Authority (QIA), dans ce vaste projet situé à peine à un kilomètre du Duomo, au coeur de Milan.
Son prix n’a pas été révélé mais «il s’agit d’un chiffre important, qui en fait une des plus grandes transactions à l’échelle européenne», a déclaré vendredi lors d’un point presse Manfredi Catella, directeur général de Hines Italia, société italienne de développement immobilier représentant le consortium des investisseurs initiaux. Les parts rachetées par le Qatar étaient auparavant détenues par Hines même, l’assureur italien UnipolSai et plusieurs fonds d’investissement. A terme, le capital de Porta Nuova pourra être ouvert de manière minoritaire à d’autres fonds souverains, selon M. Catella. La valeur de marché du quartier Porta Nuova, qui comprend 25 bâtiments ultra-modernes, dépasse les 2 milliards d’euros.
Un gratte-ciel comptant 4000 salariés et 380 appartements
Le chantier de Porta Nuova a été lancé dans les années 2000 sur un gigantesque terrain de 290.000 mètres carrés. Son coeur est aujourd’hui la place Gae Aulenti. C’est là que la banque UniCredit, l’un des principaux établissements du pays, a établi fin 2012 son quartier général dans un gratte-ciel de forme étrangement arquée. Signé par l’architecte César Pelli et classé parmi les plus hauts d’Italie, il voit passer chaque jour quelque 4.000 salariés. Le complexe comprend également une partie résidentielle de 380 unités d’habitation, dont le double gratte-ciel «Bosco Verticale» (forêt verticale), conçu par le studio Boeri et distingué par le prix d’architecture International Highrise Award en 2014.
En France, le Qatar possède de nombreux biens immobiliers
Outre le club de football du Paris-Saint-Germain, propriété de l’émirat, le Qatar possède plusieurs biens immobiliers dans l’Hexagone, dont quatre hôtels de luxe aux mains d’un investisseur privé : le Martinez à Cannes, le Palais de la Méditerranée à Nice, et le Concorde Lafayette et l’hôtel du Louvre, à Paris. Le Qatar s’est aussi offert le Carlton de Cannes. L’immeuble qui abritait le Virgin sur les Champs Élysées et qui devrait se transformer en Galeries Lafayette, l’hôtel Raffles à Paris et le Centre de conférences international qui deviendra l’hôtel Peninsula appartiennent également à des Qatariens. Ces derniers ont par ailleurs racheté le Printemps à Paris avant que la justice ne suspende la vente. A cela s’ajoutent d’autres biens de la capitale : ils possèdent une galerie commerciale et plusieurs immeuble, sur les Champs-Élysées, l’hôtel d’Évreux sur la Place Vendôme (230 millions d’euros), le somptueux hôtel Lambert sur l’île Saint-Louis… Une liste loin d’être exhaustive.
Les investissements du pays du Golfe ont été facilités sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Depuis 2008, les Qatariens bénéficient en effet d’un régime fiscal qui les éxonèrent de taxe sur les plus-values immobilières. Autre avantage non négligeable : les Qatariens ne paient pas d’impôt sur la fortune (ISF) durant leurs cinq premières années de résidence en France.
Dubaï est la ville la plus durable dans la région, suivie par Abou Dhabi et Doha, respectivement, selon l’Indice des villes durables d’ARCADIS, un leader mondiaux en matière de conseil.
L’indice mis au point par le Center for Economic and Business Research (CEBR) explore trois exigences, dont le développement social, l’environnement et l’économie, pour élaborer un classement indicatif des 50 plus grandes villes du monde.
Dubaï arrive pour le Moyen-Orient à la 33e place, suivie d’Abou Dhabi au 34e rang et Doha (41), Djeddah (43) et Riyad (44).
«Les dirigeants des villes ont besoin de trouver des moyens d’équilibrer les exigences tout en générant de solides rendements financiers, créant un endroit attrayant pour les populations et en limitant également les dommages à notre environnement,» déclare Hisham Malaika d’ARCADIS. “Pour vraiment comprendre la durabilité d’une ville, nous devons comprendre comment il se classe au niveau de la vie sociale, environnementale et des affaires. Ensuite, nous pouvons agir pour évaluer les priorités et la voie de la durabilité urbaine.’’
Doha – Le handball s’est offert une finale de prestige au Mondial messieurs, entre la France, garante de la tradition et toujours aussi impériale, et le Qatar, un nouveau venu à l’immense ambition, vendredi à Doha.
