Par La Rando

Recette: Cigares viande hachée

300 g de viande hachée de bœuf, 1 oignon, 3 gousses d’ail, un morceau de pain rassis trempé dans du lait, un petit bouquet de coriandre, 2 brins de menthe, sel, poivre, cumin, un peu de noix de muscade râpée, 2 œufs, 100 g de fromage fondu, chapelure, huile pour la friture
Versez la viande hachée dans un récipient. Ajoutez les herbes ciselées, l’oignon râpé, l’ail en petits morceaux, le pain essoré et émietté, épicez et ajoutez 1 œuf, malaxez le mélange avec la main. Découpez le fromage en bâtonnets. Battez l’œuf restant dans une assiette. Versez la chapelure dans une autre assiette. Chauffez un bain de friture. Prenez la valeur d’un petit œuf de viande hachée. Placez le fromage au milieu en lui donnant la forme d’un cigare. Passez ces cigares dans l’œuf battu puis dans la chapelure et faites-les dorer dans le bain de friture.

Churros
300 g de farine, 300 g d’eau, de l’eau de fleur d’oranger
Versez la farine dans un saladier. Faites bouillir l’eau avec de l’eau de fleur d’oranger (quantité à votre goût). Ajoutez l’eau bouillante à la farine et mélangez. Attention à ne pas vous brûler. Vous obtenez une pâte épaisse. Mettez-la dans une poche à douille et formez vos beignets au-dessus de l’huile chaude. Coupez aux ciseaux et faites cuire jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés. Soupoudrez de sucre et dégustez.
Œufs brouillés aux épinards
3 œufs, 1 botte d’épinards, huile, piment, tomate pelée, sel
Laver et couper le piment en lamelles ainsi que les oignons. Battre les œufs dans un bol, ajouter le sel, le piment et les oignons. Couper les épinards. Dans une casserole, mettre un peu d’eau et du sel, porter à ébullition et laisser mijoter pendant 10 min environ, égoutter dans une passoire. Dans une autre casserole faire chauffer l’huile, ajouter l’oignon, la tomate pelée et un peu d’eau, ajouter les œufs battus en mélangeant, les épinards, et laisser mijoter pendant 10 min. Servir aussitôt.
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Astuces pour éviter la peau grasse

Parce que c’est toujours très sympa de fabriquer vos propres produits de beauté chez vous, on vous suggère un masque efficace pour la peau grasse souvent accompagnée d’acné…  Tout d’abord, il faut savoir que la peau grasse, caractérisée par une séborrhée importante, est fragile. Il faut donc en prendre soin et la nettoyer souvent avec des produits spécifiques. Il ne faut pas trop la décaper et chercher à l’assécher, car la peau grasse a souvent tendance à se regraisser encore plus vite lorsqu’on l’a asséchée. Mettez un concombre dans votre mixeur et recueillez-en le jus.
Ajoutez 5 cuillères à soupe de lait en poudre et un demi-verre d’eau pour lier. Pour éviter l’apparition d’éventuels boutons, vous pouvez ajouter 2 gouttes d’huile essentielle de thym. Appliquez ce lait avec un coton sur votre visage. On vous recommande à l’occasion de ne pas utiliser de savons détergents ni de lotions toniques à base d’alcool qui augmentent la production de sébum. A l’inverse, ne choisissez pas des laits ou des crèmes trop gras qui vont faire luire votre peau. Attention aux crèmes teintées et autres fonds de teint très couvrants qui peuvent favoriser l’apparition de boutons. Si le soleil procure une amélioration de l’état de la peau, ce n’est que provisoire. Il s’ensuit souvent un «effet rebond» qui peut provoquer une augmentation de la production de sébum et de boutons.
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(Photos) Course de chameau à Doha, Qatar

La course de dromadaires est un sport populaire en Arabie saoudite, Bahreïn, Jordanie, Qatar, Émirats arabes unis, et Oman. Les dromadaires de courses peuvent atteindre en course la vitesse maximum de 65 km/h (18 m/s; 40 mp/h) pendant une courte durée, et maintenir une vitesse de 40 km/h (11 m/s; 25 mp/h) pendant une heure. Si vous avez l’occasion de visiter le Qatar ou les Emirats arabes unis, ne manquer surtout pas ces courses qui font parties intégrante de la culture qatarie. Découvrez les photos ci-dessous.
 

