L’Autorité d’Abu Dhabi pour l’environnement (EAD) annonce une stratégie basée sur huit plates-formes pour identifier les secteurs directement responsables de l’épuisement des ressources en eaux souterraines dans l’émirat.
L’objectif est de réduire la consommation à 717 millions de mètres cubes d’ici 2030, au lieu des 2,7 milliards actuellement.
L’autorité affirme que le secteur agricole, qui consomme 60 pour cent des eaux souterraines à Abou Dhabi, peut diminuer la consommation en mettant en œuvre des techniques d’irrigation modernes et des cultures tolérantes au sel, et en s’appuyant sur le recyclage et les eaux usées.
Deux établissements hôteliers des Emirats Arabes Unis, le Dar Al Masyaf à Madinat Jumeirah Resort de Dubaï, et Al Maha, un Luxury Collection Desert Resort & Spa, Dubaï, se hissent à la 13e et la 8e place respectivement dans le classement des 25 Meilleurs Hôtels du monde 2015 de Trip Advisor, sur base des avis de voyageurs.
Dar Al Masyaf propose des villas de deux étages au milieu de cours d’eau pittoresques et de jardins paysagers, tandis qu’Al Maha se décrit comme “niché dans une oasis de palmiers et de verdure, au plus profond des dunes et du paysage désertique de Dubaï.’’
“Au Madinat Jumeirah, nous nous concentrons toujours sur la prestation d’expériences exceptionnelles et un service mémorable pour nos clients,’’ déclare Azar Saliba, directeur de l’hôtel Al Qasr et Dar Al Masyaf.
«C’est vraiment gratifiant de voir les résultats de notre engagement permanent et de notre marque reflétés dans les commentaires des clients. »
Abu Dhabi se prépare à accueillir 300 poètes de 29 pays pour des entretiens directs avec les membres du jury de la compétition Prince des poètes à l’Al Raha Beach Theatre du 31 janvier au 2 février.
Les trois jours d’entretiens visent à sélectionner les meilleurs poètes pour un programme de télévision sur la poésie arabe classique. Après un succès considérable durant les cinq saisons précédentes, la 6e saison du programme Prince des Poètes est très attendue par les amateurs de poésie éloquente dans le monde arabe.
Le Comité des programmes culturels et des festivals patrimoniaux annonce la sélection de plusieurs participants : “Les meilleurs poètes ont été sélectionnés selon des normes strictes. Pendant les entretiens directs, les membres du jury choisissent les poètes qui prendront part aux différents épisodes en direct de l’émission de télévision.’’
Sultan Al Amimi, Directeur de l’Académie de poésie au Comité des programmes culturels et des festivals du patrimoine, déclare : “Les membres du jury, connus pour leur crédibilité et leur vaste expérience dans la lecture et l’analyse de la poésie, ont une lourde responsabilité pour évaluer les poètes.”
Les 300 poètes sélectionnés pour des entrevues directes avec les membres du jury viennent de différents pays arabes et étrangers, à savoir les Emirats Arabes Unis, l’Egypte, la Syrie, l’Irak, la Palestine, la Jordanie, l’Algérie, le Soudan, le Yémen, le Maroc, la Tunisie, le Liban, le Koweït, Bahreïn , Oman, la Mauritanie, l’Erythrée, l’Arabie Saoudite, le Canada, l’Iran, la Libye, le Mali, l’Inde, le Sénégal, la Belgique, la Guinée, le Niger, le Tchad, et le Kazakhstan.
En Juin 2013, le poète égyptien Alaa Janib remportait le titre de Prince des Poètes de la 5ème saison. Le vainqueur de la 4ème saison était le poète yéménite Abdul Aziz Al Zarai et les autres gagnants sont le Syrien Hassan Baiti (3ème saison), le mauritanien Sidi Mohamed Ould Bamba (2e saison), et Kareem Abdul Maatoug des Emirats (1ère saison).
Le président des Emirats-Arabes Unis, Khalifa Zayed Al-Nehyane, a donné des instructions, jeudi 1er janvier 2015, avec le suivi du prince héritier d’Abou Dhabi, Mohamed Ben Zayed Al-Nehyane, d’octroyer des aides urgentes aux personnes touchées par la vague de froid en Tunisie.
