Par La Rando

Femmes au travail, femmes au foyer ou femmes d’expatriés

Les femmes qui travaillent

Quoi qu’encore relativement bas, le taux d’emploi des femmes a connu une nette progression au cours des deux dernières décennies, passant de 30% en 1986 à 59% en 2007 pour les ressortissants de l’UE 15 (Source : Eurostat et SPF Economie – Direction générale Statistique et Information économique). Les raisons de l’expansion de l’activité professionnelle féminine sont multiples. Le niveau de culture des femmes ainsi que le développement des médias, de l’information, « mai 68 » et le développement des idéologies féministes les ont conduites à se sentir à l’étroit dans leur foyer. Certaines femmes ont envie de travailler parce qu’elles veulent avoir un niveau de vie plus élevé. D’autres raisons comme le goût pour le travail et le désir d’indépendance des femmes font leur apparition. Une meilleure scolarité et un niveau de formation de plus en plus élevé ont amené les femmes à vouloir exploiter leurs connaissances et exprimer leur potentiel en dehors du cadre familial. Mais les femmes qui travaillent doivent tout concilier : les impératifs de leur emploi, les tâches ménagères, l’éducation de leurs enfants, les désirs de leur mari et elles ont l’obligation de se montrer contentes de leur sort car dans la situation économique d’aujourd’hui, avec un taux de chômage important, elles doivent s’estimer heureuses d’avoir un travail. Psychologiquement et physiquement, il est difficile d’assumer une telle multiplicité des rôles. Les mères sont tiraillées entre la nécessité de bien faire leur travail rémunéré et le devoir d’être présentes auprès de leurs enfants. Moins les horaires sont compatibles, plus elles s’interrogent sur la validité de leur (non) choix de travailler. Elles courent d’une tâche à l’autre et se retrouvent épuisées aussi bien physiquement que psychologiquement car il est difficile d’assumer ces objectifs contradictoires.

Les femmes au foyer

La société a aujourd’hui accepté et intégré l’image de la femme qui est active, indépendante, émancipée. Une femme qui veut rester au foyer et s’occuper de ses enfants ne correspond plus à la représentation de la femme moderne. Elle va à l’encontre de ses droits durement acquis. Elle renie ce pour quoi les femmes avant elle se sont battues. L’américaine Judith Warner, dans son livre « Mères au bord de la crise de nerf » traite de la conciliation entre vie professionnelle et vie privée et de la troisième génération de femmes issue du féminisme, redevenues « mères à temps plein», enfermées dans la « tentation de la perfection ». C’est la « maternité à l’ère de la performance ». Elle raconte comment les mères américaines (et les mères françaises se reconnaissent également dans la description) ont le sentiment de ne jamais faire assez bien. Les surenchères aux activités périscolaires, aux jeux d’éveil, aux consultations spécialisées, aux goûters d’anniversaire sont le quotidien de ces mères. Mais ce qui est surtout intéressant, c’est qu’elle explique comment au début de chaque réunion avec les mères au foyer, celles-ci se montrent enjouées et ravies d’être à la maison pour s’occuper de leurs enfants. Mais au fur et à mesure de la conversation, le discours change et les mots comme stress, épuisement, malaise, peur, obsession, culpabilité, désespoir apparaissent. Ces mères se sentent psychologiquement mal, fatiguées par la situation et surtout trahies par le discours de leurs propres mères qui leur ont fait croire qu’elles auraient une vie formidable où elles pourraient concilier carrière et vie familiale. Or, plus elles ont fait des études poussées, plus il est dur pour elles de se retrouver sans vie sociale, cantonnées à la maison comme leurs arrière-grand-mères. Le problème est que l’absence aux Etats-Unis, et l’insuffisance en France, de politique sociale et la persistance de l’inégalité des chances ne leur laissent pas la liberté de choisir véritablement de travailler. Elles sont seules et ne peuvent partager leurs conflits psychologiques. Elles surinvestissent leurs enfants, ceux-ci devenant un objet de transfert, un symbole de réussite de leur fonction de mère puisqu’elles ne peuvent plus se réaliser dans un travail rémunéré. Une femme au foyer, isolée de la société, éloignée du monde du travail, a beaucoup de difficulté à souffler. Elle tourne en rond dans les problèmes quotidiens de la tenue du foyer, de l’éducation des enfants, de ses désirs non satisfaits. Elle souhaite regagner un statut, être reconnue pour son travail à la maison, s’épanouir, mettre à profit son niveau de formation. Et pourtant, elle sait que ses enfants profitent de sa présence. Ils sont moins bousculés par des horaires parfois déments dus aux impératifs d’un travail rémunéré. Ils ne commencent pas une journée en allant à la garderie avant l’école et ne la finissent pas de la même façon avant de pouvoir enfin rentrer chez eux. Elle est tiraillée entre ses besoins à elle, les besoins de ses enfants et les contraintes de la situation économique, du temps et de la réalité sociale. Et elle sait que plus elle s’attarde au foyer, plus mince sont ses chances de retrouver un emploi car elle perd des compétences et de la crédibilité vis-à-vis des employeurs.

