Choumicha Chafai, animatrice des émissions « Ch’hiwat Choumicha et Ch’hiwat Biladi », sur la chaîne de télévision marocaine 2M, a été consacrée plus grand chef cuisinier du monde arabe, par le magazine arabe Sayidaty.
Le cordon bleu marocain a battu neuf autres chefs cuisiniers du monde arabe, en récoltant un total de 69,23% des voix lors d’un sondage en ligne, organisé par le magazine Sayidaty.
Ghassan Haïdari, célèbre cuisinier saoudien est arrivé en deuxième position avec 12,92% des voix, suivi de Manal Al Alam de Jordanie (7%) et l’Egyptien Oussama Sayed (4,17%).
Les émissions de Choumicha figurent parmi les programmes télévisés les plus suivis par les Marocains, mais également par les Algériens et les Tunisiens.
Choumicha, 41 ans, avait été élue en 2009, parmi les 100 personnalités qui font le Maroc par le magazine Jeune Afrique. La célèbre cuisinière a lancé sa première émission culinaire sur 2M en 2000.
Etendard de l’automobile triomphante au début du XXe siècle, Detroit est devenue jeudi 18 juillet la plus grande ville américaine à se déclarer en faillite, dernier acte en date de la lente agonie de « Motor City ». « Je prends cette décision difficile afin que les habitants de Detroit aient accès aux services publics les plus élémentaires et pour que Detroit reparte sur de solides bases financières qui lui permettront de croître à l’avenir », a expliqué Rick Snyder, le gouverneur de l’Etat du Michigan, dans un communiqué. « La mise en faillite est l’unique solution qui permettra à Detroit de redevenir stable et viable », avait-il au préalable écrit dans une lettre qui accompagnait l’acte déposé au tribunal.
La dette accumulée par Detroit est vertigineuse : 18,5 milliards de dollars. Acculée, la municipalité avait prévenu le mois dernier qu’elle serait obligée de faire défaut sur une partie de cette somme. En sautant le pas, Detroit devient la plus grande ville du pays à se mettre en faillite.
VILLE AMÉRICAINE DE « PREMIER PLAN »
Amy Brundage, une porte-parole de la Maison Blanche, a assuré que le président Obama et les membres de son équipe rapprochée « continuent à surveiller de près la situation à Detroit ». « Si les dirigeants sur le terrain au Michigan et les créanciers de la ville savent qu’ils doivent trouver une solution aux graves difficultés financières de Detroit, nous sommes engagés à poursuivre notre partenariat robuste avec Detroit au moment où elle œuvre à reprendre le dessus, se revitaliser et maintenir son rang parmi les villes américaines de premier plan », a-t-elle ajouté dans un communiqué. Lire la suite sur LeMonde…
Un documentaire sur une partie de l’histoire des royaumes Amazighs en Afrique du Nord, avant et après l’époque romaine. Un éclairage sur une civilisation très avancée en son époque qui avait une monnaie symbole d’une stabilité économique. Une Afrique du Nord qui exportait autrefois le vin et le blé en Europe : les premiers commerçants de la méditerranée. Découvrir le général Amazigh Hannibal, le fondateur de la stratégie militaire, qui a décidé de faire la guerre au plus grand royaume de l’histoire le royaume romain pas à Tamazgha mais belle et bien à Rome la capitale de l’ennemi. Découvrir aussi le roi Amazigh Syphax ou le digne fils de l’Afrique : Syphax (250 – 202 avant J.-C) (en Tifinagh ⵙⵢⴼⴰⴽⵙ) fut un roi de la Numidie occidentale (de 213 à 202 avant J.-C), dont la capitale était Siga (actuelle Aïn-Témouchent) en Algérie. Découvrir le génie et le courage des hommes qui étaient autres fois libres.
Saloth Sâr (19 mai 1928- 15 avril 1998), plus connu sous le nom de Pol Pot , est le dirigeant politique et militaire des Khmers rouges, partisans d’un communisme radical. De 1976 à 1979, il fut le Premier ministre du Kampuchéa démocratique (Cambodge actuel). Le programme d’étude sur le génocide cambodgien de l’Université Yale évalue le nombre de victimes des politiques de son gouvernement à environ 1,7 million de morts, soit plus de 20 % de la population de l’époque.
