Comme vous le savez, que ce soit pour les Musulmans de France, du Maroc ou ailleurs dans le monde, la viande doit être « halal » pour qu’elle soit consommée. C’est une obligation que chaque Musulman se doit d’accomplir s’il souhaite manger de la viande. Il en en va de même pour les bonbons qui contiennent souvent de la gelatine porcine et bovine. Heureusement, de plus en plus de sociétés commencent à y placer de la gelatine halal afin de satisfaire les consommateurs Musulmans qui représentent une grande manne financière pour ces multinationales. Lire la suite « McDonald’s Maroc est-il halal ? »
Les prix du pétrole étaient presque stables lundi en cours d’échanges européens, après deux semaines de forte baisse en raison de la perspective d’un retour de l’offre libyenne et de l’apaisement des inquiétudes liées aux exportations pétrolières irakiennes.
Vers 10H15 GMT (12H15 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 110,66 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 2 cents par rapport à la clôture de vendredi. Vers 08H30 GMT, le Brent est tombé à 110,40 dollars, son niveau le plus faible depuis le 12 juin.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour la même échéance perdait 15 cents, à 103,91 dollars, par rapport à la clôture de jeudi. Les échanges aux États-Unis se sont limités aux seuls échanges électroniques vendredi, le marché étant resté fermé en raison d’un jour férié.
Le Brent commence la nouvelle semaine presque inchangé après avoir perdu 2,3% la semaine dernière, sa plus forte chute hebdomadaire depuis début janvier, indiquaient les économistes de Commerzbank.
La Libye, où les opérations ont repris aux deux plus gros terminaux pétroliers du pays (Ras Lanouf et al-Sedra, d’une capacité conjointe de 500.000 barils), est la principale raison de cette baisse, rappelaient-ils.
La semaine dernière, les autorités libyennes et les rebelles autonomistes de l’Est ont annoncé la fin de la crise pétrolière qui paralysait le secteur pétrolier du pays depuis un an.
La Compagnie nationale de pétrole (NOC) a levé la clause de force majeure sur les acheminements de brut en partance de ces deux ports. Les premiers chargements peuvent donc être attendus dans les prochains jours, signalaient les experts de Commerzbank.
Les perturbations qui affectaient le secteur pétrolier libyen depuis un an ont provoqué une forte chute de la production du pays, par moment réduite à moins de 200.000 b/j, contre environ 1,5 million de b/j en temps normal.
Le Brent a maintenant perdu la quasi-totalité de ses gains réalisés à cause de la crise en Irak, qui a éclaté le 9 juin dernier.
Après l’offensive fulgurante des insurgés sunnites en Irak, les cours du brut avaient flambé, grimpant mi-juin à leur niveau le plus élevé depuis neuf mois (à 115,71 dollars pour le Brent et 107,73 dollars pour le WTI).
Ils se sont ensuite rapidement repliés en l’absence de perturbation majeure de l’offre pétrolière irakienne – les combats étant circonscrits au Nord et à l’Ouest du pays tandis que les opérations pétrolières sont majoritairement situées au Sud.
