Le géant pétrolier brésilien Petrobras a annoncé lundi avoir vendu à Shell et ONGC Videsh sa part de 35% dans le projet offshore du Parque das Conchas (sud-est) pour un total de 1,636 milliard de dollars. La compagnie nationale brésilienne a expliqué dans un communiqué avoir ainsi concrétisé un accord signé en août avec ces deux partenaires dans ce projet également connu sous le nom de « BC-10 ».
Cette cession avait été conditionnée à l’approbation du régulateur national brésilien qui l’a approuvée.
« Shell et ONGC Videsh ont exercé leur droits préférentiels pour l’acquisition respective de 23% et 12% de la participation » détenue par Petrobras, précise la compagnie.
Les blocs du Parque das Conchas ont produit en 2013 une moyenne de 8.600 barils/jour, a précisé Petrobras.
En novembre, Petrobras s’était déjà défaite de sa filiale au Pérou qu’elle avait vendue à la compagnie chinoise CNPC pour 2.6 milliards de dollars. Lire la suite sur YahooNews…
Aujourd’hui, j’ai testé pour vous le SpaDunya Emerald Massage à Dubaï. C’est la première fois que je me rends au SpaDunya, après avoir eu de bons échos de la part de copines l’ayant déjà testé.
C’est donc toute excitée que j’arrive à à JBR- Jumeirah Beach Residences – (Al Shams) . J’entre, on s’occupe de moi en me proposant un très bon thé au gingembre dans la salle d’attente. Tout mon stress accumulé de la semaine commence à s’évaporer. Excellente entrée en matière.
SpaDunya est un spa urbain pour nous, les femmes et qui propose des soins permettant à chaque cliente de se relaxer et réellement faire un break. Les traitements proposés par SpaDunya sont une collection de soins relaxants et bénéfiques répondant aux besoins de chaque cliente.
Toute les séances débutent par une consultation personnalisée permettant de définir l’état actuel de votre capital « bien-être » Les traitements sont ensuite adaptés suivant les besoins de chaque cliente créant ainsi une parfaite harmonie entre le corps, l’âme et l’esprit.
J’ai complètement adoré l’ambiance, l’atmosphère de cet endroit. La musique douce est si relaxante.
La masseuse-thérapiste était juste géniale, elle a immédiatement réussi à cibler mes zone de tensions
musculaires et m’a détendu instantanément. Je flottais littéralement. Inutile de vous décrire la déception qui m’envahit à la fin de la séance, j’aurais pu y passer toute la journée.
Mais en même temps, j’étais si contente d’avoir enfin trouvé un spa avec des thérapistes si expérimentées et si professionnelles. Je reviendrai à coup sûr pour d’autres massages et essayer d’autres soins chez eux. Ils disposent également d’un lounge intérieur, idéal pour se relaxer lorsque la température se fait plus fraîche à Dubaï.
Donc, si vous êtes stressée ou souhaitez simplement vous relaxer l’espace d’un moment, n’attendez plus et réservez votre séance dès aujourd’hui !
Coordonnées :
SpaDunya Club
Shams 1, Plaza Level,
The Walk at Jumeirah Beach Residence (JBR)
OUVERT TOUS LES JOURS DE LA SEMAINE – DE 9H00 à 20H00
Porsche, Range Rover, BMW ou encore Mercedes… sur les routes chaotiques d’Abidjan, de nombreuses voitures de luxe se faufilent entre des guimbardes tremblotantes, témoignage d’une Afrique toujours plus consommatrice d’automobiles onéreuses. Chacun de ces véhicules coûte à l’achat plusieurs dizaines de milliers d’euros. Soit des décennies de travail pour un Ivoirien payé un salaire minimum, malgré sa réévaluation en novembre de plus de 60%, de 60.000 francs CFA (environ 90 euros).
Pour l’amateur d’automobile, Cocody et la Zone 4, les territoires les plus huppés d’Abidjan, sont pourtant aussi bien pourvus que les plus riches quartiers de capitales européennes. Le week-end venu, les hurlements de moteurs puissants rythment les nuits du sud de la ville.
Le phénomène est identique à Johannesburg, Lagos, ou encore Libreville, où les grosses voitures pullulent. Dans la capitale gabonaise, il n’est pas rare de voir dix gros SUV (Sport utility vehicle, 4X4 urbains) en file indienne sur le boulevard du bord de mer embouteillé.
Les riches Africains aiment les grosses cylindrées, marqueurs comme ailleurs d’un certain statut social. Au Gabon, 70% des 6.000 véhicules neufs vendus par an sont de gros 4X4, en majorité japonais, selon la Fédération gabonaise des importateurs de véhicules.