Les femmes d’expatriées

Beaucoup de femmes d’expatriés avec enfants ne travaillent pas. Elles ont souvent quitté leur travail pour suivre leur conjoint. En plus du déracinement, des pertes de repères, de l’éloignement, de l’adaptation à l’étranger, des difficultés de la langue, le fait de devenir femme au foyer peut être un véritable choc, d’autant plus rude si elles s’épanouissaient dans leur travail. En revanche, pour celles qui avaient du mal à tout concilier, cela peut être une chance de souffler un peu, d’avoir du temps pour ses enfants, l’occasion de reprendre ou commencer une activité comme la peinture, de faire du sport, d’apprendre une nouvelle langue, de reprendre des études, de faire du bénévolat, de s’engager dans l’école des enfants… Certains couples en profitent aussi pour agrandir la famille. Pour que l’expatriation réussisse, il faut que la femme ait elle aussi un projet personnel, qu’il soit professionnel ou non. Mais à l’étranger, cela peut être plus difficile (pas de mode de garde avant ou après l’école, horaires scolaires différents, trajets plus importants entre le domicile et l’école, pas de grands-parents ou de famille à proximité pour prendre le relais, absences du mari lors des déplacements professionnels, …) ou plus facile (coût moins élevé des baby-sitters, facilité pour embaucher du personnel de maison, bus scolaire, activités et rencontres organisées par des associations d’expatriés…). Mais même lorsque les femmes d’expatriés retrouvent un emploi et à moins que l’expatriation ne soit de courte durée et provisoire, il est tout de même difficile pour les femmes de mener à bien une carrière. Comme le souligne Jean-Luc Cerdin, professeur à l’ESSEC, expert des questions de gestion internationale des ressources humaines et auteur de S’expatrier en toute connaissance de cause (Editions Eyrolles, 2007), « Le plus souvent – même si l’inverse existe aussi – c’est la femme qui abandonne son poste pour suivre son compagnon. Mal vécue, cette situation peut mettre en danger la réussite de la mission car le collaborateur qui rentre le soir d’une journée de travail chargée va se retrouver face à une compagne insatisfaite, étouffant dans sa cage dorée. Ce cas de figure peut conduire à bien des drames personnels et/ou professionnels ». C’est pourquoi l’expatriation doit être un projet mûrement réfléchi et un choix fait à deux.

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La conférence annuelle sur les femmes dirigeantes doit se tenir aux Emirats pour la première fois

Gulf Publishing Company, société internationale d’édition et de manifestations spécialisée dans le secteur de l’énergie, a annoncé que sa conférence sur les femmes dirigeantes du monde entier dans les secteurs de l’énergie et de la technologie, qui se tient tous les ans à Houston, au Texas, sera aussi organisée aux E.A.U. pour la première fois, le 24 mai, à Jumeirah Beach Hotel, à Dubaï. Cette conférence d’une journée sur les femmes dirigeantes du monde entier, qui sera ouverte par S.A. Cheikh Ahmed bin Saeed Al-Maktoum, Président de la Direction de l’aviation civile de Dubaï, Président de Dubai Airports, Président et directeur exécutif d’Emirates Airline et Group, est le plus grand rassemblement mondial pour les femmes dirigeantes, où elles peuvent se rencontrer pour discuter des questions de direction dans l’industrie de l’énergie. « Le développement de cette conférence, en nombre et en lieux d’organisation, démontre à quel point les femmes travaillant dans le secteur de l’énergie cherchent une façon de prendre contact les unes avec les autres, mais aussi de progresser sur le plan professionnel, » selon Maggie Seeliger, Vice-présidente du développement commercial stratégique pour Gulf Publishing Company. La conférence couvrira tous les aspects d’une gestion responsable, de la sécurité énergétique à la géopolitique, en passant par l’avancement professionnel. Des questions essentielles sur les plan commercial et économique seront abordées, ainsi que des questions liées à l’industrie de l’énergie. « Je pense que les femmes n’ont pas encore réalisé tout leur potentiel dans l’industrie du pétrole et du gaz, explique Wendy Fenwick, directrice internationale du pétrole et du gaz chez Ernst ‘&’ Young. Il est impératif, notamment dans le climat économique actuel, que les femmes travaillant dans le pétrole et le gaz disposent de ce forum professionnel pour exprimer leur point de vue sur l’industrie et qu’elles aient la possibilité de travailler collectivement pour influencer les événements positivement. » Avec environ 20 intervenantes et des participantes provenant de toutes les régions liées à tous les secteurs de l’énergie, cette conférence devrait attirer environ 200 femmes de toute la région arabe. Source: Emirates News Agency, WAM

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Consultation médicale en anglais, c’est possible

