Outdoor sports activities are becoming more and more popular in Iran especially since there is so much wonderful nature to take advantage of. Rock climbing is one of these activities that can be practiced and perfected indoors before going out to climb rocks outdoors. The individual climbers challenge themselves and inspire us to do the same. Lire la suite « Escalade en Iran »
Grimper dans un silo ou sur un barrage. Sur de la glace en indoor ou sur un mur extérieur de près de 35m. Voici en images les 9 murs les plus fous du monde, en commençant par ce silo à grains de 20m dans l’Illinois, aux Etats-Unis.
2. Sur une structure de près de 36m de haut avec un surplomb de 10m ?
3. Sur un barrage de près de 160m de haut à Blenio en Suisse ?
4. Sur la glace en indoor dans la salle Ice Factor à Kinlochleven en Ecosse ?
5. Sur un mur design à Tokyo ?
6. Sur un silo reconverti en cascade de glace à Cedar Falls dans l’Iowa (US) ?
7. Sur des murs aussi ludiques à la salle Extreme Edge à Auckland (NZ) ?
8. Dans une cathédrale à Manchester (GBR) ?
9. Au-dessus de l’eau sans baudrier (bon c’est la question bonus, le deep water solo est à la mode) ?
Tout d’abord, c’est quoi l’escalade ? C’est une activité dans laquelle les participants grimpent à travers des parois rocheuses naturelles ou artificielles. L’objectif est d’atteindre le sommet sans tomber, bien entendu :). Les grimpeurs et grimpeuses utilisent des voies avec ou sans aide de matériel d’escalade. On appelle aussi cette discipline « grimpe » ou « varappe ». L’escalade est un sport physiquement et mentalement exigeant, qui teste souvent la force, Lire la suite « Conseils de sécurité en Escalade »
C’est en Norvège que ça se passe! L’escalade glaciaire, est une discipline dérivée de l’escalade. Elle consiste à grimper à l’aide de piolets-traction et de crampons à pointes-avant le long de formations glaciaires, comme des couloirs et goulotte de glace (éventuellement des séracs) en haute montagne ou Lire la suite « Escalade du Litldalen en Norvège »
Le weekend des 18 et 19 avril avaient lieu les Championnats de France jeunes de bloc à Poses. La relève du bloc était bien présente avec des jeunes plus impressionnants les uns que les autres.
Pour revivre cet évènement, voici la vidéo résumée de l’évènement.
Pieds et mains agrippés à la paroi rocheuse, Salwa progresse sous les encouragements de ses camarades au pied de monts escarpés en Cisjordanie occupée, où l’escalade fait des débuts prometteurs.
Après quelques efforts, cette Palestinienne de 23 ans arrache son premier certificat: la voilà grimpeuse « expérimentée », au bout de trois journées passées à gravir les rochers du village de Yabroud, à une trentaine de kilomètres de Jérusalem où elle vit.
« L’escalade m’a beaucoup appris », lance la jeune femme, son visage rayonnant entouré d’un voile gris. « Cela m’a appris à ne jamais abandonner, à me dépasser, à me servir de ma force mentale pour continuer à grimper et pour aller au-delà de la souffrance physique et atteindre le sommet », dit-elle encore à l’AFP.
« Ca fait vraiment peur », renchérit Omar Abou Ara, 22 ans, venu de Jénine dans le nord de la Cisjordanie occupée. « Il faut se forcer un peu au début. Mais c’est l’occasion de réaliser quelque chose qui n’a jamais été fait dans ce pays », dit-il, enthousiaste.
Comme des dizaines d’autres Palestiniens, Salwa et Omar ont pu découvrir l’escalade grâce au pari un peu fou de deux jeunes Américains bien décidés à faire partager leur amour pour ce sport.
Will Harris et Timothy Bruns, âgés de 23 ans, sont venus des Etats-Unis avec un objectif: « créer une communauté de grimpeurs en Palestine », où « il y a un énorme potentiel pour de l’escalade en plein air » et où « les loisirs et les événements manquent cruellement ». L’idée, expliquent-ils, était de cibler les jeunes en premier.
– Chaque pierre peut être disputée –
Les deux Américains ont commencé à ouvrir des voies et planter des pitons aux alentours de Ramallah. Une fois les parcours balisés, ils ont lancé « Wadi Climbing » et commencé à faire grimper des Palestiniens et quelques expatriés.
Mais innover dans les Territoires palestiniens n’est pas chose aisée. Car chaque pierre peut être disputée, tout particulièrement en Cisjordanie où la colonisation va galopante.