Ce sport, circonscrit depuis trop longtemps à la seule Europe, ne pouvait rêver meilleure affiche pour faire parler de lui hors de son cercle habituel de passionnés.
Dans la spectaculaire salle de Losail, aux confins du désert, le Qatar a été le premier à poser les bases de ce moment historique, grâce à sa victoire retentissante sur la Pologne (31-29).
Le petit émirat du Golfe est ainsi devenu le premier pays non-européen à accéder à la finale mondiale, réussissant là où la Tunisie (4e en 2005) et l’Egypte (4e en 2001) avaient échoué.
Sa présence en finale est une incongruité absolue au regard du passé du handball dans ce pays, qui ne s’est ouvert au sport que depuis environ 25 ans et a décidé d’en faire l’axe majeur de sa diplomatie.
Mais il récompense le génie de l’entraîneur espagnol Valero Rivera, qui a réussi à mettre en musique une équipe composée d’une mosaïque de nationalités (Bosnie, Cuba, Egypte, Espagne, France, Iran, Monténégro, Syrie, Tunisie, Qatar).
Les Qataris devront pourtant se sublimer dimanche (17h15) pour tenir tête à la France, qui pourrait devenir la première nation quintuple championne du monde (1995, 2001, 2009, 2011).
Toujours aussi étourdissants, les Bleus ont encore pris le dessus sur l’Espagne (26-22), en grande partie grâce à la classe de leur sensationnel gardien Thierry Omeyer.
Ce sera la sixième finale mondiale pour la France, qui n’en a perdu qu’une, en 1993 face à la Russie. Les Bleus retrouveront en face d’eux Bertrand Roiné, qui avait gagné avec eux le Mondial-2011 et porte désormais les couleurs du Qatar.
Si la France s’impose, elle détiendra à nouveau simultanément les trois titres majeurs, après avoir gagné les JO-2012 et l’Euro-2014, et ce pour la deuxième fois de son histoire (JO-2008, Mondial-2009 et Euro-2010).
Elle a remporté six des huit dernières grandes compétitions internationales depuis les JO-2008, n’échouant qu’à l’Euro-2012 (11e) et au Mondial-2013 (6e)
Si elle s’impose dimanche, elle sera également directement qualifiée pour les JO-2016 à Rio, où elle visera un triplé jamais encore réussi dans l’histoire.
« La finale va forcément être un match difficile, parce que tout le monde va nous considérer comme gagnants, pratiquement avant même de jouer, dans un environnement qui risque quand même d’être compliqué », a estimé le sélectionneur tricolore Claude Onesta.
Les Qataris doivent pour beaucoup leur place en finale à Rivera, sacré champion du monde avec l’Espagne en 2013. C’est grâce à sa science tactique que le Qatar a pu s’adapter au jeu de la Pologne, d’abord dominatrice (10-8, 19e).
Il a effectué les bons ajustements pour mieux défendre sur Michal Jurecki (9 buts), puis compenser en seconde période la blessure du Cubain d’origine Rafael Capote (6 buts).
Le sauveur de la France n’était pas sur le banc, mais dans les cages. Sans Omeyer et ses 20 arrêts, elle n’aurait certainement pas confirmé son ascendant sur l’Espagne, déjà battue en quarts de finale aux JO-2012 et en demies à l’Euro-2014.
Avec un Nikola Karabatic qui a dépassé la barre des 1000 buts en sélection (1001), les Bleus sont idéalement entrés dans la partie (12-7, 16e). Encore devant à la pause (18-14), ils ont cependant beaucoup souffert ensuite.
Déstabilisés par la sortie sur blessure de Mathieu Grébille, ils ont commencé à éprouver beaucoup de difficultés à transpercer les filets espagnols.
Le match s’est tendu (22-21, 51e). Mais les Français n’ont pas baissé la tête, s’arcboutant en défense pour empêcher l’Espagne d’égaliser.
Puis Omeyer, déjà magistral jusque-là, a sonné la fin des espoirs espagnols d’un double arrêt d’anthologie (57e), avant de haranguer avec délectation le nombreux public tricolore.