Il est bien-sûr préférable de consulter un médecin/pédiatre francophone mais ce n’est pas toujours possible. Alors, pas de panique! Avec un peu de préparation, c’est moins difficile qu’on ne le pense. stethoscope.jpg Tout d’abord, préparez ce que vous voulez dire (écrivez-le si besoin) ainsi que les antécédents familiaux. Vous connaissez les questions que posent en général les médecins francophones, essayez de les traduire en anglais. Quelques exemples : – Avez-vous une assurance: do you have health insurance ? – Prenez-vous des medicaments: are you taking medication? – Avez-vous eu des operations: have you ever had any operations? – Etes-vous allergique à quelque chose: are you allergic to anything? – Quel est votre problème: what is going on/ what is wrong/ what is your problem/ why are you here? Vous allez répondre: – Je tousse/ mon enfant tousse: I am coughing/my child is coughing – Mon enfant est malade: my child feels sick – J’ai la tête qui tourne : my head is spinning – Mon enfant a : my child has – …de la fièvre : a fever – … mal à la gorge : a sore throat – … mal au ventre: a stomach ache – … un rhume : a cold – … mal à l’oreille : earache – …un bouton : a rash/spot – … la diarrhée : diarrhoea – … une douleur : a pain Medecin.jpg Vocabulaire complémentaire : – Vomir : to vomit/to throw up – Indigestion : indigestion – Démangeaison : itch – Gratter : to scratch – Frissons : shivers/chills – Mal aux dents : toothache – Malaise : faintness – Point de suture : stitch – Végétations : adenoids – Vaccin : vaccine/injection – Repos : rest – Ordonnance : prescription – 37 degrés Celsius correspond a 98,6 degres Farenheit – 40 degrés Celsius correspond a 101 degres Farenheit Quelques maladies : – Grippe : flu – Varicelle : chickenpox – Pneumonie : pneumonia – Oreillons : mumps – Rougeole : measles – Rubéole : rubella – Otite : otitis/ ear infection Consultation.jpg La posologie : – Prenez 6 gouttes trois fois par jour avant les repas : take 6 drops three times a day before meals – Cuillère a cafe : teaspoon – Cachet/comprime : tablet – Pilule : pill N’hésitez pas a faire répéter si vous n’avez pas compris ou si vous n’êtes pas sur d’avoir bien compris, c’est important.

Par La Rando

Tendances Printemps/Eté 2009

Les beaux jours arrivent ! Quelles sont les nouvelles tendances ? Les must-have incontournables ? Comment les porter ? Inspirons-nous des créations vues dans les défilés printemps-été 2009 pour mettre une touche de glamour dans notre garde-robe. Bienvenue sur la planète mode !

Heavy Metal

Si la conjoncture économique n’est pas des plus fameuses , cela n’empêche en rien les fashionistas de revêtir des atours ultra shiny. Sequins, lurex, lamé, tissus métallisés et fils d’or ont ainsi littéralement illuminés les collections printemps/été 2009… Une veste, un top ou encore un accessoire (sac, chaussures, bijoux …) apportera une touche métallique à vos basiques le jour, et une robe glitter éclairera vos soirées. Il faudra plus que jamais oser et ne pas hésiter à arborer les couleurs de l’or et de l’argent.

Teint de peau

On mise sur le Chic et le Sensuel : les tons chair, couleur de peau, mais aussi l’ivoire et les déclinaisons de beige. Chic et intemporel, on adopte sans hésiter la couleur sable. Attention à choisir de jolies matières, légères, pour éviter le style « mémère ». De la tenue de camouflage aux couleurs maquillage, il n’y a qu’un pas. Franchi il y a quelques années par John Galliano chez Dior, qui relançait dans la foulée le fameux teint nude, le pas devient tendance de fond. Et de fond de teint car c’est une avalanche de beiges et de couleurs seconde peau qui nous attend en 2009.

Expression animale

Succombez au charme prédateur du python. C’est un must ce printemps, qui pourrait vous faire paraître échappée d’un zoo si vous en portiez de pied en cap. Adoptez plutôt le python par petites touches : un bracelet, un sac à main, une ceinture, des chaussures ou alors une veste. En conclusion, ce qu’il faut savoir sur le python, c’est qu’il n’y a qu’un pas entre l’alibi « mode » et l’effet « pouffe». Donc ça se porte façon « rock-chic », le teint pâle et la dégaine androgynesupercool, sinon on laisse tomber. Parez vous de plumes dans un style indien. Parmi les nombreuses tendances de la saison, le look indien fait son grand show ! Plumes et tuniques indiennes seront à adopter si vous voulez être dans la tendance ethnique du moment. Ce look fera de vous une femme unique, à la mode et terriblement chic. Les couleurs à adopter pour ce look ? Le beige, le blanc et le bleu. Cette tendance n’est pas flashy. La tendance indienne joue plutôt avec les imprimés géométriques et les matières naturelles. Le lin, le coton sont donc à l’honneur pour célébrer le retour des indiennes en ville. Les accessoires ne seront pas à négliger si vous voulez être à la pointe de la tendance indienne. Les cheveux se pareront de plumes discrètes mais présentes, ou de petites perles en bois. Bien évidemment les long colliers ethniques et les larges bracelets seront à adopter de toute urgence. Le bois sera alors votre bijou fétiche. Discret et naturel, il soulignera votre allure d’indienne des villes. Les détails à retenir : énormément de franges sur les chaussures, les sacs et même les gilets ou les robes), des bijoux plumes (boucles d’oreilles, sautoirs et dream-catcher), des broderies de perles indiennes (blanc, turquoise, rouge, marron), du cuir et du daim dans des tons naturels, fin bandeaux en travers du front, tuniques…