L’Islam, une population de 800 millions de personnes dont la civilisation a brillé pendant près de dix siècles s’étendant des contreforts des Pyrénées aux confins de l’Asie. A travers les arts, les sciences, l’histoire et la géographie, le temps et l’espace, « Terres d’Islam » vous propose un voyage initiatique…
Les violences confessionnelles en Irak risquent d’entraîner le pays dans une guerre civile. L’Union européenne estime le nombre d’Irakiens tués depuis le mois d’avril à plus de 2500.
Les dernières attaques remontent à samedi dernier et ont fait 22 victimes. Le raid le plus meurtrier s’est produit dans le quartier de Doura, au sud de Baghdad, où l’explosion d’une bombe placée sur le bord d’une route, près d’un café, a tué neuf personnes. Au nord de Baghdad, cinq personnes, quatre civils et un policier, ont trouvé la mort lorsqu’un kamikaze a fait exploser une voiture piégée contre une tente où des chiites organisaient une réception à l’occasion d’une cérémonie funéraire.
Dans d’autres actes de violence, deux personnes ont été tuées et cinq blessées dans un quartier chiite de Mouqdadiya, au nord-est de la capitale, par l’explosion d’un engin piégé. Quatre autres ont été blessées par l’explosion d’une seconde bombe peu de temps après. A Madain, au sud de Baghdad, une bombe placée sur le bord de la route a atteint des jeunes hommes qui s’adonnaient à un jeu populaire en ce mois de Ramadhan, tuant deux d’entre eux et blessant au moins sept autres.
Ces séries d’attentats viennent s’ajouter à ceux de la semaine dernière qui ont provoqué pas moins de 25 morts dans les différentes villes du pays. Ce regain de violences que connaît l’Irak depuis le début de l’année 2013 s’expliquerait par le lancement du mouvement de contestation sunnite contre le Premier ministre chiite Nouri Al Maliki. Les sunnites lui reprochent son communautarisme et sa détermination à les écarter du politique. Les groupes radicaux – qui seraient ralliés à Al Qaîda – réagissent quant à eux aux provocations d’Al Maliki à l’encontre des sunnites par des attentats à répétition visant les communautés chiites.
Depuis l’invasion américaine en 2003, l’Irak a connu des changements incontestables. Un pays jusqu’alors dominé par un gouvernement sunnite se voit passer sous domination chiite, qui représente plus de la moitié de la population. Les Kurdes, longtemps oppressés par le gouvernement de Saddam, se sont vu créer une région autonome au nord de l’Irak. Ces bouleversements internes que connaissent les Irakiens ramènent en surface les vieilles rivalités intercommunautaires et interethniques qui se traduisent souvent par des violences. Dans un pays marqué par les conflits à répétition tel que l’Irak, l’enjeu principal, aujourd’hui, est le partage du pouvoir entre les différentes communautés.
La guerre du Viêt Nam (également appelée deuxième guerre d’Indochine) est une guerre qui a opposé de 1954 à 1975, d’une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord-Viêt Nam) avec son armée populaire vietnamienne — soutenue matériellement par le bloc de l’Est et la Chine — et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (ou Viet Cong), et d’autre part, la République du Viêt Nam (ou Sud-Viêt Nam), militairement soutenue par l’armée des États-Unis appuyée par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines). La guerre civile laotienne et la guerre civile cambodgienne sont des conflits annexes s’étant déroulés en parallèle, et sur lesquels la guerre du Viêt Nam a eu un impact décisif.
La situation explosive en Egypte n’est plus uniquement le fait d’un affrontement entre partisans et adversaires du président Morsi. Elle est également l’expression d’un clivage très net entre différentes puissances régionales. Parmi celles-ci, le Qatar et les Emirats arabes unis projettent, sur le terrain égyptien, un activisme radicalement opposé tant sur les plans politique, financier que médiatique.
Convergences envers Bahreïn et la Syrie mais profondes divergences sur l’Egypte
Depuis le début du « Printemps arabe », la fracture au sein des pays du Golfe n’a fait que se creuser mettant en évidence l’émergence de deux camps opposés. Le premier, emmené par Riyad et Abou Dhabi, a exprimé dès la chute de Ben Ali, et encore plus avec l’éviction de Moubarak, ses craintes d’un élargissement des révoltes populaires. Pour couper court à toute contagion sur leur sol, la réplique a été radicale et s’est matérialisée par la mise sous protectorat de Bahreïn par les forces armées saoudiennes, décision que l’ensemble des pays du Conseil de coopération du Golfe a adoubée. L’union sacrée s’est également traduite dans le soutien des pétromonarchies à la révolte syrienne avec une ligne politique largement tributaire du lourd contentieux qui oppose, à des degrés divers, les capitales du Golfe à l’Iran dans un contexte où le clivage confessionnel devenait prédominant. Mais la relative connivence sur les théâtres syrien et bahreïni cache mal la fracture profonde que les positionnements respectifs sur l’actuelle crise égyptienne révèlent de manière flagrante.
