Par La Rando

[Documentaire] Comprendre le néolibéralisme

Le modèle étatique que construit le néolibéralisme. Loin de viser le simple démantèlement de l’État, il s’agit en fait d’organiser les institutions publiques…

Le terme de néolibéralisme désigne aujourd’hui un ensemble multidimensionnel d’analyses d’inspiration libérale – ou supposées telles – qui partagent un socle d’idées communes :

  • de façon critique : la dénonciation du développement excessif de l’État-providence dans les pays développés après 1945 et de l’accroissement des interventions publiques dans l’économie.
  • de façon positive : la promotion de l’économie de marché au nom de la liberté de l’individu et de l’efficacité économique ;

– et qui prennent des orientations politiques communes, prônant la dérégulation des marchés (qui doivent se « réguler eux-mêmes » par le jeu de la concurrence et des « lois du marché ») et la disparition progressive du secteur public au profit du privé, orientations qui pour les adversaires du néolibéralisme, accroissent les inégalités, déstabilisent le tissu social et pillent les ressources naturelles.

La signification du mot « néolibéralisme » a beaucoup varié au cours du temps : le terme n’est pas du tout consensuel et son utilisation requiert une grande prudence, tant il a oscillé entre différentes significations :
Lorsqu’il apparaît, en 1844, le terme désigne – de manière assez générale – une forme de libéralisme qui admet une intervention limitée de l’État. (Selon Wikipedia). Découvrez ce reportage sur le néolibéralisme.

Par La Rando

“La crise financière française de 1789-1799″

La véritable histoire de la Révolution française de 1789 est avant tout une histoire financière, celle d’une crise sans précédent lancée par un État ruiné par l’effort de guerre en Amérique et surtout par les planches à billets ( Assignats et Mandats) des révolutionnaires.

Andrew Dickson White, diplomate américain, a signé ici un livre extraordinaire car il raconte comment les révolutionnaires se sont lancés dans l’usage intense de la planches à billets et comment ils se sont heurtés au bon sens des Français qui se sont précipités sur les pièces d’or et d’argent lorsque les Assignats ont commencé à perdre de leur valeur et que le prix du pain a commencé à s’envoler. Ce fut un Weimar avantl’heure.

Ce livre est unique car il vous montre aussi que les révolutionnaires ont perdu tout crédit avec l’usage abusif des planches d’Assignats puis de Mandats Nationaux. Cela a entraîné la France vers l’abîme, sauvée in extremis par un jeune artilleur qui finira par prendre le pouvoir.

Ce n’est qu’avec la suppression des planches à billets et la restauration du standard or par Napoléon que la France a retrouvé son équilibre économique. Furieusement contemporain, ce livre raconte aussi notre crise financière actuelle puisque les États -Unis, l’Angle terre et le Japon inondent le monde, en ce moment même, de leurs planches à billets sans valeur.

Par La Rando

L’Islande va annuler jusqu’à 24 000 euros de dettes par ménage

Le gouvernement islandais a annoncé samedi 30 novembre un plan pour alléger les dettes des ménages qui ont contracté un emprunt immobilier, à concurrence d’un peu plus de 24 000 euros chacun. Ce plan était la principale promesse du Parti du progrès (centriste) du premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson, victorieux aux élections législatives d’avril avec son allié conservateur, le Parti de l’indépendance.

Après de longs mois de tractations, le gouvernement de coalition a présenté des mesures d’un coût évalué à 150 milliards de couronnes (plus de 900 millions d’euros) sur quatre ans.

La mesure-phare est la réduction du principal de la dette pour les ménages ayant contracté un emprunt immobilier indexé sur l’inflation (ce qui est le cas dans la grande majorité des cas), sans conditions de revenus. Cet allégement de dettes, qui dépend du montant emprunté, est plafonné à quatre millions de couronnes (24 400 euros).

