Carte des consulats à Dubaï
Cliquez et maintenez le bouton de votre souris sur la carte pour vous déplacer autour de la ville et utiliser les boutons + et – pour zoomer. Cliquez sur les icônes pour les détails.
View Larger Map
Cliquez et maintenez le bouton de votre souris sur la carte pour vous déplacer autour de la ville et utiliser les boutons + et – pour zoomer. Cliquez sur les icônes pour les détails.
View Larger Map
Plusieurs milliers de vieux taxis seront interdits sur les routes des Emirats arabes unis d’ici la fin de 2009, dans le cadre des nouvelles réglementations concernant les vieux véhicules selon le ministère de l’Intérieur. Le processus de démantèlement environ 10.826 taxis s’inscrit dans le cadre de la nouvelle réglementation, à partir du 1 Décembre, qui stipule que les taxis de plus de cinq ans ne sera pas renouvelé ou enregistrés. En chiffre: – Cela comprend 6134 sur Abu Dhabi –3676 sur Dubai –96 sur Sharjah –63 sur Fujairah –487 sur Al-Qaïwaïn –231 sur Ras Al Khaimah –139 sur Ajman.
Trente-cinq nouveaux cas de VIH / sida ont été enregistrés dans les Émirats arabes unis l’an dernier, 29 hommes et six femmes, Mohammad Obaid Humaid Al Qutami, ministre de la Santé. Al Qutami a dit que le gouvernement prend les mesures nécessaires pour enrayer la propagation du sida dans le pays et assurer un meilleur traitement. Une session de sensibilisation au sida a accueilli au Raddisson SAS Hotel, ce mardi. L’équipe Dubai au Feminin (DAF) rappelle que la Journée mondiale du sida se tiendra le 1er Décembre et cela tous les ans. Cette sensibilisation a été organisée sous le thème ‘Women, Take the Lead…Leaders, Keep the Promise: Stop Aids’. Al Lamki fait remarquer qu’un tiers des personnes touchées sont âgées de 10 à 24 ans et 50 pour cent d’entre elles sont des femmes! Conformément à la loi des EAU, les couples mariés ont l’obligation de se soumettre à un test du sida.
Condamnés à trois mois de prison pour avoir eu des relations sexuelles hors mariage sur une plage publique à Dubaï, un couple de Britanniques a finalement vu sa peine « suspendue » par une cour d’appel dubaïte. Michelle Palmer, 37 ans, et Vince Acors, 34 ans, avaient été également condamnés en première instance à une amende de 1 000 dirhams (211 euros) chacun pour consommation d’alcool. « La peine de trois mois de prison a été suspendue », a indiqué un juge de la cour d’appel en lisant le verdict. L’avocat des deux Britanniques, Hassan Matar, a précisé que la cour a maintenu l’amende contre ses clients mais que ces derniers sont libres de quitter le pays. « Il ne reste qu’à accomplir quelques procédures routinières pour cela », a précisé Me Matar, rappelant que les deux personnes étaient en liberté sous caution. Le Monde
Sheikha Lubna : « Je veux montrer que tout est possible » Ministre de l’Économie des Émirats arabes unis, présidente de l’autorité des marchés financiers d’Abu Dhabi et de Dubaï, Sheikha Lubna al-Qasimi, 49 ans, a dirigé la société Tejari. Elle fait partie des 100 femmes les plus influentes dans le monde, selon le classement « Forbes ». LE FIGARO. – Vous présidez le jury qui décerne le prix Cartier de l’initiative pour les femmes de la zone Asie. Que représente ce prix pour vous ? Sheikha LUBNA AL-QASIMI. – Dans mon ministère, nous soutenons l’installation des marques prestigieuses, des grands noms. Cartier en est un. L’impact social que peuvent avoir les entreprises me paraît aussi très important. Ce prix Cartier distingue des femmes jeunes, entrepreneurs, c’est bien. Il montre la bonne direction pour les autres entreprises et pour l’économie en général. Aux Émirats arabes unis (EAU), nous avons aussi le prix Shell qui récompense les femmes qui réussissent professionnellement. Les femmes entrepreneurs sont-elles nombreuses aux Émirats arabes unis ? La plupart des gens pensent qu’au Moyen-Orient, et dans le monde musulman, les femmes sont écartées des métiers intéressants. C’est un stéréotype. L’Islam autorise les femmes à travailler, à hériter, à se marier. Les différences entre pays arabes résultent de questions culturelles et non pas religieuses. Dans le passé, il était toutefois difficile pour certaines familles de faire faire des études à leurs filles. Le fondateur de notre pays, Cheikh Zayed, a toujours été convaincu que le fondement du développement, c’est l’éducation, y compris celle des femmes. Il a donc créé des écoles et des universités de filles, qui ont permis de les scolariser. Il y a aussi des établissements mixtes, bien sûr. Aujourd’hui, 30 % des postes à responsabilité dans l’administration sont occupés par des femmes. Presque 60 % des fonctionnaires sont des femmes. Si on regarde le monde des affaires, 30 % à 40 % des richesses sont entre les mains de femmes. 