Seulement en Arabie Saoudite
Insolite: une vidéo pas comme les autres. Un avion qui sort de nulle part…
Insolite: une vidéo pas comme les autres. Un avion qui sort de nulle part…
Magazine d’actualités en ligne | Francophones et francophiles à Dubai. Rester au courant de l’actualité économique quand on est en expatriation est un plus. Petit à petit, la communauté française grandit à l’étranger. Le nombre d’inscrits au registre tenu par les consulats est en progression de 2.2 % en un an et atteint le nombre de 1.821.519 personnes en 2018.
Depuis 10 ans, le nombre de Français à l’étranger inscrits au registre dans les consulats connaît une croissance régulière.Notamment à Dubai aux Emirats Arabes Unis.
Yas Island, la destination émergente aux Emirats Arabes Unis, va développer sa base mondiale de clients potentiels en puisant dans le lucratif marché touristique russe lors d’une foire à Moscou.
Le 20e Salon international de Voyage et du Tourisme, connu sous le nom OTDYKH 2014, se tiendra du 16 au 19 septembre à Moscou, représentant le plus grand salon international de l’automne pour les voyages de loisirs en Russie et dans la Communauté des États indépendants (CEI). Plus de 62 000 visiteurs sont attendus à cette exposition de quatre jours.
“Avec plus de 50 millions de voyages à l’étranger chaque année, la Russie et le CEI sont extrêmement d’importants marchés pour l’industrie touristique mondiale,” déclare Karim El Guanaini, vice-président de l’île de Yas Destination Management. “Ce salon sert de plate-forme idéale pour atteindre les nouvelles entreprises et de sensibiliser autour de l’île de Yas, déjà une destination populaire pour les Russes.’’ Près de 16 800 visiteurs sont venus de Russie à Abou Dhabi en 2012, selon l’Office du tourisme et ce chiffre devrait croître de 29,5 pour cent par an pour atteindre 61 100 en 2017.
La Russie est l’un des 20 plus grands marchés des hôtels d’Abu Dhabi, ce qui représente 19 600 clients de l’hôtel en 2012, en hausse de 40 pour cent par rapport à l’année précédente, selon Abu Dhabi Tourism and Culture Authority.
“Afin de maximiser le potentiel de ce marché en pleine croissance, l’île de Yas continuera à développer de nouvelles offres visant à encourager les touristes russes à faire de l’île de Yas une partie de leurs vacances aux Emirats Arabes Unis,” déclare El Guanaini. ”
Source: Agence de Presse des Emirats, WAM
Un flash mob a eu lieu cette semaine à l’aéroport international de Dubai. Le rassemblement étant généralement organisé au moyen d’Internet, les participants ne se connaissent pas pour la plupart. Une bonne publicité pour l’aéroport de Dubai aux Émirats arabes unis, desservant la ville de Dubaï et qui est le plus important du pays. Il est le 3e aéroport au niveau mondial selon le nombre total de passagers et le 1er selon le nombre de passagers internationaux. Découvrez la vidéo de ce grand rassemblement dans cet aéroport.
Dubai Time-lapse 201, c’est Dubai comme vous ne l’avez jamais vu auparavant. Une vidéo de toute beauté qui vous fera voyager aux Emirats arabes unis en vitesse accélérée. Découvrez cette magnifique vidéo qui fera rêver plus d’un.
Petite balade à Dubai en voiture. Dans cette vidéo vous verrez quelques endroits incontournables à voir sur Dubai. La ville de Dubaï connaît une importante expansion démographique depuis quelques années et la visiter prend pas mal de temps. Découvrez cette vidéo .
Marie-Anne Gautier, médecin du travail à l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des maladies professionnelles et des accidents du travail) explique quels sont les méfaits du travail de nuit sur la santé…
Selon une étude de la Dares publiée jeudi, 15,4 % des salariés français travaillaient la nuit en 2012. Un travail qui «comporte davantage de facteurs de pénibilité physique et de contraintes de vigilance», selon la Dares.
20 minutes fait le point sur les risques pour la santé du travail nocturne avec Marie-Anne Gautier, médecin du travail et experte médicale chargée des horaires atypiques et du travail de nuit à l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des maladies professionnelles et des accidents du travail).