Graphique Black & White

Le célèbre duo revient en force sur les podiums pour notre plus grand plaisir : le noir et blanc, toujours aussi féminin et chic dans un esprit graphique et très couture. Craquez pour des ensembles comme le tailleur pantalon blanc avec un top noir ou la robe noire avec une grosse ceinture blanche. Une grande tendance de l’été est de jouer les contrastes en noir et blanc avec des imprimés forts le plus souvent géométriques. La règle d’or de ce look : toujours alterner le noir et le blanc. Graphique.bmp

Zeste d’orange

Les podiums de l’hiver nous ont prouvé l’engouement pour la couleur vitamine C. L’acte 2 se jouera cette saison printemps/été 2009 dans une version plus sanguine que citrouille. Autre bonne nouvelle : l’image ringarde du sous-pull orange 70s disparaît définitivement au profit de silhouettes hyperallurées, fluides, nerveuses ou arty. En un mot, modernes. La tendance mode que l’on portera sera donc : le orange éclatant. Cette couleur a la qualité de dynamiser votre style. On peut aussi la porter en touches avec du sable (autre couleur tendance) ou du noir.

Combinaison gagnante

Loin de la combi années 80 en coton basique, on vogue pour l’été 2009 entre la combi ultra chic en satin et la combi so sexy en passant par les imprimés seventies… Comment porte-t-on la combinaison version 2009 ? On n’hésite pas à l’associer à des talons vertigineux et une pochette de couleur flashy si la combi est noire, dorée si la combi est colorée. On pensait en avoir fini avec les combinaisons d’aviateur et autres panoplies de mécano. Raté ! Voici qu’elles redébarquent avec, en renfort, un régiment de jumpsuits et de combipantalons, parfois asymétriques. Difficile de savoir si la rue sera séduite par ce vêtement hybride, pas toujours flatteur pour la silhouette. Mais la tendance étant là, à vous de l’adapter.

Troublante légèreté

Après la grosse maille de l’hiver, il semble que nos amis les créateurs aient eu envie d’extrême légèreté… La mousseline s’est donc imposé et avec elle un certain manque d’opacité… On devine, on voit parfois … Évidemment, pas question pour nous de jouer les audacieuses en adoptant la tendance au mot : le bon réflexe mode : jouer la transparence et les superpositions. On retient le top, la robe et le chemisier, les pièces les plus faciles à porter. Pour le premier, on mise sur l’esprit vieille lingerie qu’on détourne et qu’on n’hésite pas à additionner. Pour le chemisier, déjà plus sophistiqué, on choisira par exemple un modèle un poil strict et rétro (avec plastron, volants, manches gigot…) qu’on porte un peu blousant, rentré dans une jupe taille haute ou un short court et des spartiates. Enfin rayon robe, on s’oriente vers un modèle à volants, qui multiplie les étages de voile ou de tulle et suggère sans jamais vraiment montrer. Peut-être pour adoucir l’aspect potentiellement pouffirisant de l’impudeur, on mise sur des couleurs chics et sages (blanc, pastel) et au soir, on réserve le noir, plus sexy. Le transparent d’accord mais l’attentat à la pudeur, no way. On garde notre dignité et on opte pour un look sophistiqué et bien pensé : là, l’accumulation de couches est de mise (un peu transparent + un peu transparent = plus vraiment transparent) et les basiques entrent en action. On pense : caraco ton sur ton, lingerie seconde peau et même leggins pour les plus farouches. La transparence – en tout cas cet été – se porte ample et vaporeuse. On l’aime aérienne, flottante dans le vent et surtout pas moulante.

Trip tribal

Femmes sauvages fatales réjouissez vous, les boubous et autres tissus tropicaux ainsi que les formes façon djellaba refont leur apparition dans la tendance, mais attention ils se portent ultra glam façon James Bond Girl. Les broderies, perles, et autres détails précieux sont de sortie ! Le métissage ethnique, en mode aussi, on aime, car cette tendance s’inspire de contrées lointaines. La mode nous fait alors voyager au cœur des influences ethniques, tribales et orientales. Pour les addicts de motifs hippies, de couleurs sud-américaines, de broderies indiennes ou encore de notes orientales. Dans le style métissage, parmi les sarouels, robes longues et tuniques ethniques, vous trouverez des accessoires en cuir ou en raphia avec de nombreux détails tantôt bruts ou raffinés.

