Par Randonnée

Sa Majesté, le poil (documentaire)

poilDes scientifiques nous éclairent sur le rôle et l’importance de ces millions de petits appendices dans notre vie et dans celle de l’ensemble des êtres vivants. Avec la voix de Michel Boujenah, une histoire naturelle et sensible où les images en macro, microscopie et en ultraralenti offrent une vision nouvelle de ce mal-aimé, le poil.

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Les forêts de Pologne (documentaire)

foret pologneDans le Nord-Est de la Pologne, la forêt vierge de Bialowieza constitue la dernière parcelle européenne de forêt naturelle de plaine où vivent des bisons. La forêt de Białowieża est une forêt primaire d’Europe qui est restée à l’écart de la plupart des influences humaines. Elle s’appelle Белавежская пушча en biélorusse (Belovejskaïa Pouchtcha) et Puszcza Białowieska en polonais. On l’a aussi appelée forêt de Bialovèseen français. Białowieża signifie « Tour Blanche » en ancien polonais.

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Les animaux de la ferme (documentaire)

ferme documentaire randonneeQue savons-nous réellement du cochon, de la vache, de la chèvre ou de l’âne ? Quels aspects étonnants et inattendus cachent-ils sous leur allure domestique ?

Ils nous paraissent familiers à tel point que nous avons oublié qu’ils furent jadis comme toutes les autres espèces : des animaux sauvages. Mais que savons-nous réellement du canard, de la dinde, du lapin, de la poule ou de l’oie ?

Jour après jour, la hiérarchie, la concurrence, les parades, la reproduction et l’éducation des jeunes, les affrontements, les prédations. Une véritable découverte des comportements et relations qui régissent le monde de la basse cour.

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Forêt de Laponie (documentaire)

Laponie randonneeSur le cercle polaire, dans la partie suédoise de la Laponie, se trouve le Muddus, une région de forêts et de marais dont la plus grande partie n’a jamais été foulée par l’homme. C’est le domaine des rennes, des élans, des ours bruns et de nombreux oiseaux. Le saviez-vous? Dans les légendes populaires, la Laponie est aussi associée à l’endroit où habite le Père Noël.

La Laponie est située en grande partie au-delà du cercle polaire arctique. Le Cap Nord est le point le plus septentrional de l’Europe (en fait, il est situé sur la petite île de Magerøya qui est toute proche du continent).

La Laponie est classée sur la liste du patrimoine mondial en tant que site naturel et culturel depuis 1996.

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Reportage sur la forêt de Guyane

deforestation-foretPlus grand département français en superficie, la Guyane est également le plus boisé. Plus de 95 % du territoire est recouvert d’une forêt tropicale humide. Ces huit millions d’hectares recèlent une biodiversité exceptionnelle : 1300 essences d’arbres, 190 espèces de mammifères et 720 espèces d’oiseaux. Le réalisateur Olivier Chiabodo, entouré d’une équipe de passionnés, a choisi de s’immerger dans les splendeurs de la Guyane. Pour découvrir la beauté des lieux, les membres de cette expédition d’un genre nouveau sont partis sur le terrain, à la rencontre des spécialistes et des habitants.

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Les océans s’évaporeront dans 300 ans

ocean merToutefois, les poissons et les oiseaux mourront beaucoup plus tôt et les eaux maritimes se transformeront en une « soupe » microbienne primitive.

L’Organisation météorologique mondiale (OMM) constate que l’année en cours a toutes ses chances de faire partie des dix années les plus chaudes depuis le début des observations météorologiques. En effet, de janvier à septembre, la température moyenne était d’un degré et demi plus élevée que les indices annuels moyens de la période 1961-1990 (14,2 degrés) prise comme référence.

Michel Jarraud, secrétaire général de l’OMM, a attiré l’attention sur l’augmentation de la concentration dans l’atmosphère de gaz à effet de serre. « Un avenir chaud nous attend ». L’augmentation de la température n’est qu’une des manifestations du changement climatique. Une influence négative sur le cycle d’eau est déjà bien apparente, ce qui s’exprime par des sécheresses, des inondations et des précipitations intenses. Les scientifiques donnent pour l’exemple le typhon Haiyan qui a fait rage aux Philippines.