Selon l’Emirates News Agency, ces aides comprennent des couvertures et des produits alimentaires, qui ont été achetés dans les commerces tunisiens, en coordination avec l’ambassade des Emirats en Tunisie.
Président Son Altesse Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan déplore le décès du Serviteur des Deux Saintes Mosquées, le Roi Abdullah bin Abdulaziz d’Arabie Saoudite, décédé avant l’aube vendredi. Son Altesse Président Khalifa déclare : «Nous pleurons la mort d’un des dirigeants les plus notables de la Nation arabe et musulmane, qui a généreusement contribué au développement de son peuple et sa Nation et sincèrement défendu les causes de la Nation arabe et musulmane.
Nous exprimons nos plus sincères condoléances à la famille royale saoudienne et au peuple du Royaume d’Arabie Saoudite pour la mort du grand roi Abdullah bin Abdulaziz Al Saoud, et nous exprimons notre pleine confiance dans le Roi Salman bin Abdulaziz Al Saud et le Prince héritier Muqrin bin Abdulaziz Al Saud pour la poursuite de la marche en faveur des causes de la Nation et la promotion de l’action arabe commune. » Son Altesse Cheikh Khalifa a salué le feu roi pour s’être consacré au service de son peuple et de la nation et de travailler sur le renforcement de la cohésion de la nation arabe.
Dubai 360 vient de lancer le site Dubai360.com, la première visite guidée interactive. Les voyageurs d’affaires ou les organisateurs d’événements qui n’ont jamais été à Dubaï vont pouvoir l’utiliser pour découvrir la ville et préparer leur déplacement depuis leur ordinateur, tandis que les habitués de l’émirat pourront trouver de bonnes adresses. Le site Dubai360.com permet aux internautes d’explorer chaque mètre carré de la ville du Golfe depuis un ordinateur ou une tablette. 18 mois de développement et 1 298 vidéos et photographies panoramiques ont été nécessaires pour créer cette visite guidée interactive en haute résolution. Grâce aux vidéos réalisées depuis le sommet de la plus haute tour du monde, Burj Khalifa, les visiteurs du site Internet accèdent à la vision d’un oiseau sur la ville ainsi qu’une vue exceptionnelle de Sheikh Zayed Road et de la côte. En un clic, les spectateurs peuvent par exemple pénétrer dans la luxueuse suite royale du célèbre Burj Al Arab Hotel et découvrir sa décoration intérieure à la feuille d’or, ses chambres à la décoration opulente et son incroyable vue sur la mer. Ils ont aussi la possibilité de nager parmi les animaux marins de l’Aquarium du Dubai Mall ou encore prendre le métro pour visiter la ville en un clin d’œil.
L’équipe du site a également développé une interface personnalisée qui permet aux utilisateurs d’interagir avec des monuments de Dubaï en leur fournissant un certain nombre d’options de visualisation y compris rectiligne et le mode «Little Planet». Ils peuvent également partager leurs vues préférées avec leurs amis via Facebook, Twitter, Google Plus et par email.
L’humanité peut et va faire face au défi du changement climatique d’origine humaine, affirme le lauréat du prix Nobel et ancien vice-président américain Al Gore devant un auditoire à Abou Dhabi.
“C’est un rare privilège de vivre à une époque où les individus peuvent donner autant de sens à leur vie et influencer l’avenir non seulement de la prochaine décennie, mais aussi du siècle,’’ déclare M. Gore en acceptant le Zayed Future Energy Prize pour l’ensemble de ses réalisations.
Etant l’un des militants des plus dynamiques acteurs de la lutte contre le changement climatique, M. Gore était vice-président de Bill Clinton et la force principale du documentaire oscarisé Une vérité qui dérange, sorti en 2006. Un an plus tard, il a reçu le prix Nobel de la paix, conjointement avec le Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques.
M. Gore s’est déclaré optimiste quant à un accord mondial sur la diminution des gaz à effet de serre, à discuter durant une conférence à Paris à la fin de l’année, et sur la capacité globale de l’humanité face à la question.