Pantalons

Sarouel et pantalon de harem Coupe ample et tissu léger, le sarouel et le pantalon de harem sont confortables et parfaits pour l’été, la plage et les grosses chaleurs. Le pantalon de harem est la version longue du sarouel, pour les plus frileuses il couvre entièrement la jambe et se resserre à la cheville. Option n°1, le pantalon dit «harem» : Vu sur les podiums, un peu moins dans les collections de prêt-à-consommer, il est très ample, monté sur une ceinture large et resserré autour des chevilles sur une hauteur allant de 1 à 20 cm – comme dans Aladin, oui. On le porte avec des sandales et un marcel décontracté, la cheville haute plutôt que retombant sur le pied (mode vs baba) et par exemple, dans un mélange de coton/soie, pour un effet pur, chic, fluide et léger. Option n°2, le sarouel : Les choses se corsent… S’il lui ressemble, le sarouel paraît beaucoup moins «facile» que le pantalon harem, en cause la hauteur de sa fourche qui nous fait une silhouette pour le moins… déroutante. Il a pourtant un effet relativement allongeant (du buste oui) et porté avec des talons hauts (gladiator, escarpins ou boots peep toe), c’est l’un des looks phare de l’été. On le choisi en jersey ou coton, faisant de jolis drapés et porté avec du court en haut, pour éviter de déséquilibrer la silhouette. Le sarouel sera sophistiqué ou ne sera pas (en clair, évitons les converses à talon, les sweats zippés motif étoiles fluos, les t-shirt « don’t touch » et l’abondance de bijoux inappropriés : chaîne de taille, bague de pied, bracelet à la cheville et ras de cou) au profit de tops en soie blousant, coupes glamour et petite veste militaire ou perfecto. Jean bleach et boyfriend Le jean bleach Mais attention le jean bleach est presque blanc, tellement délavé qu’il en est usé. Surtout pas de jean à moitié bleach au centre et marine au bord, le jean 2009 est uniforme et très pâle. Il peut se porter en version baggy, slim ou short. Quoi qu’il en soit il vous faudra votre pièce bleach pour passer l’été. Un seul mot d’ordre : l’aspect Destroy. Le denim est passé à l’acide : il est éclairci à la javel dans des effets de taches régulières (aspect nuageux) ou ultra washé (aspect presque blanc ou «bleach»). Si on n’est pas fan des blanchiments aux produits ménagers, on peut opter pour l’autre aspect destroy du moment : les déchirures, les trous, les fils qui pendent. L’un et l’autre étant (c’est un must) combinable dans un jean délavé ET déchiré, de préférence droit et à porter avec une petite veste d’homme et des boots à talons hauts. Le jean boyfriend Le «boyfriend», c’est quoi ? En gros, c’est le jean de notre mec (ou pour les célibs, du frangin ou du meilleur pote). Il est (trop) grand, défraîchi, délavé, destroy, voire troué ! La bonne idée : fouiller dans les placards de la famille… C’est sûr, on en trouvera un ! La touche finale : Il faut le retrousser, c’est la règle ! La vraie nouveauté qu’il faudra se procurer, c’est le boypant : une coupe de garçon, qui tombe sur les hanches et qu’on porte cassant, esprit baggy, ou rouloté, comme Katie.

Par La Rando

La Saint Valentin

Un peu d’histoire…

L’origine de la fête de la Saint-Valentin est assez mal connue. Il semblerait qu’elle remonte à l’Antiquité. Saint-Valentin était un prêtre vivant sous le règne de l’Empereur Claude II (IIIème S. apr-JC). A cette époque, Rome était engagée dans des campagnes militaires sanglantes et impopulaires. Claude II, surnommé Claude le Cruel, ayant des difficultés à recruter des soldats pour rejoindre ses légions, décida d’interdire le mariage pensant que la raison pour laquelle les romains refusaient de combattre était leur attachement à leurs femmes et foyers respectifs. Malgré les ordres de l’Empereur, Saint-Valentin continua pourtant de célébrer des mariages. Lorsque Claude II apprit l’existence de ces mariages secrets, il fit emprisonner Valentin. C’est pendant son séjour en prison que Valentin fit la connaissance de la fille de son geôlier, une jeune fille aveugle à qui, dit-on, il redonna la vue et adressa une lettre, avant d’être décapité, signé « Ton Valentin « . Une autre origine de la Saint-Valentin, remonte au Moyen-Age. On dit en effet qu’à cette époque une croyance se répandit en France et en Angleterre selon laquelle la saison des amours chez les oiseaux débutait le 14 février et que, prenant exemple sur eux, les hommes trouvèrent ce jour propice à la déclaration amoureuse. C’est ainsi que depuis, à la Saint Valentin, chaque Valentin cherche sa Valentine pour mieux roucouler au printemps.

Quelques adresses de restaurants romantiques sur Dubai pour fêter la Saint Valentin

Bahri Bar – Mina A’ Salam – Madinat Jumeirah, Jumeirah, Dubai – Tel : 04 366 6730 – Heures d’ouvertures : Samedi au jeudi 13h00 a 3h00 et vendredi 16h00 a 3h00 – Prix :50 – 200 Dhs Le Classique (Spécialités françaises) – Emirates Golf Club – Sheikh Zayed Road, Dubai – Tel : 04 380 2222 – Heures d’ouvertures : 12h00 a 15h et 19h00 a 22h30 tous les jours – Prix : 350 – 500 Dhs Medzo (Spécialités italiennes) – Wafi Pyramids – Oud Metha, Dubai – Tel : 04 324 0000 – Heures d’ouvertures :12h30 a 15h et 19h30 a 23h30 tous les jours – Prix : 350 – 500 Dhs The Dhow (Spécialités de la mer) – Le Meridien Mina Seyahi Beach Resort & Marina – Dubai Marina, Dubai – Tel : 04 399 3333 – Heures d’ouvertures : 17h00 – 01h00 tous les jours – Prix : 350 – 500 Dhs White Orchid (Spécialités asiatiques) – Jebel Ali Hotel – Jebel Ali, Dubai – Tel : 04 804 8604 – Heures d’ouvertures : Lundi au samedi 19h00 – 23h00 – Prix : 350 – 500 Dhs