AUCUN DÉTAIL SUR LE FINANCEMENT

Les banques en Islande ne proposaient pratiquement que des emprunts indexés avant l’effondrement du système financier en 2008. Or, la profonde crise financière traversée par ce pays a fait chuter la couronne islandaise, alimentant une inflation qui a fait grimper la dette des ménages.

« Actuellement, la dette des ménages équivaut à 108% du PIB, ce qui est élevé au plan international. (…) La mesure va doper le revenu disponible des ménages et encourager l’épargne », a affirmé le gouvernement dans un communiqué.

Ce dernier n’a fourni aucun détail sur son financement.Depuis qu’il a pris ses fonctions, le premier ministre a assuré que le plan ne devrait pas augmenter la dette publique. Il a d’abord promis une ponction sur les créanciers étrangers des banques islandaises, que de nombreux économistes ont jugée impraticable, puis a laissé planer le doute sur l’origine des fonds nécessaires. Les allégements de dettes doivent commencer « vers la mi-2014 », a précisé le gouvernement.

Source : LeMonde.fr

Par La Rando

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Par La Rando

Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée

C’est ce qui ressort du bilan établi par l’Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée. “Après deux années consécutives particulièrement mornes pour les investissements directs étrangers (IDE) en Algérie, quelques grandes annonces d’investissement ont permis au pays de redresser la barre en 2012”, souligne le bilan 2012 de l’Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée, Anima-Mipo. “L’acquisition quasi totale de Wataniya Télécom par le qatari Qtel pour un montant annoncé de 1,5 milliard d’euros et le rachat, pour un montant similaire, des activités pétrolières de ConocoPhillips par l’Indonésien Pertamina ont largement gonflé le montant des annonces d’investissement retenu en 2012, qui dépasse, pour la première fois, les niveaux enregistrés depuis l’adoption de la nouvelle loi de finances en 2009”, indique le rapport. “Ces deux projets exclus, le montant des investissements reste stable pour un nombre de projets en hausse (+46%)”, indique l’étude. L’année 2012 se caractérise également pour l’Algérie, constate Anima, par une nette percée des annonces d’investissement dans le secteur automobile (7 projets), à commencer par la conclusion, après 3 ans de négociations, du projet d’usine Renault à Oran, qui, mené en partenariat avec l’État algérien via le FNI et la SNVI, devrait permettre, à terme, la création de plus de 7 000 emplois et l’arrivée sur le marché d’un certain nombre de sous‐traitants. Par ailleurs, la poursuite des vastes projets d’infrastructures prévus dans le cadre du plan quinquennal 2010/2014 continue de susciter l’intérêt des multinationales étrangères, notamment dans le domaine ferroviaire (RATP, Alstom). Les investisseurs semblent s’être adaptés au principe du 49‐51%, qui oblige les étrangers à inclure des partenaires algériens dans leur projet d’investissement à hauteur de 51% et avait fortement déstabilisé les entreprises étrangères lors de son introduction. Anima annonce que l’Algérie a enregistré des intentions d’investissement de près de 4,5 milliards d’euros en 2012. Le délégué général du réseau Anima justifie l’écart entre les chiffres énoncés par son institution et ceux de l’Andi (420 millions d’euros) par des différences entre les méthodes de statistique, étant donné qu’Anima se base sur les déclarations de volonté d’investissement des chefs d’entreprise, alors que l’Algérie prend en compte les intentions d’investissement validées par le gouvernement.

“De timides efforts” en matière de stratégie de promotion

En matière de stratégie de promotion, le document évoque “de timides efforts”. “Sans rigoureusement modifier son contraignant code de l’investissement, l’Algérie a mis en place une série de mesures visant à améliorer les conditions générales liées aux investissements étrangers”, rapporte le document. Anima cite, entre autres, la création par le Premier ministre d’un comité spécifique chargé d’évaluer l’environnement des affaires, de communiquer auprès des organisations internationales et d’identifier les changements administratifs nécessaires pour mieux promouvoir la création d’entreprises, les IDE et le soutien aux PME. Il relève la mise en place de réformes pour faciliter la création d’entreprises et améliorer le cadre dans lequel celles‐ci exercent leur activité, tels la révision du code du commerce, la simplification des procédures d’obtention du registre du commerce ou de l’accès au foncier et l’allègement de la fiscalité des entreprises. L’étude souligne, aussi, le relèvement de 5 à 15 millions d’euros du plafond à partir duquel les projets d’investissement doivent être approuvés par un comité national (LF 2013).