“La jeune génération en particulier, mais les gens de tous âges, sont maintenant vraiment pleinement conscient du fait que nous devons changer. “Il n’y a vraiment qu’une seule autre question : Pouvons-nous changer … et la réponse à cette question est fournie par les gens qui sont ici présents.’’
M. Gore a reçu un prix pour l’excellence de ses réalisations d’un montant de $500 000. Lancé et géré par la société Masdar, le prix est aussi un hommage à la vision du père fondateur et président Cheikh Zayed et fait partie de la Semaine du développement durable d’Abou Dhabi.
Les Emirats Arabes Unis et la France annoncent un nouveau partenariat visant à étendre le déploiement des énergies renouvelables dans les pays en développement. Des financements concessionnels sont prévus pour des projets de production d’électricité en vertu de l’accord et dans le cadre des efforts pour contrer le changement climatique à la veille des négociations de Paris sur un nouvel accord mondial.
Dr. Sultan bin Ahmed Sultan Al Jaber, ministre d’Etat et Envoyé spécial pour l’énergie et le changement climatique, déclare : “Les Emirats estiment que l’énergie renouvelable est un élément essentiel de la réponse globale au changement climatique, favorisant la croissance économique et la création d’emplois.’’ Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie de la France, déclare : «La France est heureuse de renforcer sa coopération avec les Emirats à travers cet accord. Les énergies renouvelables sont une énergie à forte intensité de capital. Créer de bonnes conditions de financement est donc nécessaire afin d’accélérer le développement mondial de ces sources d’énergie à faible émission de carbone. » Les Emirats sont un important bailleur de fonds dans le domaine de l’énergie renouvelable à l’échelle mondiale. Le pays a mobilisé plus de 700 millions de dollars d’aide depuis 2009 pour des projets allant de la Mauritanie à Samoa. Sur le plan commercial, la société d’énergie renouvelable Masdar a récemment annoncé d’importants projets éoliens au Royaume-Uni, en Jordanie et au Sultanat d’Oman.
L’accord autorise le Fonds d’Abu Dhabi pour le développement et L’Agence française de développement de financer conjointement des projets d’énergie renouvelable à des conditions concessionnelles.
Mohammed Al Suwaidi, directeur général du FADD, déclare : «Soutenir le secteur des énergies renouvelables est un élément important de la politique du FADD. Les ressources énergétiques renouvelables sont disponibles en abondance dans les pays en développement, et un outil rentable pour le développement durable. » Laurence Breton-Moyet, Chef du Département de l’infrastructure de l’AFD, affirme : «L’énergie renouvelable est au cœur de la stratégie de l’AFD, avec des engagements de 2 milliards d’euros à travers le monde au cours des trois dernières années. AFD tient à unir les efforts avec d’autres donateurs et de soutenir les initiatives multilatérales comme celles de l’IRENA. » Les deux pays visent à annoncer un premier projet en 2015 et examinent actuellement des propositions dans le Moyen-Orient.
Le Forum international Les renouveaux du monde arabe se tiendra les 15 et 16 janvier, à Paris. Il donnera la parole à des femmes engagées qui s’imposent. Madame Figaro a rencontré ces pionnières, actrices d’une révolution en marche.
C’est un petit musée, dédié aux femmes des Émirats arabes unis. Il est situé à Dubai, dans le quartier de l’or, au fond d’une ruelle, abrité dans une maison de trois étages que Rafia Obaid Ghubash, psychiatre et ancienne doyenne de la faculté de médecine de l’université des Émirats, a achetée en 2009. Cinq ans et trois millions de dollars plus tard, elle y ouvrait son musée en hommage aux pionnières, à celles qui, au siècle dernier, faisaient du commerce avec les Indes, exerçaient la médecine traditionnelle, excellaient dans la poésie, se battaient contre les Anglais. « Je n’ai jamais rencontré de femmes aussi fortes qu’à Dubai, témoigne la propriétaire des lieux dans une longue enquête qui leur a été consacrée (1). Cette terre de beauté, de souffrance, de dunes de sable a-t-elle contribué à former leur caractère ? Est-ce parce que les hommes partaient travailler à l’étranger, ou s’absentaient six mois pour aller pêcher les perles ? Depuis longtemps, les femmes ici ont appris à être totalement autonomes. »
Une confrontation entre tradition et modernité
Elles n’ont donc pas attendu 1971, l’année de l’indépendance et de la création de la fédération des Émirats arabes unis sur quelque 80 000 kilomètres carrés, pour donner de la voix ; ni le miracle pétrolier de la fin des années 1960, qui a permis de transformer leur terre en paradis du luxe, de la consommation, de la finance, abritant désormais les plus hauts buildings qui ne s’éteignent jamais, les plus grands malls, les plus grosses fortunes. « Les femmes ont toujours été très influentes au sein de la famille, de la tribu, et maintenant elles le deviennent au sein de la société », constate François-Aïssa Touazi, ancien conseiller Moyen-Orient au ministère des Affaires étrangères. « Il faut leur laisser du temps, elles vont nous surprendre (2) » .