C’est ce qui ressort du bilan établi par l’Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée. “Après deux années consécutives particulièrement mornes pour les investissements directs étrangers (IDE) en Algérie, quelques grandes annonces d’investissement ont permis au pays de redresser la barre en 2012”, souligne le bilan 2012 de l’Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée, Anima-Mipo. “L’acquisition quasi totale de Wataniya Télécom par le qatari Qtel pour un montant annoncé de 1,5 milliard d’euros et le rachat, pour un montant similaire, des activités pétrolières de ConocoPhillips par l’Indonésien Pertamina ont largement gonflé le montant des annonces d’investissement retenu en 2012, qui dépasse, pour la première fois, les niveaux enregistrés depuis l’adoption de la nouvelle loi de finances en 2009”, indique le rapport. “Ces deux projets exclus, le montant des investissements reste stable pour un nombre de projets en hausse (+46%)”, indique l’étude. L’année 2012 se caractérise également pour l’Algérie, constate Anima, par une nette percée des annonces d’investissement dans le secteur automobile (7 projets), à commencer par la conclusion, après 3 ans de négociations, du projet d’usine Renault à Oran, qui, mené en partenariat avec l’État algérien via le FNI et la SNVI, devrait permettre, à terme, la création de plus de 7 000 emplois et l’arrivée sur le marché d’un certain nombre de sous‐traitants. Par ailleurs, la poursuite des vastes projets d’infrastructures prévus dans le cadre du plan quinquennal 2010/2014 continue de susciter l’intérêt des multinationales étrangères, notamment dans le domaine ferroviaire (RATP, Alstom). Les investisseurs semblent s’être adaptés au principe du 49‐51%, qui oblige les étrangers à inclure des partenaires algériens dans leur projet d’investissement à hauteur de 51% et avait fortement déstabilisé les entreprises étrangères lors de son introduction. Anima annonce que l’Algérie a enregistré des intentions d’investissement de près de 4,5 milliards d’euros en 2012. Le délégué général du réseau Anima justifie l’écart entre les chiffres énoncés par son institution et ceux de l’Andi (420 millions d’euros) par des différences entre les méthodes de statistique, étant donné qu’Anima se base sur les déclarations de volonté d’investissement des chefs d’entreprise, alors que l’Algérie prend en compte les intentions d’investissement validées par le gouvernement.
“De timides efforts” en matière de stratégie de promotion
En matière de stratégie de promotion, le document évoque “de timides efforts”. “Sans rigoureusement modifier son contraignant code de l’investissement, l’Algérie a mis en place une série de mesures visant à améliorer les conditions générales liées aux investissements étrangers”, rapporte le document. Anima cite, entre autres, la création par le Premier ministre d’un comité spécifique chargé d’évaluer l’environnement des affaires, de communiquer auprès des organisations internationales et d’identifier les changements administratifs nécessaires pour mieux promouvoir la création d’entreprises, les IDE et le soutien aux PME. Il relève la mise en place de réformes pour faciliter la création d’entreprises et améliorer le cadre dans lequel celles‐ci exercent leur activité, tels la révision du code du commerce, la simplification des procédures d’obtention du registre du commerce ou de l’accès au foncier et l’allègement de la fiscalité des entreprises. L’étude souligne, aussi, le relèvement de 5 à 15 millions d’euros du plafond à partir duquel les projets d’investissement doivent être approuvés par un comité national (LF 2013).
L’Algérie s’attend à finir l’année 2013 avec environ 3 milliards d’euros d’investissements directs étrangers
Selon des statistiques d’Andi, au 1er semestre 2013, l’Algérie a enregistré 31 projets d’investissement impliquant les étrangers, pour un montant global de 2,280 milliards d’euros. Ces projets devraient générer 7 385 emplois. L’Algérie s’attend à finir l’année 2013 avec environ 3 milliards d’euros d’investissements directs étrangers. “Le même niveau sera attendu en 2014”, prévoit l’Andi, évoquant la mise en œuvre effective de “l’ambition industrielle, plusieurs projets en cours de négociation, notamment dans le textile et la sidérurgie, le lancement en 2014 des programmes de développement des entreprises publiques en partenariat avec des étrangers dans diverses filières industrielles et, enfin, la poursuite du processus de facilitation et de simplification de l’acte d’investir, notamment par des mesures d’encouragement prévues dans la loi de finances 2014. La répartition des flux d’investissements étrangers par région fait ressortir que l’Europe est en pôle position (85,36%) en 2012, rattrapée par les pays arabes en 2013 avec 78,45%. Les flux d’investissements étrangers proviennent de 18 pays en 2013 contre 7 en 2012. La répartition des flux d’investissements étrangers par pays montre que le Qatar est en tête des investisseurs étrangers en Algérie avec 74,31% et un montant de 1,698 milliard d’euros en 2013, détrônant la France arrivée en tête en 2012 avec 77,28% et 321 millions d’euros”.
