Par La Rando

Piratage informatique au Qatar, QNB se dit sécurisé

La Qatar National Bank (QNB) a affirmé dimanche que son système informatique était « totalement sécurisé » après une cyberattaque qui aurait exposé les noms et mots de passe de nombre de ses clients. Dans un communiqué diffusé sur son site, la banque a indiqué que l’attaque informatique n’avait pas eu d' »impact financier » sur ses clients, mais a admis, pour la première fois, que ses clients au Qatar étaient visés. Lire la suite « Piratage informatique au Qatar, QNB se dit sécurisé »

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Ces étrangers expulsés du Koweït

Au cours des 16 derniers mois, le Koweït a expulsé plus 41.000 étrangers essentiellement pour séjour illégal dans le riche émirat pétrolier du Golfe, rapporte vendredi un quotidien local relayé par l’AFP.

26.600 travailleurs étrangers, dont une majorité d’Asiatiques, ont été expulsés en 2015, rapporte le journal Al-Anba, qui cite une source de haut rang au sein des services de sécurité, sans l’identifier.

Au cours des quatre premiers mois de 2016, le rythme des expulsions s’est accéléré avec le renvoi de 14.400 personnes vers leurs pays. La plupart des expulsés n’étaient pas dotés d’un permis de séjour légal tandis que d’autres ont été renvoyés pour avoir commis des délits, notamment pour infractions au code de la route, ou des crimes, précise le quotidien.

Le Koweit compte 1,3 million d’autochtones pour environ trois millions d’étrangers venant notamment d’Inde, du Pakistan, du Bangladesh, des Philippines et de pays arabes comme l’Egypte et la Syrie. Ces « expulsions administratives » ont été critiquées à maintes reprises par des organisations de défense des droits de l’Homme.

Source: Impact24

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Un fonds souverain de 2000 milliards de dollars pour l’Arabie saoudite

Doté de 2000 milliards de dollars issus de la mise en vente de 5% du pétrolier Aramco (compagnie nationale saoudienne d’hydrocarbures) . Il détrônera le fonds souverain norvégien qui pesait lundi matin 866 milliards de dollars «seulement» rapporte le site de l’Agence économique et financière.

L’Arabie saoudite va vendre en Bourse moins de 5% du géant pétrolier Aramco et se doter d’un fonds souverain de 2000 milliards de dollars (1777 milliards d’euros), le plus important au monde, dans le cadre d’un plan de réformes annoncé lundi.

Ces annonces ont été faites par le vice-prince héritier Mohammed ben Salmane qui a souligné la nécessité pour le royaume saoudien -première économie du monde arabe et premier exportateur de brut- d’en finir avec la dépendance vis-à-vis du pétrole.

Le plan, présenté par le prince Mohammed comme « une feuille de route » pour le développement du royaume durant les 15 prochaines années, est destiné à diversifier l’économie saoudienne qui dépend à plus de 70% du pétrole au moment où les prix du brut sont en chute libre depuis environ deux ans.

Initiateur du vaste plan de réformes baptisé « Vision saoudienne à l’horizon 2030 », il a défendu l’ouverture d’Aramco au capital local et étranger qui, selon lui, va assurer « la transparence » dans la gestion du géant pétrolier.

« Nous avons tous une dépendance maladive vis-à-vis du pétrole en Arabie saoudite, ce qui est dangereux. Cela a entravé le développement de plusieurs secteurs ces dernières années », a-t-il martelé, dans une allusion apparente aux critiques concernant la privatisation partielle d’Aramco.

Après Aramco, « ce sera au tour des filiales d’être introduites en Bourse », a poursuivi le prince, en tablant sur une économie saoudienne qui ne dépend « plus du pétrole mais (qui tire) ses revenus des investissements ».

Source: Oumma

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La Banque nationale du Qatar piratée

La Banque nationale du Qatar semble avoir été piratée et les données bancaires de clients prestigieux comme des membres de la famille royale al-Thani ou des ministres sont accessibles en ligne. La Banque nationale du Qatar (QNB) a un problème de fuite d’informations. Un souci qui pèse très lourd : 1,4 gigaoctet de données personnelles sur les clients du principal établissement bancaire public qatari sont visibles sur l’Internet depuis mardi 25 avril. Une fuite surtout très embarrassante pour l’établissement car elle concerne des personnalités très en vue du riche émirat.

La QNB a d’ailleurs refusé, mercredi, de confirmer la réalité de ce vol informatique évoquant officiellement des “spéculations sur les réseaux sociaux”. Mais plusieurs médias, dont France 24, ont pu consulter ces documents et des clients de l’établissement ont confirmé la véracité des informations les concernant.