En janvier dernier, un influent observateur émirati, Sultan Sooud Al Qassemi mettait en évidence le « schisme » qui traversait les pays du Golfe[1]. Au cœur de la division, on trouve le dynamisme du Qatar qui, depuis l’irruption des révoltes arabes, apporte un appui massif aux formations politiques sorties vainqueurs des scrutins. En Tunisie et surtout en Egypte, l’assistance financière de Doha tout comme le soutien politique et médiatique aux gouvernements dominés par les Frères musulmans sont vus d’un très mauvais œil par les familles royales saoudienne et émirienne. Depuis la guerre du Golfe de 1991, ces dernières n’ont jamais pardonné aux Frères leur positionnement en faveur de Saddam Hussein, assimilé à une grande trahison. Les condamnations très dures du prince Nayef, ministre de l’intérieur saoudien en 2002, considérant les Frères musulmans comme « la principale cause des problèmes de la région », expriment toujours la vision des appareils d’Etat saoudien et émirien. Ces derniers jours, ce lourd climat anti-Frères musulmans a de nouveau surgi à la faveur du plus grand procès de l’histoire des Emirats dans lequel comparaissaient des dizaines de membres présumés d’une cellule interdite de la confrérie[2]. Entaché de multiples entorses et épinglé par diverses ONG pour usage de la torture, ce procès a démontré l’ampleur de l’opprobre jeté sur ce mouvement tant du côté des autorités que de l’ensemble du paysage médiatique. C’est également depuis Abou Dhabi où il a trouvé refuge avec de nombreux cadres de l’ancien régime qu’Ahmed Chafiq, concurrent de Morsi à la présidentielle de juin 2012 et dernier Premier ministre de l’ère Moubarak, annonçait sa volonté de rentrer au pays. Le tropisme du gouvernement émirien envers les forces de l’opposition se situe donc à l’exact opposé de la diplomatie qatarie qui souhaitait renverser son isolement dans le Golfe par un renforcement des liens avec les nouveaux maîtres du Caire. Lire la suite sur mon Blog Le Monde…
Notre spécialiste de la cuisine Touria sur Bonjourqatar vous propose sa recettee de Gaufres. S’il est un gâteau qui ravit toujours les enfants, c’est bien la gaufre! La pâte à gaufres, quelle recette choisir ?
Ingrédients :
– 250 g de farine
– 4 œufs
– Une pincée de sel
– 80g de beurre fondue
– 20 g de levure chimique
– 1 sachet de sucre vanille
– 50 g de sucre semoule
– 25 cl de lait tiède
– 2c à s de sucre semoule pour blancs en neige
Préparation :
Dans un récipient on met la farine, sel, sucre, vanille, levure chimique, puis on rajoute 4 jaunes œufs, on remue, puis on rajoute le lait petit à petit toute en mélangeant à l’aide d’un fouet, et en met à la fin le beurre fondue.
Monter les blancs en neige, puis on les rajoute à la pâte à gaufre.
On laisse reposer 1 heure, puis on verse une petite quantité de la pâte dans l’appareil de cuisson des gaufres préalablement chaud. Cette pâte permet de donner une dizaine de gaufres.
– 1& ½ càs de levure boulangère (à diluer dans l’eau)
– Un peu d’eau tiède
Garniture :
– 100g de mortadelle
– 100g de fromage emmental
– Une pincée de thym
– Une pincée piment (facultative)
Préparation :
1) Dans une machine à pain, ou rebot on met tous les ingrédients, on travaille la pâte 15 min jusqu’à obtention d’une pâte lisse, on laisse reposer la pâte couverte dans un endroit un peu chaud jusqu’à qu’elle double de volume.
2) Sur le plan de travail, on met de la farine pour que la pâte ne colle pas, et on l’étale (voir photo), à l’aide d’un couteau et sur les 2 côtés on couple la pâte en plusieurs traits de 1cm de largeur.
3) On met la farce au milieu puis on prend une partie de la pâte d’un côté puis celle de l’autre côté jusqu’à la dernière.
4) Dorez la brioche avec du jaune d’œuf puis on laisse reposer 15 min max, puis on met la brioche dans un four préalablement chaud à 180°.on surveille la cuisson. Bon appétit.