Le Qatar sera candidat à l’organisation de Jeux olympiques, mais le riche émirat pétrolier n’a pas encore décidé pour quelle édition il déposera un dossier, a annoncé lundi le secrétaire général du comité olympique du Qatar (QOC). «Je pense que la question n’est pas de savoir si le Qatar sera candidat, mais quand le Qatar décidera de candidater», a expliqué Sheik Saoud Bin Abdulrahman Al Thani, patron de l’olympisme qatarien, lors d’une conférence de presse à Losail (Qatar).
«Nous n’avons pas encore décidé si nous candidaterons pour 2024, mais il y aura une candidature. Je veux dire pour 2024, 2028 ou 2032», a-t-il ajouté. A la question d’un journaliste demandant si une candidature est «inévitable», il a répondu «exactement». Après avoir obtenu l’organisation du Mondial 2022 de football, attribution accompagnée de nombreuses polémiques – soupçons de corruption, chaleur et conditions de travail sur les chantiers – le Qatar souhaite donc s’attaquer à l’autre grand événement sportif planétaire.
Une décision avant septembre prochain
Le Cheikh Saoud entend s’appuyer sur l’expérience emmagasinée par le pays dans les prochaines années dans l’organisation de grands événements sportifs: Mondiaux de natation en petit bassin en décembre dernier, championnat du monde de handball actuellement, ou encore Mondiaux 2019 d’athlétisme. «Cela montre que le Qatar tient ses promesses», a-t-il lancé, à propos du Mondial de handball qui prend fin dimanche à Doha.
Jérôme Valke a réaffirmé ce mercredi que la Coupe du monde-2022 au Qatar « se jouerait en hiver ».
« Je crois que ça a aussi été confirmé par d’autres membres du comité exécutif (de la Fifa) que cette Coupe du monde se jouerait en hiver », a déclaré le secrétaire général de la Fifa sur France Info. « Quelle partie de l’hiver ? Est-ce que c’est le début de l’année 2022 ou la fin de l’année 2022 ? Il y a une « task force » (groupe de travail) qui se réunit à Doha pour en discuter dans quelques semaines et ensuite au mois de mars le comité exécutif de la Fifa devra prendre une décision finale sur : « A quelle période exactement » et « Quelles sont les dates exactes » », a-t-il poursuivi. « Il y a une inquiétude du CIO par rapport aux JO d’hiver en 2022, on prend tout ça en compte, on écoute les ligues, les clubs, les joueurs, la commission médicale, l’ensemble du monde du sport, mais c’est dans sept ans et on peut vivre avec (la perspective d’une Coupe du monde en hiver, ndlr) », a conclu le numéro 2 de la Fifa.
En novembre, Jérôme Valke avait déjà confié que le groupe de travail en charge du calendrier s’approchait « du resserrement des choix pour la Coupe du monde-2022 ». Il avait mentionné « deux options – janvier-février 2022 ou novembre-décembre 2022 – » tout en précisant qu’il avait aussi été « demandé à la Fifa d’examiner mai 2022 ». En décembre, l’Association des clubs (ECA) et les Ligues professionnelles (EPFL) d’Europe avaient plaidé pour un Mondial-2022 disputé du 5 mai au 4 juin.
Par ailleurs, un rapport du Conseil de l’Europe, adopté mardi, a exhorté la Fifa à procéder à un nouveau vote sur l’attribution de l’organisation du Mondial-2022 , estimant que la procédure emportée par le Qatar avait été « profondément entachée d’illégalité ». Mais ce rapport n’a pas force de contrainte. Depuis l’attribution en 2010 de la Coupe du monde-2022 au Qatar, l’Emirat et la Fifa sont au centre de nombreuses polémiques. Mais le président de la Fifa, Joseph Blatter, a prévenu en décembre qu’il « faudrait vraiment qu’il y ait un séisme » pour retirer l’organisation du Mondial au Qatar.
Dans un retournement de dernière minute, après une longue lutte boursière, le Qatar a finalement mis la main sur Canary Wharf, le quartier d’affaires de Londres. Mercredi 28 janvier, les principaux actionnaires de Songbird, une entreprise qui possède 69 % de Canary Wharf, ont accepté l’offre conjointe formulée par la Qatar Investment Authority (QIA) et le groupe canadien d’immobilier Brookfield. A 350 pence par action, l’acquisition valorise Songbird à 2,6 milliards de livres (3,5 milliards d’euros).