Un document de la mission économique de l’ambassade de France, citant des données de la Banque de France, indique que les investissements directs français en Algérie se sont établis à 211 millions d’euros en 2012, contre 241 millions d’euros en 2011 et 210 millions d’euros en 2010.
Après le succès de 2012 le programme Injaz El Djazair revient cette année avec le même défi. Celui de se classer premier pour la seconde année consécutive à la compétition régionale des jeunes entrepreneurs qui se déroulera le 3 décembre prochain au Koweit. En cette occasion, une conférence de presse a été organisée le mercredi 27 novembre à l’hôtel Hilton (Alger), en présence des membres du conseil d’administration d’Injaz El Djazair, et son nouveau partenaire BOEING, représenté par Bernard J.Dunn, directeur régional pour l’Afrique du Nord et la Turquie.
Injaz El Djazair, présidé par Sofiane Chaib, a organisé des compétitions nationales pour primer les meilleurs projets réalisés par des étudiants dans le cadre d’une formation organisée par cet organisme.
Injaz El Djazair s’est rapprochée de douze écoles et universités algériennes, (ESI, EPAU, ENP, ENST, HEC, ENSH, ENSSMAL, INELEC, USTHB, UST Oran, MBD M’Sila), et « abordé » 660 étudiants. Quatre prix ont été décernés ce mercredi. Le premier, à l’instar de l’année dernière avec « Algreenia », est revenu à des polytechniciens. Il s’agit de « Assurair », une entreprise de production et de commercialisation de détecteurs intelligents de gaz dangereux.
« Assurair » est composée de quatre étudiants de l’école nationale de polytechnique, Allouche Lotfi et Ben Abdellah Khoudja Sami, tous deux en 4ème année (spécialité en génie industrielle), Boushaba Abdelouahab et Djema Walid, 5ème année (spécialité automatique). Ce dernier, chargé de la communication de l’entreprise, a expliqué, à « Liberté », le choix du projet « nous fabriquons et commercialisons des détecteurs intelligents de gaz toxiques CO, monoxyde de carbone, qui est dangereux par ses caractéristiques, et en plus il est très méconnu des algériens, et c’est lui qui cause le plus de décès ».
Leur projet, qui est d’ailleurs d’actualité, consiste à détecter et donner d’une manière instantanée le taux de monoxyde de carbone dans la maison « Il permet de signaler s’il y a un dépassement de la limite donnée par les normes européennes, c’est-à-dire qui représentent un certain risque sur la santé de la personne », indique Abdelouahab Boushaba, chargé des études de marché.
Finalisé au bout d’environ trois mois de travail, avec l’aide d’un coach de la société Schlumberger, le premier produit est « enfin opérationnel », affirment les « néo-entrepreneurs ».
Le projet est innovateur selon les membres d’«Assurair», en se basant sur la norme européenne, car « cette norme elle spécifie l’effet d’une certaine quantité d’eau sur la santé humaine, et de là on définie des limites à ne pas dépasser. Nous avons intégré quelques nouveautés qui permettent un diagnostic précoce des défauts et des problèmes avant qu’ils ne se produisent. C’est tout un service qui va tout au long de l’utilisation du produit, et c’est aussi un moyen de rester en contact avec le consommateur, et pour cela nous avons créé des logiciels », explique Walid Djema. Pour leur choix, ils ont ajouté qu’il n’existait pas encore de normes algériennes.
« Assurair », équipe lauréate de la seconde Compétition Annuelle des Jeunes Entrepreneurs 2013, représentera ainsi l’Algérie à la compétition régionale qui se tiendra le 3 décembre prochain au Koweit, pour, pourquoi pas, rééditer le coup de « Algreenia ».