Elles ont déjà commencé. C’est la raison pour laquelle le Forum international « Les renouveaux du monde arabe », organisé par l’Institut du monde arabe, à Paris, en partenariat avec Thinkers and Doers, les 15 et 16 janvier, en compte parmi ses orateurs (voir encadrés p. 49), pour parler de l’importance de l’éducation, de l’art, de la création d’entreprises. Mais surtout pour raconter la manière dont les femmes peuvent devenir les architectes de leur futur dans ces États nouveaux, puissants, où l’espérance de vie en quatre décennies a augmenté de vingt ans, où tradition et modernité s’affrontent, immensément riches et néanmoins fragiles, notamment face aux géants voisins, l’Arabie saoudite ou l’Iran.
L’éducation des filles, la clé de l’avenir
Architectes de leur présent, certaines le sont déjà. Ainsi, Hissa Al Dhaheri, diplômée de l’université Zayed d’Abu Dhabi et de celle d’Exeter en Angleterre, ancienne journaliste, est le chef de projet du Louvre Abu Dhabi, qui ouvrira en 2015. Salama Al Shamsi est à la tête du Zayed National Museum. Son Excellence Hoda Kanoo dirige la Abu Dhabi Music and Arts Foundation, qu’elle a fondée en 1996. « C’est par l’art que nous allons faire évoluer les mentalités », explique-t-elle dans un parfait français.
Née au Liban d’une mère syrienne et d’un père saoudien homme d’affaires, S. E. Hoda Kanoo a étudié l’histoire de l’art à Paris. Dans sa maison de pierres ocre située dans le centre d’Abu Dhabi résonnent ce jour-là des cantates de Bach. Le mobilier est une sorte de sabir, composé de meubles syriens incrustés de nacre, de fauteuils Napoléon III recouverts de velours vert, de guéridons Louis-Philippe chargés de livres d’art. Elle apparaît vêtue d’une robe de soie rose pâle et chaussée de pantoufles blanches rehaussées d’un pompon à plumes, comme une héroïne hollywoodienne d’un film de George Cukor. « J’ai passé mon enfance à Beyrouth, raconte-t-elle d’une voix douce, dans une famille joyeuse et aimante, dont ma mère était le roc. Dès que je me décourage, je pense à elle, et je m’interdis de baisser les bras. » Elle s’inquiète auprès de son assistante : « Comment était la remise des prix ? » Une heure plus tôt, en effet, le ministre de la Culture d’Abu Dhabi décernait un diplôme à onze garçons et à autant de filles au terme d’une formation de neuf mois dans les secteurs de l’information, du cinéma, de la presse. « C’est par l’art, mais aussi par l’éducation que nous avançons, poursuit-elle. C’est l’éducation qui donne confiance aux femmes et leur permet de se convaincre que tout leur est possible à condition de le vouloir. » Son héroïne ? Cheikha Fatima, épouse de Cheikh Zayed, fondateur et premier Président de la fédération des Émirats arabes unis. « C’est elle qui a voulu que les filles aillent à l’école, martèle S. E. Hoda. Elle répétait que si la mère, celle qui fabrique les générations à venir, n’est pas éduquée, elle ne pourrait former les forces vives de demain. »
Les femmes sont avocates, sopranos, stylistes…
Lorsque la fédération est née, en 1971, le taux d’analphabétisme était de 85 % chez les femmes. Aujourd’hui, 98 % des filles vont à l’école. Encouragées par les autorités, elles ont eu accès à l’éducation, quitté les madrasa, où l’apprentissage était uniquement fondé sur le Coran et les principes de l’islam, pour aller à l’école apprendre les sciences, l’histoire et les mathématiques. Elles sont 72 % à fréquenter les universités, trois fois plus présentes que les garçons. 25 % des députés sont des femmes.