« À des latitudes tropicales, la température dépasse de plus en plus souvent le niveau critique de 26,6 °C. C’est là qu’apparaissent des tempêtes. L’océan se réchauffait à cause du CO2 que l’on jetait dans l’atmosphère. Il suffit que sa température augmente d’un demi-degré qu’il commencera à, lui-même, rejeter une énorme partie de gaz carbonique dans l’atmosphère. Environ 85 % de tout le gaz carbonique est dissous dans les eaux de l’Océan mondial », note Valeri Zyrianov, chef du laboratoire de l’hydrodynamique de l’Institut des problèmes aquatiques.

Dans la deuxième moitié du XXIe siècle, la chaleur anormale sera un phénomène pratiquement annuel, qui se manifestera sur 60 % de la surface terrestre. La surface de la Terre, soumise à des températures anormalement élevées, va croître environ d’un pour cent par an.

Ce qui ne sera pas brûlé sera noyé. Selon l’ONU, le niveau mondial de la mer augmente de 3,2 millimètres par an, ce qui est deux fois plus que l’année dernière. Récemment, le journalNational Geographica publié les prévisions des changements de l’apparence géographique de la planète. En effet, si, à la suite d’un changement climatique, les glaces polaires fondent, toutes les régions côtières où vit un grand pourcentage de la population mondiale seront inondées. Pratiquement aucune vie ne serait présente dans cette eau, comme il y a trois milliards et demi d’années.

Si nous devions nous retrouver dans les mers anciennes, nous serions dans une « soupe » d’algues et de bactéries. Avec le temps, ces dernières ont évolué jusqu’à des formes complexes. Mais aujourd’hui, il s’agit au contraire d’une transformation inverse d’écosystèmes océaniques complexes (avec des animaux et des chaînes alimentaires complexes) en des systèmes simplifiés marqués par une dominance de microbes et de méduses. Selon Alexeï Karnaoukhov, chercheur en chef de l’Institut de biophysique cellulaire, nous risquons d’inverser le processus d’évolution.

« Les animaux qui s’éteignent ne sont pas ceux qui sont présents partout, mais au contraire ceux qui sont déjà en voie d’extinction. Les espèces marginales ont créé une réserve de stabilité. Lors des changements de conditions climatiques, ce sont eux qui remplissaient les niches écologiques et apportaient une stabilité au système. Par exemple, près de 90 % du gaz carbonique de l’atmosphère sont récupérés par 80 types de planctons. Ces types dépendent fortement de la température et de l’acidité d’eau. Nous ne remarquerons pas leur disparition comme celle des ours polaires ou des morses, dont la sauvegarde est assurée par des organisations entières. Toutefois, les conséquences de la disparition du plancton sont plus graves que celles de la disparition des ours polaires »,affirme-t-il.

Une des principales causes d’épuisement des océans est le gigantesque volume de la pêche. Selon certaines données, depuis 1950, la quantité de grands poissons (thon, marlin, morue et flétan) a diminué de 90 %. Les flottilles de pêche optent désormais pour les petits poissons, comme les sardines, les anchois et les harengs. Ces derniers se nourrissent justement de planctons. Alexeï Karnaoukhov est persuadé que l’élimination d’un maillon important du milieu de la chaîne alimentaire sape tout l’écosystème.

« Les oiseaux disparaîtront en premier, car nombre d’entre eux se nourrissent de poissons. Mais ils peuvent aussi mourir à cause d’un changement de la composition chimique de l’atmosphère. Ils sont plus sensibles aux gaz carboniques que les mammifères »,explique-t-il.

L’activité de l’homme change la composition chimique des mers. L’acidité des eaux augmente, ce qui entraîne une diminution de la quantité de carbonate de calcium : un élément clé des squelettes et des coquilles des coraux, des planctons, des mollusques et de nombreux autres organismes marins. Toutefois, Alexeï Karnaoukhov estime qu’un écosystème océanique primitif n’est pas le pire de ce que l’on pourrait avoir.