« Ici, c’est « un 4X4 sinon rien » », raconte l’un d’entre eux, pour qui la voiture au Gabon est « le symbole de la réussite, bien plus que le logement ».
Les voitures « premium » ne représentent à l’inverse que 3% des 8.000 autos neuves vendues par an en Côte d’Ivoire, estime un expert. « Mais certains clients recherchent le haut de gamme. Les véhicules bling-bling, il y a de l’argent à se faire dans ce marché », remarque-t-il.
La proportion de « belles bagnoles » est plus importante parmi les 40.000 véhicules d’occasion importés, remarque-t-il. Car les lourdes taxes dont sont frappées les autos neuves rendent les secondes ou troisièmes mains – venues d’Europe, d’Amérique du Nord ou encore de Dubaï – bien plus accessibles.
Les plus fortunés peuvent même acquérir les véhicules les plus extravagants. Malgré les routes truffées d’ornières d’Abidjan, qui abiment les voitures trop basses, un importateur propose Lamborghini, Ferrari, etc. à cette clientèle choisie.
Symbole de cette quête du luxe à quatre roues, Wattao, un ancien chef de guerre devenu cadre sécuritaire sous la présidence d’Alassane Ouattara, s’est récemment affiché dans sa Maserati devant des caméras de télévision.
Les constructeurs ne s’y trompent pas. Avec une classe moyenne estimée à 300 millions d’habitants par la Banque africaine de développement en 2011, mais surtout des strates très aisées de plus en plus nombreuses, ceux-ci cherchent à se rapprocher de ces clients potentiels.
Porsche dispose d’un showroom flambant neuf à Victoria Island, l’un des quartiers les plus chics de Lagos, à quelques pas du très récent hôtel Intercontinental, premier cinq étoiles de la métropole nigériane.
Le constructeur allemand, implanté depuis des décennies en Afrique du sud, où il dit connaître une progression de ses ventes de près de 40% par an ces deux dernières années, s’est récemment installé en Angola, au Ghana et au Nigeria, selon Christer Ekberg, son directeur pour le Moyen-Orient et l’Afrique. Lire la suite sur AFP Yahoo…
Découverte, enrichissement culturel, ouverture à l’autre : pour un enfant, une expérience d’expatriation comporte d’indéniables atouts. Quitter un univers familier pour s’installer à l’étranger n’est pas pour autant un événement anodin dans la vie d’un enfant. D’après le dernier rapport de l’Observatoire de l’expatriation, 52% des expatriés en instance estimaient que le processus d’adaptation d’un enfant constituait un défi facile à relever. Comment aider son enfant à trouver de nouveaux repères à l’étranger ? Jonglant entre plusieurs cultures, comment l’enfant expatrié parvient-il à définir son identité ?
Impliquer l’enfant dans le projet d’expatriation
Qu’il s’agisse d’une première expatriation ou d’un nouveau départ vers un énième pays d’accueil, il est nécessaire d’exposer clairement votre projet aux enfants. Selon l’âge et la personnalité d’un enfant, l’annonce du départ ne provoquera par les mêmes réactions. À trois ans, il sera par exemple susceptible de s’inquiéter du devenir de ses effets personne tandis qu’un adolescent pourra s’avérer réticent à quitter son cercle d’amis. Pour rassurer l’enfant, l’amener à adhérer au projet et ainsi faciliter sa future intégration à l’étranger, il faut l’inviter à participer aux préparatifs. L’expatriation doit être perçue et vécue comme une aventure familiale. Il existe d’innombrables manières d’impliquer un enfant afin de le préparer à sa nouvelle vie :
le faire participer à l’organisation du déménagement en lui donnant par exemple quelques cartons à remplir avec ses affaires ou à « marquer »,
lui demander de vous assister dans l’accomplissement des différentes formalités et démarches administratives : choix de l’établissement scolaire à l’étranger et inscriptions, demandes de passeports ou de visas, recherche du nouveau logement, choix de l’assurance pour expatrié…
l’inscrire à des cours de langue,
le faire découvrir le pays d’expatriation en consultant avec lui cartes, guides et forums de discussion, en lui proposant d’effectuer une sélection des premiers lieux à visiter,
choisir avec lui des activités extrascolaires qui pourront être débutées une fois arrivé,
échanger régulièrement avec lui concernant votre future vie à l’étranger…
Plus l’enfant sait à quoi s’attendre et est impliqué dans le projet d’expatriation, plus il y a des chances que la transition s’effectue en douceur.