L’Algérie s’attend à finir l’année 2013 avec environ 3 milliards d’euros d’investissements directs étrangers

Selon des statistiques d’Andi, au 1er semestre 2013, l’Algérie a enregistré 31 projets d’investissement impliquant les étrangers, pour un montant global de 2,280 milliards d’euros. Ces projets devraient générer 7 385 emplois. L’Algérie s’attend à finir l’année 2013 avec environ 3 milliards d’euros d’investissements directs étrangers. “Le même niveau sera attendu en 2014”, prévoit l’Andi, évoquant la mise en œuvre effective de “l’ambition industrielle, plusieurs projets en cours de négociation, notamment dans le textile et la sidérurgie, le lancement en 2014 des programmes de développement des entreprises publiques en partenariat avec des étrangers dans diverses filières industrielles et, enfin, la poursuite du processus de facilitation et de simplification de l’acte d’investir, notamment par des mesures d’encouragement prévues dans la loi de finances 2014. La répartition des flux d’investissements étrangers par région fait ressortir que l’Europe est en pôle position (85,36%) en 2012, rattrapée par les pays arabes en 2013 avec 78,45%. Les flux d’investissements étrangers proviennent de 18 pays en 2013 contre 7 en 2012. La répartition des flux d’investissements étrangers par pays montre que le Qatar est en tête des investisseurs étrangers en Algérie avec 74,31% et un montant de 1,698 milliard d’euros en 2013, détrônant la France arrivée en tête en 2012 avec 77,28% et 321 millions d’euros”.
Un document de la mission économique de l’ambassade de France, citant des données de la Banque de France, indique que les investissements directs français en Algérie se sont établis à 211 millions d’euros en 2012, contre 241 millions d’euros en 2011 et 210 millions d’euros en 2010.

 

Source Liberte Algerie

Par La Rando

Compétition régionale des jeunes entrepreneurs en Algérie

Après le succès de 2012 le programme Injaz El Djazair revient cette année avec le même défi. Celui de se classer premier pour la seconde année consécutive à la compétition régionale des jeunes entrepreneurs qui se déroulera le 3 décembre prochain au Koweit. En cette occasion, une conférence de presse a été organisée le mercredi 27 novembre à l’hôtel Hilton (Alger), en présence des membres du conseil d’administration d’Injaz El Djazair, et son nouveau partenaire BOEING, représenté par Bernard J.Dunn, directeur régional pour l’Afrique du Nord et la Turquie.

Injaz El Djazair, présidé par Sofiane Chaib, a organisé des compétitions nationales pour primer les meilleurs projets réalisés par des étudiants dans le cadre d’une formation organisée par cet organisme.

Injaz El Djazair s’est rapprochée de douze écoles et universités algériennes, (ESI, EPAU, ENP, ENST, HEC, ENSH, ENSSMAL, INELEC, USTHB, UST Oran, MBD M’Sila), et « abordé » 660 étudiants. Quatre prix ont été décernés ce mercredi. Le premier, à l’instar de l’année dernière avec « Algreenia », est revenu à des polytechniciens. Il s’agit de « Assurair », une entreprise de production et de commercialisation de détecteurs intelligents de gaz dangereux.