« Si nous ne limitons pas notre consommation de ressources naturelles (dont les hydrocarbures), les océans s’évaporeront tout simplement. Ceci arrivera dans 300 ans. La température pourrait changer de plus de 100 degrés. La mer en tant que telle n’existera plus du tout. Le réchauffement climatique arrivera à un stade irréversible, ce sera une catastrophe de l’effet de serre. Notre planète Terre ressemblera à Vénus, où aucune vie à laquelle nous sommes habitués n’est possible », note-t-il.

Autrement dit, il n’est pas si facile de faire fi des problèmes écologiques. Ils commencent à directement influencer la qualité de vie de chaque homme sur la planète. Et plus c’est loin, pire c’est. Admettons que, du point de vue de nombreux scientifiques, les changements climatiques suivent un cycle et un « mécanisme inverse » devrait se déclencher. Mais personne ne peut dire aujourd’hui quand et comment cela se produira et quelles en seront les conséquences.

Source: La voix de la Russie

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La Terre poursuit son réchauffement

terre-secheresseL’année 2013 fut l’une des années les plus chaudes jamais enregistrées, les gaz à effet de serre ayant atteint des niveaux historiques et les glaces de l’Arctique continuant de fondre, selon un rapport de référence publié jeudi. Le rapport annuel sur le climat, publié dans le Bulletin de la Société météorologique américaine, compile des données scientifiques et les événements climatiques de l’année passée, résultat d’un travail de 425 scientifiques dans 57 pays.

Le document est comparable à un examen médical annuel, les chercheurs s’intéressant à des variables climatiques clés, a expliqué à des journalistes Tom Karl, directeur de l’Agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA). «Si on voulait faire une analogie avec la santé humaine, on pourrait dire qu’on a regardé combien de poids, on a pris, et que la conclusion est que nous continuons à gagner du poids, année après année», a-t-il dit. «La planète, l’état du climat, changent plus vite aujourd’hui qu’à n’importe quelle autre époque de la civilisation moderne», a souligné Tom Karl. Selon le rapport, l’Australie a connu son année la plus chaude, l’Argentine, sa seconde et la Nouvelle-Zélande, sa troisième.

Les températures à la surface des océans ont également augmenté, faisant rentrer 2013 dans le classement des dix années les plus chaudes. L’Arctique a connu sa septième année la plus chaude depuis la création de ce classement au tout début du XXe siècle. Le volume des glaces arctiques est le sixième plus bas dans le classement commencé en 1979 à partir d’observations satellitaires. L’Antarctique, en revanche, a vu son volume de glace (en mer et non terrestre) croître au rythme de 1% à 2% par décennie. «Le fait que la couverture de glace en Arctique se comporte différemment de celle en Antarctique est une énigme», a dit James Renwick, professeur à l’université Victoria de Wellington (Nouvelle-Zélande).

Le niveau général des eaux est également monté de trois millimètres l’année dernière, un rythme constant depuis vingt ans. «En 2013, le niveau moyen des eaux dans le monde a atteint un nouveau record», a analysé Jessica Blunden, climatologue à la NOAA. «Il était supérieur de 3,81 centimètres à la moyenne observée sur la période 1993-2010». Le méthane, le dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre provenant de la combustion des énergies fossiles ont aussi augmenté, en 2013, pour battre un nouveau record.

Source : ElWatan

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Indiana Jones, a t-il existé?

indiana jonesIndiana Jones est un personnage de fiction créé par George Lucas. Aventurier et professeur d’archéologie, il apparut pour la première fois dans le film Indiana Jones et les Aventuriers de l’arche perdue réalisé par Steven Spielberg en 1981, où il est interprété par Harrison Ford. Dans ce documentaire, vous allez voir si ce personnage était vrai ou non.

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Mu,le continent perdu. mythe ou réalité?

mu continentLongtemps avant l’Atlantide et l’Empire de Rama, une civilisation plus mythique encore s’est endormie sous les eaux du Pacifique : c’est Mu, le continent perdu. Il y a un siècle, James Churchward dit le colonel pointe du doigt l’existence d’une civilisation aussi ancienne que celle des géants de Tiahuanaco. Ces géants-ci vivaient dans le Pacifique, sur un continent aujourd’hui englouti par la montée des eaux. Grâce aux trouvailles de Churchward, Mu, le fabuleux Empire des Naacals, semble traverser soudain le mur du temps.