Par La Rando

Un hippocampe vu à la plage de Dubaï

Un hippocampe rare a été repéré par le Groupe de l’Environnement Marin sur la plage des femmes du Dubaï Emirates Club à Jumeirah.

Selon Al Ittihad, l’équivalent arabe de The National, le groupe a également constaté plus de 120 espèces différentes d’animaux marins comme le plancton, la faune benthique, les récifs coralliens et les poissons sur cette plage.

Cette observation est la première de son genre dans la région. Sheikha bint Mohammed bin Manal Rashid Al Maktoum, présidente de l’établissement des femmes de Dubaï, a dit qu’ils étaient heureux d’avoir assisté à une importante découverte.

“Les E.A.U possèdent de nombreuses plages et l’environnement marin, et avec la récente découverte de l’hippocampe  au Dubai Ladies Club Beach, notre sens de la responsabilité envers la protection de l’environnement naturel rare augmente d’autant plus,” dit-elle.

Ali Al Suwaidi, président du Groupe Environnemental, a déclaré que l’hippocampe est une espèce en voie de disparition et qu’il y a peu d’informations à ce sujet.

Source: The National

Par La Rando

Apprendre l’arabe à Dubai avec Golden Age Institute

Comme vous le savez, la langue arabe est importante à Dubaï et dans le reste des Emirats Arabes unis. Golden Age Institute, vous offre la possibilité d’apprendre la langue Arabe Moderne, ainsi que les Dialectes Syro-Libanais, Emirati, Calligraphie, Business arabic et Islamic Arabic à Dubai, au travers de cours d’arabe et d’exercices simples, qui vous aideront pas à pas, dans votre apprentissage. Pour apprendre des mots en arabe littéraire, il vous faudra peut-être voyager également. Lire la suite « Apprendre l’arabe à Dubai avec Golden Age Institute »

Par La Rando

Rassemblement de fauconniers à Abu Dhabi

Le plus grand rassemblement de fauconniers du monde se déroule actuellement à Abou Dhabi, sur les terrains ouverts d’Al Forsan Sport Club.
Au total, 800 fauconniers venus de 80 pays participent à la troisième édition du Festival international de la fauconnerie, organisée par le Club des Fauconniers des Emirats (CEF) et au programmes culturels et du patrimoine.
“La fauconnerie est très importante pour les Emirats Arabes Unis, car la discipline touche les fonds de notre culture,’’ déclare Majid Al Mansouri, directeur exécutif du CEF.
“Les Arabes pratiquent la fauconnerie depuis des milliers d’années, et pas seulement comme une nécessité, mais aussi comme une source de socialisation.’’
La conférence a débuté jeudi avec une réunion autour des plans d’action de l’Unesco, le Kazakhstan, le Pakistan et l’Italie ayant annoncé leur intention de rejoindre les Emirats Arabes Unis et les 13 autres pays signataires de la Liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO pour la protection et la préservation de la fauconnerie.
Le festival est organisé à la suite de l’acceptation par l’Unesco de la fauconnerie en tant que patrimoine culturel de l’humanité et sera organisé, selon Al Mansouri, tous les trois ans.
Tout comme en 2011, lorsque le festival a eu lieu à Al Ain, l’affichage le plus impressionnant de cultures et traditions des coins les plus reculés du monde sont à voir à travers les activités.
L’alignement concerne des yourtes, des tentes mongoles nomades, des tipi, les tentes indiennes nord-américaines traditionnelles, les traditions de Europe de l’Est, des robes d’Asie centrale, sans parler des centaines de faucons, faucons et les aigles.
«Nous avons essayé de donner au festival une saveur différente cette année en apportant différents clubs de fauconniers, qui mettent en valeur différentes formes et pratiques de la fauconnerie,» déclare Abdullah Al Qubaisi, membre du comité organisateur du festival.
“Nous avons aussi un programme éducatif riche, axé sur la conservation de l’environnement et la biodiversité, avec la participation de l’Agence de l’environnement – Abou Dhabi, le Fonds international pour la conservation de l’outarde, le Falcon Hospital Abu Dhabi et le zoo d’Al Ain, entre autres,’’ ajoute Al Qubaisi

Source: Khaleej Times

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Emirats arabes unis, le nouvel âge d’or !