Prédicateur controversé

Une partie de l’élite politique et médiatique du pays, dont des membres de la famille dirigeante al-Thani, voient ainsi certaines informations (numéro de compte, téléphone, adresse email) rendues publiques. Il en va de même pour plusieurs ministres, des personnalités du monde des affaires ou encore de hauts gradés de l’armée. La vie bancaire d’une dizaine de journalistes de la chaîne Al Jazeera est aussi mise à nu.

Mais ce ne sont pas seulement les hommes de pouvoir qataris qui ont intéressé les pirates informatiques. Ils pensent aussi avoir identifié plusieurs espions, aussi bien qataris que d’autres pays, parmi les clients de la QNB. Des comptes et informations personnelles concerneraient deux Français soupçonnés d’être des agents secrets. Un membre désigné du contre-espionnage britannique ou encore un autre des services polonais du renseignement font également partie de ce groupe. Dans la plupart des cas, les pirates informatiques ont tenté de trouver des documents connexes, comme des CV ou des liens vers les réseaux sociaux, qui attesteraient que ces personnes appartiennent bien à la communauté du renseignement.

Un homme a droit à un traitement spécial : Youssef al-Qardaoui. Les pirates ont consacré un dossier entier aux différents comptes à la QNB de ce controversé prédicateur, porte voix des Frères musulmans. Cette figure théologique influente a dû fuir l’Égypte dans les années 1960 pour trouver réfuge au Qatar, où il a été un proche de l’ancien émir. En 2014, l’Égypte a demandé et obtenu d’Interpol un mandat d’arrêt international pour incitation au meurtre, vandalisme, violence et vol.

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Combien coûte l’interdiction de conduire des femmes en Arabie saoudite ?

Pour que les femmes puissent se déplacer, les Saoudiens embauchent huit cent mille chauffeurs privés pour un coût total de près de quatre milliards de dollars par an. L’Arabie saoudite est le seul pays au monde à interdire les femmes de conduire. Et c’est probablement aussi le seul pays à avoir les moyens de payer pour que les femmes ne conduisent pas. En effet, vu que les transports en commun sont peu développés, celles qui veulent se déplacer doivent être conduites par un membre de leur famille ou avoir un chauffeur privé.

Comme le rapporte Vocativ, les familles saoudiennes emploient environ huit cent mille chauffeurs, la plupart des immigrés, pour un coût total de 3,7 milliards de dollars par an. Ces chiffres ont été calculés par un éditorialiste du journal Al-Riyadh.

Malgré le coût faramineux de cet interdit, le prince Mohammed ben Salman a réitéré cette semaine que le pays n’était pas encore prêt changer la loi. Il a expliqué qu’il ne s’agissait pas uniquement d’une question religieuse, mais surtout d’une question d’acceptance sociale. Et pour lui, la population saoudienne n’est pas encore «convaincue» que les femmes devraient conduire.

Pourtant, la situation est difficilement tenable car toutes les familles saoudiennes n’ont pas les moyens de payer des chauffeurs privés. Comme l’explique un article du Christian Science Monitor, si la plupart des femmes riches ne voient pas trop d’inconvénients à être conduites par chauffeur, l’interdiction de conduire pose de gros problèmes aux femmes des classes moyennes et populaires. Un nombre croissant d’entre elles choisissent de travailler, mais pour se déplacer, elles sont obligées de prendre des taxis, parfois à plusieurs pour réduire les coûts.

Les militantes qui défendent la levée de l’interdiction de conduire expliquent qu’environ la moitié de la population saoudienne y est opposée, tout particulièrement les riches qui ont des chauffeurs.

Source: Slate

Par La Rando

Le Roi du Maroc en visite au City Centre Bahrain‎, un mall de Manama

Mercredi 27 avril, Soufiane El Bahri a publié, sur sa page Facebook Roi du Maroc: Mohammed 6, des photos du roi Mohammed VI dans un centre commercial au Bahreïn.

Le roi, qui était en visite au City Centre Bahrain‎, un mall de Manama, la capitale du Bahreïn, s’est pris en photos avec plusieurs marocains et citoyens du Bahreïn.Comme à son habitude, le roi Mohammed VI n’a pas hésité à prendre un bain de foule, et à se prendre en photos avec ceux qui le sollicitaient.Une partie de la communauté marocaine à Manama a, en outre, attendu la visite du roi au mall pour lui réserver un accueil des plus chaleureux.Accompagné du prince Moulay Rachid, le roi Mohammed VI est arrivé lundi 25 avril en fin d’après-midi à Manama, au Bahreïn, pour « une visite de fraternité et de travail », indique l’agence MAP.

A sa descente d’avion à l’aéroport, Mohammed VI a été accueilli par le roi du Bahreïn Hamad Ben Issa Al Khalifa.

Les artères de la capitale bahreïnie ont été pavoisées de drapeaux marocains et bahreïnis et de portraits de Mohammed VI et Hamad Ben Issa Al Khalifa.