Par La Rando

Tajine de souris d’agneau confites

Savourez cette tendre viande, pour une recette de 4 personnes. Les ingrédients: 60grammes de pignons 2 oignons 4 carottes 4 gousses d’ail 1 bâton de cannelle 1 piment sec 4 souris d’agneau Huile d’olive 50 grammes de raisins secs blonds 1 brin de thym 1 orange 1 grenade Feuilles de coriandre Tout d’abord, faites griller les 60grammes de pignons dans une poêle à sec,mettez-les ensuite de côté. Emincez 2 oignons, pelez et taillez 4 carottes en dés. Epluchez 4 gousses d’ail.Concassez 1 bâton de cannelle.Hachez grossièrement 1 piment sec et retirez les graines. Prenez une cocotte, à feu vif, faites colorer de tous côtés les 4 souris d’agneau dans deux cuillères à soupe d’huile d’olive . Ajoutez 50 grammes de raisins secs blonds, l’ail, lacanelle, lepiment, les oignons, les carottes et 1 brun de thym. Salez et poivrez .Mouillez avec le jus d’une orange et 15cl d’eau. Couvrez la cocotte et mijotez 2h00 à feu très doux. Avant de servir, ajoutez les pignons et les graines d’une grenade, puis parsemez de feuilles de coriandre. Vous n’avez plus qu’à accompagner le tout par de la semoule.

Par La Rando

Patinage avec Eva aux Emirats

Ma passion pour le patinage remonte à bien longtemps. Née en France, à Lyon, j’ai commencée ma carrière de patineuse des l’âge de 5 ans. Championne lyonnaise cadet, juniors et puis seniors j’ai poursuivi mes études en parallèle avec les entrainements. Pour devenir professeur j’ai obtenu les deux médailles d’argent libres et imposées nécessaires afin d’en obtenir le diplôme national. J’ai poursuivi l’enseignement en tant que professeur en Suisse à Meyrin dans la même patinoire de la légendaire « Denise Biellmann » la fameuse « pirouette ». Le pas suivant vers l’Italie pour créer ma propre école de patinage à Novara (au sud de Turin), à comble mes expériences multiples et les résultats obtenus par mes élèves m’ont apportée de grandes satisfactions. Les stages professionnels à l’étranger, et les collaborations avec mes collègues internationaux m’ont aidé à évoluer et à aimer toujours plus ce sport spectacle si difficile mais o combien magnifique et envoutant. C’est en fondant une famille que j’ai du abandonner momentanément ce sport et suivre mon compagnon dans les émirats. Aujourd’hui je retrouve avec vous toute cette passion en vous proposant mes conseils et mon expérience pour vous guidez dans l’achat de chaussures de patinage et de lames adaptées aux exigences de chacun pour correspondre a votre niveau de patinage. Oui, car choisir des patins ce n’est pas comme acheter une simple paire de baskets, il faut connaitre la dureté exacte pour chaque niveau de patinage et avoir les lames adéquates qui sont évidemment a la base de votre soutien sur la glace. Grace a mes connaissances et a des partenaires de pointe tels que Bohner a Innsbruck, un grand expert de l’affutage et du montage des lames, nous pouvons vous proposez trois marques mondialement connues. Leur arrivée est une première dans les émirats et je serai à votre disposition pour un conseil personnel afin de tenter de répondre à toutes vos exigences… Eva Son E-Mail: eva (at) eva-on-ice.com Son site internet: EVA-ON-ICE

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Le 2 fevrier, pensez a la Chandeleur

Origine et traditions

Qu’est-ce que la chandeleur ? Fêtée chaque année le 2 février, 40 ème jour après Noël, la Chandeleur ou plutôt « chandelle » tire son origine du latin Festa Candelarum ou fête des chandelles d’après une coutume constituant à allumer des cierges à minuit en symbole de purification. Pourquoi mange-t-on des crêpes a la Chandeleur ? Aujourd’hui, on connaît surtout la Chandeleur car c’est le jour des crêpes. On raconte que le pape Gélase Ier faisait distribuer des crêpes aux pèlerins qui arrivaient à Rome. On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque solaire, évoquant le retour du printemps après l’hiver sombre et froid. Une fête riche en traditions Il existe encore de nos jours toute une symbolique liée à la confection des crêpes. Il est ainsi recommandé de faire sauter les crêpes de la main droite en tenant une pièce d’or dans la main gauche afin de connaître la prospérité pendant toute l’année.

Recette de Pâte à crêpes vanillée

chandeleur_gd-2.jpg Ingrédients : – 250 grammes de farine – 1 cuillère à soupe de sucre semoule – 2 sachets de sucre vanillé – 1 pincée de sel – 1/2 litre de lait – 3 œufs – 3 cuillères à soupe d’huile Mélanger la farine avec le sucre semoule, le sucre vanillé et le sel. Faire un puits au centre et incorporer 1/4 de litre de lait puis les trois œufs préalablement battus à la fourchette dans un bol, et l’huile. Bien mélanger, puis ajouter à nouveau 1/4 de litre de lait. La pâte à crêpe est prête!