50 % des PME sont dirigées par des femmes. À l’université, elles représentent 70 % de la population étudiante. Et dans la vie politique ? La tendance a vraiment changé. Quand j’ai été nommée, en novembre 2004, j’étais la première et la seule femme au gouvernement. L’an dernier, une deuxième femme a été nommée, en charge des Affaires sociales. Cette année, pour la première fois, des femmes sont entrées au Federal National Council, notre Parlement. Avant, il n’y avait que des hommes. Pour la première fois aussi, il y a eu une élection partielle pour désigner ses membres. Une femme a été élue (les femmes ont le droit de vote depuis 2006, NDLR). Huit autres ont été nommées par les gouvernements locaux des Émirats. Elles occupent maintenant un quart des sièges. Le fait d’être une femme complique-t-il votre action au sein du gouvernement ? Ni plus ni moins que dans mes précédents postes. Je suis ingénieur, spécialiste de technologie et d’informatique. Là aussi, c’est un monde plutôt masculin. Quand je m’occupe des systèmes d’information de la Dubaï Port Authority (le port de Dubaï, NDLR), ça l’est doublement. C’était un défi pour moi. Mais j’ai constaté que ce qui compte, au final, c’est votre capacité à remplir votre mission ou pas. Les Émirats arabes unis s’efforcent de réduire la dépendance de leur économie vis-à-vis du pétrole. Où en est cette stratégie ? À Dubaï, les ressources pétrolières amènent moins de 6 % du PIB. Pour l’ensemble des Émirats, 62 % du PIB ne viennent pas du pétrole. Nous développons les services. Pour cela, il faut remplir trois conditions : avoir un savoir-faire et des gens pour l’exercer ; avoir le cadre réglementaire adéquat ; s’appuyer sur la technologie. Sur tous ces points, Dubaï est devenue une place attrayante. Pour notre diversification, il y a trois axes majeurs : le tourisme, la finance et l’immobilier. Abu Dhabi met aussi l’accent sur l’industrie, en ouvrant des zones économiques spéciales. Nous voulons également développer les PME. Le pétrole, c’est bien, mais cela ne produit pas d’emploi en soi. Notre rôle au ministère est d’aller encore plus loin et d’ouvrir d’autres opportunités. Nous attirons ainsi un tiers des investissements directs étrangers au Moyen-Orient. Cela représente 12,6 milliards de dollars. Ils s’accompagnent souvent de savoir-faire nouveaux pour nous. Vous n’êtes pas mariée. Est-ce difficile de concilier vie professionnelle et personnelle ? En fait, j’ai épousé mon métier ! Je voyage beaucoup. Je suis fière de donner de mon pays une image modérée, ouverte. Mon objectif a toujours été d’aller plus loin en tant que femme, de casser le plafond de verre, de montrer aux jeunes filles que tout est possible. Pour beaucoup d’entre elles, je suis un agent de changement. Et toutes les filles qui font changer ce pays aujourd’hui sont un peu mes enfants. Le Figaro.fr
Les femmes pourront bientôt exercer le métier de juge dans les Emirats arabes unis, en vertu d’une loi qui mettra un terme à un monopole des hommes sur la profession dans cette fédération conservatrice du Golfe, rapporte la presse locale. « Jusqu’à présent, la loi stipule que seuls les hommes musulmans peuvent exercer le métier de juge », a déclaré le ministre émirati de la Justice, Mohammad Ben Nakhira Al-Dhahiri, cité par le Gulf News, un quotidien en langue anglaise. Des femmes suivent actuellement une formation à l’Institut judiciaire pour leur permettre de devenir juge ou procureur dès que la loi aura été amendée, a-t-il précisé, sans dire quand interviendrait cet amendement. AFP