« Assurair » est composée de quatre étudiants de l’école nationale de polytechnique, Allouche Lotfi et Ben Abdellah Khoudja Sami, tous deux en 4ème année (spécialité en génie industrielle), Boushaba Abdelouahab et Djema Walid, 5ème année (spécialité automatique). Ce dernier, chargé de la communication de l’entreprise, a expliqué, à « Liberté », le choix du projet « nous fabriquons et commercialisons des détecteurs intelligents de gaz toxiques CO, monoxyde de carbone, qui est dangereux par ses caractéristiques, et en plus il est très méconnu des algériens, et c’est lui qui cause le plus de décès ».

 

Leur projet, qui est d’ailleurs d’actualité, consiste à détecter et donner d’une manière instantanée le taux de monoxyde de carbone dans la maison « Il permet de signaler s’il y a un dépassement de la limite donnée par les normes européennes, c’est-à-dire qui représentent un certain risque sur la santé de la personne », indique Abdelouahab Boushaba, chargé des études de marché.

Finalisé au bout d’environ trois mois de travail, avec l’aide d’un coach de la société Schlumberger, le premier produit est « enfin opérationnel », affirment les « néo-entrepreneurs ».

Le projet est innovateur selon les membres d’«Assurair», en se basant sur la norme européenne, car « cette norme elle spécifie l’effet d’une certaine quantité d’eau sur la santé humaine, et de là on définie des limites à ne pas dépasser. Nous avons intégré quelques nouveautés qui permettent un diagnostic précoce des défauts et des problèmes avant qu’ils ne se produisent. C’est tout un service qui va tout au long de l’utilisation du produit, et c’est aussi un moyen de rester en contact avec le consommateur, et pour cela nous avons créé des logiciels », explique Walid Djema. Pour leur choix, ils ont ajouté qu’il n’existait pas encore de normes algériennes.

« Assurair », équipe lauréate de la seconde Compétition Annuelle des Jeunes Entrepreneurs 2013, représentera ainsi l’Algérie à la compétition régionale qui se tiendra le 3 décembre prochain au Koweit, pour, pourquoi pas, rééditer le coup de « Algreenia ».

Source: Liberte Algerie

Par La Rando

Chine: des groupes immobiliers doivent 660 milliards au fisc

Les principaux groupes immobiliers chinois ont des arriérés d’impôts atteignant au total plus de 3800 milliards de yuans (660 milliards de dollars canadiens), selon un reportage de la télévision d’État qui suscitait lundi une vive polémique.

Ces firmes auraient dû payer plus de 4600 milliards de yuans d’impôts fonciers entre 2005 et 2012, mais les autorités n’ont collecté que 800 milliards, a rapporté CCTV dimanche dans une émission hebdomadaire dédiée aux droits des consommateurs.

La chaîne a précisé que ces chiffres avaient été établis par l’avocat fiscaliste Li Jinsong, d’un cabinet pékinois. M. Li avait déjà évoqué dans le passé ces gigantesques arriérés d’impôts mais sans jamais bénéficier d’une plateforme médiatique officielle aussi importante.

CCTV n’a pas précisé le nombre total des entreprises accusées de n’avoir pas payé tous leurs impôts, mais a indiqué que la liste comprenait 45 groupes immobiliers cotés en Bourse en Chine ou à l’étranger — parmi lesquels des mastodontes du secteur, de Agile à SOHO China et Vanke.

En Chine, les promoteurs immobiliers doivent payer un impôt relatif à l’accroissement de la valeur de leurs terrains, lorsqu’ils procèdent à des ventes de logements ou cèdent la propriété des terrains.

Sur les réseaux sociaux chinois, les internautes étaient nombreux à dénoncer «l’avidité» des entreprises épinglées alors que les prix des appartements ont enregistré une flambée incessante au cours des dernières années sur fond de boom de la construction.

En dépit des différentes mesures adoptées par les autorités, les prix immobiliers ont encore bondi de 10,7% sur un an en octobre.

«Les promoteurs immobiliers provoquent une montée à des prix à des niveaux insupportables. Il est temps pour eux de céder une partie de leur butin», a estimé un usager de Weibo, équivalent chinois de Twitter.