Tout d’abord, il y a peu d’effets néfastes pour ceux qui travaillent occasionnellement de nuit. En revanche, travailler régulièrement de nuit peut nuire à la santé. Ces salariés sont par exemple souvent sujets à des troubles du sommeil. En effet, le sommeil diurne est de moins bonne qualité que le sommeil nocturne, car il est morcelé et perturbé par la lumière. Ce qui conduit à une diminution du temps de sommeil hebdomadaire chez ces salariés. D’où des risques de somnolence accrus pour eux et donc d’accidents (par exemple de la route). Par ailleurs, ils se plaignent souvent de problèmes digestifs, qui peuvent être dus au moindre temps passé pour leurs repas ou encore à leur moins bonne qualité.
De nombreuses études épidémiologiques montrent que le travail nocturne augmente chez certains sujets les risques de maladies cardiovasculaires, notamment en raison d’une mauvaise hygiène de vie. Car les personnes travaillant la nuit ont tendance à moins bien manger, donc à prendre du poids, à fumer davantage et à moins faire d’activité physique. Ce rythme serait aussi à l’origine de l’apparition de cancer du sein, de la prostate ou du colon. Enfin, il peut affecter certaines grossesses: retards de croissance du fœtus, augmentation des risques de fausses couches et de prématurité.
Oui, car la fatigue qui se cumule peut engendrer une certaine anxiété, tout comme le fait d’avoir une moindre vie sociale. Certains supportent mal aussi d’être privés de la lumière du jour. Au final, cela peut entraîner dans certains cas des dépressions.
Sans conteste ceux qui travaillent en horaires postés, c’est à dire ceux dont les horaires changent sans cesse et qui travaillent un coup le matin, un coup le soir. Leur organisme est tout le temps obligé de s’adapter, ce qui provoque une certaine usure.
Ceux qui ont choisi de travailler à ces horaires et qui s’en retirent des bénéfices (salaire majoré, moindre stress de la part des supérieurs, possibilité de s’occuper des enfants la journée…) supportent bien mieux les contraintes.
La loi oblige les entreprises à mettre en place les mesures nécessaires pour protéger la santé de leurs salariés. Avant la mise en place d’une organisation du travail avec des horaires de nuit, il leur est conseillé d’en mesurer les avantages et les inconvénients et de prévoir des dispositions qui minimisent les impacts négatifs sur la santé. Des discussions peuvent avoir lieu lors des Chsct (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) qui sont des instances qui représentent les salariés. A l’INRS, nous conseillons les organisations avec des plannings les plus réguliers possibles, et en particulier une équipe de nuit permanente (des salariés qui travaillent toujours la nuit). Il est recommandé également d’organiser les rotations en sens horaire (matin, après midi, nuit), de repousser au maximum l’horaire de prise de poste du matin (à partir de 6 heures), et de privilégier les rotations intermédiaires (changement d’horaire tous les 2 à 5 jours). Une pause d’au moins 20 minutes pour permettre au salarié un moment de repos permet de prévenir la somnolence et un environnement lumineux avec de la lumière forte en début de nuit et moins vive au petit matin aide l’organisme à s’adapter à ce rythme. Enfin, il faut assurer un suivi médical régulier de ces salariés et s’assurer qu’ils tolèrent toujours bien ses horaires.
(Relaxnews) – Avec la crise, les Français vont moins au restaurant mais n’hésitent pas à mettre le prix pour se payer une bonne table de temps en temps, révèle une étude Gira Conseil, à l’occasion de l’opération Tous au restaurant, qui se déroulera fin septembre.
En une année (entre 2013 et 2014), les Français ont été moins nombreux à fréquenter les tables gastronomiques. 42,7% disent y aller moins souvent, à cause de la crise, contre 31% un an plus tôt. Mais pour eux le prix n’est plus un frein. Ils ne sont que 30% désormais à estimer que l’aspect tarif peut les dissuader de pousser la porte d’un grand restaurant, contre plus d’un sur deux (54%) un an plus tôt.
Et pour cause, les sondés sont plus nombreux à penser qu’un restaurant peut proposer une cuisine gastronomique pour une note comprise entre 36€ et 50€ (47% vs 43%).
D’ailleurs, ils sont également plus nombreux à opter pour la restauration haut de gamme à l’heure du déjeuner (15,3%, +3 points).
Les consommateurs sont aussi des clients avertis et connectés. 46% se renseignent sur Internet avant de faire un choix contre seulement 23% qui interrogent leur entourage. 43% (en majorité des femmes) utilisent leur smartphone au restaurant, pour faire des photos (58%) ou pour le géolocaliser ou partager avec leurs proches (47%).
De plus, 61,5% n’hésitent pas à commenter leurs expériences culinaires. Aussi, 40% optent pour Tripadvisor, 24% se tournent vers Facebook contre 22% sur le site de La Fourchette.