En un demi-siècle, les petits pays du Golfe sont passés d’une économie de subsistance au capitalisme le plus effréné (mardi 9 décembre à 20 h 50 sur Arte)

Il y a soixante ans à peine, Abou Dhabi n’était qu’un village de pêcheurs de perles ruinés du golfe Persique. De 80 000 habitants en 1920, la population était tombée à 2 000 à la fin des années 1950. La faute aux perles de culture popularisées par le Japon, qui ont mis pêcheurs et commerçants du Golfe sur la paille.

A l’époque, le plus grand des « émirats de la trêve », sous protectorat britannique, était dirigé par un vieillard méfiant, le cheikh Chakhbout, qui, tel Harpagon, cachait les premiers dollars tirés de l’extraction pétrolière balbutiante dans les caves de son palais, où les rats se faisaient un malin plaisir de grignoter ses économies.

Il a fallu attendre l’arrivée au pouvoir du cheikh Zayed ben Sultan Al-Nahyane en 1966, à la suite d’un coup d’Etat familial, pour qu’Abou Dhabi sorte de sa torpeur. Capitale des Emirats arabes unis depuis l’indépendance, accordée par les Britanniques en 1971 – plus qu’elle n’a été demandée par les élites locales, saisies à l’époque par la peur du vide  –, Abou Dhabi compte aujourd’hui 2 millions d’habitants et s’apprête à inaugurer un Louvre local, dessiné par Jean Nouvel, au côté duquel prendront place, en 2017, un Guggenheim dessiné par Frank Gehry, ainsi que la Cité des arts de Zaha Hadid, le Musée maritime de Tadao Ando et le Musée Cheikh Zayed de Norman Foster… En quarante ans, l’espérance de vie a progressé de vingt ans. Le taux d’équipement de téléphone portable est de deux par personne. Les multiples chocs pétroliers sont passés par là.

Une marque planétaire

A Dubaï, 130 kilomètres plus au nord, se trouve l’autre « vedette » de la fédération émiratie, Dubaï, un ancien port de commerçants et de pirates, devenu désormais une véritable « world company ». Plus qu’un port, plus qu’un aéroport (trois en fait), mondialement connu, plus que le plus grand souk d’or au monde, plus que le siège de la plus haute tour du monde, Dubaï est un concept, une idée, une marque planétaires. On y vient comme on se rendait à Venise au XVsiècle, visiter le centre du monde. Dubaï est le symbole par excellence du miracle pétrolier, voire de ses excès. Mais Dubaï, c’est déjà l’après-pétrole : l’émirat a épuisé ses réserves, il vit de la finance, de l’immobilier, du tourisme, du divertissement…

Le monde entier s’y donne rendez-vous pour faire du shopping, se divertir, investir. Chacun vient avec ses préjugés, son identité et ses idéaux. Mais une seule religion prévaut à Dubaï : la consommation. C’est une vision irénique et cauchemardesque de l’avenir de l’humanité où tous les conflits se dénouent dans l’ivresse consumériste. La mondialisation version Orwell.

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Par La Rando

C’est Noël avec EASYVOLS sur Dubai !

Bonjour tout le monde, nous voulions partager ce bon plan auprès de la communauté francophone de Dubai et du Moyen Orient.

Passez de la Skyline de Dubai à celle de New-York tout en découvrant le quartier d’affaires Manhattan. Pour cela rien de plus simple, participez au nouveau jeu concours EASYVOLS ( http://www.easyvols.fr ) qui se déroule  du 3 au 12 décembre (ça finit aujourd’hui, allors faites vite 😉 )pour gagner 2 vols aller/retour pour New-York !

N’hésitez pas à faire connaître un max de monde en transmettant cette adresse internet ( http://www.easyvols.fr/wishlist-voyages-de-noel ) tout en indiquant quelles sont VOS trois destinations préférées pour Noël. Une fois cette étape terminée, il ne vous restera plus qu’à faire connaître le jeu concours à vos proches ainsi que votre famille.