C’est la première visite officielle du souverain dans ce petit pays insulaire d’Arabie, premier des émirats du Golfe à avoir exploité l’or noir. Le roi du Bahreïn s’est, lui, rendu à deux reprises au Maroc.

Source: huffpostmaghreb

Par La Rando

Cheikh Al Thani parle du Qatar

En sa qualité de Premier ministre du Qatar, il a investi en Grande-Bretagne et est intervenu dans les Printemps arabes. Dans l’un de ses hôtels de luxe londoniens, il parle de ce qui a fonctionné ou pas. L’un des hommes les plus riches du Qatar et du monde, le cheikh Hamad ben Jassem Al Thani, a été le visage de la frénésie d’achat immobilier à Londres du petit émirat, pour le compte de sa propre famille ou celui de l’État. Quoi que vous évoquiez, il y possède une participation : One Hyde Park, où il conserve un appartement ; Harrods ; le gratte-ciel The Shard (le tesson) ; Chelsea Barracks ; Canary Wharf ; la Bourse de Londres ; les hôtels Berkeley et the Connaught. Il n’est donc pas surprenant que Fera, le restaurant étoilé au guide Michelin où nous nous rencontrons, soit le restaurant du Claridge’s, un hôtel de luxe appartenant à la famille royale du Qatar.

Cela fait trois ans que HBJ, comme il est désigné dans les milieux financiers de Londres, a démissionné de son poste de Premier ministre du Qatar, après l’abdication du cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani en faveur de son fils Tamim. HBJ était si puissant que la seule façon de régner pour le nouvel émir était que son père et le Premier ministre partent.

De 2007 à 2013, HBJ ne fut pas un Premier ministre classique. L’ancien émir disait qu’il dirigeait le pays qui appartenait à HBJ. Ministre des Affaires étrangères pendant deux décennies, poste qu’il garda quand il prit les rênes du gouvernement, HBJ était connu pour son franc-parler et pour passer sans état d’âme d’une politique à une autre. Comme Premier ministre, il profitait également de la force financière de l’État, dirigeant le Qatar Investment Authority (QIA), le fonds souverain de l’émirat, riche de 250 milliards de dollars et à l’origine de beaucoup des offres d’achat du Qatar les plus médiatisées, et se faisant des ennemis par la même occasion.

Récemment, HBJ a dû composer avec des décisions d’un genre différent. Au cœur de la crise financière de 2008, les autorités britanniques ont soumis l’investissement du Qatar dans Barclays à des enquêtes légales et criminelles, bien qu’il n’y ait eu aucun indice qu’HBJ ou le Qatar ait agi illégalement. Son nom est également apparu dans les Panama Papers, qui révèlent qu’une société offshore a géré son super-yacht de 300 millions de dollars amarré à Majorque.

Je suis dirigé vers une table vide près de la fenêtre et assuré que toute la rangée restera inoccupée durant le déjeuner. Je commande de l’eau et attends. Une silhouette haute et imposante entre quelques minutes plus tard, flanquée de deux aides qui disparaissent rapidement, et s’assoit en face de moi.

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Des blindés canadiens à l’Arabie saoudite

OTTAWA – Le gouvernement Trudeau continue de subir des pressions dans le dossier du lucratif contrat de vente d’armement militaire à l’Arabie saoudite. Selon une douzaine de groupes qui militent pour les droits de la personne, la livraison de quelque 900 blindés au régime de Riyad est «immorale et contraire à toute éthique», ont-ils écrit dans une lettre adressée au premier ministre Justin Trudeau mercredi. Lire la suite « Des blindés canadiens à l’Arabie saoudite »

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Qatar Airways souhaite racheter Royal Air Maroc

C’est désormais officiel : Qatar Airways veut prendre une solide participation dans le capital de Royal Air Maroc (RAM). « Nous envisageons de prendre 25 % à 49 % du capital de Royal Air Maroc », a déclaré le président de Qatar Airways, Akbar Al Baker, lors du salon de l’Arabian Travel Market qui se déroule à Dubaï. La rumeur bruissait depuis plusieurs mois déjà sur ce rapprochement capitalistique. Lire la suite « Qatar Airways souhaite racheter Royal Air Maroc »

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Soucis avec l’A350 pour Qatar Airways

Qatar Airways a dit avoir quelques soucis avec l’Airbus A350 et qu’elle mettait la pression sur Airbus pour résoudre les problèmes. « Nous avons quelques soucis avec l’A350 mais c’était prévisible car c’est un nouveau programme. Toutefois, nous avons le sentiment qu’Airbus peine à résoudre ces problèmes avec l’A350 », a déclaré le directeur général Akbar Al Baker, lors d’une conférence à Dubaï. Lire la suite « Soucis avec l’A350 pour Qatar Airways »