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Déportation massive des Libanais au Golfe

Les pays du Conseil de coopération des États arabes du golfe Persique ont annoncé la déportation massive des citoyens du Liban.
Il est supposé que l’extradition va toucher ceux qui sont liés aux mouvements pro-iraniens, que, selon les pays du Golfe, l’Iran utilise comme une cinquième colonne dans la guerre pour la suprématie dans le monde sunnite.
Le nombre de vols sera également réduit de deux fois entre le Liban et les États du Golfe. Les Émirats arabes unis, le Bahreïn et le Koweït font leurs possibles pour geler la qualité de membre du Liban dans la Ligue arabe.
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Algérie: 4ème puissance économique arabe

Selon l’institut internationale des Finances. L’Algérie s’est classée comme 4e plus grande économie arabe, selon l’Institut international des finances(IIF) basé à Washington (USA).En effet avec un produit intérieur brut (PIB) de 197 milliards de dollars, elle vient juste derrière l’Egypte avec  257 milliards de dollars de PIB. En haut du tableau du rapport établi par l’IIF, en première place arrive l’Arabie Saoudite avec 640 milliards de dollars suivie des Emirats arabes unis en seconde position avec 375 milliards de dollars. Le Qatar  avec 182 milliards de dollars et le Koweït avec environ $ 178 milliards se classent respectivement à la 5e et 6e place, toujours selon l’IIF.Alors que le Qatar et le Koweït restent les premier et deuxième pays  riches arabes suivis des Emirats arabes unis.
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Harlem Shake Qatar

Et nous y voilà! Le Qatar n’échappe pas à la « règle » du « Harlem Shake » qui touche la planète entière. Mais c’ets quoi un « Harlem Shake »? C’est une vidéo présentant un groupe de personnes, souvent vêtues de costumes, dansant de manière loufoque sur le morceau Harlem Shake du compositeur de musique électronique Baauer. Découvrez les deux vidéos tournées au Qatar. A voir et à revoir 😉

Une seconde vidéo du Qatar 🙂

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Désert du Qatar (photos)

Le désert de l’arrière-pays est constitué presque exclusivement de cailloux et de dunes de sable. Vous pouvez bien entendu visiter ce désert mais nous vous conseillons de prendre un guide sur place. Et pour ce qui est de la saison (la meilleure) pour appréhender le désert, nous vous conseillons l’hiver pour son climat doux. Bon voyage en photos : )

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Nouvel aéroport de Doha au Qatar (vidéo)

Le Qatar voit les choses en grand. Son nouvel aéroport international, qui remplacera à terme l’actuelle infrastructure, sera agrémenté d’un terminal destiné à accueillir jusqu’à six A 380. La compagnie Qatar Airways, qui fera des lieux son fief, a déjà commandé 5 exemplaires de l’avion européen, et ne nie pas envisager de réaliser d’autres commandes. La construction de l’aéroport de Doha a débuté en 2004 et se prolongera jusqu’en 2050 : avec une telle marge, ses dirigeants comptent bien être capables de s’adapter à toutes les évolutions du secteur. Son ouverture est prévue pour 2012, juste à temps pour la réception des A 380 flambants neufs. Il s’agira du premier aéroport dans le monde à se conformer aux nouvelles règles de taille dictées par les avions d’Airbus.
Nul doute que le futur Boeing 747-8I trouvera lui aussi une petite place au sein de l’immense plate-forme de correspondance de Qatar Airlines. L’aéroport international existant à Doha, a commencé son extension pour l’accueil de plus de 3000 passagers supplémentaires par jour à l’occasion des Jeux Asiatiques de décembre 2006. Actuellement, il reçoit 4.2 millions de passagers par an, dont 90% sont en transit. Le nouvel aéroport sera 3 fois plus grand que l’actuel aéroport.