Le marché de la restauration gastronomique a progressé de 4,5% entre 2012 et 2013, sur les tickets moyens à plus de 31€, révèle cette étude.
Cette étude a été menée en amont de l’opération « Tous au restaurant », qui reviendra pour sa 5e édition, du 22 au 28 septembre. L’événement permettra au plus grand nombre de découvrir de belles tables en France, mais aussi dans quelques pays européens, en ne payant qu’un menu sur deux.
L’étude a été menée du 12 avril au 5 mai 2014 auprès d’un échantillon de 450 personnes de plus
de 15 ans, représentatif de la population française.
Source: larep.fr
Alors que le travail exige toujours plus de productivité, de disponibilité, et d’autres mots en « té », la vie personnelle apporte aussi son lot de contraintes entre fournitures scolaires, vie de couple chaotique et parents malades (dans un ordre non nestorien). C’est en me demandant « comment font les autres pour tout concilier? » que j’ai créé il y a 7 ans le blog et le réseau Maman travaille. Pour Les 200 astuces de Maman travaille, je suis allée à la rencontre de pros, des gens qui concilient vie pro intense et vie perso épanouissante et qui m’ont livré leurs astuces… En voici certaines.
1/ Assumer, oui. Positiver de force, non.
Pour la psychothérapeute Isabelle Constant, on peut assumer avec sérénité et bonne humeur nos choix. En revanche, il est vain de se forcer à positiver. « Je ne vois pas comment on peut se forcer à sourire le jour du retour au travail, si l’on avait envie de rester chez soi avec son bébé. En revanche, on peut être honnête avec soi-même et se souvenir des raisons qui nous ont poussé à prendre cette décision. Et l’assumer ! »
2/ Entreprendre un bilan de compétences
Spécialiste de la gestion de carrières au féminin et cofondatrice de Happy Families, Garance Yverneau suggère à toutes les personnes rencontrant des difficultés de conciliation vie pro/vie perso d’entamer un bilan de compétences pour y voir plus clair dans leurs aspirations. « Il peut être pris en charge financièrement, dans le cadre du droit à la formation continue. »
3/ Se concentrer sur son propre bonheur
Dans les avions, on demande aux adultes de placer le masque à oxygène sur eux avant de le placer sur leurs enfants. La logique est imparable: si l’adulte ne peut pas respirer, il ne peut pas aider l’enfant à respirer! « C’est la même chose dans la vie » affirme Marianne Dorell, rédactrice en chef du magazine Parole de Mamans. « Mon propre bonheur est la clé de tout. C’est un pédiatre qui m’a fait prendre conscience de cela, je lui demandais si je devais donner des carottes ou des choux-fleurs à mon fils et lui m’a fixé en me demandant: Sinon, ça va, vous? »
4/ Abuser des clés 3G
Jessica Cymerman, auteure du blog Serial Mother et co fondatrice de l’agence de baby-sittings online, lance: « Avec 3 enfants, ce qui me permet de durer, c’est de partir à la campagne dès que possible avec un ordinateur et une clé 3G. » Michèle Fitoussi, ex éditorialiste au magazine ELLE et créatrice du Paris des femmes, raconte aussi: « Quand on m’a demandé ce que je voulais, je n’ai pas réclamé de promotion ou de poste de manager: j’ai dit que je voulais travailler de chez moi. C’est ce qui m’a permis d’élever mes enfants et de me lancer dans tant de projets différents, en même temps! »
5/ Prendre soin l’un de l’autre dans le couple
Formatrice RH et écrivain, mère de 5 enfants, Marie Lafragette, 31 ans, explique: « Chaque soir, quand mon mari rentre du travail un peu après moi, il prend le relais à 100% et se défonce pour les enfants: bains, devoirs, dîners des enfants, il gère tout. Pendant ce temps, je prépare notre dîner à nous – un plat maison, le plus souvent – et nous savourons notre soirée en amoureux. » Cette routine instaure un climat bienveillant, où l’on prévient les besoins de l’autre. Valable que l’on ait des enfants ou pas, dans un couple hétéro ou homo.