Par La Rando

Petit guide des basiques de mode ou comment acheter malin pendant les soldes ou une virée shopping : Chapitre 1 Les tops et les hauts

Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres ! tops.jpg

Les indispensables

Le tee-shirt à manches courtes ou à manches longues : multi-usages – Le marcel : un come-back branché – Le pull col en V : il va à tout le monde – Le Caraco en soie : irrésistible l’été, sous un pull ou une veste l’hiver – La chemise blanche : une mine de possibles – Le twin-set : à porter avec ou sans le gilet Pull_col_en_V.jpg

Et si il reste encore de la place dans le placard …

Le pull col roulé : surtout si je suis plutôt mince – Le cache-cœur : qui réchauffe avec un brin de romantisme – Le gros pull irlandais : pour la touche cosy – Le chemisier à lavallières : so chic – Tous les autres qui me plaisent et vont me permettre de changer de silhouette sans avoir à renouveler tout mon placard : la blouse folklorique, la tunique ethnique, la marinière, le chemisier victorien, le sweat-shirt, le gilet acidulé … Pull_col_roule.jpg

Attention aux pièges

Le soutien-gorge mal adapté : soit parce qu’il est rembourré et que ça fait complètement artificiel sous un top fin, soit parce qu’il est blanc et qu’on ne voit que ça sous le T-shirt. La solution ? Le naturel, avec un bonnet d’une taille à peu près réaliste et une couleur chair qui se fond sur la peau. – Les T-shirts rétrécis, les brassières ou les mini-gilets ne vont qu’aux filles ultra-menues, et menacent les «normales» de pouffe attitude. J’évite donc de m’habiller au rayon ados ou de vouloir absolument rentrer dans un 36. Et je montre mon nombril avec parcimonie ! – A l’inverse, j’évite de cacher mes rondeurs dans un grand pull informe : ça ne fera qu’accentuer l’effet Bibendum. Dans le même ordre d’idée, les grosses poitrines doivent fuir les cols ras du cou et les cols roulés qui ne font qu’ajouter en volume. Vive les cols en V et les cardigans pour tout le monde ! – Attention au top bouffant (par exemple, une blouse roumaine) porté avec une jupe ample ou un pantalon large. Même la brindille passerait pour une grosse fermière ! Il faut contre-balancer les proportions : un haut ample avec un bas ajusté, ou l’inverse. – Les T-shirts cintrés sont rarement à rentrer dans la jupe ou le pantalon : à moins d’étrangler la taille dans une grosse ceinture, ils risquent d’ajouter de l’épaisseur. En revanche, pas question de laisser pendouiller un chemisier trop long. La chemise blanche est plus facile à manier : dedans, dehors, nouée sur le creux du ventre, elle se prête à toutes les interprétations. Blouse.jpg

Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …

Passé 18 ans, non au T-shirts à messages vulgaires ou bébêtes ! Si message il y a, celui-ci doit être un minimum féminin ou glamour. Et au-delà des premières rides, mieux vaut miser sur le fait que c’est mon expérience et ma maturité qui parlent – pas mon T-shirt ! – On n’a pas tous les jours 20 ans : A cet âge, on a droit à toutes les expériences. Même les erreurs peuvent donner des résultats étonnants ! Donc, on oublie les basiques (qui seront de précieux alliés, mais plus tard) et on ose les chemisiers déstructurés, les T-shirts rock n’ roll et autres hauts effilochés. – Les tops sans manches sont à bannir au-delà d’un certain âge : quand le haut de bras devient moins ferme – pas flatteur pour l’égo, mais mieux vaut que ce soit moi qui en prenne conscience plutôt le reste de la planète. Les remèdes sont légion : les manches trois- quart, le twin-set, la veste ou le châle par-dessus … – De même, j’évite le décolleté profond si celui-ci n’est pas parfait ou alors je glisse un joli foulard dedans. Sinon, un col en V pas trop plongeant me suffit. Chemise_blanche.jpg

Placard ou poubelle ?

Poubelle Je l’adore … … mais les tâches de sueur sous les bras ne veulent pas partir. Je l’ai mis plein de fois … … c’est pour ça qu’il bouloche ? Il est confortable … … on pourrait en glisser trois comme moi dedans. La couleur est originale … … c’est sûrement pour ça qu’elle ne me va pas. Il est sexy … … il n’est pas trop petit ? C’est de la pure laine vierge … … aïe, aïe, aïe, qu’est-ce qu’il gratte ! Placard Il est démodé … … toutes les modes reviennent un jour ou l’autre. Il est transparent … … et le débardeur en dessous, j’y ai pensé ? J’en ai plein d’autres … … génial, je vais pouvoir tester des tas de superpositions. Les cols ras du cou, c’est niet … … un coup de ciseaux, et c’est un col en V. Un top à paillettes ? Je ne sors jamais … … et alors ? Pas la peine de passer sa vie en boîte pour briller de mille feux. Ma copine vient d’acheter le même … … c’est elle qu’il faut mettre à la poubelle ! Blouse_satin.jpg

Par La Rando

Petit guide des basiques de mode ou comment acheter malin pendant les soldes ou une virée shopping : Chapitre 2 Les pantalons

Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres ! pantalons.jpg

Les indispensables

Le pantalon noir : qu’il soit large ou cigarette, incontournable ! – Le treillis : devenu un basique – Le pantalon en tweed : pour changer un peu – Le pantalon large : avec ou sans revers, toujours flatteur – Le jean : essentiel intemporel dont la coupe doit être adaptée à notre morphologie jean_taille_basse.jpg