« Nous sommes cantonnés à certaines zones », explique Timothy en détaillant le casse-tête de l’endroit parfait: il faut que les grimpeurs palestiniens y aient accès, qu’il soit situé hors des territoires grignotés par les colonies et qu’il n’entre pas dans les zones désignées comme parcs naturels par Israël.
Parce que personne n’était parvenu à se plier à toutes ces exigences, « les seules zones d’escalade qui existaient jusqu’ici en Cisjordanie n’étaient utilisées que par les Israéliens », ajoute-t-il.
« Wadi Climbing » a donc pris ses quartiers « près de villages palestiniens, dans la zone B », les 22% de la Cisjordanie sous contrôle militaire israélien mais sur lesquels l’Autorité palestinienne conserve la gestion administrative.
– Loisir abordable –
Le bouche-à-oreille a bien fonctionné. « En quatre mois, 270 personnes sont venues et elles ont toutes adoré », assure Timothy.
Il y a deux ans, lui et Will ont vécu en Jordanie, où ils ont étudié l’arabe qu’ils utilisent, mêlés à des mots d’anglais, avec leurs grimpeurs en herbe. Là-bas, disent-ils, les prix rédhibitoires faisaient de l’escalade un petit club fermé pour riches.
Alors ils ont voulu créer un loisir abordable: « Wadi Climbing » est financé par des sponsors privés américains, palestiniens et internationaux, et chaque journée coûte 60 shekels (environ 14 euros), location des chaussons incluse.
Rami Zoughayar, 27 ans, reviendra. Pourtant, quand sa s?ur a escaladé ici la première fois, ce jeune homme à la tignasse bouclée a pensé que c’était « encore un truc stupide ». « Mais après, j’ai vu les photos où elle grimpait à 15 ou 20 mètres de haut et je me suis dit: « la prochaine fois, j’y vais aussi! » », raconte-t-il.
Après sa première expérience, Nadine Abou Remeileh, 23 ans, ne cache pas son enthousiasme. « Quand j’ai vu le mur, je me suis dit « comment est-ce que je vais escalader ça? » et finalement, j’ai posé un pied, puis l’autre et je me suis retrouvée tout en haut », raconte-t-elle fièrement.
La « communauté des grimpeurs » s’agrandissant un peu plus à chaque sortie, Timothy et Will veulent maintenant passer à l’étape suivante: ouvrir une salle d’escalade à Ramallah.
En route pour de nouvelles aventures en Inde. Nous allons suivre les Athlètes de Red Bull et le grimpeur expérimenté Kilian Fischhuber qui allé descendu en Inde pour explorer les nouveaux et les anciens itinéraires à Badami & Hampi, avec grimpeur indien Tuhin Satarkar. L’Inde est une destination prisée pour son mélange subtil de traditions et de modernité. Entre les paysages grandioses de l’Himalaya, les magnifiques palais des maharajahs et les édifices religieux majestueux, l’Inde vous garantit un séjour inoubliable.
Will Gadd s’est rendu sur les sommets du Kilimandjaro pour escalader des glaciers vraiment exceptionnels. Découvrez son récit.
Si faire de l’escalade de glace n’est déjà pas facile, imaginez la difficulté de le faire à presque 6 000 mètres d’altitudes. Will Gadd, s’est rendu au sommet de l’Afrique, sur le Kilimandjaro, à la recherche de ces glaciers en voie de disparition.
En effet, ces glaces sint présentes depuis 12 000 ans et d’ici 2020, ces glaces auront totalement disparues. Avant lui, Reinhold Messner avait escaladé quelques parcelles de glaces en 1978. Il s’agit donc d’un exploit unique, qui ne sera probablement jamais égalé.
Après avoir mis une semaine en randonnée pour parvenir aux abords du Kilimandjaro, ajoutée aux longues escalades, Gadd se voit heurter un autre défi : celui de l’altitude. « A 6000 mètres, c’est difficile de marcher » témoigne-t-il. Mais la vision qu’ils ont eu en arrivant valait le détour. C’était comme des « Ailes de glace émergeant du sable chaud…comme des icebergs sur une plage tropicale ! ». En plus de cela, il faut ajouter les températures négatives la nuit et bien au-dessus de la moyenne la journée.
« J’ai escaladé beaucoup de glace, mais celle-là était la dernière de son espèce. Les glaciers ne sont plus que de maigres résidus, vraiment à l’agonie. Je me sentais très chanceux d’être là. » Conclut-il.