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Débat sur Mediapart: entre Nabil Ennasri et Karim Sader

Le Qatar est-il un simple sous-traitant des États-Unis ? Quel est son projet politique ? Comment comprendre la relation entre Paris et Doha ? Pourquoi a-t-il fait venir David Beckham au PSG ?Diplômé de sciences politiques à Aix-en-Provence, Nabil Ennasri vient de publier L’Énigme du Qatar (Iris/Armand Colin), premier ouvrage qui tente de résumer le projet du petit émirat si puissant, soumis pourtant à un régime autoritaire qui n’a pas rien à envier aux autres pays de la région. Nous l’avons invité à débattre avec Karim Sader, politologue et consultant sur les pays du golfe Persique, contributeur du dernier numéro de la revue Confluences Méditerranée, intitulé « Qatar : jusqu’où ? ».
Nabil Ennasri, vous faites plusieurs fois référence dans votre livre à un « printemps de Doha ». Or au Qatar, le poète Mohammed Al Alajmi est emprisonné pour « incitation au renversement » et « insulte à l’émir » –  sa peine vient d’être réduite à 15 ans par la cour d’appel de Doha. Est-ce vraiment un « printemps »?
Nabil Ennasri. Le « printemps de Doha », si tant est qu’il ait existé, et que je mets d’ailleurs entre guillemets, je le situe à partir de la fin des années 1990 : plusieurs consultations électorales sont alors menées au Qatar, et en 2004, la constitution est adoptée par référendum. Pour la première fois, les femmes ont le droit de voter et sont éligibles. Le Qatar est le premier pays du Golfe à avoir instauré cette ouverture. Il n’en reste pas moins que le régime qatari, à l’image des autres pays du Golfe, reste un régime autoritaire, comme le montre l’emprisonnement du poète. De ce point de vue, le Qatar a de plus en plus de mal à se différencier des pays voisins, puisque l’on voit depuis dix ans, au Koweït notamment, cette volonté de s’arrimer au courant libéral qui traverse le monde arabe.
Cette région est cependant très loin de se hisser au niveau des standards internationaux en termes de droits de l’homme. Reporters sans frontières a classé le Qatar à la 110e position sur près de 180 pays. Pour un pays qui se targue d’être le chantre de la liberté d’expression, notamment via Al Jazira, il y a encore beaucoup d’efforts à fournir.
Karim Sader. Le raisonnement qui consiste à comparer le Qatar avec ses voisins pour minimiser sa part d’autocratie ne me paraît pas pertinent. S’il y a un État dans la région à citer en matière d’avant-gardisme démocratique, c’est le Koweït, premier État à avoir installé une véritable vie parlementaire, avec des élections ouvertes aux femmes. Certes, le Qatar pratique un wahhabisme plus soft que l’Arabie saoudite, mais quand vous avez 220 000 autochtones, votre situation est plus favorable que lorsque vous devez faire face à plusieurs millions d’habitants qui souffrent du manque de redistribution de la manne pétrolière.
Autre facteur important : quand vous êtes coincé entre l’Arabie saoudite et l’Iran, votre première priorité n’est pas la démocratie, c’est la sécurité et le sentiment de fierté nationale. Ils sont fiers de ce que fait l’émir, qui les fait exister sur la scène internationale. Quantité de sondages l’ont montré, notamment en 2011, au plus fort du soulèvement arabe. De la même manière, et je le regrette, la cause du poète ne sensibilise pas beaucoup les Qataris, qui ont très peur de tout élément qui pourrait déstabiliser le pays. Le Qatar n’est pas une démocratie. D’ailleurs, les élections législatives ont été reportées à deux reprises, et on les attend toujours. Il n’y a pas de vie politique qatarie, aux dernières élections municipales, les partis politiques étaient interdits. Et lorsque l’émir a ajourné en 2011 les élections, la presse s’est mobilisée à ses côtés pour justifier sa décision. Il n’y a pas de grande voix dissidente.
Nabil Ennasri. Je suis d’accord avec Karim. Tout de même, une remarque. La condamnation du poète a été couverte par Al Jazira English, qui a invité un activiste des droits de l’homme pour condamner ce procès. De même, lors du premier procès en novembre 2012, Al Jazira arabe cette fois-ci avait donné la parole au représentant syrien à l’ONU, au journal de 13 heures. Il a critiqué le Qatar, qui est pourtant très opposé au régime syrien.
Le Qatar demeure un régime autoritaire, pour une raison simple : quand, dans une démarche clientéliste, on satisfait aux besoins de la population, quand le revenu par habitant est le plus élevé au monde, peu de gens sont motivés pour changer les choses.
L’un des paradoxes de la politique étrangère du Qatar, qui renvoie à la conception de la démocratie du régime, c’est la dichotomie entre la révolution libyenne, largement financée par le Qatar au nom de la liberté, et l’écrasement de la révolte à Bahreïn, où le Qatar est venu en appui de l’Arabie saoudite. Quels sont les ressorts de ce paradoxe ?
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