Un hommage a été rendu, jeudi à l’émirat Sharjah, à l’artiste marocaine Mme Touria Jebrane Kryatif, qui vient de remporter le prix « Sharjah » pour la création théâtrale arabe. Ce prix a été remis à Mme Touria Jebrane, ministre de la Culture, par le gouverneur de l’Emirat de Sharjah, Cheikh Soltane Bin Mohamed Kacemi, lors d’une cérémonie en présence de l’ambassadeur du Maroc aux Emirats Arabes Unis, Abdelkader Zaoui. Dans une déclaration à la MAP, Mme Jebrane a souligné que cette récompense constitue une source de fierté pour les artistes marocains, hommes et femmes, et un hommage aux théâtres marocain et arabe. Tout au long de sa carrière de dramaturge, Mme Touria Jebrane a reçu plusieurs prix et Ouissams à l’occasion de festivals nationaux, arabes et internationaux, dont notamment le Ouissam du mérite national. Elle a également été nommée Chevalier des arts et des lettres de la République française. La ministre s’était auparavant entretenue avec Cheikh Soltane Ben Mohamed Kacemi des moyens de renforcer davantage les relations de coopération culturelle entre le Maroc et les Emirats Arabes Unis, ainsi que des perspectives de la coopération bilatérale et d’un certain nombre de questions culturelles arabes. Par MAP
Le roi Hamad ben Issa Al-Khalifa de Bahreïn a nommé par décret une juive, Houda Nounou, au poste d’ambassadrice aux Etats-Unis, une première dans un pays arabe, a-t-on appris jeudi. Cette nomination à la tête de la mission diplomatique de Bahreïn aux Etats-Unis, rapportée par l’agence officielle BNA, était attendue depuis mai. Le petit archipel du Golfe ne compte que 37 juifs, pour une population totale de 530.000 Bahreïnis. « Ce n’est pas une opération de relations publiques », avait dit en mai un responsable bahreïni. « Sa nomination confirme le choix fait pour des réformes à Bahreïn, un pays qui ne fait pas de distinction entre l’homme et la femme quand il s’agit d’occuper des postes officiels et qui ne fait pas de distinction entre ses citoyens en raison de leur confession », avait souligné ce responsable. Mme Nounou est la troisième femme de Bahreïn à occuper le poste d’ambassadrice. Une membre de la famille royale, Haya Al-Khalifa, une musulmane sunnite, avait occupé ce poste à Paris et Bibi Aloui, une musulmane chiite, est depuis quelques mois ambassadrice de Bahreïn à Pékin. Mme Nounou, qui était active dans une association de droits de l’Homme, avait été nommée membre du Conseil consultatif en 2006. Elle y a remplacé son cousin Ibrahim Nounou qui a siégé dans cette assemblée de 2002 à 2006. Les Nounou constituent l’une des rares familles juives de Bahreïn, un petit royaume du Golfe qui comptait des centaines de juifs à la fin des années 1940. De nombreux juifs ont quitté Bahreïn à la suite de la création d’Israël, en 1948. Ibrahim Nounou, grand-père d’Houda, était membre du Conseil municipal de Bahreïn dans les années 1920 lorsque les autorités coloniales britanniques dosaient la formation de ce conseil en tenant compte de la composition confessionnelle et ethnique de la population de l’archipel. Le conseil comptait ainsi des représentants sunnites, chiites, juifs, chrétiens et des membres issus de populations d’origines persane et indienne qui cohabitaient en harmonie dans l’ancien comptoir perlier. (belga/7sur7)
Sheikha Maitha bint Mohammad bin Rashid Al-Maktoum, championne de taekwondo, a été désignée par le Comité national olympique des Émirats arabes unis comme porte-drapeau pour la cérémonie d’ouverture des Jeux de Pékin. Une femme représentant un pays du golfe Persique ? Une première dans l’histoire des J.O. Espérons juste que l’on n’ait pas à prononcer son nom…
Maigrir ? Lourde tâche, surtout en Arabie Saoudite. De plus en plus de Saoudiennes sont obèses et manquent d’exercice. Or les salles de sport pour les femmes du royaume se comptent sur les doigts d’une main, déplore le journaliste Osama Al-Sebaie dans ArabNews. Les rares établissements disponibles se trouvent dans des cliniques privées, et leur prix est prohibitif. Faute de salles de sport accessibles au plus grand nombre, “les seuls endroits où les femmes peuvent faire un peu d’exercice sont les trottoirs, généralement arpentés par des femmes enceintes proches de leur terme, écrit le journal de Djeddah. Mais, aujourd’hui, toutes les femmes sortent marcher dans la rue. La plupart ne sont pas enceintes, mais cherchent seulement à perdre du poids. Toutefois, la pratique de cet exercice sur les trottoirs n’est pas sans inconvénient. Il n’est pas rare de voir des hommes, à pied ou en voiture, harceler les femmes qui sortent marcher. Et puis il y a le problème des nids-de-poule, dont la traversée s’avère parfois périlleuse. Enfin, il y a la pollution. Les gens qui sortent marcher ont besoin d’air frais et de calme. L’ouverture de clubs de sport pour femmes paraît donc inévitable si nous voulons lutter sérieusement contre l’obésité dans notre société”, conclut le quotidien saoudien. courrierinternational