Des images montrent, pour ce qu’il semblerait être la première fois, un groupe d’orques attaquant un requin-tigre avant d’en faire leur repas. Poussé vers la surface et paniqué, le requin tente de s’abriter sous un bateau mais, peine perdue, les orques le paralysent en le mettant sur le dos pour le manger.
Les requins-tigres auraient-ils trouvé plus fort qu’eux ? Il semblerait, en tout cas, que les orques ne soient pas à prendre à la légère lorsqu’il s’agit de dénicher un repas. Cette attaque brutale, filmée pour la première fois, sur un requin-tigre révèle sans difficulté les capacités prédatrices des orques.
Si l’on connaissait déjà l’habilité des cétacés pour chasser et piéger leur proie, la scène immortalisée capturée près des côtes de l’île Cocos, au Costa Rica, par un groupe de plongeurs et de biologistes marins, est d’une violence inattendue.
La planète est malade, et sa guérison semble de plus en plus incertaine. La pression exercée par l’humanité sur les écosystèmes est telle qu’il nous faut chaque année l’équivalent d’une Terre et demie pour satisfaire nos besoins en ressources naturelles, tandis que le déclin de la biodiversité est sans précédent. Ce sont les conclusions alarmantes du Fonds pour la nature (WWF), dans la dixième édition de son rapport Planète Vivante, le bilan de santé le plus complet de la Terre.
Ce rapport bisannuel, réalisé avec la société savante Zoological Society of London et les ONG Global Footprint Network et Water Footprint Network, et présenté à l’Unesco mardi 30 septembre, se fonde sur trois indicateurs. Le premier, l’indice planète vivante (IPV), mesure l’évolution de la biodiversité à partir du suivi de 10 380 populations (groupes d’animaux sur un territoire) appartenant à 3 038 espèces vertébrées de mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens et poissons.
DÉCLIN MASSIF DES ESPÈCES SAUVAGES
Résultat : les effectifs de ces espèces sauvages ont décliné de 52 % entre 1970 et 2010. Autrement dit, la taille de ces populations a fondu de moitié en moins de deux générations, ce qui représente un recul beaucoup plus marqué que celui précédemment estimé (– 28 %). Dans le détail, les espèces d’eau douce sont les plus durement touchées avec une chute de 76 % entre 1970 et 2010, contre un déclin de 39 % pour les espèces marines et les espèces terrestres.
« Nous avons enrichi notre base de données d’un millier de populations, mais surtout, nous avons changé de méthodologie, explique Christophe Roturier, directeur scientifique du WWF France. Nous avions auparavant surreprésenté dans notre indice les espèces de mammifères et d’oiseaux par rapport aux reptiles, amphibiens et poissons. Nous avons donc pondéré chaque espèce par rapport à sa réelle importance dans les écosystèmes. »
Si ce déclin touche l’ensemble du globe, les pertes les plus (…)
Pour la première fois, une forêt tropicale va naître sous nos yeux. De la première pousse à l’épanouissement des arbres géants, de la canopée en passant par le développement des liens cachés entre plantes et animaux, ce ne sont pas moins de sept siècles qui vont s’écouler sous nos yeux. Depuis des années, Luc Jacquet filme la nature, pour émouvoir et émerveiller les spectateurs à travers des histoires uniques et passionnantes. Sa rencontre avec le botaniste Francis Hallé a donné naissance à ce film patrimonial sur les ultimes grandes forêts primaires des tropiques, au confluent de la transmission, de la poésie et de la magie visuelle. « Il était une forêt » offre une plongée exceptionnelle dans ce monde sauvage resté dans son état originel, en parfait équilibre, où chaque organisme – du plus petit au plus grand – connecté à tous les autres, joue un rôle essentiel.
Trois-cents kilos de muscles et des griffes de 10 cm de long… Dans les Carpates, les ours sont partout. A la périphérie de la ville de Brasov, 275.000 habitants, ils seraient plus de 6.000 spécimens.
On les croise jusque dans les rues où ils viennent fouiller les poubelles. Parfois ils s’attaquent à l’homme. Reportage sur l’invasion de ces plantigrades en Roumanie et ses conséquences.
Beau reportage qui montre qu’une certaine cohabitation est possible pour peu qu’on veuille bien s’en donner la peine. A la fin, la remise en liberté d’oursons après une période de « ré-ensauvagement » est exemplaire!
Il y a quelques semaines, notre webzine vous laissait entrevoir un nouveau concept-car de véhicule baptisé e-Sportlimousine et dont on ne savait presque rien sur sa propulsion, si ce n’est qu’il était 100% zéro émission. Ce prototype imaginé par NanoFlowcell utilise la technologie maison qui a été dévoilée il y a quelques jours sur le salon de Genève (Suisse) 2014.
Dimanche, un séisme de magnitude 6,0 s’est déclenché dans le nord de la Californie. Il aurait fait au moins 170 blessés et causé des dommages importants, des façades se sont effondrées et des routes se sont fissurées sous le choc.
L’état d’urgence a été déclaré en Californie lundi après le puissant séisme survenu ce week-end. Dimanche, à 3H20 du matin, un tremblement de terre de magnitude 6,0 s’est en effet déclenché dans le nord de l’Etat, dans la région de Napa Valley. Réveillant les habitants en pleine nuit, il a duré plus de 20 secondes et a fortement secoué la terre, les immeubles et les bâtiments historiques.