Il y aura un grand tirage au sort aura lieu pour désigner le ou la gagnante de ce grand jeu de Noël. »

Bon courage et bonne chance !

Par La Rando

Les Emirats Arabes Unis à la pointe de la lutte contre la traite des êtres humains

Les Emirats Arabes Unis sont à la pointe de la lutte contre le crime de la traite des êtres humains, affirme Michael Newson de l’Organisation internationale pour les migrations et le développement.
Le pays aligne également un certain nombre de projets visant à lutter contre cette menace, affirme-il lors de la conférence de deux jours sur la lutte contre la traite des personnes à Dubaï.
Major-général Khamis Mattar Al Mazeina, Commandant en chef de la police de Dubaï, a annoncé le lancement d’un cours spécialisé dans le trafic des êtres humains, lancé par la Police de Dubaï en association avec l’Institut judiciaire de Dubaï. Tout le personnel travaillant dans le domaine de la lutte contre la traite humaine pourra rejoindre le cours et obtenir le diplôme.
La conférence, qui est organisée par le Comité national de lutte contre la traite des êtres humains, la Police de Dubaï et le Ministère du travail, est axée sur ce crime et le rôle des organismes de la main-d’œuvre, visant à identifier la nature de la traite des personnes, son ampleur aux niveaux international et local, et la recherche de solutions.
Dans son discours inaugural, Moubarak Saeed Al Dhaheri, secrétaire adjoint du ministère du Travail, a déclaré que le ministère a créé une section pour lutter contre la traite humaine en 2010. “La création de cette section découle de l’approche du ministère qui vise à mobiliser toutes les ressources pour la protection des travailleurs.’’
Le ministère met notamment en œuvre des initiatives qui offrent une protection pour les employés et créent un environnement décent du travail qui contribue à lutter contre le trafic humain. En plus, le système de protection des salaires (WPS) est considéré comme l’un des outils essentiels pour la surveillance du marché du travail.
La première session de la conférence, présidée par Dr Ibrahim Al Abed, directeur général du Conseil national des médias (NMC), a commencé par un discours de Humaid bin Demas, secrétaire adjoint du ministère du Travail, qui a jeté la lumière sur les politiques du marché du travail et la politique du ministère qui s’efforce d’empêcher l’exploitation des travailleurs.
Saeed bin Umair Al Ghafli, secrétaire adjoint pour les Affaires fédérales nationales du Conseil et rapporteur de la commission nationale de lutte contre la traite des êtres humains, a souligné les lois des Emirats pour lutter contre le crime.
Beate Andreas, présidente du programme spécial de la lutte contre le travail forcé à l’OIT, a appelé les Emirats à signer les initiatives internationales et à établir des partenariats avec un certain nombre d’organisations et de pays pour élever le niveau de sensibilisation.