Intégration : prévenir les difficultés
Quitter ses repères pour ensuite en reconstruire ailleurs nécessite de réelles capacités d’adaptation. Si les enfants expatriés parviennent souvent à s’acclimater à leur nouvel environnement avec une rapidité surprenante, il est indispensable de les accompagner dans leur processus d’intégration. Selon le pays, la difficulté est plus ou moins grande. À titre d’exemple, d’après l’enquête HSBC Expat Explorer Survey 2012, le Canada figure en première position du classement des pays dans lesquels l’intégration des enfants est le plus satisfaisant tandis que le Koweït est le neuvième du classement.
Plusieurs démarches permettent d’aider l’enfant à bien s’intégrer dans son pays d’expatriation
Faciliter la socialisation de l’enfant.
Il n’y a pas que l’école pour se faire des amis ! Les activités extrascolaires ainsi que les rencontres avec d’autres familles expatriées sont d’excellentes occasions pour constituer un nouveau cercle d’amis.
Miser sur les forces des individus plutôt que pallier leurs lacunes : et si l’approche de la qualité de vie au travail s’intéressait à ce « ce qui fonctionne bien » plutôt qu’à analyser les dysfonctionnements ? Un courant de la psychologie, dite « positive », prouve qu’il est plus performant de s’intéresser à nos atouts qu’à nos déficits.
L’impérieuse nécessité de trouver une solution aux problèmes en tous genre nous a jusqu’à présent privé de chercher des ressources dans le positif, c’est-à-dire dans ce qui fonctionne correctement. C’est bien connu : en France, on se méfie de l’esprit bisounours.
Habitués à utiliser nos facultés intellectuelles pour pallier aux défaillances, nous omettons de considérer les qualités et les ressources des individus et des systèmes. Pire : l’approche traditionnelle du changement se focalise sur les problèmes à résoudre, réduisant du même coup le champ des perspectives aux erreurs survenues dans le passé.
A la recherche des mauvais élèves
Corollaire managérial : on recherche les coupables et les mauvais élèves de la classe. Loin de vouloir repeindre la vie de bureau en rose, le contexte de plus en plus oppressant du mal-être au travail impose de reconsidérer le rapport entre les individus.
S’appuyant sur l‘émergence de la psychologie dite « positive », portée par Martin Seligman aux Etats-Unis qui s’intéresse aux conditions et processus qui contribuent au fonctionnement optimal des individus des groupes et des institutions, le management entame un virage à 180 degrés et revêt une nouvelle terminologie : « le management appréciatif ».
Une posture appréciative de l’équipe
Développée en France par le psychologue praticien et consultant en entreprise, Jean-Christophe Barralis, également administrateur de l’Association française et francophone de Psychologie positive, cette jeune notion part du postulat que les échanges sur les forces et réussites d’une équipe suscitent créativité et espoir, motivation et engagement.
» Le Manager Appréciatif est dans une posture appréciative de son équipe. Il doit être en mesure de repérer ses forces et ses atouts et s’appuyer sur celles-ci pour piloter et animer ce collectif, diriger son attention sur les réussites, produire continuellement du sens, susciter la coopération, l’entraide et la générosité, favoriser la diffusion d’émotions positives, reconnaître les efforts autant que les résultats », explique Jean-Christophe Barralis.
Désormais, apprendre à réguler naturellement nos troubles d’humeur est au cœur de nombreuses thérapies. Ce jour-là, Sylvie, 50 ans, venait d’essuyer une remarque assassine de la part de son fils. «Je me suis immédiatement sentie comme une enfant honteuse face à lui, comme “rétrécie”», confie-t-elle. Mais cette fois-ci, au lieu de rétorquer violemment au gaillard de 1,80 m qui lui fait face, ou de «zapper» ce qu’elle ressent, elle sort de la pièce et va se réfugier dans sa chambre. En sécurité, assise dans un fauteuil confortable, elle ferme les yeux et prend conscience de ses sensations physiques («J’avais le cœur qui battait à toute allure, la gorge nouée, les pieds glacés», se souvient-elle). Puis, sans les contrôler, ni les juger, ni les commenter, elle laisse simplement ces sensations évoluer… jusqu’à disparition. Un processus qui ne dépasse pas 3 minutes. «Je suis ensuite revenue dans la cuisine continuer la conversation avec Serge.» Fin de l’épisode.