ALGER – La crise économique qui secoue certains pays européens constitue pour l’Algérie une « opportunité » pour acquérir des actifs dans certaines entreprises, en difficultés financières, pour aller investir à l’international, a estimé mercredi à Alger l’expert M. Mohamed Hachemaoui. »C’est le moment pour les Algériens de racheter ces actifs », a déclaré M. Hachemaoui au cours d’une conférence débat sur les dimensions économiques et sociales de la loi de finances 2013 qu’il a animée à l’Université d’Alger. Lire la suite « La crise économique mondiale, une opportunité pour l’Algérie »
La monarchie qatarie n’a pas de problème avec l’après-Monti en Italie. Qu’il se succède à lui-même comme le souhaitent les patrons, les catholiques ou les centristes italiens, ou non, elle a décidé, lundi 19 novembre d’investir dans la Péninsule. Une belle preuve de confiance alors que la veille, au Koweït, le président du Conseil italien lui-même en avait montré beaucoup moins en déclarant qu’il était « déjà assez occupé par le présent pour garantir l’avenir de l’Italie » après lui. Lire la suite « Promouvoir le Made in Italy par le Qatar »
Ce n’est plus un secret pour personne je suis fan du PSG ! Fan de son histoire, de ses joueurs, de ses couleurs, de son stade et de son ambiance entre autres. Fan depuis ce jour de 1989 où je mettais pour la première fois les pieds au Parc des Princes un soir de PSG – Auxerre. Fan dans la victoire mais aussi et surtout dans la défaite, et ce, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige. Le vrai supporter de base, fidèle, capable de faire la gueule toute une semaine quand son équipe a perdu ! Je ne fais pas partie de ce nouveau public- spectateur, j’ai toujours porté fièrement le maillot du PSG, y compris quand celui-ci se battait pour son maintien Lire la suite « Nasser Al Kelaifi (Qatar) achète Beckham au PSG »
Les banques privées algériennes, toutes à capitaux d’origine étrangère, se portent très bien. Même si leur part de marché est restée relativement stable au cours de dernières années avec une proportion des actifs bancaires de l’ordre de 12 à 15% suivant les sources, leur rentabilité est en revanche en forte progression.C’est ce que confirment encore les résultats financiers pour l’année 2011 publiés par la plupart d’entre elles au dernier trimestre de l’année dernière. Les freins imposés au développement des réseaux des banques privées, qui étaient encore dénoncé en 2010, semblent ne plus être qu’un mauvais souvenir. Lire la suite « Le commerce extérieur en Algérie »
L’artère la plus cotée de Lyon, la rue de la République, est passée dans la plus grande discrétion sous contrôle de l’un des plus grands fonds souverain de gestion d’actifs du monde, le Abu Dhabi Investment Authority.La rue de la République aux mains du Qatar ? C’est l’information que rapporte aujourd’hui Le Progrès, en s’appuyant sur les déclarations de Denis Broliquier. Le maire du 2e arrondissement, avait évoqué, mardi 8 janvier,lors de ses traditionnels vœux annuels, « la cession de dizaines d’immeubles d’ANF, rue de la République, aux Qataris via une société financière britannique ». Lire la suite « La rue de la République à Lyon appartient aux Emirats arabes unis »
Toshimitsu Motegi, ministre de l’Economie, du Commerce de l’Industrie du Japon, visitera ce week-end l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis (EAU) pour renforcer la coopération énergétique avec les deux pays producteurs de pétrole, ont rapporté mercredi les médias nippons. M. Motegi doit s’entretenir avec des hauts-fonctionnaires de Riyadh, capitale de l’Arabie saoudite, pour exhorter le pays à continuer de stabiliser le marché mondial du pétrole, d’après l’agence de presse Kyodo. Lire la suite « Un ministre japonais aux Emirats et en Arabie saoudite »