Et si il reste encore de la place dans le placard …

Le pantalon à rayures banquier :surtout pétillant l’été, dans un tissu léger – Le pantalon velours milleraies : se porte comme un jean – Le pantalon de smoking : totalement mésestimé – Le pantacourt : à manier avec précaution cependant velours_milleraies.jpg

Attention aux pièges

Le plus répandu : les contours de la culotte qui se voit sous un pantalon moulant ! Recours obligatoire : le string qui ne fait pas de marques. Et si j’ai horreur de ça, je me rabats sur des pantalons avec moins de stretch, mais toujours bien ajustés sur le derrière. Ou alors je pars en quête d’une culotte à coutures plates invisibles. – Il y a des pantalons auxquels il faut tout bonnement interdire l’accès à son placard : le caleçon long (ou leggins) qui n’est beau que sur une silhouette de mannequin et fait passer n’importe quelle autre fille pour un petit tonneau ; le fuseau qui a eu son heure de gloire dans les années 1980 alors qu’il transforme la jambe en un cône pas très appétissant ; et le pantalon à pinces qui nous fait des grosses fesses à toutes sans exception. – Pas de soucis pour l’uni. Mais je réfléchis à deux fois quant aux imprimés : Faciles, les rayures banquier, même rouges sur fond écru, elles peuvent être charmantes. Pour les carreaux, j’essaie d’imaginer ma grand-mère avec : si je trouve que ça lui va bien … alors je passe mon chemin. Car même en les associant à un top ultra-glamour, ça me rajoutera toujours dix ans. Il y a un cas pour lequel je n’hésite pas : les inscriptions sur les fesses, c’est in-ter-dit ! – Taille haute ou taille basse ? Vaste débat. La taille haute fait, au mieux, vieillot, et au pire, boudiné, sur la plupart des filles. Seules les très grandes et très minces en réchappent. La taille basse a l’avantage de couper en deux le derrière et de le faire paraître moins volumineux. Mais un petit bourrelet qui dépasse, et c’est raté. La solution ? Le cas par cas. Prévoir du temps en cabine pour essayer tous les modèles ! – Une erreur de jugement ultra-fréquente : acheter un pantalon en prévision des cinq kilos que l’on a prévu de perdre. Non ! Je choisis un pantalon pour être fabuleuse maintenant, pas dans trois mois. Car qui sait si je vais maigrir plutôt du ventre, des hanches ou des cuisses ? Et puis qui sait si je ne suis pas sublime avec mes courbes, à condition de choisir le modèles qui les mettra en valeur ? pantalon_large.jpg

Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …

Une fois soufflé la bougie de mon trentième anniversaire, je renonce définitivement au treillis plein de poches, de zips et de patchs. L’arrêt du baggy ultra-taille basse n’est pas loin non plus, et d’une manière générale de tout ce qui est le privilège des vrais «djeun’s». – Arrivée à la cinquantaine, plus le pantalon est simple, mieux c’est : des lignes fluides pas trop moulantes, des belles matières, des teintes en sourdine, avec en haut une blouse à lavallières ou un chemisier en mousseline. Pour un peu plus de fantaisie, j’essaie le pantalon de marin : sa jambe large est là pour flatter ma silhouette, tandis que ses boutons personnalisent mon style. – Et je n’ai pas de complexe à aller m’acheter … une gaine. Pourquoi seules nos grands-mères auraient-elles le droit de profiter de son effet lifting pour le corps ? Avec, je peux porter des pantalons droits sans avoir à rentrer le ventre ! – Ce qui risque en revanche de me faire passer illico dans le camp «mémère» : le tailleur trop trop strict, genre pied-de-poule des pieds à la tête. La solution ? : Dissocier le bas du haut (par exemple, remplacer la veste par un twin-set ou un chemisier seul) pour un coup de jeune immédiat. – Quelque soit l’âge, le pantacourt peut donner des allures de petite fille attardée. A 20 ans, je peux encore m’amuser à lui associer ballerines et marinière façon Audrey Hepburn : candide, mais pas neuneu. A 50 ans, mieux vaut oser les mules à talons et le haut de chemisier déboutonné, façon Marilyn. Dans tous les cas, j’évite de lui associer le rose layette, les fleufleurs ou les T-shirts Hello Kitty ! pantacourt_2.jpg

Placard ou poubelle ?

Poubelle Je si bien dedans … … bonjour le popotin XXL. Celui-là me fait des fesses d’enfer … … dommage qu’il lui manque 5 cm de jambe. J’ai besoin d’un pantalon noir … … pas s’il me boudine les hanches. Un treillis pour le week-end … … en jaune fluo, c’est moche même le dimanche. J’aime les rayures façon banquier … … mais pas des bandes façon Bozo-le-clown ! Placard Je le traine depuis 10 ans … … et alors, s’il me va ? Il fait trop relax … … pas si je le «glamourise» un peu. Il me tombe sur les hanches … … et si je le ceinturais d’une bande de soie ? Il n’a pas de poches, ce n’est pas pratique … … je mets mon mini-sac en bandoulière. La fermeture Éclair est cassée … … hop, chez le couturier ! Pantalon_1.jpg