Progressivement, les femmes émiriennes ont avancé sur tous les territoires. Elles sont avocates, sopranos, stylistes, et même pilote de F16, raconte la journaliste franco-suisse Kyra Dupont dans son livre Perles des Émirats (cité plus haut). Sans jamais se dire féministes, sans avancer en force, mais plutôt en alliant convictions profondes et realpolitik. Installée à Dubai, la journaliste a enquêté pendant trois années avec une question centrale en tête : « Qui sont-elles vraiment derrière le voile ? » Comment, en effet, expliquer que ces femmes qui ont voyagé, étudié à l’étranger, qui ont aujourd’hui des responsabilités, continuent de porter l’abaya, robe noire qui recouvre les vêtements ? Comment décrypter leur place dans une société à la culture bédouine, musulmane, patriarcale, et propulsée en moins d’un demi-siècle d’une vie de village à la globalisation (elles y représentent 50 % de la force de travail) ?
« J’ai mis longtemps à comprendre que le voile ici n’était plus un sujet tel que nous l’entendions, répond Kyra Dupont, qu’il fallait dépasser cette question, que mettre l’abaya était un moyen de signifier son appartenance culturelle. Il n’y a pas que l’aspect religieux dans ce vêtement, plutôt une volonté de rester proche de racines dont les femmes ici sont très fières tout en gardant la possibilité d’être belles. Ces robes noires, parfois ornées de fils d’or ou de perles, peuvent être aussi très séduisantes », poursuit la journaliste. C’est donc dans le calme, la modestie, mais aussi l’audace et la détermination que certaines ont pris leur destin en main. « Il faut être patiente quand on est une femme ici, conclut S. E. Hoda Kanoo : l’homme est demeuré un lion, nous devons rester rusées pour trouver notre place. »
(1) Perles des Émirats, de Kyra Dupont, éditions du Moment. (2) Le ciel est leur limite, de François-Aïssa Touazi, éditions du Moment.
La première compétition de fiction, organisée par l’Emirates Airline Festival de la Littérature, appelle tous les écrivains en herbe dans les Emirats Arabes Unis de faire leurs premiers pas sur la route de la publication et du statut d’auteur publié.
Avec plus de 100 entrées d’écrivains de toutes nationalités vivant dans les Emirats et des histoires englobant une variété de genres et d’expériences, le concours de l’année dernière était parrainé par Montegrappa et jugé par l’agent littéraire Luigi Bonomi, la Première Compétition de Fiction offre une plate-forme aux personnes ayant une passion pour l’écriture et la possibilité de faire de cette passion une carrière.
S’adressant au quotidien Khaleej Times, le directeur général de Montegrappa Moyen-Orient Haytham Nasr déclare que les termes de la compétition sont faciles à satisfaire.
“Nous demandons un résumé de 400 mots et un chapitre de 2000 mots lors de la soumission.’’ Les participants ne sont pas tenus d’avoir un roman écrit tout entier avant d’entrer dans la compétition et la présentation de 2000 mots peut concerner toute section d’un manuscrit, dit-il.
Après la date limite pour l’entrée le 11 janvier 2015, un processus en plusieurs étapes suivra.
“Toutes les candidatures soumises sont lus par le jury, qui présélectionnera ensuite les entrées afin de sélectionner le gagnant et deux finalistes dont les noms sont annoncés pendant le festival.”
Maintenant dans sa troisième année, le premier concours de fiction de 2013 a permis à la gagnante Annabel Kantaria de sécuriser un contrat avec Harlequin avec son roman Coming Home; tandis que le 2013 runner-up Rachel Hamilton a reçu un contrat de deux livres avec Simon & Schuster sur base de son entrée Le cas de Exploding Loo, un livre pour les enfants âgés de 10 à 13 ans.
Davantage d’informations sont disponibles sur www.emirateslitfest.com/First-Fiction-2015.