Selon l’Institut de géophysique américain (USGS), l’épicentre du séisme se trouvait à 8 kilomètres de Napa et quelque 80 kilomètres de Sacramento. La profondeur a été estimée à 11,3 km. Les spécialistes ont déclaré qu’il s’agissait du plus fort séisme enregistré dans la région depuis celui d’octobre 1989 survenu près de Loma Prieta. Largement ressenti à San Francisco, il avait atteint une magnitude de 6,9 sur l’échelle de Richter.
Au moins 170 blessés
Le séisme de dimanche a été ressenti à plusieurs dizaines de kilomètres à la ronde et a provoqué d’importants dégâts dans la région. A San Francisco, les immeubles se sont contentés de trembler sans connaitre plus de dommages mais dans les environs de Napa, le bilan est plus sérieux. Si aucun mort n’est à déplorer, il y aurait au moins 170 blessés dont quelques uns graves, d’après Fox News.
Une habitante a déclaré à la chaine américaine : « c’était comme si quelqu’un avait attrapé la maison, l’avait secoué pendant un moment puis l’avait lâché. C’était incroyablement violent ». Un autre habitant réveillé à 3H30 par le séisme a témoigné : « Ça a beaucoup secoué et ça a duré probablement 20 secondes… » Le président du Queen of the Valley Medical Center qui a recueilli les blessés a déclaré que plusieurs d’entre (…) Lire la suite sur maxisciences.com
C’est l’histoire d’un arbre fruitier. Un arbre que l’on dit immortel, indissociable du blé et de la vigne dans l’esprit de l’Homme. En quelques années, l’olivier est devenu la star de nos jardins et balcons. De producteur d’huile, le voici rebaptisé arbre d’ornement. Certains amateurs investissent dans cette essence comme d’autres dans les grands crus ou les tableaux de maîtres. Un olivier millénaire vaut en moyenne 60.000 euros. Mais aujourd’hui nous sommes des millions à vouloir ce petit bout de Méditerranée sur un coin de notre terrasse, à la campagne ou en ville. Pour répondre à la demande, les jardineries vendent des arbres accessibles à toutes les bourses. Des modèles qui n’ont plus qu’un lointain souvenir avec les majestueuses oliveraies du sud de l’Europe.
Des étudiants américains ont découvert un étonnant champignon de la forêt amazonienne, identifié dans la jungle d’Equateur, lors d’un voyage d’étude universitaire. Ce champignon a la remarquable propriété de pouvoir casser des chaînes de polyuréthane. Ces dernières se trouvent contenues dans le plastique. Autrement dit, se champignon est un « bouffeur de plastoc » !
Alors que le plastique a envahi la planète et les océans, et qu’il met un temps fou à se décomposer naturellement, ce champignon est doc particulièrement prometteur : le Pestalotiopsis microspora, c’est son nom scientifique, peut se nourrir de polyuréthane, un polymère très utilisé pour fabriquer des adhésifs, des mousses de plastique, ou des tuyaux de jardin, des chaussures, des peintures.
Le Pestalotiopsis Microspora est une espèce de champignons endophytes capable de décomposer et digérer le polyuréthane dans un milieu anaérobie.
Ce champignon employé industriellement permettrait de considérablement renforcer la lutte contre le plastique « sauvage » par son recyclage massif.
La durée de vie des déchets dans la nature
Pestalotiopsis Microspora prospère et agit tout aussi bien dans des milieux privés d’oxygène comme des décharges publiques, des égouts, … des lieux, souvent enfouis sous terre et où le plastique s’accumule.
Le champignon-mangeur-de-plastique bientôt opérationnel ?
La mise en oeuvre de cette découverte pourrait prendre 20 ans. Malgré ce délai, les perspectives font rêver les chercheurs.
Bernard Henrissat, directeur de recherche au CNRS,(université d’Aix-Marseille) explique : «C’est une découverte à première vue extraordinaire». Il souligne notamment que la caractéristique principale du Pestalotiopsis microspora est qu’il est «autonome» contrairement aux propriétés d’autres champignons utilisés pour réduire le temps de décomposition du plastique« .
Il se pourrait fort qu’à l’avenir, on saupoudre les décharges de ce champignon qui se fera un festin nettoyeur…
Dans le bidonville de Kibera, au sud-ouest de Nairobi, près d’un million de personnes s’entassent sans électricité ni eau courante ni égouts ni ramassage des déchets. Pollution des eaux, propagation des animaux nuisibles, mortalité infantile : les conséquences sanitaires sont dramatiques. Beaucoup de voyageurs viennent visiter Kibera et « Slum Tourism » devient populaire. Les spectateurs de cette catastrophe humanitaire ont été plus que bruyante, mais toujours pas d’améliorations majeures à la zone ont été fait en dépit du sujet populaire dans les médias.
Vous êtes confortablement installé ? Oui ? Bon, les images que vous allez voir ont deux objectifs : Nous inviter à ouvrir notre champ de vision en général et nous rappeler modestement que nous faisons partie d’un tout. (Merci Rémy!)
Ces images, nous ne les verrons certainement jamais de nos propres yeux. Ces photographies prises par les astronautes à bord de la Station Spatiale Internationale, véritable balcon de l’espace, ont été compilées par le photographe Bruce Wayne pour créer cette incroyable séquence en time-lapse. Classées par couleur, ralentis, stabilisées, respectées, ces images ont ensuite été convertis en HD à 24 images/seconde, nous offrant une vue imprenable sur cet « oasis fragile », comme l’ont habillement nommé ses observateurs en orbite.
La musique « Manhatta » est composée et interprétée par The Cinematic Orchestra. Vidéo en plein écran et en HD UNIQUEMENT si vous souhaitez vous envoler :