Canary Wharf est un immense quartier d’affaires, à l’est de Londres, entièrement privé. Cet ancien quartier de docks en bord de Tamise avait été développé sous Margaret Thatcher, profitant de la relative étroitesse de la City, le quartier des affaires traditionnel aux immeubles de taille modeste.
Les gratte-ciels de Canary Wharf sont dominés par les logos des grandes banques internationales, et les télévisions utilisent ses images pour représenter la « City » (qui est, techniquement, un quartier du centre de Londres).
La transaction peut être vue comme un symbole des temps : elle se fait en partie entre un fonds souverain et un autre. Songbird est actuellement détenu par trois actionnaires majoritaires : China Investment Authority, un fonds souverain chinois, ainsi que Simon Glick, un investisseur new-yorkais et Morgan Stanley, la banque américaine.
Quand ceux-ci ont été approchés, en novembre 2014, par QIA et Brookfield, leur réaction initiale a été de repousser l’offre, qu’ils jugeaient sous-évaluée. Après plusieurs rebondissements, l’offre a été augmentée de 19 % début janvier. Mais les actionnaires avaient laissé entendre qu’ils ne voulaient toujours pas en entendre parler.
Le Qatar et sa multitude de joueurs naturalisés a fait sensation en tenant tête à l’Allemagne (26-24) pour se qualifier pour les demi-finales du Mondial-2015 de handball, pour la première fois de son histoire, mercredi à Doha.
Les Qataris affronteront vendredi la Pologne, victorieuse de la Croatie (24-22), dans ce qui sera l’une des demi-finales les plus inattendues de la compétition.
Sous les yeux du cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, l’émir du Qatar, applaudissant à n’en plus finir, et devant une salle de 15.000 places en feu, le Qatar a écrit un moment d’histoire.
Le petit émirat du Golfe, qui cherche à se faire une place sur la scène sportive internationale, a outrepassé ses ambitions de départ avec cette place de demi-finaliste.
Le meilleur résultat du Qatar en handball était une 16e place au Mondial-2003. Cette équipe composée de seulement trois joueurs nés au Qatar, les autres étant des naturalisés issus de sept nationalités, est assurée de faire bien mieux.
Elle peut même maintenant rêver à une place en finale, car la Pologne, qui retrouve des demi-finales mondiales, après sa place de finaliste en 2007 et sa médaille de bronze en 2009, n’apparaît pas comme un obstacle insurmontable.
Le Qatar a créé les conditions de ce succès dans les trente premières minutes, où ils ont outrageusement dominé les Allemands, grâce à leur pivot d’origine espagnole Borja Vidal (16-9, 26e).
Les Allemands, qui n’ont plus atteint les demi-finales d’un Mondial depuis 2007, ont mieux fini cette première mi-temps et sont même revenus tout près (19-20, 39e), avec l’entrée de leur deuxième gardien Silvio Heinevetter.
Mais les Qataris sont restés solides en défense, et ont trouvé avec le Cubain d’origine Rafael Capote le joueur pour les maintenir en vie (22-20, 44e).
Le gardien Danijel Saric, considéré comme l’un des meilleurs au monde à son poste, a ensuite pris le relais, avec trois arrêts dans les deux dernières minutes, dont deux somptueux, pour assurer la victoire du Qatar.
Mal partie, la Pologne est revenue grâce à sa grande détermination en défense, pour passer devant juste avant la pause (12-10).
Le demi-centre Domagoj Duvnjak, le meilleur joueur mondial de l’année 2013, inexistant dans les trente premières minutes, est ensuite sortie de sa coquille pour remettre la Croatie aux commandes (17-14, 42e).
Mais les Polonais n’ont pas renoncé. Ils ont encore durci leur défense et leur gardien Slawomir Szmal a multiplié les exploits (12 arrêts) pour les envoyer au paradis.
Plus d’une centaine de familles de la région de Guelmim, dans le sud du Maroc, ont reçu des dons allant jusqu’à 10.000 dirhams de la part d’une ONG qatarie.
En plus de ces dons en argent qui ont concerné quelque 128 familles, Qatar Charity a distribué des aides (alimentation, couvertures…) pour plus de 2000 personnes, ainsi qu’à la réhabilitation de leurs maisons.
En tout, plus de 900.000 dirhams ont été distribués par l’organisation avec la coordination des autorités et des associations locales.
A noter que Qatar Charity est pour l’instant la seule association étrangère à avoir oeuvré dans le sud Maroc depuis les dégâts causés par les crues et les inondations.