6/ Prioriser sans culpabiliser
La coprésidente du groupe EELV à l’Assemblée Nationale, Barbara Pompili, mère d’une fille de 10 ans en garde alternée, estime que la culpabilité ne résout rien et retire du plaisir à ce que l’on fait. « Je me consacre à 100% au moment présent. Il faut revoir l’organisation des horaires de travail. Mais quand je suis en séance ou en cérémonie protocolaire, je ne pense pas au cours de danse de ma fille. »
7/ Se sécuriser financièrement et socialement
Les pauses sont de plus en plus fréquentes dans les carrières. Simone de Beauvoir expliquait qu’une femme doit « gagner de quoi vivre et de quoi faire vivre ses enfants. » Néanmoins, avec 350.000 places en crèches manquantes et des congés parentaux pris à 98% par les mères, les parcours professionnels des femmes sont de plus en plus précaires. Avec des conséquences sur leur retraite ou leur reprise d’activité professionnelle… Consciente de cet état de fait, Marine, du blog Une Chambre à moi, a décidé d’organiser sa situation de mère au foyer. « Nous considérons que l’argent gagné par mon mari est l’argent du couple » explique-t-elle. « Nous sommes allés voir notre banque et avons pris des mesures pour mettre de l’argent de côté pour moi, ma retraite, que je ne me retrouve pas démunie. »
8/ Se passer du feu vert des autres
Chacun a une idée très précise de ce que vous devriez faire, « faukon », « yaka »… Pour les éviter, Selma, fondatrice du site Apollinepoint, recommande de se passer de l’avis de tous avant de prendre une décision que l’on estime bonne pour soi. « Osez. Maintenant. Ici. Des portes s’ouvriront que vous n’imaginez même pas… »
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Comme certaines disent à Dubai, mieux vaut être mariée que célibataire ici. Ce n’est parce que leurs bouts de choux les comblent d’amour qu’elles comptent renoncer à toute vie sentimentale. Mais il n’est pas forcément évident de trouver la perle quand on a des journées ultra-minutées. Quelques conseils pour rencontrer le prince charmant, le vrai !
Entre le cours de saxophone de l’aîné, le judo du deuxième et le rendez-vous chez le pédiatre du petit dernier, difficile de trouver le temps de chercher l’âme sœur, voire d’en avoir l’idée… Et nos célibataires sont souvent tellement fatiguées les week-ends où leurs rejetons sont chez leur papa qu’elles préfèrent souvent rester tranquillement sous leur couette avec un bol de chips et une bonne vieille série plutôt que de partir à la chasse aux garçons avec leurs copines. Heureusement, elles peuvent miser sur les innombrables sites de rencontres qui fleurissent sur Internet. Un petit temps mort dans la journée ou le soir quand les loustics sont couchés : on profite pour se connecter. Pour prendre le temps aussi de faire connaissance avec ses « prétendants » sans précipiter ; ce qui évitera les mauvaises surprises quand on en arrivera au stade du rendez en chair et en os. Pas de risque de se sentir en minorité sur ce type de site : selon le sondage réalisé par le site de rencontres Match, 44 % des de femmes internautes de plus de 25 % qui cherchent l’amour sur le site ont au moins un enfant.
Le bon timing pour faire son annonce
Une fois tissés sur la Toile les premiers fils d’une jolie relation, beaucoup de ces mères solos hésitent souvent à révéler à leur partenaire virtuel qu’elles ne sont pas toutes seules dans la vie, de peur de le voir fuir à toutes jambes. Une crainte souvent infondée puisque, selon un sondage réalisé en 2013, 43 % des hommes célibataires se disent ouverts à l’idée de rencontrer une maman solo vivant à temps complet avec ses enfants Mieux vaut donc jouer la carte de la franchise, mais vous n’êtes obligée d’abattre vos cartes immédiatement dès la première conversation. Rien de tel qu’un peu de mystère pour faire grandir ses élans envers vous ! Celles qui ont été échaudées par des expériences malheureuses dans ce domaine et ne veulent pas s’exposer à d’éventuelles autres déceptions de ce type peuvent se diriger vers les sites spécialisés dans les parents solos, tels divorceoumonop.com, solofamily.fr, rencontre-parents.fr ou encore tribu-des-solos.fr. Elles y sont privilégiées puisqu’il leur est possible de rencontrer d’autres parents solos ou des célibataires sans enfants. Par contre, deux membres sans enfant ne peuvent pas nouer contact.
La vraie vie à ne pas négliger
Même si le Net donne une infinité de possibilités, il ne faut pas passer à côté des autres occasions de rencontre qu’offre le quotidien. Dans l’univers professionnel, pendant un cours de gym, à la kermesse de l’école ou durant pourquoi pas sur Bonjourdubai.com : l’amour peut se nicher partout. A charge des mamans solos de ne pas oublier qu’elles sont femmes avant d’être mères : on préfère un joli slim et une veste cintrée plutôt qu’un survêtement distendu, même si ce n’est que pour aller à la réunion parents d’élèves. L’homme de vos rêves vous y attend peut-être !
Source: lci.tf1.fr