Source: Khaleej Times

Par La Rando

Dubai se positionne bien dans l’indice du bien-être

Les Emirats Arabes Unis est classé le premier pays arabe dans l’indice du bien-être et de la satisfaction de la vie, selon l’indice Legatum Prosperity 2014.
Le Legatum Institute, basé à Londres, a publié la dernière édition de son rapport de l’indice de la prospérité, affirmant que les Emirats Arabes Unis sont parmi les premiers pays en matière de sécurité.
Abdullah Lootah, Secrétaire général du Conseil de la Compétitivité des Emirats, déclare que l’indice Legatum est l’un des importants rapports qui mesurent les niveaux de prospérité offerts par les pays pour leurs citoyens.
Cette importance est attribuée à la méthodologie adoptée par l’éditeur de l’indice qui utilise une recherche rigoureuse et une analyse en profondeur pour classer les pays en fonction de leur performance dans huit sous-indices : l’économie, l’entrepreneuriat, la gouvernance, l’éducation, la liberté personnelle, la santé et la sécurité et le capital social.
Au niveau de l’économie, les Emirats Arabes Unis passent du 13e rang en 2013 au 10e rang cette année en raison d’une augmentation du taux d’épargne intérieur brut, qui est passé de 33 pour cent en 2010 à 43 pour cent en 2013. Les Emirats se classent aussi 22e au niveau mondial avec les plus bas niveaux de chômage avec un taux de seulement 3,8 pour cent de la main-d’œuvre totale de chômage.
Le Legatum Prosperity Index 2014 offre un aperçu unique de la façon dont la prospérité se forme à travers le monde. Maintenant dans sa huitième année, l’indice évalue 142 pays, représentant plus de 96 pour cent de la population mondiale et 99 pour cent du PIB mondial.
L’indice révèle la Norvège comme le pays le plus prospère pour la sixième année consécutive, conservant sa place en raison de son haut rang dans l’économie (3e), de la santé (5), de l’éducation (5e), de la gouvernance (7e) et la liberté personnelle (2e). La Suisse est au deuxième rang dans l’indice pour la seconde année consécutive tandis que la Nouvelle-Zélande a augmenté de la cinquième à la troisième place. Le Royaume-Uni est le plus prospère de tous les grands pays de l’UE, devant l’Allemagne (14), la France (21), l’Espagne (26) et l’Italie (37e).
Les pays les moins prospères se trouvent principalement en Afrique sub-saharienne.

Source: WAM

 

Par La Rando

Emirates fait la promotion de Dubaï

Avec un budget de 20 millions de dollars, « Rendez-vous à Dubaï » est la plus vaste campagne de communication menée à ce jour par la compagnie aérienne Emirates.

Ayant pour objectif de promouvoir la ville de Dubaï (qui est le hub d’Emirates),  cette campagne de marketing, organisée en partenariat avec le DTCM (l’office du tourisme de Dubaï), vise à toucher un large public à travers le monde avec une attention particulière sur les marchés d’Europe, d’Asie, d’Afrique, d’Amérique Latine et du Moyen Orient.

« Dubaï est une destination internationale et une plate-forme mondiale de premier plan en termes de trafic passagers. C’est ce qui en fait une destination unique, car nous avons toujours eu pour ambition de relier Dubaï au reste du monde et de connecter le monde à travers Dubaï », explique Ahmed bin Saeed Al-Maktoum, PDG d’Emirates Airline & Group, «En 2013, Dubaï a accueilli plus de 11 millions de visiteurs et notre objectif est de développer cette fréquentation en renforçant notre offre touristique afin de faire de notre ville une destination de premier choix pour tous les voyageurs du monde entier. »

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Par La Rando

Un avion Airbus A380 d’Emirates se pose au PSG

Sponsor du PSG depuis dix ans, la compagnie aérienne a créé au sein de son nouvel espace d’hospitalité au Parc des Princes la réplique à l’identique du bar lounge de l’A380. A découvrir avec « Le Parisien Economie».

Il y a trente ans, Emirates se posait pour la première fois en France. Mais il a fallu attendre 2005 pour que la compagnie aérienne de Dubaï se forge une vraie notoriété dans l’Hexagone. Grâce au contrat de sponsoring signé avec le PSG, le club de football parisien. Depuis dix ans maintenant, « notre notoriété est chaque année plus forte », pointe Thierry de Bailleul, directeur général de la compagnie dubaïote en France. Grâce au fameux « Fly Emirates » floqué sur le maillot des joueurs, Emirates est le sponsor le plus visible du club parisien. « Un duo gagnant, poursuit Thierry de Bailleul, car Emirates comme le PSG sont des acteurs incontournables de leurs secteurs d’activité respectifs, et ce au niveau mondial. »