Cette façon autonome et pour le moins élémentaire de «laisser passer» ses émotions est considérée par ses adeptes comme un véritable «autonettoyant émotionnel», le fruit d’une capacité naturelle, à la portée de chacun d’entre nous. Et qui nous délivrerait définitivement de ces émotions désagréables – peur, colère, honte… – «dans ce type de situation», précise toutefois Marcia Bénitah. Psychothérapeute parisienne, celle-ci assure des formations à cette méthode du «revivre sensoriellement».
À ce jour, 600 praticiens – psychiatres et thérapeutes d’horizons variés – se sont formés en France, en Belgique et aux États-Unis pour initier leurs patients à cette méthode. «Cela représente entre 5 et 10. 000 séances chaque jour», relève Marcia Bénitah. Des formations collectives et gratuites ont d’ailleurs lieu actuellement dans tout le pays (1). Elles prolongent le travail d’un chercheur français en pédagogie, Luc Nicon, qui s’était déjà fait connaître pour avoir mis au point une technique d’identification des peurs inconscientes (TIPI) mais insiste davantage, dans son dernier livre (2), sur le rôle essentiel de la sensorialité pour traverser ses émotions.
Vous venez d’envoyer un email de trois pages avouant votre amour secret à un(e) ami(e) d’enfance, ou d’envoyer sans faire exprès un «répondre à tous» où vous insultez votre patron dans un mail collectif destiné à toute votre entreprise, y compris votre patron, évidemment.Lire la suite « Comment annuler un email envoyé dans Gmail »
Kiev (AFP) – Plusieurs centaines de milliers d’Ukrainiens pro-européens ont réclamé dimanche à Kiev le départ du président Viktor Ianoukovitch, dans une nouvelle démonstration de force suivie de la chute très symbolique d’une statue de Lénine.
Drapeaux ukrainiens et européens en main, entre 250.000 et 300.000 manifestants ont investi la place de l’Indépendance et les rues voisines, scandant « démission! ».
Les organisateurs ont affirmé que le nombre de manifestants avait « approché un million », tandis que la police a évalué le rassemblement à 100.000 personnes.
Dans un message lue par sa fille aux manifestants, l’opposante emprisonnée Ioulia Timochenko a demandé le départ « immédiat » de Ianoukovitch et a appelé l’opposition à ne pas négocier « avec ce pouvoir qui a le sang sur les mains ».
L’opposition, mobilisée depuis le refus du pouvoir de signer un accord d’association avec l’UE, a ainsi confirmé la mobilisation de la semaine précédente, la plus forte dans le pays depuis la Révolution orange qui avait porté au pouvoir les forces pro-occidentales et qui avait déjà pour centre la même place, aussi appelée Maïdan.
Scènes de joie
Dans un acte de défi envers Moscou, une trentaine de manifestants a renversé une statue du leader de la révolution de 1917 Vladimir Lénine située également dans le centre et servant de point de rassemblement aux communistes locaux.
Le monument de plus de trois mètres a été remplacé par un drapeau ukrainien après sa chute la tête la première, après avoir été tiré pendant dix minutes par ses assaillants, masqués.
Plusieurs membres du parti ultra-nationaliste Svoboda (Liberté), qui voient dans Lénine un symbole de la soumission de l’Ukraine à Moscou sous l’URSS, se sont félicités de l’événement, qui a été suivi de scènes de joie.
« Le pardon libère l’âme, il fait disparaître la peur. C’est pourquoi le pardon est une arme si puissante »: Nelson Mandela, mort jeudi à Johannesburg, avait résumé, en une phrase devenue mythique, la vision du monde et de l’humanité qui a fait de lui le dirigeant le plus populaire du XXe siècle. AFP
Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif, en visite à Koweït, a assuré hier que l’accord sur le nucléaire iranien était dans l’intérêt des pays arabes du Golfe et annoncé son intention de se rendre en Arabie saoudite. “Le règlement de cette question (le nucléaire iranien) est dans l’intérêt de tous les pays de la région et ne se fait aux dépens d’aucun pays de cette région”, a déclaré le ministre à l’issue des entretiens avec son homologue koweïtien, cheikh Sabah Khaled Al-Sabah. “Soyez rassurés, cet accord sert la stabilité et la sécurité de la région”, a-t-il insisté. M. Zarif a affirmé que son pays cherchait à ouvrir un nouveau chapitre dans ses relations avec ses voisins arabes du Golfe. Les pays arabes du Golfe ont généralement bien accueilli l’accord nucléaire conclu par l’Iran et les grandes puissances le 24 novembre. Le ministre, qui doit se rendre après sa visite à Koweït, dans le sultanat d’Oman, a indiqué vouloir également se rendre en Arabie Saoudite mais n’a pas avancé de date pour cette visite.