Certaines des firmes incriminées sont quant à elles montées au créneau pour s’insurger contre les erreurs de méthodologie de Li Jinsong. Le président du groupe Huayan Property, Ren Zhiqiang, s’en est ainsi pris à la télévision d’État.

«Ce n’est qu’après avoir vu ce reportage que j’ai réalisé la stupidité et l’ignorance de CCTV. Je réfléchis à la façon d’attaquer CCTV en justice pour lui demander des comptes», a indiqué M. Ren sur son compte Weibo suivi par de nombreux abonnés.

Mis en cause, Maître Li a répliqué par microblogue interposé sur son propre compte Weibo.

«Après avoir lu vos messages, je découvre votre stupidité et votre ignorance en ce qui concerne le domaine de la fiscalité», a-t-il lancé à l’attention de M. Ren.

«Je vous prie de bien vouloir consulter votre directeur financier avant d’envoyer vos réactions en ligne», a-t-il ajouté. Li Jinsong n’a pas pu être directement joint par l’AFP lundi.

Selon CCTV, SOHO China, promoteur spécialisé dans les centres commerciaux, doit à l’Etat quelque 6,4 milliards de yuans, tandis que China Vanke, le plus gros constructeur de logements du pays par le volume de ventes, a une ardoise de 5,8 milliards de yuans.

Aucune de ces deux entreprises n’a commenté lundi les informations de la télévision d’État.

Les places boursières ont eu des réactions mitigées: Vanke a terminé en baisse de 1,03% à Shenzhen, mais Huayan au contraire a grimpé de 1,89% à Shanghai.

À Hong Kong, Agile — un groupe qui devrait 8,3 milliards de yuans à l’Etat selon CCTV — a vu son titre clôturer en repli de 2,57%, tandis que SOHO China cédait 0,43%.

Les médias officiels chinois ont multiplié ces derniers mois les campagnes d’attaques contre des entreprises, dont des multinationales, alors que les autorités lançaient des salves d’enquêtes pour entente sur les prix ou corruption.

CCTV s’en était déjà prise cette année au géant américain de l’électronique Apple, critiqué pour sa politique de garantie et son service après-vente, au sud-coréen Samsung, blâmé pour la qualité de ses téléphones intelligents, ou encore à la chaîne de café Starbucks, accusée de pratiquer des prix trop élevés.

Source: La presse.ca

Par La Rando

Douanes: liste des marchandises exclues par l’Algérie

La liste négative des marchandises exclues par l’Algérie de la franchise au droit de douanes à l’importation des produits originaires de la Grande zone arabe de libre-échange (Gzale) sera mise en œuvre à compter du 1er février prochain, indique le ministère du Commerce.Le ministère a mis à la disposition des opérateurs économiques, dans un avis publié sur son site web, la liste des 1.260 produits exclus de la franchise du droit de douanes, qui remplace la liste élaborée en 2010. Lire la suite « Douanes: liste des marchandises exclues par l’Algérie »

Par La Rando

Route transsaharienne Alger-Lagos

Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au 20e sommet ordinaire de l’Union africaine, a présenté samedi à Addis-Abeba un point de situation sur les projets confiés à l’Algérie dans le cadre du Comité de haut niveau de l’initiative présidentielle du NEPAD sur les infrastructures.Ces deux projets concernent le parachèvement de la route transsaharienne Alger-Lagos et la liaison par fibre optique Alger-Abuja (Nigeria). Lire la suite « Route transsaharienne Alger-Lagos »

Par La Rando

Office national du tourisme en Algérie

L’Office national du tourisme (ONT) prendra part à la 33ème édition de la foire internationale du tourisme « Fitur Madrid » qui se tiendra dans la capitale espagnole du 30 janvier au 3 février, a indiqué samedi un communiqué du ministère du Tourisme et de l’Artisanat.La participation de l’ONT à cette foire s’inscrit « dans le cadre des actions de promotion de la destination Algérie et des produits touristiques y afférent », a précisé le communiqué. Lire la suite « Office national du tourisme en Algérie »