Un partenariat avec le club renouvelé pour cinq ans

« Notre compagnie a toujours placé le sponsoring au cœur de sa stratégie de communication et il pèse d’ailleurs plus que la publicité traditionnelle », explique le directeur général de la filiale française. Pour Emirates, ajoute-t-il, « il était naturel de se tourner vers le sponsoring sportif car nous avons beaucoup de valeurs communes ». Et de préciser que « dans un avion comme dans un stade, on aime le partage, le fair-play et on y accueille tout le monde, sans distinction d’origines ». Si, depuis 2005, Emirates renouvelle tous les ans ce contrat, en mai dernier, la compagnie a voulu passer à la vitesse supérieure. Grâce au partenariat ressigné pour cinq ans et dont le montant non révélé est estimé à 20 millions d’euros, Emirates a pu affréter cet été, lors d’une tournée en Asie du club parisien, un Airbus A340 aux couleurs du PSG. « Ce fut une très belle opération de communication car il ne faut pas oublier que le PSG a des fans dans le monde entier », se félicite Thierry de Bailleul. Sans compter que la France est un marché stratégique pour Emirates, avec cinq vols quotidiens de Dubaï vers cette destination. La compagnie de Dubaï ne cache pas sa volonté d’y développer son business. Présente à Paris (20 vols par semaine), Lyon (5 vols) et Nice (7 vols), elle souhaite plus de droits de trafic…

Aujourd’hui, Emirates va encore plus loin en recréant à l’identique au sein de son nouvel espace d’hospitalité au Parc des Princes le bar lounge de son A380. Ce premier espace sponsor, qui peut accueillir 50 invités et bénéficie d’une terrasse extérieure, « est un formidable levier de communication et un outil exceptionnel pour le relationnel avec nos clients », se félicite le directeur général d’Emirates France. « C’est une première dans le monde ! »

Source : LeParisien

Par La Rando

Alliance entre Etihad et Air Seychelles

A partir du 1er décembre 2014, les deux compagnies partenaires, Etihad Airways et Air Seychelles, améliorent leurs connexions entre Abou Dhabi et les Seychelles avec trois fréquences hebdomadaires supplémentaires.

Etihad et Air Seychelles annoncent un changement dans leur programme de vols entre Abou Dhabi et l’aéroport de Victoria sur l’île de Mahé, Etihad ajoutant un vol par semaine et Air Seychelles en rajoutant deux. Ainsi, à partir du 1er décembre depuis Abou Dhabi, Etihad s’envolera 4 fois par semaine en Airbus A320, vers Mahé, les lundi, mercredi, vendredi et samedi, départ à 8h25 d’Abou Dhabi, arrivée à 13h ; et vol retour à 14h40, arrivée à Abou Dhabi à 19h10. Air Seychelles utilisera de son côté un A320 ou un A330 pour réaliser 9 vols par semaine, avec départ les lundi, mardi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche, à 2h d’Abou Dhabi (arrivée à 6h35) ; ainsi que les mardi jeudi et dimanche à 9h05 (arrivée à 13h40). Les vol « retour » partiront les mardi, jeudi et dimanche à 15h40 (arrivée à 20h10), ainsi que les lundi, mercredi, samedi et dimanche, à 20h10 (arrivée à 0h40), et encore les mardi et dimanche à 20h35 (arrivée à 1h05).

Au total, les fréquences des deux compagnies associées passent donc de 10 à 13 vols par semaine. Le nouveau calendrier permettra 217 connexions hebdomadaires supplémentaires vers des destinations de la région du Golfe, au Moyen-Orient, dans le sous-continent indien, en Asie du nord et en Australie, y compris Pékin, Shanghai, Tokyo et Séoul. Des connexions facilitées vers l’Europe via le hub d’Abu Dhabi seront aussi maintenues.

« Le changement du calendrier de vols intervient dans le cadre des efforts de la compagnie aérienne à opérer un double service quotidien entre Abu Dhabi et les Seychelles en collaboration avec notre partenaire financier Air Seychelles », a expliqué dans un communiqué, Kevin Knight, Chief Strategy and Planning Officer d’Etihad Airways.

Etihad Airways a commencé ses services entre Abu Dhabi et Mahé aux Seychelles en novembre 2011, tandis qu’Air Seychelles a commencé ses opérations en mars 2012. Les compagnies aériennes opèrent un Airbus A330 bi-classe (18 sièges en classe Affaires et 236 sièges en classe Economique) et un A320 (16 sièges en classe Affaires et 120 sièges en classe Economique).

Pour rappel Etihad a acquis, en février 2012, 40 % du capital d’Air Seychelles.

Source: Air-Journal